Bon ils n'aiment pas les femmes ,et n'apprennent que la charia ..
Et ils vont enseigner ça aux petits Syriens
![Dan.San :]](https://www.forum-actualite.com/debats/images/smilies/8.gif)
L'éducation ...c"est primordial ..

ils auraient tort de s'en priver, on les laisse faire.
çà ne nous concerne pas tant qu'ils n'importent pas leur problème chez nous
RAB ,t'as un bunkerMickey a écrit : ↑06 décembre 2024 15:22 Daech avançait aussi très vite, la Syrie a toujours eu de gros problèmes de défense et compte sur papa Poutine pour l'aider. Mais voilà, papa Poutine est fort occuper dans une de ses provinces et ne peut donner suite à l'appel au secours de tonton Bachar.
Ce dernier assaut djhiadiste semble être le bon.
On peut dire cela pour se rassurer.vivarais a écrit : ↑06 décembre 2024 01:37çà ne nous concerne pas tant qu'ils n'importent pas leur problème chez nous
Laissons les s'étriper jovialement entre eux (djihadistes , hezbollah , frères de la révolutions iranienne)
Comme pour l'Afrique avec aussi le Tchad et le Sénégal maintenant j'espère qu'on aura enfin compris de ne pas s'en mêler
Les dirigeants russes ont beau faire les malins, la Russie a besoin de renforts en hommes et en matériels sur le front ukrainien, et n'a pas les moyens d'entretenir un front en Syrie ou ailleurs. Après les râclées mises au Hamas et au Hezbollah (2 satellites de l'Iran) et avec l'élection de Donald Trump, l'Iran se tient tranquille pour un moment, et les autres tarés dans les pays voisins tout autant. Alors Damas va tomber, et Bachar el Assad et sa poupée rongée par le cancer vont se réfugier à Moscou ou à Téhéran et on ne parlera plus du régime baassiste alaouite.Georges61 a écrit : ↑07 décembre 2024 14:08 On peut dire cela pour se rassurer.
Ils ne demandent que ça que l'on ne s'en mêle pas, afin qu'ils puissent se renforcer, renversent Sadam, et prennent le pouvoir dans ce pays, ce qui ne tardera pas. La Russie et l'Iran ont abandonné l'idée d'aider Sadam à conserver le pouvoir, Sadam est foutu.
Tu es au courant qu'on a eu, pendant un moment de la révolution syrienne, une majorité de syriens parmi les migrants illégaux en Europe ? Ton principal objectif dans la vie c'est bien qu'il n'y ait pas de méchants migrants musulmans en France non ?vivarais a écrit : ↑06 décembre 2024 01:37 çà ne nous concerne pas tant qu'ils n'importent pas leur problème chez nous
Laissons les s'étriper jovialement entre eux (djihadistes , hezbollah , frères de la révolutions iranienne)
Comme pour l'Afrique avec aussi le Tchad et le Sénégal maintenant j'espère qu'on aura enfin compris de ne pas s'en mêler
Mesoke a écrit : ↑07 décembre 2024 18:06Tu es au courant qu'on a eu, pendant un moment de la révolution syrienne, une majorité de syriens parmi les migrants illégaux en Europe ? Ton principal objectif dans la vie c'est bien qu'il n'y ait pas de méchants migrants musulmans en France non ?vivarais a écrit : ↑06 décembre 2024 01:37 çà ne nous concerne pas tant qu'ils n'importent pas leur problème chez nous
Laissons les s'étriper jovialement entre eux (djihadistes , hezbollah , frères de la révolutions iranienne)
Comme pour l'Afrique avec aussi le Tchad et le Sénégal maintenant j'espère qu'on aura enfin compris de ne pas s'en mêler
Avez vous quelque chose contre les arabes ?? Au RN ils sont les bienvenus pour peu qu'ils ne crachent, sur pas sur la France et surtout s'ils sont intelligents, bosseurs et bons en business. La numéro deux aux européennes est d'origine algérienne et ça n'a posé de problèmes à personne.LeGrandNoir a écrit : ↑07 décembre 2024 20:07 Le RN va étre content, les chrétiens d'Orient de Syrie, du Liban, de Palestine vont affluer en nombre ! Ah merde, c'est des arabes, intelligents, bosseurs et bon en business, ils vont prendre tous les bons jobs ...
Sacrée numéro 2gare au gorille a écrit : ↑08 décembre 2024 01:08Avez vous quelque chose contre les arabes ?? Au RN ils sont les bienvenus pour peu qu'ils ne crachent, sur pas sur la France et surtout s'ils sont intelligents, bosseurs et bons en business. La numéro deux aux européennes est d'origine algérienne et ça n'a posé de problèmes à personne.LeGrandNoir a écrit : ↑07 décembre 2024 20:07 Le RN va étre content, les chrétiens d'Orient de Syrie, du Liban, de Palestine vont affluer en nombre ! Ah merde, c'est des arabes, intelligents, bosseurs et bon en business, ils vont prendre tous les bons jobs ...
https://www.liberation.fr/politique/ele ... VI6QMAUSE/Transfuge
Européennes : au RN, Malika Sorel, une recrue qui «va être dure à gérer»
Fin mars, dans une salle à côté du Palais-Bourbon. Le Rassemblement national (RN) organise un colloque contre l’immigration, et en profite pour aligner sur scène ses nouvelles recrues, censées donner une impression de crédibilité et de dynamique. Il y a là Fabrice Leggeri, ex-patron controversé de Frontex, recyclé en numéro 3 de la liste de Bardella aux européennes, ou Alexandre Varaut, avocat du parti depuis des années et conseiller officieux de Marine Le Pen depuis aussi longtemps. Et puis Malika Sorel. Elle lève longuement le bras et mime le signe «V» de la victoire, quand l’animateur de la sauterie présente ses états de service.
La nouvelle numéro 2 de la liste frontiste, peu connue du grand public, est considérée comme une belle prise. Proche un temps de la droite de gouvernement, elle a été nommée au Haut Conseil à l’intégration pendant le quinquennat de Nicolas Sarkozy et se présente comme une ex-«conseillère» de François Fillon en 2017… Jusqu’à ce qu’on apprenne que Sorel avait tapé à la porte du gouvernement d’Emmanuel Macron avant d’échouer au RN. Lors du dernier remaniement, elle a ainsi bombardé le président de la République de textos pour lui proposer ses services. «Si vous peinez tant pour le casting, sachez que j’ai codirigé le groupe éducation-recherche des anciens de Sciences-Po Paris», lui a-t-elle par exemple écrit, selon le Canard enchaîné.
«Elle va évidemment leur exploser entre les mains»
Interrogée sur ce sujet par la presse en fin de colloque, la néo-lepéniste assume. «Quelqu’un m’a donné son portable, m’a suppliée de l’appeler pour lui faire entendre raison parce que Macron prenait des décisions à rebours des intérêts de la France», prétend-elle, avant de lancer : «Je voudrais appeler le Président à avoir le courage d’un débat avec moi sur les questions de l’identité de la France…» A deux pas, le directeur de campagne du RN écarquille les yeux, cherche du regard un soutien pour arrêter le massacre, finit par couper court à l’échange et exfiltre la numéro 2 de la liste, qui s’éclipse en lançant un solennel «Vive la France !» Les journalistes n’en reviennent pas : ils viennent de découvrir Malika Sorel, un mélange de mégalomanie grotesque et de sincérité passionnée. «Elle est très instable, sensible, elle va être dure à gérer […], elle va évidemment leur exploser entre les mains», juge un cadre d’extrême droite, qui la connaît.
Contactée par Libération, la future députée européenne, d’origine algérienne – même si elle n’a que la nationalité française –, voit dans ce procès en opportunisme… la marque d’un «racisme». «On me dénie ma légitimité, on n’a pas fait de procès à Bruno Le Maire. Par contre quand ce sont des personnes issues de l’immigration, alors si, s’insurge-t-elle. Pourquoi le Président, le lendemain de mon article dans le Figaro, a appelé Edouard Philippe et François Bayrou à la rescousse ? C’est consécutif à mon ralliement. C’est le fait qu’il y a panique à bord. La presse aurait dû se demander : “qui est cette femme qui fait autant peur au président de la République ?” C’est parce qu’il sait que je suis un gros calibre. Vous imaginez, j’ai servi Dominique de Villepin, j’étais à côté de François Fillon dans un meeting en 2017…» Sorel se garde bien d’ajouter, comme le chuchotent certaines sources chez Les Républicains, qu’elle a cherché à se faire embaucher à droite après l’élection manquée, en insistant lourdement – et sans succès – auprès du cabinet de Gérard Larcher pour un poste rémunéré au Sénat. «Elle a fait plein de démarches, elle voulait un emploi, un salaire, indique un cadre de LR, sous couvert d’anonymat. C’est une personne très compliquée qui a un immense besoin de reconnaissance. Par sa trajectoire, elle considérait qu’on lui devait quelque chose.»
«Qui est cette dame qu’on installe toujours à côté de moi ?»
Parler avec Malika Sorel revient à faire l’expérience d’un interminable exercice d’autosatisfaction dans lequel elle se place quelque part entre Robert et Elisabeth Badinter, auxquels elle se compare, la Marianne de la République et… Jésus-Christ. A qui veut l’entendre, elle narre l’un des grands moments de sa vie, une audition menée par Simone Veil en 2007 sur l’introduction de la notion de «diversité» dans le préambule de la Constitution. Dans Décomposition française (Fayard, 2015), elle raconte avoir reçu un coup de fil de «l’une des chevilles ouvrières du Comité», lui confiant sa hâte de l’entendre. «Qu’est-il donc attendu, au-delà de ma personne ? écrit Sorel. Je tente d’en savoir davantage. Au terme de notre échange, je m’entends dire : “Nous vous attendons comme on peut attendre le Messie.” A deux reprises, le terme de “messie” est prononcé.» A Libé comme partout, elle répète aussi les mots de Sarkozy, quand il lui a remis la Légion d’honneur, en 2011 : «Malika Sorel, vous êtes à la fois le symbole et le défenseur de l’unité et de l’universalité de la République française.» Le reste des échanges est à l’avenant : l’historien et sociologue Marcel Gauchet la trouverait brillante, comme Jean-Louis Georgelin, ancien grand chancelier de la Légion d’honneur, qui lui a remis un prix pour son livre, et, bien sûr Simone Veil, qui aurait rejeté l’idée d’introduire le mot «diversité» dans la loi fondamentale sur ses conseils. En fait, Sorel n’a été qu’auditionnée par l’ancienne ministre de Giscard… Une manie de se hausser du col, ou une excessive soif de reconnaissance qui a épuisé plus d’un de ses amis.
«C’est une fille opportuniste qui n’a aucune colonne vertébrale. Il y a un aphorisme qui la résume bien : si tu n’as pas de pudeur, fais ce qu’il te plaît, persifle un ancien membre du groupe de réflexion et de proposition sur la laïcité auprès du Haut Conseil à l’intégration (HCI).
Dans ce Haut Conseil, il y avait des gens de qualité. Mais, quand elle prenait la parole, ce n’était pas consistant, pas fondé. Nous sentions quelqu’un d’aigri. Je ne comprenais même pas pourquoi elle était membre du HCI. Sa pensée, c’était plutôt des pétitions de principe.» D’anciens camarades de droite minimisent son importance politique. Façon, aussi, sans doute, de minimiser son ralliement à une liste concurrente. Un ancien membre de la campagne présidentielle de Fillon, en 2017, décrit une femme «très envahissante» et se souvient d’une Sorel s’incrustant sur la photo, tout à côté du candidat alors plombé par les affaires, lors de son meeting de fin de campagne au Trocadéro. L’omniprésence de cette inconnue a souvent suscité les railleries, comme cette phrase de François Baroin à l’époque : «Qui est cette dame qu’on installe toujours à côté de moi ?»
Elle dénonce «le racisme crasse d’une bonne partie de la presse de gauche»
«[En 2017], il faut qu’elle parle alors qu’elle n’est pas une oratrice, retrace encore cette source. Elle voulait peser beaucoup plus que ce qu’elle représentait, elle se donnait un poids trop grand par rapport à la réalité. Elle a raconté que Fillon l’aurait nommée ministre de l’Education. Tout est faux. Je lui prédis une embrouille avec le RN même avant l’élection, ou juste après.» Interrogée sur le sujet, Malika Sorel change de ton. «Je ne réponds plus aux questions. Terminé. Sidérée par le racisme crasse d’une bonne partie de la presse de gauche qui n’a qu’une obsession», écrit-elle, lapidaire, manifestement inquiète. «Depuis quelques jours, c’est horriblement raciste», ajoute-t-elle.
Malika Sorel manie le paradoxe de ne parler que d’intégration et d’assimilation… tout en rapportant tout à la question des origines. Ainsi, lorsque Libé se permet de lui demander son âge. «En quinze ans en Algérie, je n’ai jamais entendu personne demander son âge à quiconque. C’est ma part “héritage algérien”, dans lequel il y a beaucoup à puiser», rétorque-t-elle. Ou encore : «J’ai le droit, comme les politiques de souche, au respect de mon intimité.» Quand on lui demande si elle aurait voté la résolution condamnant le massacre du 17 octobre 1961, perpétré par les policiers français de Maurice Papon contre des manifestants pacifiques d’Algériens, elle refuse de répondre… Comme elle balaie toute question sur ses parents et leur place au sein de la guerre d’Algérie – question qui se pose dans un parti fondé sur la revendication de l’Algérie française, qui continue de nommer des places aux noms d’anciens de l’OAS (l’organisation armée secrète opposée à l’indépendance de l’Algérie), et nie tout simplement les crimes du 17 octobre 1961. «La presse doit apprendre à ne pas réduire les enfants de l’immigration à leurs origines, à leurs familles, élude-t-elle. Nous avons droit à la liberté individuelle, pilier de la République française, héritage des Lumières.» Ces cachotteries montrent-elles une prudence, chez une femme politique consciente qu’elle n’est pas alignée sur le logiciel mémoriel de sa nouvelle cantine ?
«Je ne pouvais imaginer à l’époque qu’elle pourrait se mettre au service du RN»
Dans ses livres, qui se vendaient correctement – dans les 6 000-7 000 exemplaires, fait-on savoir chez Fayard –, Sorel distille une pensée assez simple, voire simpliste (pour s’intégrer, il faut vouloir s’intégrer), agrémentée des inévitables citations passe-partout, comme : «mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde», d’Albert Camus. Les populations issues de l’immigration sont tenues pour responsables de leur non-intégration, voire de leur retard en culture générale. «Nous ne sommes plus à une époque où l’accès à la culture, lorsque l’on n’était pas soi-même issu d’un milieu instruit, était difficile, voire hors de portée. Aujourd’hui, les moyens de communication modernes, les aides de l’Etat font que tout est possible et accessible à celui qui en a l’appétence», écrit-elle dans Décomposition française. Sorel s’exprime comme l’extrême droite, ressasse à longueur de pages les concepts frontistes de «Français de souche» et de «préférence étrangère». Ainsi, peut-on lire, toujours dans Décomposition française, que «nos élites vivent à l’heure de la préférence étrangère. C’est un fait, en France, de plus en plus, faire partie de la “diversité” constitue un avantage, quand être français, tout court, ne présente plus guère que des inconvénients.» Des assertions qu’évidemment aucune enquête scientifique sur les discriminations ne corrobore.
Mais qui lui valent l’amour du patron du site d’extrême droite Riposte laïque, Pierre Cassen, qui l’a interviewée plusieurs fois au début des années 2010. Mais aussi, pendant longtemps, d’une certaine gauche «laïcarde». «Je ne pouvais imaginer à l’époque qu’elle pourrait se mettre au service du RN, dit son ancienne éditrice, Sandrine Palussière. Elle était sur un positionnement très républicain, avec une volonté de critiquer les manquements de la gauche en matière d’intégration, notamment par rapport à l’école et à l’enseignement, mais aussi une certaine droite qui avait fait des concessions communautaristes.» «Elle est emblématique d’un mainstream qui part de certains segments de la gauche, traverse toute la droite et aujourd’hui Bardella, analyse le politologue Philippe Marlière. Pour être français, il faut s’assimiler, par exemple ne pas porter de signes religieux. C’est une vision communautarienne de la laïcité. Donc idéologiquement, rejoindre le RN est assez cohérent avec ce qu’elle défendait.» Reconnaissons-lui cela.