Il y a 50 ans les kmers rouges envahissaient phnom penh

[vivarais]

ce n'est ni du gauchisme ni des valeurs universelles et populaires qui ont été portées par les kmers rouges.
c'etait la dictature.

le marxisme reste une utopie, d'égalité, impossible compte tenue de la profonde nature des humains.

ajoutez y la culture vietnamienne, il est extrêmement difficile de généraliser cela.

la chine est dans le même cas, des esclaves payés une bouchée de pain travaillant 15 heures pas jours et de l'autre côté plus de 600 milliardaires.

je ne vois pas trop où est l'égalité de traitement la dedans.

pourtant, ce pays se dit "communiste".

convenons en, il ne l'est pas.

Connaissez vous un seul pays restant qui a les valeurs du gauchisme qui ne soit pas une dictature
peut être cuba ou la Corée du nord , ou la Birmanie etc ????
L'URSS dont se réclame le gauchisme en france , la Yougoslavie de TITO , l'Albanie '(étaient pas des dictatures ; tout comme tous les pays de l'EST sous la coupe des soviets
LFi en réclamant la gouvernance était il différent voulant même la prendre par la force dans la rue

[Fonck1]

ce n'est ni du gauchisme ni des valeurs universelles et populaires qui ont été portées par les kmers rouges.
c'etait la dictature.

le marxisme reste une utopie, d'égalité, impossible compte tenue de la profonde nature des humains.

ajoutez y la culture vietnamienne, il est extrêmement difficile de généraliser cela.

la chine est dans le même cas, des esclaves payés une bouchée de pain travaillant 15 heures pas jours et de l'autre côté plus de 600 milliardaires.

je ne vois pas trop où est l'égalité de traitement la dedans.

pourtant, ce pays se dit "communiste".

convenons en, il ne l'est pas.

Connaissez vous un seul pays restant qui a les valeurs du gauchisme qui ne soit pas une dictature
peut être cuba ou la Corée du nord , ou la Birmanie etc ????
L'URSS dont se réclame le gauchisme en france , la Yougoslavie de TITO , l'Albanie '(étaient pas des dictatures ; tout comme tous les pays de l'EST sous la coupe des soviets
LFi en réclamant la gouvernance était il différent voulant même la prendre par la force dans la rue

vous mélangez tout, mais c'est surement parce que vous ne comprenez pas de quoi vous parlez.
sauf que les dictatures dites de gauche n'ont aucune valeur humaniste.
A partir du moment où on force les gens, on ne rentre plus dans la théorie de gauche marxiste.
le fondement ne peut pas être associé à la dictature, sinon ça déforme le fondement.

[Once]

Le lycée Tuol Sleng à Phnom-Penh (camp dénommé « S 21 » en langage codé par les Khmers rouges) a été aménagé cyniquement en centre de détention, de tortures et d’exécution durant la période 1975 -1979 par des « révolutionnaires » animés d’une haine viscérale pour l’élite du pays (fonctionnaires, étudiants, intellectuels…) sous la direction de « Douch » ( ancien professeur de mathématiques qui a été jugé pour crimes génocidaires).

Les autorités cambodgiennes ont aujourd’hui transformé Tuol Sleng en lieu de mémoire pour que les jeunes générations n’oublient pas.

1- De l’extérieur, rien que de très banal en apparence que cet ex-lycée composé de 4 bâtiments disposés en U et construit pendant la présence française.

[Once]

2- À leur entrée en détention, les détenus étaient soigneusement fichés, étiquetés et photographiés de manière anthropomorphique.

[Once]

3- Une maman et son bébé...

[Once]

4- Matricule 162

[Once]

5- Les salles de classe du bâtiment A avaient été aménagées en salles « d’interrogatoires » par les tortionnaires : les détenus étaient attachés sur ces sommiers et soumis à  « la question » durant des heures et des heures en étant torturés (coups, bastonnades, électrocutions etc…)

Les boîtes de munitions servaient aux suppliciés pour déféquer et uriner. Il pouvait arriver que les gardiens les obligent à consommer leurs excréments ou à se prosterner devant des chiens, ce qui constitue pour un khmer l’insulte suprême.

Les plus jeunes tortionnaires (12, 13 ans !) étaient réputés être les plus féroces.

L’important pour les Khmers rouges était de remplir des dizaines de pages d’aveux scrupuleusement répertoriés même si les plus avisés d’entre eux savaient que ces aveux arrachés sous la torture n’avaient pas grande valeur.

Sur le mur à gauche, la photo d’un cadavre calciné trouvé  dans cette pièce par des soldats vietnamiens qui délivrèrent  le camp en 1979.

[Once]

6- Le bâtiment C abrite des cellules de 2 m x 1 m dans lesquels croupissaient les détenus. Vue de l’extérieur.

[Once]

7- Vue de l’intérieur d’une des cellules du même bâtiment C.

[Once]

8- Un jeune peintre détenu dans ce camp et épargné par les Khmers rouges pour ses talents d’illustrateur a reproduit, une vingtaine d’années plus tard, ce qu’étaient les conditions de vie à Tuol Sleng.

La caisse de munitions servait pour les déjections et le bidon pour uriner.

Mais les gardiens se faisaient parfois un malin plaisir de ferrer leurs victimes hors de portée de ces ustensiles pour que celles-ci vivent dans leurs déchets. Puis, une fois ou deux par semaine, ils  passaient devant les cellules en insultant les détenus et en les arrosant à la volée d’un grand jet d’eau.

[Once]

9- Illustration par le peintre déjà cité précédemment d’un de ces types de tortures.

[Once]

10- Tuol Sleng : le règlement intérieur du camp. Notez l’article 6 : inconscience ou cynisme le plus total ?

[Once]

11- Sans commentaires...

Ces photos étaient faites par les tortionnaires eux-mêmes.

On évalue entre 16 000 et 20 000 le nombre de détenus qui ont succombé à Tuol Sleng parmi lesquels environ 2000 enfants.

[Once]

12- Photo de deux responsables de cette horrible période.

[Once]

13- Deux autres...