Un influenceur algérien en garde à vue à Brest, accusé d'appeler "à commettre des attentats en France"

[mic43121]

La France est complètement déconnante. Un tel brigand devrait être pendu immédiatement, en place publique.

Ça c'est impossible ..lis ce qu'écrit le "bon UBU "
Et puis la pendaison ça laisse un cadavre ...LFI en ferait un sanctuaire ...

[jeandu53]

Et de trois !...

Montpellier : Bruno Retailleau annonce l’arrestation de «Doualemn», un troisième influenceur algérien

L’homme, qui comptabilise 138.000 abonnés sur Tik-Tok, aurait publié une vidéo «d’appel au meurtre, d’apologie de la torture et de propos antisémites» à l’encontre de «ceux qui voulaient manifester le 1er janvier contre le régime algérien».

«Ne rien laisser passer». Bruno Retailleau a annoncé dimanche soir sur X l’arrestation de l’influenceur algérien Doualemn, dans le viseur de la justice pour avoir proféré des appels au meurtre en ligne.

https://www.lefigaro.fr/faits-divers/mo ... e-20250105

On voit que l'attelage Retailleau /Darmanin fonctionne
mais n'est ce pas trop tard pour inverser la montée du RN surtout par le mauvais choix de ministres imposés par macron comme Elisabeth borne

L'attelage ne fonctionne pas si bien, puisque la Justice vient d'annuler l'expulsion du gugusse :

https://video.lefigaro.fr/figaro/video/ ... oid_Figaro

Les meilleures volontés politiques ne pourront rien si le traitement judiciaire ne suit pas. Or la Justice administrative est clairement au service des délinquants et des clandestins, cette histoire le confirme encore une fois.

[Kabé]

Les meilleures volontés politiques ne pourront rien si le traitement judiciaire ne suit pas. Or la Justice administrative est clairement au service des délinquants et des clandestins, cette histoire le confirme encore une fois.

Je corrige un peu votre lecture de la chose, qu'on pourrait trouver grotesque : Les meilleurs ministres de l'intérieur, aussi, sont obligés de respecter l'État de droit.
Nous savons que Rétaileau n'aime pas l'état de droit et qu'il veut agir comme bon lui semble. La justice lui rappelle tout simplement à l'ordre.

[jeandu53]

Ah, l'Etat de droit ! Que ne fait-on pas en son nom ! Cette notion a été détournée de sa fonction initiale (la préservation des libertés individuelles face à l'arbitraire étatique). Elle n'est plus que le prétexte à une politique de laxisme généralisé face aux clandestins et aux délinquant. Cette conception dévoyée de l'Etat de droit est portée par les tribunaux administratifs, le Conseil constitutionnel et la Cour européenne des droits de l'homme. Elle condamne n'ose gouvernement à l'impuissance. C'est ça qui doit changer.

[le chimple]

Une chose que disait Mitterrand , que chacun le sait n'était pas mon copain mais était vrai :
""«Méfiez-vous des juges, ils ont tué la monarchie. Ils tueront la République.»"
"Ceux qui émargent à la gauche et l'extrême gauche représentent 30 % , syndicat de la magistrature mais ont les postes clef !
Ils décident tout !
Même les candidats à la présidentielle !
Je commence à croire qu'ils travaillent pour le RN !
Toutes leurs décisions à la con , car il y a l'application des lois et ça on le doit à nos dépités mais il y a à leur convenance , font monter progressivement le RN !

[Kabé]

Ah, l'Etat de droit ! Que ne fait-on pas en son nom ! Cette notion a été détournée de sa fonction initiale (la préservation des libertés individuelles face à l'arbitraire étatique). Elle n'est plus que le prétexte à une politique de laxisme généralisé face aux clandestins et aux délinquant. Cette conception dévoyée de l'Etat de droit est portée par les tribunaux administratifs, le Conseil constitutionnel et la Cour européenne des droits de l'homme. Elle condamne n'ose gouvernement à l'impuissance. C'est ça qui doit changer.

Vous persistez à être grotesque : les lois sont là, la réglementation est là. Ce n'est pas une politique de laxisme, mais principalement un manque de moyens et d'efficacité.

[le chimple]

Ah, l'Etat de droit ! Que ne fait-on pas en son nom ! Cette notion a été détournée de sa fonction initiale (la préservation des libertés individuelles face à l'arbitraire étatique). Elle n'est plus que le prétexte à une politique de laxisme généralisé face aux clandestins et aux délinquant. Cette conception dévoyée de l'Etat de droit est portée par les tribunaux administratifs, le Conseil constitutionnel et la Cour européenne des droits de l'homme. Elle condamne n'ose gouvernement à l'impuissance. C'est ça qui doit changer.

Vous persistez à être grotesque : les lois sont là, la réglementation est là. Ce n'est pas une politique de laxisme, mais principalement un manque de moyens et d'efficacité.

Il y a aussi l'interprétation des lois , et les juges ont quand même une marge de décision ..

[Kabé]

Il y a aussi l'interprétation des lois , et les juges ont quand même une marge de décision ..

C'est vrai, mais apparemment il y avait peu de marges d'interpréter autrement :

Le tribunal a certes estimé que les faits reprochés à cet homme de 59 ans représentaient une « menace grave à l’ordre public justifiant une expulsion », mais aussi que le ministre n’aurait pas dû utiliser la procédure d’éloignement en « urgence absolue », qui « prive l’étranger de garanties essentielles ». « S’il souhaite expulser M. Naman, le ministre de l’intérieur devra le faire dans le cadre d’une procédure d’expulsion ordinaire », conclut le communiqué du juge des référés.

https://www.lemonde.fr/societe/article/ ... _3224.html

Retailleau a voulu mettre la charrue devant les bœufs. Fallait pas. C'est quand même très con qu'un ministre de l'intérieur ne connaît pas le droit !

[jeandu53]

Les magistrats conservent un pouvoir d'appréciation, c'est pour ça qu'ils font des études, c'est pour ça qu'ils sont payés.

Donc le problème est double :
- il y a des lois qui offrent aux clandestins une multitude de droits et de recours,
- et il y a les magistrats qui font une application particulièrement zélée de toutes ces lois.

Là, le pire, c'est que le tribunal reconnaît lui-même que les faits reprochés représentent une "menace grave à l’ordre public justifiant une expulsion", mais pour autant, il ne veut pas qu'on applique la procédure d'urgence, parce qu'elle n'offre pas assez de droits au gugusse. Ce n'est pas sérieux !

[Patchouli38]

Les magistrats conservent un pouvoir d'appréciation, c'est pour ça qu'ils font des études, c'est pour ça qu'ils sont payés.

Donc le problème est double :
- il y a des lois qui offrent aux clandestins une multitude de droits et de recours,
- et il y a les magistrats qui font une application particulièrement zélée de toutes ces lois.

Là, le pire, c'est que le tribunal reconnaît lui-même que les faits reprochés représentent une "menace grave à l’ordre public justifiant une expulsion", mais pour autant, il ne veut pas qu'on applique la procédure d'urgence, parce qu'elle n'offre pas assez de droits au gugusse. Ce n'est pas sérieux !

C'est vous qui voyez des problèmes de partout. La France est régit par des lois et les magistrats sont là pour les appliquer. Même une personne clandestine a des droits. Chaque être humain entrant sur notre sol est protégé, Il est traité avec humanité. Même le pire des criminels a le droit de se défendre et de disposer d'un avocat.
Les magistrats agissent au cas par cas, en dehors de toute considération personnelle, et s'en tiennent uniquement et strictement à la loi.
C'est leur travail. Ils sont impartiaux.
La loi est là pour éviter toute dérive, quel qu'elle soit. Elle est là pour protéger, assurer le vivre ensemble. Les magistrats savent ce qu'ils font et connaissent chaque détail des dossiers dont ils ont la responsabilité. Cela nous échappe parfois et c'est normal, mais je crois qu'il faut leur faire confiance. Le risque zéro n'existe pour personne non plus, les magistrats sont aussi des êtres humains, pas des machines.

[jeandu53]

Non, ils ne s'en tiennent pas strictement à la loi ! La loi est ce qu'elle est, trop protectrice des délinquants et des clandestins, et elle laisse un important pouvoir d'appréciation aux juges. Et les juges usent et abusent de ce pouvoir d'appréciation.

Quand un juge dit que la procédure d'expulsion en urgence n'est pas applicable à un gugusse dont il reconnaît pourtant l'extrême dangerosité, il se livre à une interprétation très libre et très subjective de la loi !

Je vais donner un autre exemple, qui concerne le CC, mais la logique est la même. Il y a quelque temps, le CC a censuré une loi excluant les clandestins du dispositif de l'aide juridictionnelle. Ceci au nom de l'égalité devant la loi... Mais ce faisant, le CC se livrent à une interprétation très subjective du principe, lui-même très vague, d'égalité devant la loi. Et cette interprétation très subjective va dans le sens des clandestins.

[Georges61]

Non, ils ne s'en tiennent pas strictement à la loi ! La loi est ce qu'elle est, trop protectrice des délinquants et des clandestins, et elle laisse un important pouvoir d'appréciation aux juges. Et les juges usent et abusent de ce pouvoir d'appréciation.

Quand un juge dit que la procédure d'expulsion en urgence n'est pas applicable à un gugusse dont il reconnaît pourtant l'extrême dangerosité, il se livre à une interprétation très libre et très subjective de la loi !

Je vais donner un autre exemple, qui concerne le CC, mais la logique est la même. Il y a quelque temps, le CC a censuré une loi excluant les clandestins du dispositif de l'aide juridictionnelle. Ceci au nom de l'égalité devant la loi... Mais ce faisant, le CC se livrent à une interprétation très subjective du principe, lui-même très vague, d'égalité devant la loi. Et cette interprétation très subjective va dans le sens des clandestins.

Ces lois ont été faites par les députés et les sénateurs. Si elles ne vous conviennent pas c'est à eux qu'ils faut vous en prendre. Mais ces lois doivent convenir à la majorité des élus puisque depuis 1958, elles n'ont guère changé.

[le chimple]

Non, ils ne s'en tiennent pas strictement à la loi ! La loi est ce qu'elle est, trop protectrice des délinquants et des clandestins, et elle laisse un important pouvoir d'appréciation aux juges. Et les juges usent et abusent de ce pouvoir d'appréciation.

Quand un juge dit que la procédure d'expulsion en urgence n'est pas applicable à un gugusse dont il reconnaît pourtant l'extrême dangerosité, il se livre à une interprétation très libre et très subjective de la loi !

Je vais donner un autre exemple, qui concerne le CC, mais la logique est la même. Il y a quelque temps, le CC a censuré une loi excluant les clandestins du dispositif de l'aide juridictionnelle. Ceci au nom de l'égalité devant la loi... Mais ce faisant, le CC se livrent à une interprétation très subjective du principe, lui-même très vague, d'égalité devant la loi. Et cette interprétation très subjective va dans le sens des clandestins.

Ces lois ont été faites par les députés et les sénateurs. Si elles ne vous conviennent pas c'est à eux qu'ils faut vous en prendre. Mais ces lois doivent convenir à la majorité des élus puisque depuis 1958, elles n'ont guère changé.

Tout à fait Georges ..
Hélas , le sentiment des français ne correspond plus à leur représentants dans les deux chambres et c'est grave ..

[mic43121]

Les magistrats conservent un pouvoir d'appréciation, c'est pour ça qu'ils font des études, c'est pour ça qu'ils sont payés.

Donc le problème est double :
- il y a des lois qui offrent aux clandestins une multitude de droits et de recours,
- et il y a les magistrats qui font une application particulièrement zélée de toutes ces lois.

Là, le pire, c'est que le tribunal reconnaît lui-même que les faits reprochés représentent une "menace grave à l’ordre public justifiant une expulsion", mais pour autant, il ne veut pas qu'on applique la procédure d'urgence, parce qu'elle n'offre pas assez de droits au gugusse. Ce n'est pas sérieux !

C'est vous qui voyez des problèmes de partout. La France est régit par des lois et les magistrats sont là pour les appliquer. Même une personne clandestine a des droits. Chaque être humain entrant sur notre sol est protégé, Il est traité avec humanité. Même le pire des criminels a le droit de se défendre et de disposer d'un avocat.
Les magistrats agissent au cas par cas, en dehors de toute considération personnelle, et s'en tiennent uniquement et strictement à la loi.
C'est leur travail. Ils sont impartiaux.
La loi est là pour éviter toute dérive, quel qu'elle soit. Elle est là pour protéger, assurer le vivre ensemble. Les magistrats savent ce qu'ils font et connaissent chaque détail des dossiers dont ils ont la responsabilité. Cela nous échappe parfois et c'est normal, mais je crois qu'il faut leur faire confiance. Le risque zéro n'existe pour personne non plus, les magistrats sont aussi des êtres humains, pas des machines.

Le vivre ensemble dans le cas qui nous intéresse perso très peu pour moi ...

[LeGrandNoir]

Ah, l'Etat de droit ! Que ne fait-on pas en son nom ! Cette notion a été détournée de sa fonction initiale (la préservation des libertés individuelles face à l'arbitraire étatique). Elle n'est plus que le prétexte à une politique de laxisme généralisé face aux clandestins et aux délinquant. Cette conception dévoyée de l'Etat de droit est portée par les tribunaux administratifs, le Conseil constitutionnel et la Cour européenne des droits de l'homme. Elle condamne n'ose gouvernement à l'impuissance. C'est ça qui doit changer.

L'état de droit ne fonctionner qu'avec des juges de droite. Ceux qui ne sont pas de droite doivent être virés.