Mais c'est ça un autre problème : le compartimentage infini des tâches dans le système juridique, mais aussi dans les sociétés publiques ou privées, et au sein de n'importe quelle entreprise, et dans les services de santé comme à l'hôpital !Fonck1 a écrit : ↑26 septembre 2024 09:15désolé, mais la justice a aussi merdé en envoyant les formulaire au mauvais service à l'ambassade du maroc !UBUROI a écrit : ↑26 septembre 2024 08:00 Selon le Monde, le juge l'avait assigné à résidence dans un hôtel à partir du 4 septembre. Faute de SUIVI par la police ou gendarmerie de cette assignation, et compte tenu du non respect de cette assignation par l' OQTF, il est inscrit dans le fichier des personnes recherchées le 19/9...soit 15 jours après. Il commet son crime le lendemain.
Faudra que RE-taïaut s'occupe de la police, et pas de la justice qui a fait son travail en application des textes!!!!
J' aurais des tas d'anecdotes personnelles et pénibles vécues récemment et à raconter en tant que client (achat d'un nouveau véhicule en concession, achat et installation d'un store de balcon auprès d'une entreprise spécialisée) ou en tant que patient (bref séjour à l'hôpital public). Mais je ne suis pas le sujet.
Mais pour résumer, avec un regard externe et au bout du bout qu'est ce que je constate ? Le compartimentage infini des tâches et des responsabilités. Je constate que chacun bosse dans son petit créneau ultra spécialisé, bourré de réglementations, que chacun bosse avec son petit carnet de bord, que chacun ne voit pas plus loin que la visière de sa casquette, qu'il n'y a pas de vraie communication ni de vraie synchronisation entre les différents acteurs, oui que chacun bosse dans son coin mais quand il y a un souci qui se retrouve le cocu au bout de la chaîne ? Le client. Le patient. Et, en amont, chacun des différents acteurs va dire : "mais moi j'ai fait mon boulot, non ?"
Sauf que, si à un des maillons de la chaîne il y en a qui a merdé, ne serait-ce qu'un tout petit peu merdé, et bien les autres ne sont pas responsables au fond. Sauf qu''au bout de la chaîne c'est le client ou le patient qui ramasse . Et qui ramasse lourd. Qui ramasse gros.
Là qui c'est qui ramasse au bout de la chaîne ?
Là, c'est une victime innocente, cette pauvre gamine qui ramasse grave, une gamine qui n'a plus que le droit de se taire pour toujours dans sa boîte pendant que tous ceux qui ont joué un rôle dans cette affaire, ben eux, ils bavassent en se rejetant la balle.
Sans oublier non plus le meurtrier de cette gamine qui va désormais faire l'objet de toutes les attentions de la société au nom de ses "droits ". Et aux frais de la société et du contribuable.
J'entends déjà l'avocat de cette crapule lui murmurer à l'oreille : "Dites qu'elle vous a traité de "sale bougn...."
Il était une époque où j'aurais aimé devenir avocat pour défendre "la veuve et l'orphelin" : dieu merci, j'ai changé de voie !