Suite du procès du RN
-
- Posteur Titanesque
- Messages : 9089
- Enregistré le : 01 avril 2022 08:03
Re: Suite du procès du RN
Et voilà, c'est fait, l'agence anticorruption Adelibe a porté plainte contre Jordan Bardella pour escroquerie. Le reproche fait à l'élu RN ? Son emploi fictif présumé de collaborateur parlementaire en 2015 et la fabrication de fausses preuves.
https://www.liberation.fr/politique/ass ... INB2MA33I/
Et bien, la machine à victimisation doit fonctionner à fond, au RN, au risque de la rupture. Que vont-ils inventer comme excuse ?
https://www.liberation.fr/politique/ass ... INB2MA33I/
Et bien, la machine à victimisation doit fonctionner à fond, au RN, au risque de la rupture. Que vont-ils inventer comme excuse ?
"La valeur ne dépend pas de la religion, mais de l'amour qui nous fait considérer l'autre comme un frère ou une sœur"
Sœur Emmanuelle
"Notre vraie nationalité est l'Humanité" Herbert Georges Wells
Sœur Emmanuelle
"Notre vraie nationalité est l'Humanité" Herbert Georges Wells
- Corvo
- Rang beau gosse d'Interaldys
- Messages : 26899
- Enregistré le : 31 décembre 2018 07:01
Re: Suite du procès du RN
Si ça se trouve Il va demander l'asile politique à Netanyahou...Patchouli38 a écrit : ↑25 mars 2025 18:59 Et voilà, c'est fait, l'agence anticorruption Adelibe a porté plainte contre Jordan Bardella pour escroquerie. Le reproche fait à l'élu RN ? Son emploi fictif présumé de collaborateur parlementaire en 2015 et la fabrication de fausses preuves.
https://www.liberation.fr/politique/ass ... INB2MA33I/
Et bien, la machine à victimisation doit fonctionner à fond, au RN, au risque de la rupture. Que vont-ils inventer comme excuse ?
-
- Posteur DIVIN
- Messages : 19890
- Enregistré le : 20 août 2017 21:14
Re: Suite du procès du RN
mais , mon pauvre ,tu n'as pas l'air de savoir que la création de beaux selfies impose l'investissement dans des smart phone extrèmement chersPatchouli38 a écrit : ↑25 mars 2025 18:59 Et voilà, c'est fait, l'agence anticorruption Adelibe a porté plainte contre Jordan Bardella pour escroquerie. Le reproche fait à l'élu RN ? Son emploi fictif présumé de collaborateur parlementaire en 2015 et la fabrication de fausses preuves.
https://www.liberation.fr/politique/ass ... INB2MA33I/
Et bien, la machine à victimisation doit fonctionner à fond, au RN, au risque de la rupture. Que vont-ils inventer comme excuse ?


-
- Posteur DIVIN
- Messages : 19890
- Enregistré le : 20 août 2017 21:14
Re: Suite du procès du RN
mais , mon pauvre ,tu n'as pas l'air de savoir que la création de beaux selfies impose l'investissement dans des smart phone extrèmement chersPatchouli38 a écrit : ↑25 mars 2025 18:59 Et voilà, c'est fait, l'agence anticorruption Adelibe a porté plainte contre Jordan Bardella pour escroquerie. Le reproche fait à l'élu RN ? Son emploi fictif présumé de collaborateur parlementaire en 2015 et la fabrication de fausses preuves.
https://www.liberation.fr/politique/ass ... INB2MA33I/
Et bien, la machine à victimisation doit fonctionner à fond, au RN, au risque de la rupture. Que vont-ils inventer comme excuse ?


-
- Posteur DIVIN
- Messages : 19769
- Enregistré le : 19 février 2017 21:40
Re: Suite du procès du RN
Chope Jordan!
Tu comptais passer entre les gouttes!
Tu comptais passer entre les gouttes!

Au gnouf, le ventriloque!Info Libé
Assistants fictifs du RN : Jordan Bardella visé par une plainte, notamment pour «escroquerie»
Réagissant à des révélations de «Libération», en septembre, l’association anticorruption Adelibe![]()
reproche au président du Rassemblement national son emploi fictif présumé de collaborateur parlementaire en 2015 et la fabrication de fausses preuves.
J
par Bastien Loeuillot
publié le 25 mars 2025 à 17h08
Six mois après les premières révélations de Libération sur la fabrication de faux documents pour maquiller l’emploi fictif présumé de Jordan Bardella, quand il était assistant d’un eurodéputé en 2015, une association anticorruption a saisi mardi 25 mars le procureur de Paris d’une plainte. Selon nos informations, celle-ci, portée par l’Association de défense écologiste de la démocratie et des libertés (Adelibe), vise notamment à «éviter l’acquisition d’une prescription extinctive qui pourrait toucher lesdites infractions» présumées, à savoir, «détournement de fonds publics», «recel de détournement de fonds publics», «faux», «usage de faux», «escroquerie» et «tentative d’escroquerie».
La plainte vise à la fois Jordan Bardella et l’ancien eurodéputé auprès duquel il était censé remplir des fonctions à l’époque, Jean-François Jalkh. Cette plainte intervient moins d’une semaine avant le rendu du délibéré dans l’affaire dite des «assistants parlementaires fictifs du Rassemblement national», attendue au 31 mars, dans laquelle Jordan Bardella n’est pas poursuivi, contrairement à Marine Le Pen. Dans ce dossier, qui porte sur des détournements de fonds publics au préjudice du Parlement européen, estimés à plus de 4,5 millions d’euros, le parquet a requis contre elle cinq ans de prison dont deux fermes, 300 000 euros d’amende, et cinq ans d’inéligibilité avec exécutoire provisoire.
A côté d’elle, douze anciens assistants parlementaires présumés fictifs avaient été renvoyés en procès à l’automne, mais pas Jordan Bardella, alors qu’il y aurait eu de quoi. D’abord parce que son nom figurait à l’époque comme celui d’autres assistants sur le fameux organigramme du FN publié en février 2015, qui a motivé le Parlement européen à saisir la justice française. On l’y voit alors comme «chargé de mission» auprès du vice-président du FN, Florian Philippot. Tout en étant censé être l’assistant parlementaire local de l’eurodéputé Jean-François Jalkh, une fonction qu’il n’a semble-t-il jamais exercée, selon nos révélations, mais pour laquelle il a perçu un salaire de 1 200 euros net mensuels.
Par chance pour lui, la justice ne s’est pas attardée sur son cas. Pour ne pas alourdir un dossier déjà conséquent, les policiers de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF), saisis par le parquet français en 2015, ont focalisé leur enquête sur des députés européens et des collaborateurs à qui il a été reproché d’avoir détourné de plus grosses sommes d’argent public, sur de plus longues périodes. Jordan Bardella n’a été assistant parlementaire que quatre mois et demi, pour un coût de 10 444 euros. Surtout, la justice n’était pas encore au courant à l’époque que, pour maquiller son ancien emploi fictif présumé, de faux documents antidatés avaient été fabriqués en 2017 et 2018 pour berner les enquêteurs s’ils venaient un jour à entendre Jordan Bardella ou son eurodéputé sur son cas. Il s’agit, principalement, d’une revue de presse de 1 500 pages censée couvrir la période de son contrat de travail de 2015, mais en réalité créée en 2017, signée et annotée à la main de nombreuse fois par Jordan Bardella, ainsi que d’un calendrier de 2015, acheté cette fois en 2018, là encore rempli à la main par l’actuel président du Rassemblement national.
Selon la plainte de l’association Adelibe, que Libération a pu consulter, «l’apposition sur les documents de la signature de Jordan Bardella montre son intention, pas seulement de réaliser un faux, mais de faire usage de ce faux», tout cela pour «faire accroire à autrui [en l’occurrence la justice, ndlr] un travail, pour maquiller une absence d’activité réelle au parlement européen». Cet usage de faux pourrait, toujours selon la plainte, être établi par l’affirmation par Jean-François Jalkh, devant les juges, en 2021, que ce dernier avait «tous les justificatifs de travail de Jordan Bardella, notamment ses revues de presse», pourtant totalement bidon.
Lors de cette audition, Jalkh avait par ailleurs fourni aux juges une clef USB censée contenir des preuves de travail de ses assistants, toujours sous scellé dans le dossier. Selon l’avocat d’Adelibe, Jérémy Afane-Jacquart, que cette clef contienne ou non les faux de Bardella, son utilisation pour tromper la justice s’apparenterait a minima à une tentative d’escroquerie au jugement. Quant aux éléments intentionnel et matériel constituant le délit reproché à Jordan Bardella, ils pourraient être caractérisés par la signature des revues de presse, et la remise de ses documents à un tiers, qu’il s’agisse ou non de la justice. «Mon rôle n’est pas d’accuser, précise l’avocat à Libération, mais de demander au parquet d’enquêter.»
Signature de revues de presse
Aussi, au-delà du potentiel emploi fictif de Jordan Bardella, la présidente de l’association Adelibe, la députée écologiste Léa Balage El Mariky, lui reproche son rôle dans le système de fausses preuves mis en place pour le protéger en tant que figure montante du futur RN. «C’est un parti qui se dit antisystème et ils sont accusés de corruption du système, reproche-t-elle. La justice doit se pencher sur quelque chose qu’elle n’a pas vu.»
Selon les révélations de Libération, plusieurs cadres du Front national de l’époque ont été en effet impliqués dans la fabrication des fausses pièces. L’impression de la revue de presse a par exemple été commandée à un stagiaire de Jean-François Jalkh, un certain Paul Delcampe, en 2018. Dans une discussion Messenger avec d’anciens membres du Front national, ce dernier finira par affirmer avoir «créé des faux dossiers pour des assistants qui n’ont jamais travaillé pour le Parlement européen». Ghislain Dubois, alors collaborateur parlementaire de Jalkh, par ailleurs avocat belge de Marine Le Pen, l’avait chargé, pendant son stage, du «montage du dossier de Jordan Bardella», dans un mail révélé lui aussi par Libération. «La signature de l’ensemble des revues de presse interroge : quel assistant signe lui-même la revue de presse qu’il compte remettre à son parlementaire ?» questionne la plainte d’Adelibe.
Contactés par Libération, Jordan Bardella et Jean-François Jalkh n’ont pas donné suite.
Modifié en dernier par UBUROI le 26 mars 2025 08:18, modifié 1 fois.
- Corvo
- Rang beau gosse d'Interaldys
- Messages : 26899
- Enregistré le : 31 décembre 2018 07:01
Re: Suite du procès du RN
Visionnaire Corvo ?...
par Corvo » 24 mars 2025 13:45
Si lundi prochain le verdict est défavorable au RN et particulièrement à Marine le Pen nous devrions entendre et lire :
- Déni de démocratie.
- Juges rouges.
- Procès politique.
- Cabale.
- Nous ferons appel...
Et selfie sur le gâteau :
- Jordan Président* !
*Enfin si la justice ne décide pas de s'intéresser à "l'affaire" des faux documents.


par Corvo » 24 mars 2025 13:45
Si lundi prochain le verdict est défavorable au RN et particulièrement à Marine le Pen nous devrions entendre et lire :
- Déni de démocratie.
- Juges rouges.
- Procès politique.
- Cabale.
- Nous ferons appel...
Et selfie sur le gâteau :
- Jordan Président* !
*Enfin si la justice ne décide pas de s'intéresser à "l'affaire" des faux documents.
-
- Rang Tisiphonesque
- Messages : 44893
- Enregistré le : 04 avril 2018 16:39
Re: Suite du procès du RN
Ce n'est pas des juges d'instruction que le parquet aurait du choisir pour instruire l'affaire mais le MERDIA libéUBUROI a écrit : ↑26 mars 2025 07:51 Chope Jordan!
Tu comptais passer entre les gouttes!![]()
Au gnout, le ventriloque!Info Libé
Assistants fictifs du RN : Jordan Bardella visé par une plainte, notamment pour «escroquerie»
Réagissant à des révélations de «Libération», en septembre, l’association anticorruption Adelibe![]()
reproche au président du Rassemblement national son emploi fictif présumé de collaborateur parlementaire en 2015 et la fabrication de fausses preuves.
J
par Bastien Loeuillot
publié le 25 mars 2025 à 17h08
Six mois après les premières révélations de Libération sur la fabrication de faux documents pour maquiller l’emploi fictif présumé de Jordan Bardella, quand il était assistant d’un eurodéputé en 2015, une association anticorruption a saisi mardi 25 mars le procureur de Paris d’une plainte. Selon nos informations, celle-ci, portée par l’Association de défense écologiste de la démocratie et des libertés (Adelibe), vise notamment à «éviter l’acquisition d’une prescription extinctive qui pourrait toucher lesdites infractions» présumées, à savoir, «détournement de fonds publics», «recel de détournement de fonds publics», «faux», «usage de faux», «escroquerie» et «tentative d’escroquerie».
La plainte vise à la fois Jordan Bardella et l’ancien eurodéputé auprès duquel il était censé remplir des fonctions à l’époque, Jean-François Jalkh. Cette plainte intervient moins d’une semaine avant le rendu du délibéré dans l’affaire dite des «assistants parlementaires fictifs du Rassemblement national», attendue au 31 mars, dans laquelle Jordan Bardella n’est pas poursuivi, contrairement à Marine Le Pen. Dans ce dossier, qui porte sur des détournements de fonds publics au préjudice du Parlement européen, estimés à plus de 4,5 millions d’euros, le parquet a requis contre elle cinq ans de prison dont deux fermes, 300 000 euros d’amende, et cinq ans d’inéligibilité avec exécutoire provisoire.
A côté d’elle, douze anciens assistants parlementaires présumés fictifs avaient été renvoyés en procès à l’automne, mais pas Jordan Bardella, alors qu’il y aurait eu de quoi. D’abord parce que son nom figurait à l’époque comme celui d’autres assistants sur le fameux organigramme du FN publié en février 2015, qui a motivé le Parlement européen à saisir la justice française. On l’y voit alors comme «chargé de mission» auprès du vice-président du FN, Florian Philippot. Tout en étant censé être l’assistant parlementaire local de l’eurodéputé Jean-François Jalkh, une fonction qu’il n’a semble-t-il jamais exercée, selon nos révélations, mais pour laquelle il a perçu un salaire de 1 200 euros net mensuels.
Par chance pour lui, la justice ne s’est pas attardée sur son cas. Pour ne pas alourdir un dossier déjà conséquent, les policiers de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF), saisis par le parquet français en 2015, ont focalisé leur enquête sur des députés européens et des collaborateurs à qui il a été reproché d’avoir détourné de plus grosses sommes d’argent public, sur de plus longues périodes. Jordan Bardella n’a été assistant parlementaire que quatre mois et demi, pour un coût de 10 444 euros. Surtout, la justice n’était pas encore au courant à l’époque que, pour maquiller son ancien emploi fictif présumé, de faux documents antidatés avaient été fabriqués en 2017 et 2018 pour berner les enquêteurs s’ils venaient un jour à entendre Jordan Bardella ou son eurodéputé sur son cas. Il s’agit, principalement, d’une revue de presse de 1 500 pages censée couvrir la période de son contrat de travail de 2015, mais en réalité créée en 2017, signée et annotée à la main de nombreuse fois par Jordan Bardella, ainsi que d’un calendrier de 2015, acheté cette fois en 2018, là encore rempli à la main par l’actuel président du Rassemblement national.
Selon la plainte de l’association Adelibe, que Libération a pu consulter, «l’apposition sur les documents de la signature de Jordan Bardella montre son intention, pas seulement de réaliser un faux, mais de faire usage de ce faux», tout cela pour «faire accroire à autrui [en l’occurrence la justice, ndlr] un travail, pour maquiller une absence d’activité réelle au parlement européen». Cet usage de faux pourrait, toujours selon la plainte, être établi par l’affirmation par Jean-François Jalkh, devant les juges, en 2021, que ce dernier avait «tous les justificatifs de travail de Jordan Bardella, notamment ses revues de presse», pourtant totalement bidon.
Lors de cette audition, Jalkh avait par ailleurs fourni aux juges une clef USB censée contenir des preuves de travail de ses assistants, toujours sous scellé dans le dossier. Selon l’avocat d’Adelibe, Jérémy Afane-Jacquart, que cette clef contienne ou non les faux de Bardella, son utilisation pour tromper la justice s’apparenterait a minima à une tentative d’escroquerie au jugement. Quant aux éléments intentionnel et matériel constituant le délit reproché à Jordan Bardella, ils pourraient être caractérisés par la signature des revues de presse, et la remise de ses documents à un tiers, qu’il s’agisse ou non de la justice. «Mon rôle n’est pas d’accuser, précise l’avocat à Libération, mais de demander au parquet d’enquêter.»
Signature de revues de presse
Aussi, au-delà du potentiel emploi fictif de Jordan Bardella, la présidente de l’association Adelibe, la députée écologiste Léa Balage El Mariky, lui reproche son rôle dans le système de fausses preuves mis en place pour le protéger en tant que figure montante du futur RN. «C’est un parti qui se dit antisystème et ils sont accusés de corruption du système, reproche-t-elle. La justice doit se pencher sur quelque chose qu’elle n’a pas vu.»
Selon les révélations de Libération, plusieurs cadres du Front national de l’époque ont été en effet impliqués dans la fabrication des fausses pièces. L’impression de la revue de presse a par exemple été commandée à un stagiaire de Jean-François Jalkh, un certain Paul Delcampe, en 2018. Dans une discussion Messenger avec d’anciens membres du Front national, ce dernier finira par affirmer avoir «créé des faux dossiers pour des assistants qui n’ont jamais travaillé pour le Parlement européen». Ghislain Dubois, alors collaborateur parlementaire de Jalkh, par ailleurs avocat belge de Marine Le Pen, l’avait chargé, pendant son stage, du «montage du dossier de Jordan Bardella», dans un mail révélé lui aussi par Libération. «La signature de l’ensemble des revues de presse interroge : quel assistant signe lui-même la revue de presse qu’il compte remettre à son parlementaire ?» questionne la plainte d’Adelibe.
Contactés par Libération, Jordan Bardella et Jean-François Jalkh n’ont pas donné suite.
Pendant 11 ans d'instruction des preuves leur ont réchappé
Vous voulez refaire le match alors que la fin de celui ci va être sifflé dans 5 jours

Pour la suite il va falloir attendre le recours en appel soit du RN soit du parquet
Condamné ou pas avec MLP ; le RN reste "mistral gagnant" pour la présidentielle de 2027 car le vizir est mieux coté que la calife
Certains ont beau dire 11 millions de couillons mais ils seront bien plus pour le premier tour de 2027 et encore plus de 50 % des votants au second tour
On le sent ; toute la meute anti RN sur ce forum est aux aboies
En temps normal ; vous vous déchainez juste avant les élections : mais cette fois c'est devenu un forum anti RN avec 9 sujets sur 10
Vous venez que l'affaire qui a duré 10 ans et qui arrive à sa conclusion n'aura servi à rien car le RN n'a plus uniquement une dimension nationale mais maintenant internationale car invités officiellement comme s''ils gouvernaient déjà

Et tout cela grâce à LFI qui a montré on vrai visage d'antisémite , de Retailleau avec macron qui sont incapables d'exécuter les OQFT et que l'Algérie ridiculise alors qu'ils ont un poker d'as en main
En sus l'actualité qui depuis l'affaire Crépol c'est presque au quotidien qu'un jeune de 17 ans se fait poignarder mortellement ce qui fait réagir comme toutes les espèces les parent qui pensent que leur progéniture est en danger(hier un cas encore dans l'Essonne)
A croire que tout ce soit ligué pour faire "mistral gagnant " du RN même au niveau international faisant ainsi vibré la fibre du patriotisme
Je ne sais pas les 11 millions sont des couillons mais de plus en plus les français ne veulent plus être des cons qui restent passifs avec tout cela
Déjà les 500 milles français de confessions juives en france plus ceux a double nationalité vivants en Israël maintenant vont aussi voter comme les 11 millions de couillons
Si 11 millions ont fait 34 % les 500 milles plus le autres vont représenter 10 %
Donc de manière cartésienne et non philosophique on peut tabler sur 42 % au premier tour et si l'on transpose les 15 % qui ont voté RN en sus au second tour on va dépasser cette fois plus que largement les 50 % nécessaire
Et je vous fait grâce que tous ceux qui en votant à gauche pour le NFP ont vu la tartufferie que cela a donné
Vous comptez sur les dires d'un merdia
Et moi sur le constat de la réalité de l'actualité et je me félicite d'avoir anticipé sur cela pendant que comme d'autres vous restez sous la gouttière espérant qu'un miracle va faire cesser la pluie
on a beau essayer cela çà ne marche plus
https://www.msn.com/fr-fr/actualite/fra ... 44ca1&ei=8
Car maintenant il y a cela qui disloque la gauche en sus de l'anti-sémitisme de LFI
https://www.msn.com/fr-fr/actualite/fra ... ngNewsSerp
Maintenant il n'y a plus que le RN qui ose le dénoncer (car même vous et d'autres sur ce forum qui encensez l'islam tout en dénigrant la culture et religion des blancs reflet de ce qui existe dont la myriade d'associations pour tout sauf pour les blancs )
On fait des CADA pour les étrangers mais on de se préoccupent des SDF que par grands froid après 1000 morts
Moi j'explique , je ne fais pas uniquement de mettre des copiés/collé de Merdias qui pourraient être considérés d'extrême droite
La CFDT vous vous bouffez le foie avec les autre syndicats ouvriers et politiquement LFI fait de même avec les autres partis de gauche
Il n'y a que le RN qui joue sans fausses note même avec le parti de ciotti ; de dupont aignan ou de marion marechal
- Fonck1
- Administrateur
- Messages : 143588
- Enregistré le : 02 mai 2006 16:22
Re: Suite du procès du RN
il est temps que l'on restaure la justice dans ce pays, et surtout, ceux qui la contournent sans sourciller.
Appel à participation pour le forum
« Ainsi s'éteint la liberté, sous une pluie d'applaudissements. » Star Wars, épisode III
"nul bien sans peine".....
« Ainsi s'éteint la liberté, sous une pluie d'applaudissements. » Star Wars, épisode III
"nul bien sans peine".....
-
- Rang Tisiphonesque
- Messages : 44893
- Enregistré le : 04 avril 2018 16:39
Re: Suite du procès du RN
Mais pour cela il faudrait , il faudrait supprimer la justice politique
On a vu que JMLP a été condamne suite à des propos sur la SHOAH
On verra si une procédure sera ouverte contre le député LFI pour des propos bien plus graves et dans le sacro-saint de l'assemblée nationale
Sera t il simplement sanctionné par le règlement de l'assemblée comme pour les propos "qu'ils rentrent chez eux"
C'est bien de dire qu'il faut restaurer la justice dans ce pays mais de sorte qu'elle soit équitable
De toutes les malversations politiques depuis que la loi existe "à part contre le RN" contre quel autre politique cette loi a été requise depuis 2014
La réponse est facile "jamais"
Vous même êtes vous pour que la justice soit équitable pour tous ou simplement selon vos convictions
Vous même êtes intervenus en avocat pour minimiser des fait voir même designer la victime comme coupable pour Crépol
Vous seriez le premier à vous indigner si la justice était réellement restaurée y compris pour le droit à la défense des FDO
Je ne vous ai pas vu écrire justice conte les élus qui ont empêché les étudiants de confession juive d'accéder aux cours de Science Po ;
ni parce que les lois mémorielles ne s'appliquent pas à tous équitablement
-
- Posteur Titanesque
- Messages : 9089
- Enregistré le : 01 avril 2022 08:03
Re: Suite du procès du RN
Les mêmes demandant une justice intraitable envers les délinquants et se conduisent comme tel. Après, cela va se plaindre d'une justice trop dure pour eux !
Il est temps que Jordan Bardella occupe, lui aussi, le banc des accusés au Tribunal et qu'il réponde de cette escroquerie. Il pensait, peut-être, pouvoir échapper à la Justice, erreur !
Il est temps que Jordan Bardella occupe, lui aussi, le banc des accusés au Tribunal et qu'il réponde de cette escroquerie. Il pensait, peut-être, pouvoir échapper à la Justice, erreur !
"La valeur ne dépend pas de la religion, mais de l'amour qui nous fait considérer l'autre comme un frère ou une sœur"
Sœur Emmanuelle
"Notre vraie nationalité est l'Humanité" Herbert Georges Wells
Sœur Emmanuelle
"Notre vraie nationalité est l'Humanité" Herbert Georges Wells
- Corvo
- Rang beau gosse d'Interaldys
- Messages : 26899
- Enregistré le : 31 décembre 2018 07:01
Re: Suite du procès du RN
Quand ça veut pas...
Elections européennes: 55.000 euros de dépenses de campagne de Bardella définitivement invalidés
Le Conseil d'État a définitivement invalidé 55.000 euros de dépenses de campagne de Jordan Bardella lors des élections européennes de 2019.
Environ 55.000 euros de dépenses de campagne de la liste de Jordan Bardella lors des européennes de 2019 ont été invalidés par le Conseil d'Etat, selon une décision révélé mercredi 26 mars.
Les frais incriminés concernent 48.712 euros de primes versées à des salariés employés pendant la campagne mais non prévues dans leur contrat de travail, et 6.541 euros correspondent à des intérêts pour des emprunts réalisés auprès de sympathisants, sur un total de dépenses de plus de 3,4 millions d'euros.
Dépenses invalidées
Le Conseil d'Etat a notamment jugé que les intérêts ne peuvent pas être considérés comme une dépense de campagne car ils ont été acquittés avant l'encaissement des chèques des sympathisants.
Avec cette décision, la plus haute juridiction administrative tranche en faveur de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP) et annule l'arrêt de la cour d'appel de Paris qui avait donné raison, fin 2023, au président du Rassemblement national, sur ces quelque 55.000 euros.
Dans un autre dossier, le Conseil d'Etat a validé les dépenses de campagne de Jordan Bardella pour les élections régionales de 2021, où il était candidat en Île-de-France. Il était saisi de 46.986 euros de frais, sur un total de près de 750.000, qui concernaient l'achat de prestation d'envois de messages téléphoniques à des électeurs.
https://rmc.bfmtv.com/actualites/politi ... 60318.html
Elections européennes: 55.000 euros de dépenses de campagne de Bardella définitivement invalidés
Le Conseil d'État a définitivement invalidé 55.000 euros de dépenses de campagne de Jordan Bardella lors des élections européennes de 2019.
Environ 55.000 euros de dépenses de campagne de la liste de Jordan Bardella lors des européennes de 2019 ont été invalidés par le Conseil d'Etat, selon une décision révélé mercredi 26 mars.
Les frais incriminés concernent 48.712 euros de primes versées à des salariés employés pendant la campagne mais non prévues dans leur contrat de travail, et 6.541 euros correspondent à des intérêts pour des emprunts réalisés auprès de sympathisants, sur un total de dépenses de plus de 3,4 millions d'euros.
Dépenses invalidées
Le Conseil d'Etat a notamment jugé que les intérêts ne peuvent pas être considérés comme une dépense de campagne car ils ont été acquittés avant l'encaissement des chèques des sympathisants.
Avec cette décision, la plus haute juridiction administrative tranche en faveur de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP) et annule l'arrêt de la cour d'appel de Paris qui avait donné raison, fin 2023, au président du Rassemblement national, sur ces quelque 55.000 euros.
Dans un autre dossier, le Conseil d'Etat a validé les dépenses de campagne de Jordan Bardella pour les élections régionales de 2021, où il était candidat en Île-de-France. Il était saisi de 46.986 euros de frais, sur un total de près de 750.000, qui concernaient l'achat de prestation d'envois de messages téléphoniques à des électeurs.
https://rmc.bfmtv.com/actualites/politi ... 60318.html
- Corvo
- Rang beau gosse d'Interaldys
- Messages : 26899
- Enregistré le : 31 décembre 2018 07:01
Re: Suite du procès du RN
Petite cachotière...
Une audience pour injure raciale s’est-elle tenue le 25 mars à l’encontre de Marine Le Pen ?
Marine Le Pen avait dénoncé une «promotion de l’islam radical» dans un tweet de 2019 visant une jeune femme portant le voile.
Alors que s’ouvrait mardi 25 mars le procès de Yannick Jadot (poursuivi en diffamation par Total), les observateurs les plus attentifs auront noté qu’une autre audience d’intérêt public, non médiatisée, a eu lieu le même jour devant la même 17e chambre du tribunal judiciaire de Paris.
Le rôle (document qui indique quels litiges vont être appelés à l’audience du tribunal) à l’entrée de la salle a intrigué un de nos lecteurs : on y lisait en effet qu’une certaine Marion Anne Perrine Le Pen était la prévenue dans une affaire «d’injure publique en raison de l’origine, l’ethnie, la nation, la race ou la religion». Or, comme CheckNews l’a déjà expliqué – et comme notre lecteur visiblement le savait – il s’agit du vrai nom de Marine Le Pen. Toujours selon le document, la partie civile est Yasmine Ouirhrane, qui travaille dans l’entrepreneuriat social.
L’affaire est connue, et déjà ancienne. Les faits visés remontent à 2019, lorsque cette jeune italienne d’origine marocaine s’était vue décerner le prix «jeune européenne de l’année» par la fondation Schwarzkopf pour «son engagement en faveur de l’égalité hommes – femmes et de l’égalité des chances pour les migrants en Europe».
La jeune militante s’était alors félicitée de son prix dans un tweet assorti d’une photo d’elle brandissant un drapeau européen. Une publication qui n’a pas plu à Marine Le Pen, qui a dénoncé sur le même réseau social une «promotion de l’islam radical» par «l’Union européenne», car la jeune fille porte un voile sur la photo. Et ce, alors que la fondation Schwarzkopf est une organisation indépendante de l’UE (bien qu’en partie financée par des fonds européens). A la suite de la polémique, Yasmine Ouirhrane annonçait son intention de porter plainte contre Marine Le Pen.
Pourquoi cette audience n’a attiré aucune attention ? Tout simplement parce que, comme l’explique l’avocat de la partie civile, Hosni Maati, l’audience qui a bien eu lieu ce mardi était d’une «audience purement technique» permettant d’interrompre la prescription pour que la procédure puisse suivre son cours. Les faits seront en fait jugés en novembre prochain.
Dans plusieurs interviews, Yasmine Ouirhrane a expliqué avoir subi une vaste campagne de cyberharcèlement après la publication de la photo. «Ça m’a beaucoup atteint au début de taper mon nom sur Google et de voir que certains blogs m’associaient à Daech», s’était confiée l’étudiante au Bondy Blog.
https://www.liberation.fr/checknews/une ... 4BDDPWRNY/


Une audience pour injure raciale s’est-elle tenue le 25 mars à l’encontre de Marine Le Pen ?
Marine Le Pen avait dénoncé une «promotion de l’islam radical» dans un tweet de 2019 visant une jeune femme portant le voile.
Alors que s’ouvrait mardi 25 mars le procès de Yannick Jadot (poursuivi en diffamation par Total), les observateurs les plus attentifs auront noté qu’une autre audience d’intérêt public, non médiatisée, a eu lieu le même jour devant la même 17e chambre du tribunal judiciaire de Paris.
Le rôle (document qui indique quels litiges vont être appelés à l’audience du tribunal) à l’entrée de la salle a intrigué un de nos lecteurs : on y lisait en effet qu’une certaine Marion Anne Perrine Le Pen était la prévenue dans une affaire «d’injure publique en raison de l’origine, l’ethnie, la nation, la race ou la religion». Or, comme CheckNews l’a déjà expliqué – et comme notre lecteur visiblement le savait – il s’agit du vrai nom de Marine Le Pen. Toujours selon le document, la partie civile est Yasmine Ouirhrane, qui travaille dans l’entrepreneuriat social.
L’affaire est connue, et déjà ancienne. Les faits visés remontent à 2019, lorsque cette jeune italienne d’origine marocaine s’était vue décerner le prix «jeune européenne de l’année» par la fondation Schwarzkopf pour «son engagement en faveur de l’égalité hommes – femmes et de l’égalité des chances pour les migrants en Europe».
La jeune militante s’était alors félicitée de son prix dans un tweet assorti d’une photo d’elle brandissant un drapeau européen. Une publication qui n’a pas plu à Marine Le Pen, qui a dénoncé sur le même réseau social une «promotion de l’islam radical» par «l’Union européenne», car la jeune fille porte un voile sur la photo. Et ce, alors que la fondation Schwarzkopf est une organisation indépendante de l’UE (bien qu’en partie financée par des fonds européens). A la suite de la polémique, Yasmine Ouirhrane annonçait son intention de porter plainte contre Marine Le Pen.
Pourquoi cette audience n’a attiré aucune attention ? Tout simplement parce que, comme l’explique l’avocat de la partie civile, Hosni Maati, l’audience qui a bien eu lieu ce mardi était d’une «audience purement technique» permettant d’interrompre la prescription pour que la procédure puisse suivre son cours. Les faits seront en fait jugés en novembre prochain.
Dans plusieurs interviews, Yasmine Ouirhrane a expliqué avoir subi une vaste campagne de cyberharcèlement après la publication de la photo. «Ça m’a beaucoup atteint au début de taper mon nom sur Google et de voir que certains blogs m’associaient à Daech», s’était confiée l’étudiante au Bondy Blog.
https://www.liberation.fr/checknews/une ... 4BDDPWRNY/
-
- Rang Tisiphonesque
- Messages : 44893
- Enregistré le : 04 avril 2018 16:39
Re: Suite du procès du RN
Dénoncer la promotion faite à l'islam radical est une injure racialeCorvo a écrit : ↑27 mars 2025 06:50 Petite cachotière...![]()
Une audience pour injure raciale s’est-elle tenue le 25 mars à l’encontre de Marine Le Pen ?
Marine Le Pen avait dénoncé une «promotion de l’islam radical» dans un tweet de 2019 visant une jeune femme portant le voile.
Alors que s’ouvrait mardi 25 mars le procès de Yannick Jadot (poursuivi en diffamation par Total), les observateurs les plus attentifs auront noté qu’une autre audience d’intérêt public, non médiatisée, a eu lieu le même jour devant la même 17e chambre du tribunal judiciaire de Paris.
Le rôle (document qui indique quels litiges vont être appelés à l’audience du tribunal) à l’entrée de la salle a intrigué un de nos lecteurs : on y lisait en effet qu’une certaine Marion Anne Perrine Le Pen était la prévenue dans une affaire «d’injure publique en raison de l’origine, l’ethnie, la nation, la race ou la religion». Or, comme CheckNews l’a déjà expliqué – et comme notre lecteur visiblement le savait – il s’agit du vrai nom de Marine Le Pen. Toujours selon le document, la partie civile est Yasmine Ouirhrane, qui travaille dans l’entrepreneuriat social.
L’affaire est connue, et déjà ancienne. Les faits visés remontent à 2019, lorsque cette jeune italienne d’origine marocaine s’était vue décerner le prix «jeune européenne de l’année» par la fondation Schwarzkopf pour «son engagement en faveur de l’égalité hommes – femmes et de l’égalité des chances pour les migrants en Europe».
La jeune militante s’était alors félicitée de son prix dans un tweet assorti d’une photo d’elle brandissant un drapeau européen. Une publication qui n’a pas plu à Marine Le Pen, qui a dénoncé sur le même réseau social une «promotion de l’islam radical» par «l’Union européenne», car la jeune fille porte un voile sur la photo. Et ce, alors que la fondation Schwarzkopf est une organisation indépendante de l’UE (bien qu’en partie financée par des fonds européens). A la suite de la polémique, Yasmine Ouirhrane annonçait son intention de porter plainte contre Marine Le Pen.
Pourquoi cette audience n’a attiré aucune attention ? Tout simplement parce que, comme l’explique l’avocat de la partie civile, Hosni Maati, l’audience qui a bien eu lieu ce mardi était d’une «audience purement technique» permettant d’interrompre la prescription pour que la procédure puisse suivre son cours. Les faits seront en fait jugés en novembre prochain.
Dans plusieurs interviews, Yasmine Ouirhrane a expliqué avoir subi une vaste campagne de cyberharcèlement après la publication de la photo. «Ça m’a beaucoup atteint au début de taper mon nom sur Google et de voir que certains blogs m’associaient à Daech», s’était confiée l’étudiante au Bondy Blog.
https://www.liberation.fr/checknews/une ... 4BDDPWRNY/
![]()
On repart pour une affaire comme les images de DAESH
çà va vous faire des pages à remplir sur ce forum pour une fois de plus un jugement en pet de nonne

Modifié en dernier par vivarais le 27 mars 2025 09:36, modifié 1 fois.
- Corvo
- Rang beau gosse d'Interaldys
- Messages : 26899
- Enregistré le : 31 décembre 2018 07:01
Re: Suite du procès du RN
Je comprends que tout ça vous contrarie et, non là je déconne...je compatis. Au fait vivarais vous saviez que votre égérie avait comme prénom Marion Anne Perrine ? je parie que vous ne le saviez pas.vivarais a écrit : ↑27 mars 2025 09:33Dénoncer la promotion faite à l'islam radical est une injure racialeCorvo a écrit : ↑27 mars 2025 06:50 Petite cachotière...![]()
Une audience pour injure raciale s’est-elle tenue le 25 mars à l’encontre de Marine Le Pen ?
Marine Le Pen avait dénoncé une «promotion de l’islam radical» dans un tweet de 2019 visant une jeune femme portant le voile.
Alors que s’ouvrait mardi 25 mars le procès de Yannick Jadot (poursuivi en diffamation par Total), les observateurs les plus attentifs auront noté qu’une autre audience d’intérêt public, non médiatisée, a eu lieu le même jour devant la même 17e chambre du tribunal judiciaire de Paris.
Le rôle (document qui indique quels litiges vont être appelés à l’audience du tribunal) à l’entrée de la salle a intrigué un de nos lecteurs : on y lisait en effet qu’une certaine Marion Anne Perrine Le Pen était la prévenue dans une affaire «d’injure publique en raison de l’origine, l’ethnie, la nation, la race ou la religion». Or, comme CheckNews l’a déjà expliqué – et comme notre lecteur visiblement le savait – il s’agit du vrai nom de Marine Le Pen. Toujours selon le document, la partie civile est Yasmine Ouirhrane, qui travaille dans l’entrepreneuriat social.
L’affaire est connue, et déjà ancienne. Les faits visés remontent à 2019, lorsque cette jeune italienne d’origine marocaine s’était vue décerner le prix «jeune européenne de l’année» par la fondation Schwarzkopf pour «son engagement en faveur de l’égalité hommes – femmes et de l’égalité des chances pour les migrants en Europe».
La jeune militante s’était alors félicitée de son prix dans un tweet assorti d’une photo d’elle brandissant un drapeau européen. Une publication qui n’a pas plu à Marine Le Pen, qui a dénoncé sur le même réseau social une «promotion de l’islam radical» par «l’Union européenne», car la jeune fille porte un voile sur la photo. Et ce, alors que la fondation Schwarzkopf est une organisation indépendante de l’UE (bien qu’en partie financée par des fonds européens). A la suite de la polémique, Yasmine Ouirhrane annonçait son intention de porter plainte contre Marine Le Pen.
Pourquoi cette audience n’a attiré aucune attention ? Tout simplement parce que, comme l’explique l’avocat de la partie civile, Hosni Maati, l’audience qui a bien eu lieu ce mardi était d’une «audience purement technique» permettant d’interrompre la prescription pour que la procédure puisse suivre son cours. Les faits seront en fait jugés en novembre prochain.
Dans plusieurs interviews, Yasmine Ouirhrane a expliqué avoir subi une vaste campagne de cyberharcèlement après la publication de la photo. «Ça m’a beaucoup atteint au début de taper mon nom sur Google et de voir que certains blogs m’associaient à Daech», s’était confiée l’étudiante au Bondy Blog.
https://www.liberation.fr/checknews/une ... 4BDDPWRNY/
![]()
On repart pour une affaire comme les images de DAESH
çà va vous faire des pages à remplir sur ce forum pour une fois de plus un jugement en pet de nonne![]()
- Corvo
- Rang beau gosse d'Interaldys
- Messages : 26899
- Enregistré le : 31 décembre 2018 07:01
Re: Suite du procès du RN
Tic...tac...tic...tac...
Procès des assistants du RN : L’inéligibilité de Marine Le Pen « n’arrivera pas »… Le grand déni au sein du parti.
METHODE COUÉ•Marine Le Pen pourrait être condamnée lundi à une peine d’inéligibilité avec exécution provisoire, ce qui l’empêcherait de se présenter à la présidentielle de 2027.
C’est un éléphant gigantesque qui trône au milieu de la pièce. Mais personne, au sein du Rassemblement national, ne fait mine d’y songer. Marine Le Pen sera fixée sur son sort ce lundi 31 mars dans le dossier des assistants parlementaires d’eurodéputés RN. Après deux mois de procès fin novembre, l’accusation a requis cinq années de prison, dont deux ans ferme, et 300.000 euros d’amende. Surtout, l’ex-patronne du mouvement pourrait être condamnée à une peine de cinq ans d’inéligibilité avec exécution provisoire si le tribunal correctionnel de Paris suivait les réquisitions. Autrement dit : Marine Le Pen ne pourrait pas être candidate à la présidentielle de 2027, dans l’attente d’un procès en appel. « C’est ma mort politique qui est réclamée », avait dénoncé la triple candidate à l’échéance suprême.
« Ce n’est pas tabou, mais… »
L’élection présidentielle pourrait donc perdre l’une de ses favorites avant même le début de la campagne. Un bouleversement pour la classe politique française - pour la première fois depuis 1981*, il n’y aurait pas de « Le Pen » sur la ligne de départ - et un séisme politique pour le premier parti d’opposition. Mais étrangement, en interne, on refuse d’imaginer un tel scénario. « La question de l’inéligibilité ne se pose pas. Ce n’est pas un tabou, mais à partir du moment où on a dit qu’une telle injustice ne pouvait pas arriver, ça n’arrivera pas », tente de se convaincre le député RN du Pas-de-Calais Marc de Fleurian.
« On évite de se projeter dans cette hypothèse », confirme Gaëtan Dussausaye, son collègue des Vosges. « Moi, j’ai mon réflexe de protection individuelle. Quand il y a un problème qui peut me donner des insomnies, j’évite d’y penser. Un psy vous dirait peut-être que c’est une très mauvaise idée… » Une méthode Coué fixée directement par la cheffe de file du groupe RN à l’Assemblée nationale. « Je n’y pense pas du tout », ose Marine Le Pen ce mardi dans le Figaro en évoquant l’issue du procès. « Vous savez, la peur n’écarte pas le danger. Je ne vois pas l’intérêt de supputer à l’avance », dit-elle.
Ce serait « une catastrophe pour la démocratie »
Un ton serein qui tranche avec son attitude lors de l’annonce des réquisitions. Le visage marqué, K.O. debout, Marine Le Pen n’avait visiblement pas imaginé la possibilité d’être privée d’une nouvelle campagne présidentielle. Le parti, uni derrière sa championne, dénonçait alors un « procès politique » contre la députée d’Hénin-Beaumont et ses co-accusés. Une pétition de soutien, toujours en ligne, avait même été lancée par le RN.
Mais aujourd’hui - du moins officiellement –, le parti n’envisage pas de réplique politique en cas d’inéligibilité prononcée. « On n’a rien prévu parce que si Marine Le Pen, avec ses 13 millions de voix, est touchée par une exécution provisoire, c’est une catastrophe pour la démocratie française », balaie un de ses proches conseillers. « Cela voudrait dire que les juges s’immiscent dans la politique, qu’ils décident des élections. C’est contraire à la séparation des pouvoirs », ajoute-t-il.
Pas de plan B à part Bardella
Les peines d’inéligibilité avec exécution provisoire lors de procès pour détournements de fonds publics ne sont pourtant pas si rares. Mais elles n’ont jamais eu l’impact politique que provoquerait une condamnation de Marine Le Pen. « C’est une personnalité politique extraordinaire, la justice ne peut pas décider qui est candidat ou non. Je pense qu’on se battra si ça arrive. Moi si c’est ça, j’irai manifester, c’est évident », assure Alexandre Sabatou, député de l’Oise. Le mouvement pourrait-il appeler à des manifestations, une pratique loin d’être dans son ADN ? « On ne se laissera pas faire, car depuis le début, on clame notre innocence. Il y aura une réaction car la colère serait immense. Et pas seulement chez nos électeurs », évacue Gaëtan Dussausaye. Certains vont jusqu’à évoquer une improbable grâce présidentielle que pourrait accorder Emmanuel Macron en cas de condamnation, preuve de la fébrilité en interne.
Et s’il est encore trop tôt pour l’avouer ouvertement, personne n’imagine un autre plan B que Jordan Bardella pour la présidentielle de 2027 si elle venait à être empêchée. « Marine Le Pen l’a dit à plusieurs reprises : si elle passait sous un camion, elle sait qu’il serai là pour reprendre la main », souffle un député. Si le tribunal correctionnel de Paris condamne la responsable à une peine d’inégibilité lundi, la passation de pouvoir interviendra plus vite que prévue.
À eux deux ils cumulent 8 défaites.
* Jean-Marie Le Pen a été candidat à la présidentielle en 1974, 1988, 1995, 2002 et 2007 (en 1981, il n’avait pas obtenu les 500 parrainages nécessaires). Marine Le Pen s’est présentée en 2012, 2017 et 2024.
https://www.20minutes.fr/politique/4145 ... sein-parti
Procès des assistants du RN : L’inéligibilité de Marine Le Pen « n’arrivera pas »… Le grand déni au sein du parti.
METHODE COUÉ•Marine Le Pen pourrait être condamnée lundi à une peine d’inéligibilité avec exécution provisoire, ce qui l’empêcherait de se présenter à la présidentielle de 2027.
C’est un éléphant gigantesque qui trône au milieu de la pièce. Mais personne, au sein du Rassemblement national, ne fait mine d’y songer. Marine Le Pen sera fixée sur son sort ce lundi 31 mars dans le dossier des assistants parlementaires d’eurodéputés RN. Après deux mois de procès fin novembre, l’accusation a requis cinq années de prison, dont deux ans ferme, et 300.000 euros d’amende. Surtout, l’ex-patronne du mouvement pourrait être condamnée à une peine de cinq ans d’inéligibilité avec exécution provisoire si le tribunal correctionnel de Paris suivait les réquisitions. Autrement dit : Marine Le Pen ne pourrait pas être candidate à la présidentielle de 2027, dans l’attente d’un procès en appel. « C’est ma mort politique qui est réclamée », avait dénoncé la triple candidate à l’échéance suprême.
« Ce n’est pas tabou, mais… »
L’élection présidentielle pourrait donc perdre l’une de ses favorites avant même le début de la campagne. Un bouleversement pour la classe politique française - pour la première fois depuis 1981*, il n’y aurait pas de « Le Pen » sur la ligne de départ - et un séisme politique pour le premier parti d’opposition. Mais étrangement, en interne, on refuse d’imaginer un tel scénario. « La question de l’inéligibilité ne se pose pas. Ce n’est pas un tabou, mais à partir du moment où on a dit qu’une telle injustice ne pouvait pas arriver, ça n’arrivera pas », tente de se convaincre le député RN du Pas-de-Calais Marc de Fleurian.
« On évite de se projeter dans cette hypothèse », confirme Gaëtan Dussausaye, son collègue des Vosges. « Moi, j’ai mon réflexe de protection individuelle. Quand il y a un problème qui peut me donner des insomnies, j’évite d’y penser. Un psy vous dirait peut-être que c’est une très mauvaise idée… » Une méthode Coué fixée directement par la cheffe de file du groupe RN à l’Assemblée nationale. « Je n’y pense pas du tout », ose Marine Le Pen ce mardi dans le Figaro en évoquant l’issue du procès. « Vous savez, la peur n’écarte pas le danger. Je ne vois pas l’intérêt de supputer à l’avance », dit-elle.
Ce serait « une catastrophe pour la démocratie »
Un ton serein qui tranche avec son attitude lors de l’annonce des réquisitions. Le visage marqué, K.O. debout, Marine Le Pen n’avait visiblement pas imaginé la possibilité d’être privée d’une nouvelle campagne présidentielle. Le parti, uni derrière sa championne, dénonçait alors un « procès politique » contre la députée d’Hénin-Beaumont et ses co-accusés. Une pétition de soutien, toujours en ligne, avait même été lancée par le RN.
Mais aujourd’hui - du moins officiellement –, le parti n’envisage pas de réplique politique en cas d’inéligibilité prononcée. « On n’a rien prévu parce que si Marine Le Pen, avec ses 13 millions de voix, est touchée par une exécution provisoire, c’est une catastrophe pour la démocratie française », balaie un de ses proches conseillers. « Cela voudrait dire que les juges s’immiscent dans la politique, qu’ils décident des élections. C’est contraire à la séparation des pouvoirs », ajoute-t-il.
Pas de plan B à part Bardella
Les peines d’inéligibilité avec exécution provisoire lors de procès pour détournements de fonds publics ne sont pourtant pas si rares. Mais elles n’ont jamais eu l’impact politique que provoquerait une condamnation de Marine Le Pen. « C’est une personnalité politique extraordinaire, la justice ne peut pas décider qui est candidat ou non. Je pense qu’on se battra si ça arrive. Moi si c’est ça, j’irai manifester, c’est évident », assure Alexandre Sabatou, député de l’Oise. Le mouvement pourrait-il appeler à des manifestations, une pratique loin d’être dans son ADN ? « On ne se laissera pas faire, car depuis le début, on clame notre innocence. Il y aura une réaction car la colère serait immense. Et pas seulement chez nos électeurs », évacue Gaëtan Dussausaye. Certains vont jusqu’à évoquer une improbable grâce présidentielle que pourrait accorder Emmanuel Macron en cas de condamnation, preuve de la fébrilité en interne.
Et s’il est encore trop tôt pour l’avouer ouvertement, personne n’imagine un autre plan B que Jordan Bardella pour la présidentielle de 2027 si elle venait à être empêchée. « Marine Le Pen l’a dit à plusieurs reprises : si elle passait sous un camion, elle sait qu’il serai là pour reprendre la main », souffle un député. Si le tribunal correctionnel de Paris condamne la responsable à une peine d’inégibilité lundi, la passation de pouvoir interviendra plus vite que prévue.
À eux deux ils cumulent 8 défaites.


* Jean-Marie Le Pen a été candidat à la présidentielle en 1974, 1988, 1995, 2002 et 2007 (en 1981, il n’avait pas obtenu les 500 parrainages nécessaires). Marine Le Pen s’est présentée en 2012, 2017 et 2024.
https://www.20minutes.fr/politique/4145 ... sein-parti