Seules quelques personnes courageuses et bien informées vous disent la vérité sur les vaccins
Saviez-vous par exemple que ?
La rougeole est une maladie bégnine qui guérit en quelques jours. Seuls les malades du Sida, les enfants souffrant de malnutrition, les femmes enceintes et les nourrissons de moins de un an peuvent souffrir de complications.
Et même : ça ne veut pas encore dire qu’ils en mourront forcément…
Il est impossible de vacciner un bébé contre la rougeole avant l’âge d’un an.
Avant 12 mois le bébé est protégé par les anticorps de sa mère (placenta, sein).
Mais si la mère a été vaccinée, elle produit moins d’anticorps que si elle avait vraiment eu la rougeole ! Donc une mère vaccinée contre la rougeole est un danger pour son bébé !
Le vaccin contre la rougeole ne fonctionne pas à 100% (aucun vaccin ne marche à 100%) :
Par exemple au Québec en 1989 il y a eu 1.363 cas de rougeole, alors que la population est vaccinée à 99%. Et 85% des personnes infectées étaient vaccinées.
Selon le Dr Poland cité par mon ami Xavier Bazin dans sa lettre Santé Corps Esprit cette semaine :
« Plusieurs études ont démontré que 2 à 10 % des personnes immunisées avec deux doses du vaccin contre la rougeole n’arrivent pas à développer des niveaux protecteurs d’anticorps, et que cette immunité peut diminuer au cours du temps et résulter en une infection.
Par exemple, pendant les éruptions de rougeole aux États-Unis entre 1989 et 1991, 20 à 40 % des individus affectés avaient été immunisés avec une ou deux doses du vaccin. Pour une éruption en octobre 2011 au Canada, plus de 50 % des 98 individus avaient reçu deux doses du vaccin anti-rougeole. »
(Dr Poland est un chercheur pro-vaccin de la Société internationale des Vaccins qui a des liens notoires avec le laboratoire pharmaceutique Merck)
La vaccination contre la rougeole est systématique depuis les années 1980 en France.
Entre 1960 et 1980, il y avait maximum une trentaine de morts par an. Bien sûr c’est toujours trop. Avouons cependant que c’est loin d’être un drame de santé publique, comme on nous rebat les oreilles…
Pour comparer, il y a :
3.000 morts sur la route dont plein d’enfants
30.000 morts empoisonnés par des médicaments
40.000 morts de la polution, etc.
Mon ami Xavier Bazin posait cette semaine dans sa lettre Santé Corps Esprit LA question qui fait mal au lobby des vaccins infiltré dans la République :
« Pourquoi la critique des vaccins relève-t-elle du sacrilège, plutôt que de la discussion scientifique raisonnable et apaisée ? »
Et c’est pareil pour la variole, la tuberculose et les oreillons.
Le vaccin pour les oreillons n'offre aucune garantie
Le vaccin pour les oreillons n’est pas plus efficace que celui pour la rougeole.
La proportion des cas survenus chez les vaccinés n'a cessé de croître :
22 % en 1992
30 % en 1993
37 % en 1994
et 61 % en 2001.
En Suisse, cette proportion a même atteint 75 %.
Même l'OMS avoue que la variole n'a pas été éradiquée par le vaccin
Selon l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), ce n’est pas la vaccination de masse qui a éradiqué cette maladie, mais des mesures d’hygiène. Vous pouvez le lire vous-même page 32 du rapport de l’OMS disponible ici.
Affirmer le contraire est la plus grosse "fake news" – fausse info – répétée en boucle par les médias et les idiots utiles de Big Pharma.
Le 28 juin 2017, 200 personnalités perpétuaient ce mythe dans leur appel en faveur des onze vaccins de Macron… Ils devraient être jugés pour propagande mensongère et mise en danger de la vie d’autrui !
Vous voulez parler de la tuberculose ? D'accord !
Encore un exemple :
le déclin de la tuberculose était très largement enclenché quand le vaccin BCG a été introduit. Le graphique qui suit le prouve pour l’Allemagne :
J’ai les mêmes graphiques pour la diphtérie, le tétanos, les oreillons, l’hépatite B et la coqueluche.
Parfois c’est même pire : quand la vaccination devient obligatoire la maladie se met à progresser !
Actuellement, les immunologistes s’interrogent sur les poussées épidémiques qui surviennent dans les populations vaccinées. Ce constat est évidemment embarrassant pour eux. À l’évidence il s’agit d’une faillite de la vaccination, qui non seulement a de terribles effets pervers mais n’a jamais « éradiqué » une maladie.
Les fausses informations sur les vaccins viennent du gouvernement !
C’est le professeur Bernard Bégaud, ancien président de l’Université de Bordeaux, spécialiste de santé publique, qui accuse le gouvernement de mentir dans Libération du 12 juillet :
« Il est malhonnête et contre-productif de nier » que 2000 personnes sont touchées par la sclérose en plaques après qu’on leur a injecté le vaccin de l’hépatite B. Il existe « au moins une étude » ayant montré un lien entre sclérose en plaques et vaccin contre l’hépatite B. « Pourquoi mentir ? » demande-t-il. « De même, pour défendre la vaccination contre l’hépatite B, on a exagéré le risque de cancer du foie par 100 ! ».
Car n’en doutez pas :
les excités et les extrémistes sont bien au gouvernement, dans les labos et dans les journaux ! Nous, nous sommes du côté de la science, eux sont dans l’invective et le fanatisme.
Néo-nutrition est un service d'information gratuit de Santé Nature Innovation (SNI Editions).