gare au gorille a écrit : ↑29 août 2024 01:36
Fonck1 a écrit : ↑29 août 2024 01:25
Il n’y a que vous qui le pensez .
Ben non justement, nous sommes des millions à penser que les journalistes qui s'engagent en politique ont le droit de le faire mais pas forcément sur le service public.
Des millions pensent le contraire.
Audiences Médiamétrie : saison historique pour France Inter, record absolu pour une radio
https://www.radiofrance.fr/franceinter/ ... io-9149254
Loin devant l'ex Europe n°1 devenue la radio Bolloréenne Europe 1
https://www.acpm.fr/Les-chiffres/Freque ... ent-France
Europe 1. De la singularité au déclin (1955-2022)
La récente extrême-droitisation d’Europe 1, radio généraliste contrôlée par le groupe Vivendi, s’inscrit dans une certaine continuité. « De Charles Michelson à Sylvain Floirat, puis de la famille Lagardère père et fils à Vincent Bolloré aujourd’hui, les hommes d’affaires ont été partie prenante bien au-delà de l’actionnariat », rappelle l’historien Denis Maréchal. Parallèlement, le pouvoir politique a constamment influencé sa ligne éditoriale.
En 1974, le directeur de la rédaction était « débarqué » à la demande du chef de l’État, alors actionnaire majoritaire par le biais d’une entreprise publique, la Sofirad : Valéry Giscard d’Estaing lui reprochait son « persiflage ». Toujours plus à droite, Europe 1 fut surnommée « radio Sarko » durant le quinquennat de M. Nicolas Sarkozy. Quant à l’actuel propriétaire, il s’inspirerait de la croisade ultraconservatrice de M. Rupert Murdoch.
Ce que ce dernier « entreprit aux États-Unis dès 1996 avec Fox News et le New York Post notamment, Vincent Bolloré en a tout simplement dupliqué le modèle deux décennies plus tard en France avec CNews et Europe 1 ».
https://www.monde-diplomatique.fr/2023/10/GARCIA/66217