Avec photos de mon neveu (photos que je ne publierais pas) on remarque surtout sans faire d'erreur que cette jeunesse est peut être française mais tous d’Afrique du Nord ou Algérie.Ils ont mis leurs menaces à exécution. Dans la nuit de samedi à dimanche, des violences urbaines sur fond de trafic de drogue ont éclaté à Mâcon, a indiqué la préfecture de Saône-et-Loire. Elles ont notamment entraîné des dégradations de bâtiments publics.
«C’est inadmissible»
Les violences ont eu lieu dans le quartier sensible des Saugeraies aux alentours de minuit. Un «premier bilan fait apparaître trois bâtiments publics dégradés» ainsi que «trois véhicules de police endommagés», indique la préfecture dans un communiqué. Sept véhicules légers ont été incendiés, une pelleteuse ainsi que des poubelles ont été brûlées. Les autorités ont également constaté des mises à feux de routes et des jets de pointes sur la chaussée afin d’éviter l’intervention des véhicules de secours et de policiers.
Le calme est revenu aux alentours de 5 heures à l’aube ce matin et le préfet a levé le centre opérationnel qui avait été activé à 02 heures «afin de suivre l’évolution de la situation en présence du maire de Mâcon et des représentants des services concernés». Une seule personne a été interpellée.
«Il n’y avait aucun grand, que des gamins, pas plus de 16 ans ! Pourquoi ils ont brûlé tout ça, pourquoi ? C’est inadmissible, ça devrait pas exister», s’est attristé un habitant du quartier auprès de nos confrères de France 3 Bourgogne-Franche-Comté.
«Une équipe tient à prendre le contrôle du quartier»
La préfecture a fait savoir que «ces violences ont eu lieu sur fond de narcotrafic», citant les propos du préfet Yves Séguy qui s'est déplacé sur les lieux dans la matinée. Le maire LR de Mâcon, Jean-Patrick Courtois a dénoncé auprès de nos confrères de BFMTV une «opération de guérilla urbaine». Il a expliqué le contexte de ces violences: «on les gêne depuis quelque temps» car «on refuse de céder à leurs injonctions».
L’édile affirme qu’«une équipe tient à prendre le contrôle du quartier» et exige d’avoir «un local pour faire leur trafic et blanchir leur argent en toute quiétude». Ces personnes avaient menacé, via des écritures sur les murs, de mettre le feu s’ils n’obtenaient pas ce bâtiment. «C’est ce qu’ils ont fait hier soir», se désole le maire.
Le préfet a pris plusieurs arrêtés de dimanche 8 heures à mardi 23 heures pour «l’interdiction de détention, de transport d’armes, toutes catégories confondues, de munitions et d’objets pouvant constituer une arme concernant les communes de Mâcon, Sancé et Charnay». Sur le plateau de BFMTV, le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, a annoncé l'envoi «de forces de l'ordre supplémentaires», à savoir environ 50 CRS. Mais «si on veut attaquer le mal à la racine, il va falloir judiciariser», prévient le ministre.
Lutte contre le narcotrafic : «Rien ne va sur cette question dans le ministère qui m’appartient», estime Gérald Darmanin
On ne trouve pas beaucoup d'infos précises sur ce forum (d'une façon générale) qui est "un long fleuve tranquille...."
Le véhicule de mon neveu partiellement brulé....