vivarais a écrit : ↑30 juillet 2023 18:34
Fonck1 a écrit : ↑30 juillet 2023 18:14
aucune rapport avec ce que j'ai écrit comme d'habitude.
mais comme je l'ai dit dans l'assassinat de samuel pati il y avait l'implication de l'imam de la mosquée de pantin
il y a celui qui tue et celui qui arme le bras
vous avez écrit que mon propos concernant l'imam était faux
je vous prouve le contraire
vous n'avec pas de chance car malgré mes plus d e83 ans je retiens encore tout ce que je lis
c'est pour cela qu'ayant lu la bible lors de mes séjours dans les hôtels aux USA je peux vous en citer tous les passages
s'il y avait eu le coran peut être cela aurait été de même
seulement dans les pays musulmans il n'y a pas de coran dans le tiroir des chambres d'hotel (peut etre pour ne pas que des mains impures le touche aprés etre allé pisser
)
comme d'habitude, comme Lotus, vous aimez bien vous arranger les choses comme vous avez envie que ce soit, mais ça n'est évidement pas, LA VERITE.
Abdelhakim Sefrioui (en arabe : عبد الحكيم صفريوي), né le 21 avril 1959 à Fès (Maroc)2, est un islamiste intégriste franco-marocain, mis en examen pour « complicité d’assassinat » après l'attentat de Conflans-Sainte-Honorine d'octobre 2020 contre le professeur Samuel Paty puis pour « association de malfaiteurs terroriste ».
En 2004, il fonde le collectif Cheikh-Yassine, un mouvement pro-Hamas, qui est dissous en conseil des ministres le 21 octobre 2020.
Se revendiquant comme un représentant d'un éphémère Conseil des imams de France, il est décrit en 2010 par L'Express comme un adepte du double discours, opposé à l'islam modéré3. Il est décrit comme un « vieux routard de l'islamisme en France » par Bernard Godard, ancien spécialiste de l'islam au ministère de l'Intérieur4.
Le 17 octobre 2020, il est mis en garde à vue après l'assassinat de Samuel Paty, puis mis en examen le 21 octobre pour « complicité d’assassinat en relation avec une entreprise terroriste ».
il n'est donc pas Imam, et encore moins de la mosquée de pantin.
Il est rien du tout, juste un tireur de ficelles qui profite de faibles âmes pour arriver à ses fins.
puis le meilleur est pour la fin :
Activisme islamiste
Le 22 mars 2004, jour de l'assassinat du leader du Hamas Ahmed Yassine, Abdelhakim Sefrioui fonde le mouvement pro-Hamas Collectif Cheikh-Yassine6. Ce collectif sans existence légale se positionne constamment contre les personnalités musulmanes jugées trop proches du gouvernement, et présente la communauté musulmane française comme systématiquement opprimée5. Son épouse joue avec lui un rôle prééminent dans les activités de ce collectif5.
Bernard Rougier considère Sefrioui comme « sulfureux » et le collectif Cheikh-Yassine (CCY) comme un « groupuscule », dont la « défense du Hamas sert d'utile paravent à de multiples causes15. » Pour Gérard Davet et Fabrice Lhomme, c'est un collectif « anti-israélien16 ». Ce groupuscule gère un temps « le site de l'association cultuelle Ansar-al Haqq. Une plateforme de recrutement pour partir faire le jihad17. » En 2015, l'ancien policier Bernard Godard estimait que les mots d'ordre de ce collectif étaient « nettement antisémites »18.
Au début des années 2000, il est président de l'association culturelle des musulmans des Ulis10 . Il organise en 2004 des manifestations et lance des appels à la prière sur la voie publique3, pour obtenir la création d'une mosquée d'une taille un peu plus importante que celle accordée par le maire, n'hésitant pas à mentir aux fidèles sur le contenu des discussions avec la mairie pour mieux les mobiliser. Il perd la confiance de ces fidèles lorsqu'un conseiller municipal fréquentant la salle de prière l'accuse de manipulations, en affirmant notamment que leurs manifestations sont soutenues par le préfet. Il quitte alors l'association cultuelle6. En 2005, il préface le livre du Frère musulman Youssef al-Qaradâwî, « un Frère musulman extrême » selon Hassen Chalghoumi10.
En 2009, Sefrioui tente d'intimider le recteur de la Grande Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, après des propos de celui-ci appelant à l'amitié envers les juifs. Il organise un sit-in devant la mosquée, provoquant sa fermeture pendant six semaines19.
En 2010, il s'oppose violemment à l'imam de Drancy, Hassen Chalghoumi, réputé proche de la communauté juive et qui vient d'approuver une loi limitant le port du voile intégral. Tentant de déstabiliser l'imam Chalghoumi et de le faire destituer de son poste à la mosquée de Drancy, il est brièvement placé en garde à vue pour avoir manifesté et essayé d'organiser des groupes de prière sur le parking adjacent alors que son collectif est interdit de manifestation19. L'année suivante, Chalghoumi est placé sous protection policière après des menaces proférées par Sefrioui et ses soutiens. Selon l'imam Chalghoumi, « On aurait dû interdire ses actions il y a bien longtemps10. »
Le préfet de Seine-Saint-Denis et le directeur des renseignements généraux tentent alors, sans succès, d'obtenir une déchéance de nationalité19.
Il est fiché « pour radicalisation à caractère terroriste » au fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste10.
Il entretient pendant quelque temps des relations informelles avec Mohamed Achamlane, le leader de Forsane Alizza19, un groupuscule islamiste nantais dissous en mars 201220, avec qui il tente de faire pression en 2011 sur la proviseure du lycée de Saint-Ouen qui veut interdire le port des jupes longues19.
Le 20 octobre 2020, Emmanuel Macron annonce la dissolution du collectif Cheikh-Yassine, « directement impliqué », selon lui, dans l’assassinat de Samuel Paty21. Cette décision est validée en conseil des ministres le 21 octobre22.
Rapprochement avec les milieux d'extrême droite et négationnistes
En 2005, il se rapproche de Dieudonné, qui tente alors de présenter sa candidature à l'élection présidentielle. La même année, il fonde avec Ginette Hess-Skandrani (qu'il aurait rencontrée lors de manifestations contre la guerre d'Irak) et Mondher Sfar, deux proches des milieux négationnistes, un « Comité sur le génocide en Palestine »6. En 2006, il devient membre du bureau de campagne de Dieudonné3,10, bureau auquel participent « des militants d’extrême droite, des négationnistes et des islamistes radicaux23 » et auquel il est chargé des « liens arabo-musulmans »24. Il l'introduit notamment au congrès de l'UOIF25.
En 2009, il se trouve « aux côtés du site conspirationniste d’extrême droite Alter-info, poursuivi devant le tribunal pour antisémitisme23 ». Secrétaire d'Alter-info26, il prend la défense du responsable du site27 dont il justifie les publications devant les caméras d'Arte, en criant « Est-ce que les juifs n'ont pas de mauvais ? Si10 ! » La même année, il tente de se joindre à la manifestation du 10 janvier protestant contre l'opération Plomb durci, mais lui et son collectif Cheick Yassine sont rejetés du cortège officiel en raison de leur « réputation sulfureuse ». Il forme donc un cortège à part, aux côtés de Dieudonné et de deux membres du Front national, Frédéric Chatillon et Axel Loustau, où ils protestent contre le « génocide palestinien »6. Sefrioui finit par s'éloigner de l'humoriste lors de sa campagne pour les élections européennes. Ses raisons diffèrent selon les versions : d'après les auteurs du livre La Galaxie Dieudonné, ce serait par stratégie, Sefrioui ayant jugé qu'une alliance avec d'anciens membres du FN n'était pas pertinente vis-à-vis de son public. D'après un militant ayant côtoyé Sefrioui à cette époque contacté par Mediapart, il aurait en fait été écarté de la liste au profit de Yahia Gouasmi6.
islamistes-extrême-droite même combat.