Fonck1 a écrit : ↑08 octobre 2024 12:41
c'est donc une dictature.
Absolument pas.
Israël a sensiblement la même organisation démocratique que la plupart des pays de l'UE qui ne sont pas des dictatures,
le free speech y est revendiqué et aussi actif que chez nous.
Ce pays agit conformément aux désirs de la majorité de sa population et fut désigné il y a quelques années comme un modèle démocratique.
Dictature : concentration de tous les pouvoirs entre les mains d'un individu, d'une assemblée, d'un parti, d'une classe.
Là où croît le péril croît aussi ce qui sauve.
Hölderlin
Voici comment est traité un professeur qui défend la paix dans cette belle "démocratie".
Eh bien il a obtenu gain de cause et a été réintégré parce qu'il vit dans une démocratie. Il peut s'exprimer librement alors que dans n'importe quelle dictature, il aurait été liquidé et porté disparu.
Il a sans doute été dénoncé par des voisins, collègues ou élèves malveillants, puis ''traité'' par des services dont les agents sont forcément sur les dents. C'est un pays en guerre, ne l'oublions pas.
Là où croît le péril croît aussi ce qui sauve.
Hölderlin
papibilou a écrit : ↑08 octobre 2024 19:09
Je reste persuadé qu'Israël est une entité légitime. Cela dit le sionisme initial semble désormais réalisé. L'appropriation illégale de terres en Cisjordanie ne ressort plus du sionisme au sens premier du terme mais de la colonisation pure et simple.
Concernant l'antisionisme il faudrait au minimum le définir. S'il signifie remettre en cause l'existence d'Israël, alors il doit effectivement être condamné. S'il signifie une opposition à cette appropriation de terres que j'évoque ci dessus, il n'y a aucune raison de la condamner.
Mesoke a écrit : ↑08 octobre 2024 12:23
Encore une fois, ça c'est le sionisme historique, pas le sionisme religieux actuel.
Le "sionisme religieux", ce n'est pas le "sionisme". C'est une dérive qui représente 14 sièges sur 120 à la Knesset.
Quand on parle du sionisme en général, on ne parle pas du sionisme religieux.
Il n'y a pas cinquante formes d'antisionisme. Critiquer la politique d'Israël n'est en rien de l'antisionisme, l'antisionisme c'est simplement la négation de l'état Israélien et quand un sénateur parle de criminaliser l'antisionisme il ne parle pas de criminaliser la critique de la politique des dirigeants actuels mais de criminaliser la négation d'Israël. On a pu le voir la diffusion de cartes de la région par les LFI ou Israël était totalement effacé de la carte, c'est cette doctrine la qui serait criminalisée au même titre qu'on a criminalisé la négation de la Shoa ou la négation de l'existence des chambres à gaz sous le régime nazi.
* il pleut doucement sur la ville *
* Et le poète soul engueulait l' Univers *
(Rimbaud)
Cépajuste a écrit : ↑08 octobre 2024 12:30
Le "sionisme religieux", ce n'est pas le "sionisme". C'est une dérive qui représente 14 sièges sur 120 à la Knesset.
Quand on parle du sionisme en général, on ne parle pas du sionisme religieux.
Il n'y a pas cinquante formes d'antisionisme. Critiquer la politique d'Israël n'est en rien de l'antisionisme, l'antisionisme c'est simplement la négation de l'état Israélien et quand un sénateur parle de criminaliser l'antisionisme il ne parle pas de criminaliser la critique de la politique des dirigeants actuels mais de criminaliser la négation d'Israël. On a pu le voir la diffusion de cartes de la région par les LFI ou Israël était totalement effacé de la carte, c'est cette doctrine la qui serait criminalisée au même titre qu'on a criminalisé la négation de la Shoa ou la négation de l'existence des chambres à gaz sous le régime nazi.
Belle tirade pro nationaliste c’est dommage qu’elle soit passablement fausse.
Il n'y a pas cinquante formes d'antisionisme. Critiquer la politique d'Israël n'est en rien de l'antisionisme, l'antisionisme c'est simplement la négation de l'état Israélien et quand un sénateur parle de criminaliser l'antisionisme il ne parle pas de criminaliser la critique de la politique des dirigeants actuels mais de criminaliser la négation d'Israël. On a pu le voir la diffusion de cartes de la région par les LFI ou Israël était totalement effacé de la carte, c'est cette doctrine la qui serait criminalisée au même titre qu'on a criminalisé la négation de la Shoa ou la négation de l'existence des chambres à gaz sous le régime nazi.
Belle tirade pro nationaliste c’est dommage qu’elle soit passablement fausse.
Il n'y a rien de nationalisme et rien de faux dans mes propos, ou alors il faudrait un minimum d'arguments pour pouvoir me contredire.
Il est clair que dans l'esprit de ces sénateurs on ne va pas criminaliser la critique d'une politique mais tout simplement criminaliser les propos réellement antisionistes qui depuis la France viseraient à l'éradication d'Israël.
* il pleut doucement sur la ville *
* Et le poète soul engueulait l' Univers *
(Rimbaud)
Personne ne propose de criminaliser la négation de la Palestine, ou de l'Ukraine, du Kosovo, du Tibet, du Kurdistan ? Pourquoi seulement Israël ? On peut même nier la République française si on en a envie !
Fonck1 a écrit : ↑09 octobre 2024 01:09
Belle tirade pro nationaliste c’est dommage qu’elle soit passablement fausse.
Il n'y a rien de nationalisme et rien de faux dans mes propos, ou alors il faudrait un minimum d'arguments pour pouvoir me contredire.
Il est clair que dans l'esprit de ces sénateurs on ne va pas criminaliser la critique d'une politique mais tout simplement criminaliser les propos réellement antisionistes qui depuis la France viseraient à l'éradication d'Israël.
Quelle est la définition du mot sionisme ? Doctrine et mouvement politique dont le but est la construction, la consolidation et la défense d'un État juif en Palestine, près de Jérusalem. Le mouvement est appelé ainsi en référence à la colline de Sion de Jérusalem où fut, dans l'Antiquité, érigée la citadelle de David.
il n'y a pas 50 formes de sionisme.
et si, critiquer la politique d'israel peut être de l’antisionisme.
Fonck1 a écrit : ↑07 octobre 2024 21:55
complètement débile, il y a bien que des politiques pour croire qu'un type antisémite va s'arrêter juste parce que l'amende est automatique.
quelle bande d’abrutis.
Pas d'accord ..
Tu écris un texte antisémite Tu prends 10 000 € d'amende ...
Tu vas réfléchir avant de remettre ça NON ?
La tolérance c'est quand on connait des cons- et qu'on ne dit pas les noms
Fonck1 a écrit : ↑07 octobre 2024 21:55
complètement débile, il y a bien que des politiques pour croire qu'un type antisémite va s'arrêter juste parce que l'amende est automatique.
quelle bande d’abrutis.
Pas d'accord ..
Tu écris un texte antisémite Tu prends 10 000 € d'amende ...
Tu vas réfléchir avant de remettre ça NON ?
gare au gorille a écrit : ↑09 octobre 2024 01:07
Il n'y a pas cinquante formes d'antisionisme. Critiquer la politique d'Israël n'est en rien de l'antisionisme, l'antisionisme c'est simplement la négation de l'état Israélien et quand un sénateur parle de criminaliser l'antisionisme il ne parle pas de criminaliser la critique de la politique des dirigeants actuels mais de criminaliser la négation d'Israël. On a pu le voir la diffusion de cartes de la région par les LFI ou Israël était totalement effacé de la carte, c'est cette doctrine la qui serait criminalisée au même titre qu'on a criminalisé la négation de la Shoa ou la négation de l'existence des chambres à gaz sous le régime nazi.
Il n'y a pas cinquante formes d'antisionisme, mais il y en a plusieurs. Dont certaines réactualisées par rapport au sionisme originel pour prendre en compte le sionisme actuel. Le sionisme originel c'était créer un état pour les juifs, le sionisme actuel, appuyé par les extrémistes religieux, c'est coloniser des terres palestiniennes de manière illégale mais avec le gouvernement qui ferme les yeux. Le sionisme en général c'est le retour des juifs en terre d'Israël, et la Cisjordanie c'est la terre d'Israël si on le décide, vu que ce terme n'est pas correctement défini.
Donc on peut être antisioniste en étant contre la colonisation par les extrémistes religieux sans pour autant remettre en cause la légitimité de l'état d'Israël.