c'est le terrorisme moderne....
https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article ... 00055.html
Elles portent le nom de la déesse grecque de la vengeance et se sont spécialisées dans les actions coup de poing. Créé en 2019, le collectif Némésis, qui se revendique féministe, ne cesse d’attribuer aux immigrés et aux musulmans la responsabilité des violences sexuelles. Ses membres ont pris l’habitude d’infiltrer les manifestations de gauche pour y clamer leurs slogans.
Le visage camouflé par une casquette et des lunettes noires, Alice Cordier, 27 ans, remonte la rue Turbigo, à Paris. Dans ses mains, une pancarte affiche le slogan « Jordan, faut qu’il se Bardella. » C’est un leurre : sous le papier d’emballage marron se cache un autre texte qu’elle dévoilera plus tard. Elle marche vers la violence qu’elle va elle-même provoquer. A ses côtés, le chef d’un service de sécurité, embauché pour l’occasion. Ils rejoignent les milliers de personnes rassemblées contre l’extrême droite ce jeudi 27 juin, place de la République, à l’appel d’un collectif d’associations, de médias indépendants et de la CGT.
Nous sommes à trois jours du premier tour des élections législatives anticipées, après la dissolution de l’Assemblée nationale, le 9 juin. Le Rassemblement national (RN) est annoncé en tête dans les sondages. Sur scène, les personnalités se succèdent : l’actrice Judith Godrèche, la militante écologiste Camille Étienne, l’humoriste Aymeric Lompret…
Alice Cordier se faufile jusqu’au cœur du rassemblement. Elle est bientôt entourée par neuf autres jeunes femmes, affublées elles aussi de pancartes anti-RN et protégées par des gardes du corps. Il est près de 20 heures. Soudain, les dix jeunes femmes arrachent le papier qui recouvre leurs pancartes et dévoilent leurs vrais slogans : « Voter pour le NFP, c’est voter pour Mélenchon, condamné pour rébellion et provocation » ; « Voter pour le NFP, c’est voter pour Rima Hassan, convoquée pour apologie du terrorisme » ; « Voter pour le NFP, c’est voter pour Adrien Quatennens, condamné pour violences conjugales »… Elles scandent aussi : « Vous n’êtes pas féministes ! »
Némésis, des identitaires grimées en féministes
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Re: Némésis, des identitaires grimées en féministes
Des agité.e.s du bocal de l'ultradroite. Sans grande importance.
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Re: Némésis, des identitaires grimées en féministes
Fonck1 a écrit : ↑26 novembre 2024 08:10c'est le terrorisme moderne....
https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article ... 00055.html
Elles portent le nom de la déesse grecque de la vengeance et se sont spécialisées dans les actions coup de poing. Créé en 2019, le collectif Némésis, qui se revendique féministe, ne cesse d’attribuer aux immigrés et aux musulmans la responsabilité des violences sexuelles. Ses membres ont pris l’habitude d’infiltrer les manifestations de gauche pour y clamer leurs slogans.
Le visage camouflé par une casquette et des lunettes noires, Alice Cordier, 27 ans, remonte la rue Turbigo, à Paris. Dans ses mains, une pancarte affiche le slogan « Jordan, faut qu’il se Bardella. » C’est un leurre : sous le papier d’emballage marron se cache un autre texte qu’elle dévoilera plus tard. Elle marche vers la violence qu’elle va elle-même provoquer. A ses côtés, le chef d’un service de sécurité, embauché pour l’occasion. Ils rejoignent les milliers de personnes rassemblées contre l’extrême droite ce jeudi 27 juin, place de la République, à l’appel d’un collectif d’associations, de médias indépendants et de la CGT.
Nous sommes à trois jours du premier tour des élections législatives anticipées, après la dissolution de l’Assemblée nationale, le 9 juin. Le Rassemblement national (RN) est annoncé en tête dans les sondages. Sur scène, les personnalités se succèdent : l’actrice Judith Godrèche, la militante écologiste Camille Étienne, l’humoriste Aymeric Lompret…
Alice Cordier se faufile jusqu’au cœur du rassemblement. Elle est bientôt entourée par neuf autres jeunes femmes, affublées elles aussi de pancartes anti-RN et protégées par des gardes du corps. Il est près de 20 heures. Soudain, les dix jeunes femmes arrachent le papier qui recouvre leurs pancartes et dévoilent leurs vrais slogans : « Voter pour le NFP, c’est voter pour Mélenchon, condamné pour rébellion et provocation » ; « Voter pour le NFP, c’est voter pour Rima Hassan, convoquée pour apologie du terrorisme » ; « Voter pour le NFP, c’est voter pour Adrien Quatennens, condamné pour violences conjugales »… Elles scandent aussi : « Vous n’êtes pas féministes ! »
Ou donc voyez vous des terroristes chez Némésis ?? Ce sont des femmes qui manifestent avec des pancartes et qui défendent les femmes en faisant de la politique.
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Re: Némésis, des identitaires grimées en féministes
Quel terrorisme chez Nemesis ?Fonck1 a écrit : ↑26 novembre 2024 08:10c'est le terrorisme moderne....
https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article ... 00055.html
Elles portent le nom de la déesse grecque de la vengeance et se sont spécialisées dans les actions coup de poing. Créé en 2019, le collectif Némésis, qui se revendique féministe, ne cesse d’attribuer aux immigrés et aux musulmans la responsabilité des violences sexuelles. Ses membres ont pris l’habitude d’infiltrer les manifestations de gauche pour y clamer leurs slogans.
Le visage camouflé par une casquette et des lunettes noires, Alice Cordier, 27 ans, remonte la rue Turbigo, à Paris. Dans ses mains, une pancarte affiche le slogan « Jordan, faut qu’il se Bardella. » C’est un leurre : sous le papier d’emballage marron se cache un autre texte qu’elle dévoilera plus tard. Elle marche vers la violence qu’elle va elle-même provoquer. A ses côtés, le chef d’un service de sécurité, embauché pour l’occasion. Ils rejoignent les milliers de personnes rassemblées contre l’extrême droite ce jeudi 27 juin, place de la République, à l’appel d’un collectif d’associations, de médias indépendants et de la CGT.
Nous sommes à trois jours du premier tour des élections législatives anticipées, après la dissolution de l’Assemblée nationale, le 9 juin. Le Rassemblement national (RN) est annoncé en tête dans les sondages. Sur scène, les personnalités se succèdent : l’actrice Judith Godrèche, la militante écologiste Camille Étienne, l’humoriste Aymeric Lompret…
Alice Cordier se faufile jusqu’au cœur du rassemblement. Elle est bientôt entourée par neuf autres jeunes femmes, affublées elles aussi de pancartes anti-RN et protégées par des gardes du corps. Il est près de 20 heures. Soudain, les dix jeunes femmes arrachent le papier qui recouvre leurs pancartes et dévoilent leurs vrais slogans : « Voter pour le NFP, c’est voter pour Mélenchon, condamné pour rébellion et provocation » ; « Voter pour le NFP, c’est voter pour Rima Hassan, convoquée pour apologie du terrorisme » ; « Voter pour le NFP, c’est voter pour Adrien Quatennens, condamné pour violences conjugales »… Elles scandent aussi : « Vous n’êtes pas féministes ! »
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Re: Némésis, des identitaires grimées en féministes
le terrorisme, c'est terroriser les gens.
ce n'est pas forcément physique.
ces gens terrorisent quoi que vous en disiez, et même si vous n'avez pas envie de le voir, avec vos habituelles oeillères.
ils stigmatisent les corporations, tout cela avec l'accord des nationalistes du RN (voir notre ami gaga l'anti raciste au dessus qui justifie toutes leurs actions), et font des généralisations avec des actions coup de poing.
pour un type servant supporter de "l'ordre", je vous trouve bien absent sur la question.
réveillez vous dark vador, on est encore dans un pays libre où on a pas le droit d'être empêché de manifestation et/ou l'incitation à la haine est interdit et délictuel.
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Re: Némésis, des identitaires grimées en féministes
Brandir des pancartes, c'est un peu moins violent que de canarder des ados dans une salle de spectacle. Il ne faut pas tout mélanger.Fonck1 a écrit : ↑26 novembre 2024 08:10c'est le terrorisme moderne....
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Elles portent le nom de la déesse grecque de la vengeance et se sont spécialisées dans les actions coup de poing. Créé en 2019, le collectif Némésis, qui se revendique féministe, ne cesse d’attribuer aux immigrés et aux musulmans la responsabilité des violences sexuelles. Ses membres ont pris l’habitude d’infiltrer les manifestations de gauche pour y clamer leurs slogans.
Le visage camouflé par une casquette et des lunettes noires, Alice Cordier, 27 ans, remonte la rue Turbigo, à Paris. Dans ses mains, une pancarte affiche le slogan « Jordan, faut qu’il se Bardella. » C’est un leurre : sous le papier d’emballage marron se cache un autre texte qu’elle dévoilera plus tard. Elle marche vers la violence qu’elle va elle-même provoquer. A ses côtés, le chef d’un service de sécurité, embauché pour l’occasion. Ils rejoignent les milliers de personnes rassemblées contre l’extrême droite ce jeudi 27 juin, place de la République, à l’appel d’un collectif d’associations, de médias indépendants et de la CGT.
Nous sommes à trois jours du premier tour des élections législatives anticipées, après la dissolution de l’Assemblée nationale, le 9 juin. Le Rassemblement national (RN) est annoncé en tête dans les sondages. Sur scène, les personnalités se succèdent : l’actrice Judith Godrèche, la militante écologiste Camille Étienne, l’humoriste Aymeric Lompret…
Alice Cordier se faufile jusqu’au cœur du rassemblement. Elle est bientôt entourée par neuf autres jeunes femmes, affublées elles aussi de pancartes anti-RN et protégées par des gardes du corps. Il est près de 20 heures. Soudain, les dix jeunes femmes arrachent le papier qui recouvre leurs pancartes et dévoilent leurs vrais slogans : « Voter pour le NFP, c’est voter pour Mélenchon, condamné pour rébellion et provocation » ; « Voter pour le NFP, c’est voter pour Rima Hassan, convoquée pour apologie du terrorisme » ; « Voter pour le NFP, c’est voter pour Adrien Quatennens, condamné pour violences conjugales »… Elles scandent aussi : « Vous n’êtes pas féministes ! »
En effet, dans les féminisme actuel, il y a un gros problème : c'est politisé, il faut être de gauche proche LFI et pro migrants. Nemesis, c'est simplement l'expression de la nature qui a horreur du vide.
Après ca reste un groupuscule, ca n'ira pas bien loin, ca ne serat a rien de remuser un non évènement...
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Re: Némésis, des identitaires grimées en féministes
ils sont la facette d'une façade, quoi qu'on en dise.
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Re: Némésis, des identitaires grimées en féministes
Fonck1 a écrit : ↑27 novembre 2024 08:50le terrorisme, c'est terroriser les gens.
ce n'est pas forcément physique.
ces gens terrorisent quoi que vous en disiez, et même si vous n'avez pas envie de le voir, avec vos habituelles oeillères.
ils stigmatisent les corporations, tout cela avec l'accord des nationalistes du RN (voir notre ami gaga l'anti raciste au dessus qui justifie toutes leurs actions), et font des généralisations avec des actions coup de poing.
pour un type servant supporter de "l'ordre", je vous trouve bien absent sur la question.
réveillez vous dark vador, on est encore dans un pays libre où on a pas le droit d'être empêché de manifestation et/ou l'incitation à la haine est interdit et délictuel.
Ben dis donc une poignée de jeunes femmes affichant des banderoles et agitant quelques pancartes suffisent à vous faire mourir de peur.
Et vous appelez ça du terrorisme !! C'est de pire en pire.
Ces jeunes femmes défendent une cause, celle des femmes et heureusement, nous sommes nombreux à soutenir leurs actions.
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Re: Némésis, des identitaires grimées en féministes
dès qu'un procédé est foireux ,,,, systématiquement vous y êtes impliqué ,,,,,c'était deja ainsi au temps du NSADP ,,, vous n'avez rien innovégare au gorille a écrit : ↑28 novembre 2024 19:53Fonck1 a écrit : ↑27 novembre 2024 08:50
le terrorisme, c'est terroriser les gens.
ce n'est pas forcément physique.
ces gens terrorisent quoi que vous en disiez, et même si vous n'avez pas envie de le voir, avec vos habituelles oeillères.
ils stigmatisent les corporations, tout cela avec l'accord des nationalistes du RN (voir notre ami gaga l'anti raciste au dessus qui justifie toutes leurs actions), et font des généralisations avec des actions coup de poing.
pour un type servant supporter de "l'ordre", je vous trouve bien absent sur la question.
réveillez vous dark vador, on est encore dans un pays libre où on a pas le droit d'être empêché de manifestation et/ou l'incitation à la haine est interdit et délictuel.
Ben dis donc une poignée de jeunes femmes affichant des banderoles et agitant quelques pancartes suffisent à vous faire mourir de peur.
Et vous appelez ça du terrorisme !! C'est de pire en pire.
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Re: Némésis, des identitaires grimées en féministes
Vous devriez lire les sujets ça vous rendra peut être plus intelligent .gare au gorille a écrit : ↑28 novembre 2024 19:53Fonck1 a écrit : ↑27 novembre 2024 08:50
le terrorisme, c'est terroriser les gens.
ce n'est pas forcément physique.
ces gens terrorisent quoi que vous en disiez, et même si vous n'avez pas envie de le voir, avec vos habituelles oeillères.
ils stigmatisent les corporations, tout cela avec l'accord des nationalistes du RN (voir notre ami gaga l'anti raciste au dessus qui justifie toutes leurs actions), et font des généralisations avec des actions coup de poing.
pour un type servant supporter de "l'ordre", je vous trouve bien absent sur la question.
réveillez vous dark vador, on est encore dans un pays libre où on a pas le droit d'être empêché de manifestation et/ou l'incitation à la haine est interdit et délictuel.
Ben dis donc une poignée de jeunes femmes affichant des banderoles et agitant quelques pancartes suffisent à vous faire mourir de peur.
Et vous appelez ça du terrorisme !! C'est de pire en pire.
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J’ai bien dit peut être.
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Re: Némésis, des identitaires grimées en féministes
Fonck1 a écrit : ↑28 novembre 2024 23:06Vous devriez lire les sujets ça vous rendra peut être plus intelligent .gare au gorille a écrit : ↑28 novembre 2024 19:53
Ben dis donc une poignée de jeunes femmes affichant des banderoles et agitant quelques pancartes suffisent à vous faire mourir de peur.
Et vous appelez ça du terrorisme !! C'est de pire en pire.
Ces jeunes femmes défendent une cause, celle des femmes et heureusement, nous sommes nombreux à soutenir leurs actions.
J’ai bien dit peut être.
Vous avez bien lu le sujet et ça ne vous a pas rendu plus intelligent pour autant. Vous en êtes à trembler de peur et à confondre des jeunes femmes qui manifestent par leur présence contre un rassemblement anti RN avec des terroristes. Elles manifestent tout simplement et c'est leur mode d'action.
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Re: Némésis, des identitaires grimées en féministes
Gros LOL... Vous êtes marrant, vous, dans votre genre ! Je ne sais pas si vous êtes sérieux, ou si vous le faites exprès.Fonck1 a écrit : ↑27 novembre 2024 08:50le terrorisme, c'est terroriser les gens.
ce n'est pas forcément physique.
ces gens terrorisent quoi que vous en disiez, et même si vous n'avez pas envie de le voir, avec vos habituelles oeillères.
ils stigmatisent les corporations, tout cela avec l'accord des nationalistes du RN (voir notre ami gaga l'anti raciste au dessus qui justifie toutes leurs actions), et font des généralisations avec des actions coup de poing.
pour un type servant supporter de "l'ordre", je vous trouve bien absent sur la question.
réveillez vous dark vador, on est encore dans un pays libre où on a pas le droit d'être empêché de manifestation et/ou l'incitation à la haine est interdit et délictuel.
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Re: Némésis, des identitaires grimées en féministes
Tu "hais" xénophobe, raciste, anti-islam, anti-immigration alors bienvenue "chez nous".
Le Collectif Némésis, une radicalité au féminin en voie de notabilisation
Le collectif identitaire, remarqué pour son agit-prop et son féminisme de façade, est connecté aux franges radicales de l’extrême droite. Ce qui ne l’empêche pas d’avoir les faveurs du RN et des médias conservateurs.
Face au public : les cadres d’un groupuscule identitaire et… le maire RN de Fréjus, David Rachline. Les hauts plafonds et les moulures de la très chic villa Aurélienne, centre culturel grandiose de la station balnéaire nichée entre Cannes et Saint-Tropez, ont vu défiler, le 16 novembre, d’étonnantes visiteuses, invitées là par l’édile frontiste. Pull blanc sous une veste de costume noire, enfilade de bracelets au bras (mais, pour une fois, sans montre de luxe…), Rachline a pris le micro pour ouvrir cette conférence intitulée «Combattre l’entrisme islamique». Avant de poser tout sourire aux côtés des militantes du groupe identitaire Némésis, qui animaient la causerie et faisaient défiler des diapositives au diapason de leur nationalisme islamophobe.
Cette scène et les nombreux passages de leurs militantes à la télévision ou à la radio – principalement sur des canaux du groupe Bolloré – feraient presque oublier la nature exacte du Collectif Némésis. Même si des sections sont actives un peu partout en France, le groupuscule ne compte qu’une poignée de militantes. Il en revendique 200, pour beaucoup actives au sein d’autres bandes d’extrême droite, mais quelques dizaines seulement seraient réellement actives, selon le Monde. Le groupe s’est spécialisé dans des actions d’agit-prop xénophobes – et parfois accompagnées par un service d’ordre violent –, méthode clairement inspirée du mouvement Génération identitaire, dissous par les autorités en 2021.
Sigmatisation de l’immigration
Ces militantes, qui se sont longtemps vantées d’être «les féministes les plus identitaires», ont notamment produit des supports de propagande dénonçant les «rapefugees» – contraction de «rape» («viol») et «refugees» («réfugiés»). L’illustration : un homme noir et un homme barbu en qamis poursuivant une jeune femme blonde. De «l’humour», comme avait plaidé Alice Cordier lorsqu’elle avait ouvert une cagnotte pour payer «un billet d’avion» à la journaliste française d’origine marocaine Nassira El Moaddem, au printemps ? Contacté pour savoir s’il goûte ce genre de blagues, le RN n’a pas répondu à nos sollicitations. Le cabinet de David Rachline, également sollicité, évacue ce sujet mais affirme que «sont bienvenues à Fréjus toutes les personnes souhaitant défendre le droit des femmes ou promouvoir l’histoire de France».
Leur discours, qui se réclame du féminisme, stigmatise l’immigration, rendue presque seule responsable des violences faites aux femmes. Un terme que le groupe a longtemps assumé, mais qu’il cherche désormais à gommer. «Dans son manifeste, souligne Magali Della Sudda, chargée de recherche au CNRS, on ne trouve plus la revendication d’un féminisme identitaire, mais celle du “combat pour défendre les femmes occidentales”.» Pourtant, les fondamentaux restent, rappelle la chercheuse et autrice du livre les Nouvelles Femmes de droite (éditions Hors d’atteinte, 2022) : «Le collectif se positionne du côté des formations politiques qui prônent la lutte contre l’insécurité, l’immigration non-occidentale ou l’islam.» Ses troupes ont soutenu Marine Le Pen ou Eric Zemmour pendant la dernière campagne présidentielle.
Parmi les oratrices présentes à Fréjus, la présidente du mouvement : Alice Cordier – un pseudonyme – qui, à 27 ans, est déjà une militante expérimentée. Après des débuts avec les royalistes de l’Action française, elle s’est orientée vers l’activisme identitaire et a créé en 2019 les Némésis, dont elle est aujourd’hui salariée. La jeune femme a été proche de la bande néonazie des Zouaves Paris qui, après leur interdiction par les autorités, ont réactivé le GUD et poursuivi dans la violence – avant que ce groupe ne soit à son tour dissous cet été. Cordier s’affiche aussi avec Jean-Yves Le Gallou (doctrinaire suprémaciste) ou la militante anti-«idéologie transgenre» Marguerite Stern. En décembre 2021, sur les réseaux sociaux, elle prenait la pose dans un stand de tir, un fusil d’assaut sur l’épaule ; sur son sweat-shirt, une Jeanne d’Arc à cheval portant la même arme.
Une forme de «normalisation»
A Fréjus, Alice Cordier était venue avec deux de ses cadres. La première, Astrid Mahé O’Chinal, est la fille de Jildaz Mahé O’Chinal, une des figures tutélaires du GUD et de la «GUD connexion», cette bande de prestataires du RN au cœur de plusieurs scandales visant le financement des campagnes du parti. Cette jeune femme, engagée au sein du Collectif Némésis depuis ses débuts, est par ailleurs proche des néofascistes italiens de CasaPound, dont elle fréquente le siège de Rome. La seconde, Nina Azamberti, est une habituée des cercles lepénistes. Jusqu’à récemment assistante parlementaire du député RN des Bouches-du-Rhône Romain Baubry, elle a cofondé un groupuscule marseillais inféodé au sénateur (ex-RN) Stéphane Ravier.
Le reste des militantes du collectif est à l’avenant. A Versailles, une historique des Némésis est notoirement liée à la scène nazifiante d’Ile-de-France et regrettait, il y a quelques années sur les réseaux sociaux, de croiser trop de «cheveux bleus […], de beurettes et de rebeux» dans son école parisienne. Une autre, montpelliéraine, militait en parallèle au sein de la bande de nervis du coin, aujourd’hui disparue, Jeunesse Saint-Roch. De même, des Lyonnaises gravitent autour des bandes violentes d’extrême droite de la ville. Ce qui n’empêche pas des élus du RN, parti soi-disant normalisé, de s’afficher avec le collectif. Le colloque de Fréjus n’est pas une exception. Mi-septembre, l’eurodéputée RN Virginie Joron a invité Alice Cordier au Parlement européen, à Strasbourg, pour quelques photos. Mais aussi une vidéo dénonçant la «censure politique». Un classique de la propagande d’extrême droite, qui dénonce les restrictions légales prévenant les discours de haine comme des atteintes à la liberté d’expression.
Alice Cordier est aussi une habituée des pince-fesses du petit monde de l’extrême droite politique et médiatique. En janvier 2022, la militante identitaire a pu trinquer avec les zemmouriens Philippe de Villiers et Stanislas Rigault ou encore les étoiles de la presse d’extrême droite Geoffroy Lejeune (alors pas encore à la tête du JDD) et Charlotte d’Ornellas (déjà à Europe 1) à la soirée des 10 ans du site de la fachosphère Boulevard Voltaire. Une sauterie où a aussi passé une tête Marine Le Pen, flanquée de quelques cadres (Sébastien Chenu, Jérôme Rivière…). La candidate à la présidentielle a pris la pose pour une photo avec Cordier. Une forme de «normalisation» pour les Némésis, peut-être le seul groupuscule d’extrême droite a pouvoir être ouvertement convié à ce type d’événement.
Des habituées de Montretout, domaine familial des Le Pen
Quelques mois plus tard, le soir du second tour de la présidentielle, une porte-parole du groupe était à la soirée électorale parisienne de Marine Le Pen, au pavillon d’Armenonville, dans le XVIe arrondissement parisien. Elle était venue en compagnie d’Hermine Mahé O’Chinal, fille et sœur de, également militante de Némésis. En parallèle, le groupe a pris ses habitudes à Montretout, le domaine familial des Le Pen, sur les hauteurs de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine) à deux pas de Paris. C’est là qu’elles ont préparé leur dernière action, contre la manifestation féministe #NousToutes du 23 novembre. Et si Alice Cordier a feint d’ignorer tout des lieux et de leurs propriétaires, Libé a révélé que les Némésis avaient déjà pris possession des murs en janvier dernier pour une soirée festive avec buffet, paillettes et alcool. Sous l’œil de tableaux à la gloire de Jean-Marie Le Pen, elles avaient poussé les meubles et dansé jusque tard dans le saint des saints de la lepénie.
En avril, le Rassemblement national avait même volé au secours de Némésis lors d’une session du conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté. Les élus du parti d’extrême droite, dont le porte-parole du parti, Julien Odoul, avaient brandi des pancartes sur lesquelles on pouvait lire «violeurs étrangers dehors» en soutien à une des membres du collectif, Yona Faedda, interpellée quelques jours plus tôt pour avoir brandi une pancarte similaire lors du carnaval de Besançon. La maire écologiste de la ville avait porté plainte pour «incitation à la haine ou à la violence en raison de l’origine». Une plainte qui n’avait donné lieu à aucune poursuite. Les Némésis avaient nié tout racisme, assurant ne viser, parmi les étrangers, que les «violeurs». Mais une photo diffusée à la même époque par Yona Faedda sur Instagram, montre, à côté d’elle, une camarade brandissant ce message sans équivoque : «Libérez-nous de l’immigration».
https://www.liberation.fr/politique/le- ... XY42C4FXQ/
Le Collectif Némésis, une radicalité au féminin en voie de notabilisation
Le collectif identitaire, remarqué pour son agit-prop et son féminisme de façade, est connecté aux franges radicales de l’extrême droite. Ce qui ne l’empêche pas d’avoir les faveurs du RN et des médias conservateurs.
Face au public : les cadres d’un groupuscule identitaire et… le maire RN de Fréjus, David Rachline. Les hauts plafonds et les moulures de la très chic villa Aurélienne, centre culturel grandiose de la station balnéaire nichée entre Cannes et Saint-Tropez, ont vu défiler, le 16 novembre, d’étonnantes visiteuses, invitées là par l’édile frontiste. Pull blanc sous une veste de costume noire, enfilade de bracelets au bras (mais, pour une fois, sans montre de luxe…), Rachline a pris le micro pour ouvrir cette conférence intitulée «Combattre l’entrisme islamique». Avant de poser tout sourire aux côtés des militantes du groupe identitaire Némésis, qui animaient la causerie et faisaient défiler des diapositives au diapason de leur nationalisme islamophobe.
Cette scène et les nombreux passages de leurs militantes à la télévision ou à la radio – principalement sur des canaux du groupe Bolloré – feraient presque oublier la nature exacte du Collectif Némésis. Même si des sections sont actives un peu partout en France, le groupuscule ne compte qu’une poignée de militantes. Il en revendique 200, pour beaucoup actives au sein d’autres bandes d’extrême droite, mais quelques dizaines seulement seraient réellement actives, selon le Monde. Le groupe s’est spécialisé dans des actions d’agit-prop xénophobes – et parfois accompagnées par un service d’ordre violent –, méthode clairement inspirée du mouvement Génération identitaire, dissous par les autorités en 2021.
Sigmatisation de l’immigration
Ces militantes, qui se sont longtemps vantées d’être «les féministes les plus identitaires», ont notamment produit des supports de propagande dénonçant les «rapefugees» – contraction de «rape» («viol») et «refugees» («réfugiés»). L’illustration : un homme noir et un homme barbu en qamis poursuivant une jeune femme blonde. De «l’humour», comme avait plaidé Alice Cordier lorsqu’elle avait ouvert une cagnotte pour payer «un billet d’avion» à la journaliste française d’origine marocaine Nassira El Moaddem, au printemps ? Contacté pour savoir s’il goûte ce genre de blagues, le RN n’a pas répondu à nos sollicitations. Le cabinet de David Rachline, également sollicité, évacue ce sujet mais affirme que «sont bienvenues à Fréjus toutes les personnes souhaitant défendre le droit des femmes ou promouvoir l’histoire de France».
Leur discours, qui se réclame du féminisme, stigmatise l’immigration, rendue presque seule responsable des violences faites aux femmes. Un terme que le groupe a longtemps assumé, mais qu’il cherche désormais à gommer. «Dans son manifeste, souligne Magali Della Sudda, chargée de recherche au CNRS, on ne trouve plus la revendication d’un féminisme identitaire, mais celle du “combat pour défendre les femmes occidentales”.» Pourtant, les fondamentaux restent, rappelle la chercheuse et autrice du livre les Nouvelles Femmes de droite (éditions Hors d’atteinte, 2022) : «Le collectif se positionne du côté des formations politiques qui prônent la lutte contre l’insécurité, l’immigration non-occidentale ou l’islam.» Ses troupes ont soutenu Marine Le Pen ou Eric Zemmour pendant la dernière campagne présidentielle.
Parmi les oratrices présentes à Fréjus, la présidente du mouvement : Alice Cordier – un pseudonyme – qui, à 27 ans, est déjà une militante expérimentée. Après des débuts avec les royalistes de l’Action française, elle s’est orientée vers l’activisme identitaire et a créé en 2019 les Némésis, dont elle est aujourd’hui salariée. La jeune femme a été proche de la bande néonazie des Zouaves Paris qui, après leur interdiction par les autorités, ont réactivé le GUD et poursuivi dans la violence – avant que ce groupe ne soit à son tour dissous cet été. Cordier s’affiche aussi avec Jean-Yves Le Gallou (doctrinaire suprémaciste) ou la militante anti-«idéologie transgenre» Marguerite Stern. En décembre 2021, sur les réseaux sociaux, elle prenait la pose dans un stand de tir, un fusil d’assaut sur l’épaule ; sur son sweat-shirt, une Jeanne d’Arc à cheval portant la même arme.
Une forme de «normalisation»
A Fréjus, Alice Cordier était venue avec deux de ses cadres. La première, Astrid Mahé O’Chinal, est la fille de Jildaz Mahé O’Chinal, une des figures tutélaires du GUD et de la «GUD connexion», cette bande de prestataires du RN au cœur de plusieurs scandales visant le financement des campagnes du parti. Cette jeune femme, engagée au sein du Collectif Némésis depuis ses débuts, est par ailleurs proche des néofascistes italiens de CasaPound, dont elle fréquente le siège de Rome. La seconde, Nina Azamberti, est une habituée des cercles lepénistes. Jusqu’à récemment assistante parlementaire du député RN des Bouches-du-Rhône Romain Baubry, elle a cofondé un groupuscule marseillais inféodé au sénateur (ex-RN) Stéphane Ravier.
Le reste des militantes du collectif est à l’avenant. A Versailles, une historique des Némésis est notoirement liée à la scène nazifiante d’Ile-de-France et regrettait, il y a quelques années sur les réseaux sociaux, de croiser trop de «cheveux bleus […], de beurettes et de rebeux» dans son école parisienne. Une autre, montpelliéraine, militait en parallèle au sein de la bande de nervis du coin, aujourd’hui disparue, Jeunesse Saint-Roch. De même, des Lyonnaises gravitent autour des bandes violentes d’extrême droite de la ville. Ce qui n’empêche pas des élus du RN, parti soi-disant normalisé, de s’afficher avec le collectif. Le colloque de Fréjus n’est pas une exception. Mi-septembre, l’eurodéputée RN Virginie Joron a invité Alice Cordier au Parlement européen, à Strasbourg, pour quelques photos. Mais aussi une vidéo dénonçant la «censure politique». Un classique de la propagande d’extrême droite, qui dénonce les restrictions légales prévenant les discours de haine comme des atteintes à la liberté d’expression.
Alice Cordier est aussi une habituée des pince-fesses du petit monde de l’extrême droite politique et médiatique. En janvier 2022, la militante identitaire a pu trinquer avec les zemmouriens Philippe de Villiers et Stanislas Rigault ou encore les étoiles de la presse d’extrême droite Geoffroy Lejeune (alors pas encore à la tête du JDD) et Charlotte d’Ornellas (déjà à Europe 1) à la soirée des 10 ans du site de la fachosphère Boulevard Voltaire. Une sauterie où a aussi passé une tête Marine Le Pen, flanquée de quelques cadres (Sébastien Chenu, Jérôme Rivière…). La candidate à la présidentielle a pris la pose pour une photo avec Cordier. Une forme de «normalisation» pour les Némésis, peut-être le seul groupuscule d’extrême droite a pouvoir être ouvertement convié à ce type d’événement.
Des habituées de Montretout, domaine familial des Le Pen
Quelques mois plus tard, le soir du second tour de la présidentielle, une porte-parole du groupe était à la soirée électorale parisienne de Marine Le Pen, au pavillon d’Armenonville, dans le XVIe arrondissement parisien. Elle était venue en compagnie d’Hermine Mahé O’Chinal, fille et sœur de, également militante de Némésis. En parallèle, le groupe a pris ses habitudes à Montretout, le domaine familial des Le Pen, sur les hauteurs de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine) à deux pas de Paris. C’est là qu’elles ont préparé leur dernière action, contre la manifestation féministe #NousToutes du 23 novembre. Et si Alice Cordier a feint d’ignorer tout des lieux et de leurs propriétaires, Libé a révélé que les Némésis avaient déjà pris possession des murs en janvier dernier pour une soirée festive avec buffet, paillettes et alcool. Sous l’œil de tableaux à la gloire de Jean-Marie Le Pen, elles avaient poussé les meubles et dansé jusque tard dans le saint des saints de la lepénie.
En avril, le Rassemblement national avait même volé au secours de Némésis lors d’une session du conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté. Les élus du parti d’extrême droite, dont le porte-parole du parti, Julien Odoul, avaient brandi des pancartes sur lesquelles on pouvait lire «violeurs étrangers dehors» en soutien à une des membres du collectif, Yona Faedda, interpellée quelques jours plus tôt pour avoir brandi une pancarte similaire lors du carnaval de Besançon. La maire écologiste de la ville avait porté plainte pour «incitation à la haine ou à la violence en raison de l’origine». Une plainte qui n’avait donné lieu à aucune poursuite. Les Némésis avaient nié tout racisme, assurant ne viser, parmi les étrangers, que les «violeurs». Mais une photo diffusée à la même époque par Yona Faedda sur Instagram, montre, à côté d’elle, une camarade brandissant ce message sans équivoque : «Libérez-nous de l’immigration».
https://www.liberation.fr/politique/le- ... XY42C4FXQ/
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Re: Némésis, des identitaires grimées en féministes
pour quelqu'un qui est sans pitié avec la violence et les faits divers, moi je vous trouve bien sélectif.jeandu53 a écrit : ↑28 novembre 2024 23:51Gros LOL... Vous êtes marrant, vous, dans votre genre ! Je ne sais pas si vous êtes sérieux, ou si vous le faites exprès.Fonck1 a écrit : ↑27 novembre 2024 08:50
le terrorisme, c'est terroriser les gens.
ce n'est pas forcément physique.
ces gens terrorisent quoi que vous en disiez, et même si vous n'avez pas envie de le voir, avec vos habituelles oeillères.
ils stigmatisent les corporations, tout cela avec l'accord des nationalistes du RN (voir notre ami gaga l'anti raciste au dessus qui justifie toutes leurs actions), et font des généralisations avec des actions coup de poing.
pour un type servant supporter de "l'ordre", je vous trouve bien absent sur la question.
réveillez vous dark vador, on est encore dans un pays libre où on a pas le droit d'être empêché de manifestation et/ou l'incitation à la haine est interdit et délictuel.
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"nul bien sans peine".....
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Re: Némésis, des identitaires grimées en féministes
Bah euh ... non, le féminisme c'est juste vouloir une égalité effective entre les femmes et les hommes. C'est apolitique, c'est juste une question d'opinion centrée sur ce sujet d'égalité.sofasurfer a écrit : ↑27 novembre 2024 09:03 Brandir des pancartes, c'est un peu moins violent que de canarder des ados dans une salle de spectacle. Il ne faut pas tout mélanger.
En effet, dans les féminisme actuel, il y a un gros problème : c'est politisé, il faut être de gauche proche LFI et pro migrants. Nemesis, c'est simplement l'expression de la nature qui a horreur du vide.
Après ca reste un groupuscule, ca n'ira pas bien loin, ca ne serat a rien de remuser un non évènement...
Je suis féministe, et pourtant je n'aime pas LFI et je ne suis a priori pas "pro-migrant", quoi que ce terme flou veuille dire.