jeandu53 a écrit : ↑30 janvier 2025 09:49
Les magistrats conservent un pouvoir d'appréciation, c'est pour ça qu'ils font des études, c'est pour ça qu'ils sont payés.
Donc le problème est double :
- il y a des lois qui offrent aux clandestins une multitude de droits et de recours,
- et il y a les magistrats qui font une application particulièrement zélée de toutes ces lois.
Là, le pire, c'est que le tribunal reconnaît lui-même que les faits reprochés représentent une "menace grave à l’ordre public justifiant une expulsion", mais pour autant, il ne veut pas qu'on applique la procédure d'urgence, parce qu'elle n'offre pas assez de droits au gugusse. Ce n'est pas sérieux !
C'est vous qui voyez des problèmes de partout. La France est régit par des lois et les magistrats sont là pour les appliquer. Même une personne clandestine a des droits. Chaque être humain entrant sur notre sol est protégé, Il est traité avec humanité. Même le pire des criminels a le droit de se défendre et de disposer d'un avocat.
Les magistrats agissent au cas par cas, en dehors de toute considération personnelle, et s'en tiennent uniquement et strictement à la loi.
C'est leur travail. Ils sont impartiaux.
La loi est là pour éviter toute dérive, quel qu'elle soit. Elle est là pour protéger, assurer le vivre ensemble. Les magistrats savent ce qu'ils font et connaissent chaque détail des dossiers dont ils ont la responsabilité. Cela nous échappe parfois et c'est normal, mais je crois qu'il faut leur faire confiance. Le risque zéro n'existe pour personne non plus, les magistrats sont aussi des êtres humains, pas des machines.
"La valeur ne dépend pas de la religion, mais de l'amour qui nous fait considérer l'autre comme un frère ou une sœur"
Sœur Emmanuelle
"Notre vraie nationalité est l'Humanité" Herbert Georges Wells