La paix en Ukraine en perspective

[sofasurfer]

Les alliés de l'Ukraine n'accepteront jamais de reconnaître officiellement les annexions russes, ni d'ailleurs la communauté internationale. Zelensky a parlé de concessions temporaires.

Cette concession sera définitive, chacun le sait. Un maximum d'Ukrainiens ne voulant pas vivre sous un régime russe, pour ceux qui ne l'on pas encore fait, quitteront ces régions pour intégrer le reste de l'Ukraine qui seront remplacé par des Familles russes, du moins dans les zones encore habitables.

Dans les régions de Lougansk Donetsk et Donbass, la population est déjà majoritairement russophone et pro russe , ce depuis toujours. C'est la raison de la discorde depuis 2014, voire bien avant : les population russophones ont été méprisées et persécutées parfois par els autorités ukrainiennes, il y a un fort ressentiment contre l'Ukraine dans ces régions...

[Fonck1]

Cette concession sera définitive, chacun le sait. Un maximum d'Ukrainiens ne voulant pas vivre sous un régime russe, pour ceux qui ne l'on pas encore fait, quitteront ces régions pour intégrer le reste de l'Ukraine qui seront remplacé par des Familles russes, du moins dans les zones encore habitables.

Dans les régions de Lougansk Donetsk et Donbass, la population est déjà majoritairement russophone et pro russe , ce depuis toujours. C'est la raison de la discorde depuis 2014, voire bien avant : les population russophones ont été méprisées et persécutées parfois par els autorités ukrainiennes, il y a un fort ressentiment contre l'Ukraine dans ces régions...

on peut aussi dire l'inverse, que le pouvoir russe a méprisé les populations ukrainiennes.

[sofasurfer]

Dans les régions de Lougansk Donetsk et Donbass, la population est déjà majoritairement russophone et pro russe , ce depuis toujours. C'est la raison de la discorde depuis 2014, voire bien avant : les population russophones ont été méprisées et persécutées parfois par els autorités ukrainiennes, il y a un fort ressentiment contre l'Ukraine dans ces régions...

on peut aussi dire l'inverse, que le pouvoir russe a méprisé les populations ukrainiennes.

Les divergences proviennent de bien plus loin en effet, notamment que l'Ukraine était un état privilégié par l'empereur, puis a été persécuté voire génocidé par Staline...

[Cépajuste]

Rappelons que cette guerre n'est pas un conflit linguistique entre russophones et ukrainophones.
C'est un conflit entre l'Europe démocratique et la Russie dictatoriale.
On peut être russophone et aspirer à vivre libre.

[lepicard]

Rappelons que cette guerre n'est pas un conflit linguistique entre russophones et ukrainophones.
C'est un conflit entre l'Europe démocratique et la Russie dictatoriale.
On peut être russophone et aspirer à vivre libre.

ok , mais dans ce cas ,on n'accueille pas l'envahisseur à bras ouvert , ou refuse toute aide de sa part , malintentionnée depuis 2014 pour le cas

[sofasurfer]

Rappelons que cette guerre n'est pas un conflit linguistique entre russophones et ukrainophones.
C'est un conflit entre l'Europe démocratique et la Russie dictatoriale.
On peut être russophone et aspirer à vivre libre.

EN 2014 ce sont bien les russophones de ces régions qui ont été discriminés, voire persécutées par des milices et par les autorités. Il faut considérer le contexte historique dans son entièreté. Et sans soutien de ces populations, Poutine n'aurait jamais envahi l'Ukraine...

[Cépajuste]

EN 2014 ce sont bien les russophones de ces régions qui ont été discriminés, voire persécutées par des milices et par les autorités. Il faut considérer le contexte historique dans son entièreté. Et sans soutien de ces populations, Poutine n'aurait jamais envahi l'Ukraine...

Quelle blague ! Poutine a essayé d'envahir la totalité de l'Ukraine en 2022, et il n'a pas le soutien de la population ukrainienne qu'il massacre depuis presque 3 ans. Il se moque d'avoir le soutien de la population, qu'elle soit ukrainophone ou russophone.

[Fonck1]

Rappelons que cette guerre n'est pas un conflit linguistique entre russophones et ukrainophones.
C'est un conflit entre l'Europe démocratique et la Russie dictatoriale.
On peut être russophone et aspirer à vivre libre.

EN 2014 ce sont bien les russophones de ces régions qui ont été discriminés, voire persécutées par des milices et par les autorités. Il faut considérer le contexte historique dans son entièreté. Et sans soutien de ces populations, Poutine n'aurait jamais envahi l'Ukraine...

tout cela a été manipulé par le kremlin de longue date.
l’Ukraine est une masse qu 'il a exploité au maximum.

[lepicard]

EN 2014 ce sont bien les russophones de ces régions qui ont été discriminés, voire persécutées par des milices et par les autorités. Il faut considérer le contexte historique dans son entièreté. Et sans soutien de ces populations, Poutine n'aurait jamais envahi l'Ukraine...

tout cela a été manipulé par le kremlin de longue date.
l’Ukraine est une masse qu 'il a exploité au maximum.

sans l'Ukraine , la Russie n'est rien ,un pays d'avachis alcoolisés

[Mesoke]

EN 2014 ce sont bien les russophones de ces régions qui ont été discriminés, voire persécutées par des milices et par les autorités. Il faut considérer le contexte historique dans son entièreté. Et sans soutien de ces populations, Poutine n'aurait jamais envahi l'Ukraine...

D'un côté, en réponse à l'ingérence russe quand le gouvernement ukrainien voulait voter un accord de libre échange avec l'UE, et suite à la révolution qui a suivi la destitution du-dit gouvernement qui s'est couché devant les russes, les ukrainiens ont commencé à développer un fort sentiment anti-russe. Avec notamment des lois discriminant la langue russe au profit de l'ukrainien, mais pas que. Ce à quoi les populations majoritairement russophones de l'est, du Donbass, ont commencé à pro-russifier, bien aidés en ça par la propagande russe dans le coin. Puis ils ont monté des milices pour faire sécession d'avec l'Ukraine, largement aidés encore une fois par la Russie, qui a envoyé des troupes armées et du matos en loucedé. Du coup on a eu des nationalistes ukrainiens qui ont monté des contre-milices, parfois extrémistes genre le bataillon Azov et ses néonazis. Ceux-ci ont collaboré avec le gouvernement ukrainien, bien content de trouver une aide pour repousser les pro-russes dans certaines régions, même une aide de gros extrémistes bien gras, et ces milices ont cassé du pro-russe pendant que les milices pro-russes cassaient de l'ukrainien. C'est un peu comme en Palestine : deux camps de pourris, des alliances faute de mieux, des extrémistes et des populations qui galèrent au milieu d'un grand terrain de jeu nationaliste.

[Yaroslav]

Rappelons que cette guerre n'est pas un conflit linguistique entre russophones et ukrainophones.
C'est un conflit entre l'Europe démocratique et la Russie dictatoriale.
On peut être russophone et aspirer à vivre libre.

EN 2014 ce sont bien les russophones de ces régions qui ont été discriminés, voire persécutées par des milices et par les autorités. Il faut considérer le contexte historique dans son entièreté. Et sans soutien de ces populations, Poutine n'aurait jamais envahi l'Ukraine...

Non seulement le russe est parlé dans une bonne moitié de l'Ukraine, non seulement il est très majoritaire à Kharkov (Kharkiv) et Odessa dont les habitants se battent aujourd'hui pour la souveraineté de l'Ukraine, mais le russe est aussi la langue des villes, la langue des affaires. Volodymyr Zelensky est lui même de langue maternelle russe au passage (!).

Le parallèle doit être fait avec la langue bélarusse. Cette langue existe, cette langue a une histoire, mais aujourd'hui cette langue n'est plus parlée au quotidien que par 8% des Bélarusses, souvent les anciens, dans les campagnes. À tel point que le bélarusse est désormais classé parmi les langues "vulnérables".

La situation est un peu moins grave en Ukraine, mais la logique était la même pour l'ukrainien qui dominait plutôt en zone rurale. Il s'agit donc moins de "discriminer" les locuteurs russophones que de sauver la langue ukrainienne, relativement mise à mal (selon les périodes) durant l'ère communiste et celles qui ont précédé.

[Cépajuste]

Poutine se sert des minorités russophones pour déstabiliser les autres pays. Il l'a fait en Géorgie en 2008 en occupant l'Ossétie du Sud avant de faire la même chose en Ukraine avec le Donbass.

[lepicard]

Poutine se sert des minorités russophones pour déstabiliser les autres pays. Il l'a fait en Géorgie en 2008 en occupant l'Ossétie du Sud avant de faire la même chose en Ukraine avec le Donbass.

fort juste ; mais pas que ........ admirez la tactique du RN en France , c'est évocateur

[scorpion3917]

Rappelons que cette guerre n'est pas un conflit linguistique entre russophones et ukrainophones.
C'est un conflit entre l'Europe démocratique et la Russie dictatoriale.
On peut être russophone et aspirer à vivre libre.

Vous oubliez les états unis.

[UBUROI]

La paix! mon oeil!
La capitulation de l'Ukraine agressée, oui Suffit de lire ce que rapporte l'ISW ce matin

Des voix importantes dans l’espace médiatique russe continuent de souligner que le président russe Vladimir Poutine n’est pas intéressé par un règlement négocié de la guerre en Ukraine qui aboutirait à autre chose qu’une capitulation totale de l’Ukraine.

Konstantin Malofeev, oligarque russe affilié au Kremlin et nationaliste orthodoxe et fondateur du média ultranationaliste Tsargrad , a déclaré au Financial Times (FT) dans une interview publiée le 2 décembre que Poutine rejetterait probablement tout plan de négociations de paix proposé par le président élu américain Donald Trump, à moins que ce plan ne tienne compte des « préoccupations de sécurité » de la Russie. [1] Malofeev a affirmé que le Kremlin n’envisagerait des négociations de paix avec l’administration Trump que si ce dernier annulait la politique américaine autorisant l’Ukraine à utiliser des armes à longue portée fournies par l’Occident pour frapper la Russie ; « limogeait » le président ukrainien Volodymyr Zelensky de ses fonctions ; et acceptait de rencontrer Poutine pour discuter de la situation en Ukraine, de la future sécurité européenne, du conflit au Moyen-Orient et de l’alliance croissante de la Russie avec la République populaire de Chine (RPC). Poutine pourrait avoir l’intention d’utiliser cette rencontre pour obtenir de Trump de futures concessions politiques américaines sur ces questions. Malofeev a également affirmé que la guerre en Ukraine a contribué à renforcer les relations de la Russie avec la RPC, l’Iran et la Corée du Nord et a revitalisé l’économie et l’industrie de la défense russes. Cependant, l’ISW continue d’observer des indications macroéconomiques selon lesquelles l’économie russe a du mal à supporter le poids de l’inflation, des sanctions internationales en cours et des pénuries de main-d’œuvre et sera confrontée à des défis importants en 2025 si la guerre de la Russie en Ukraine se poursuit au rythme actuel.[2]