Qu'il ait décidé seul de la privatisation des autoroutes me semblerait curieux. Je vais même vous expliquer que c'était une décision venant d'un nommé Bruno Le Maire, alors conseiller de Dominique de Villepin.gare au gorille a écrit : ↑16 septembre 2024 14:06papibilou a écrit : ↑16 septembre 2024 13:22 Avec la démission de Thierry Breton, Barnier peut disposer d'un excellent ministre de l'économie et des finances.
https://www.lefigaro.fr/international/u ... e-20240916
En revanche, la commission européenne perd un membre éminent qui ne s'entendait plus du tout avec Von Der Leyen.
C'est vrai que ces gens la n'ont pas encore totalement épuisé leur pouvoir de nuisance au pays. C'est à monsieur Thierry Breton ancien ministre de l'économie et des déficits que l'on doit la privatisation des autoroutes. Il peut encore déconstruire quelques trucs avant de prendre une retraite bien dorée et de lâcher la grappe au pays.
Et si vous n'avez que ça à son passif, voici quelques éléments complémentaires:
- En 1981, il crée Forma Systems, une société d'analyse de systèmes et d'ingénierie informatique dont il devient président-directeur général. Il en quitte la présidence en 1986 pour se consacrer au projet du Futuroscope.
- Classé à trois reprises (2010, 2017 et 2018) parmi les 100 patrons les plus performants au monde selon le classement de la Harvard Business Review,
- En mars 1997, il est nommé par le gouvernement à la tête de Thomson, alors valorisée un franc symbolique, et repositionne le groupe autour des nouvelles technologies de l'image et d'Internet. Considéré comme une véritable pépite pour le groupe, le portefeuille de brevets du groupe (RCA), hérité de General Electric en 1998, génère un chiffre d’affaires de 1,8 milliard de francs en 1999. Après une recapitalisation de onze milliards de francs (1,7 milliard d'euros) par l'État français, le redressement de l'entreprise valorise Thomson jusqu'à cent milliards de francs en 2002,
- Régulièrement décrit comme un « redresseur » d’entreprises, Thierry Breton est nommé par le gouvernement à la tête de France Télécom le 2 octobre 2002.
L'opérateur, surendetté à hauteur de 70 milliards d'euros à la suite de l'éclatement de la bulle financière de l'Internet voit sa situation se dégrader à grande vitesse en raison de la défiance des agences de notation. France Télécom est alors surnommée « l’entreprise la plus endettée au monde ». En moins de trois ans, il aura ramené la dette sous la barre des 40 milliards d'euros.
- En 2012, il est élu par Les Échos « Stratège de l'année » pour sa gestion d'Atos. L’année suivante, l’entreprise est classée au second rang du palmarès des employeurs français de RegionsJob et L'Express, qui prend notamment en compte les conditions de travail, les perspectives de carrière et la pérennité de l’entreprise.
J'arrête là et si vous avez un équivalent de ce niveau n'hésitez pas à nous en parler.