Cela n'est pas étonnant pour un dictateur comme V. Poutine. Il est prêt à affamer son propre pays pour arriver à ses fins.UBUROI a écrit : ↑03 décembre 2024 15:51 La paix! mon oeil!
La capitulation de l'Ukraine agressée, oui Suffit de lire ce que rapporte l'ISW ce matin![]()
Des voix importantes dans l’espace médiatique russe continuent de souligner que le président russe Vladimir Poutine n’est pas intéressé par un règlement négocié de la guerre en Ukraine qui aboutirait à autre chose qu’une capitulation totale de l’Ukraine.
Konstantin Malofeev, oligarque russe affilié au Kremlin et nationaliste orthodoxe et fondateur du média ultranationaliste Tsargrad , a déclaré au Financial Times (FT) dans une interview publiée le 2 décembre que Poutine rejetterait probablement tout plan de négociations de paix proposé par le président élu américain Donald Trump, à moins que ce plan ne tienne compte des « préoccupations de sécurité » de la Russie. [1] Malofeev a affirmé que le Kremlin n’envisagerait des négociations de paix avec l’administration Trump que si ce dernier annulait la politique américaine autorisant l’Ukraine à utiliser des armes à longue portée fournies par l’Occident pour frapper la Russie ; « limogeait » le président ukrainien Volodymyr Zelensky de ses fonctions ; et acceptait de rencontrer Poutine pour discuter de la situation en Ukraine, de la future sécurité européenne, du conflit au Moyen-Orient et de l’alliance croissante de la Russie avec la République populaire de Chine (RPC). Poutine pourrait avoir l’intention d’utiliser cette rencontre pour obtenir de Trump de futures concessions politiques américaines sur ces questions. Malofeev a également affirmé que la guerre en Ukraine a contribué à renforcer les relations de la Russie avec la RPC, l’Iran et la Corée du Nord et a revitalisé l’économie et l’industrie de la défense russes. Cependant, l’ISW continue d’observer des indications macroéconomiques selon lesquelles l’économie russe a du mal à supporter le poids de l’inflation, des sanctions internationales en cours et des pénuries de main-d’œuvre et sera confrontée à des défis importants en 2025 si la guerre de la Russie en Ukraine se poursuit au rythme actuel.[2]
Et même si un plan de paix avait été signé entre les deux partis, pas sûr que le dictateur russe l'aurait respecté. On ne peut pas avoir confiance à un homme comme lui ayant déjà bafoué les plans de paix antérieurs.
Il ne sert à rien de discuter avec lui, ses exigences passent avant tout et les autres doivent se prosterner devant lui, ukrainiens en premier.