Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
- Crapulax
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
........................Mort d'une vingtaine de Migrants repêchés en mer par des patrouilles Marocaines........................
Nouvelle catastrophe au large des côtes marocaines. Les cadavres de "près d'une vingtaine" de migrants d'origine subsaharienne ont été repêchés en mer samedi par des patrouilles marocaines après avoir été repérés depuis un bateau espagnol, le Soroya, a annoncé dimanche une porte-parole de la préfecture de l'enclave espagnole de Melilla.
Les migrants ont été vus par l'équipage du Soroya, qui a alerté les secours en mer des deux pays, a déclaré cette porte-parole en précisant que l'équipage avait "estimé à une vingtaine" les cadavres ensuite récupérés par les secours marocains dans leurs eaux territoriales. Un hélicoptère de la Guardia Civil est encore mobilisé pour les recherches, selon la préfecture de Melilla. Le Maroc n'a pas pour l'instant diffusé son bilan des victimes.
L'Espagne, nouvelle porte d'entrée des migrants:
Cette découverte intervient alors que la route "espagnole", est de plus en plus empruntée par les migrants subsahariens qui tentent d'arriver en Europe. Selon le dernier bilan de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), l'Espagne est le deuxième point d'entrée avec 1.279 arrivées par mer depuis le début de l'année, après l'Italie (4.256). Au total, depuis le début de l'année, 243 personnes ont disparu ou péri en mer Méditerrannée, selon ce bilan qui ne comprend pas le groupe découvert samedi.
En 2017, l'Espagne a été la troisième porte d'entrée en Europe des migrants, via la Méditerranée, après l'Italie et la Grèce. L'année dernière, les arrivées par mer ont triplé par rapport à 2016, atteignant un total de 22.900 migrants, selon Frontex, l'organisme européen de surveillance des frontières. Plus de 200 sont morts ou ont disparu pendant la traversée.
Source:La Dépêche.
Nouvelle catastrophe au large des côtes marocaines. Les cadavres de "près d'une vingtaine" de migrants d'origine subsaharienne ont été repêchés en mer samedi par des patrouilles marocaines après avoir été repérés depuis un bateau espagnol, le Soroya, a annoncé dimanche une porte-parole de la préfecture de l'enclave espagnole de Melilla.
Les migrants ont été vus par l'équipage du Soroya, qui a alerté les secours en mer des deux pays, a déclaré cette porte-parole en précisant que l'équipage avait "estimé à une vingtaine" les cadavres ensuite récupérés par les secours marocains dans leurs eaux territoriales. Un hélicoptère de la Guardia Civil est encore mobilisé pour les recherches, selon la préfecture de Melilla. Le Maroc n'a pas pour l'instant diffusé son bilan des victimes.
L'Espagne, nouvelle porte d'entrée des migrants:
Cette découverte intervient alors que la route "espagnole", est de plus en plus empruntée par les migrants subsahariens qui tentent d'arriver en Europe. Selon le dernier bilan de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), l'Espagne est le deuxième point d'entrée avec 1.279 arrivées par mer depuis le début de l'année, après l'Italie (4.256). Au total, depuis le début de l'année, 243 personnes ont disparu ou péri en mer Méditerrannée, selon ce bilan qui ne comprend pas le groupe découvert samedi.
En 2017, l'Espagne a été la troisième porte d'entrée en Europe des migrants, via la Méditerranée, après l'Italie et la Grèce. L'année dernière, les arrivées par mer ont triplé par rapport à 2016, atteignant un total de 22.900 migrants, selon Frontex, l'organisme européen de surveillance des frontières. Plus de 200 sont morts ou ont disparu pendant la traversée.
Source:La Dépêche.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
.....................Preuve que les Marseillais et les Parisiens peuvent s'entendre...............( )
Marseille-Paris en ligne directe, blanche comme la cocaïne. Selon les observations de la police judiciaire, les convois de plusieurs véhicules en mode go fast s'élançaient, à intervalle régulier, des quartiers nord de Marseille - au moins cinq voyages comptabilisés entre mai et novembre 2015 - pour s'approvisionner en poudre, à l'aller. "On allait acheter de la chicha", ont cligné des yeux les suspects.
Dans le but, au retour, martèle l'accusation, d'irriguer les principaux points de vente de drogue des cités du 13e : Val Plan, le Clos La Rose, La Bégude nord et La Bégude sud. Ces territoires en désespérance sociale où une guerre armée entre clans rivaux de trafiquants sème la mort à coups de rafales de kalachnikov.
Mais un jour de novembre 2015, le feu est passé au rouge. La liaison 13-93 a été coupée par des policiers parisiens, bien renseignés, qui ont réalisé l'un des plus beaux "coups" de l'année. Pris en flagrant délit, à Rosny-sous-Bois, le Marseillais Anice Hamdaoui et deux de ses complices, en plein achat de 2 kg de cocaïne (le prix du kg de cocaïne est estimé à 35 000 €) auprès d'un fournisseur notoire de l'est parisien.
En passant les voitures au radar, les policiers saisissaient 6 autres pains d'1 kg de cocaïne et 63 660 € en liquide. Toujours sur ce volet parisien, les perquisitions opérées chez une nourrice permettaient de découvrir 10 nouveaux kilos de coke, 17 kg de shit, près de 230 000 €, cinq armes de poing chargées et des explosifs...
Et aussi Prison ferme pour les braqueurs du laser-game:
Un petit tremblement de terre dans le monde des stupéfiants. Qui allait précipiter, en réplique, une autre intervention policière à 800 kilomètres de distance de la banlieue parisienne. Du côté de Val Plan précisément où, en parallèle, l'antenne marseillaise de l'Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS) filait discrètement mais assidûment, depuis des mois et des mois, les trois frères Hamdaoui. Très connue des services, la fratrie était déjà soupçonnée de tenir d'une main de fer "le réseau de revente de stupéfiants au sein des cités sensibles du 13e arrondissement".
Selon les rôles distribués avec précision par les magistrats, Anice (32 ans) serait chargé de l'approvisionnement. Riyadh (26 ans), dit "Grinch", superviserait les petites mains en bas des tours, aidé d'un autre chef d'équipe, Kévin Ruiz, dit "Kilou". Enfin, Moez (37 ans), l'aîné, présenté comme un membre "influent du banditisme marseillais", officierait en qualité de chef de file redouté et redoutable de cette organisation. Au palmarès judiciaire de ce dernier, entre autres, une condamnation à cinq ans de prison pour avoir participé à la tentative d'évasion du célèbre braqueur, Pascal Payet.
Au lendemain du coup de filet parisien, Moez Hamdaoui était à son tour arrêté au volant de sa Clio. Un Smith et Wesson chargé de six cartouches de 356 planquées dans la console centrale. "Avec tout ce qui se passe à Marseille, c'était pour me protéger", s'est-il laconiquement justifié devant la cour. Également appréhendés, Khaled Ansel, 36 ans, un boxeur professionnel de talent, officiellement devenu patron des bars à chicha, et son frère, Abdelkader, 32 ans. Tous deux sont décrits par l'accusation comme les gérants d'une filiale du trafic irriguant le secteur du boulevard Oddo (15e). Ce qu'ils réfutent.
"Une grosse équipe":
Au cours des différentes perquisitions effectuées dans l'entourage des Hamdaoui et des Ansel, ont encore étés saisis plus d'1,5 kg de cocaïne, des talkies-walkies, des balances, des armes, des douilles... "Les Hamdaoui sont à classer dans la catégorie des quelques grandes familles marseillaises du narcobanditisme, décrypte un enquêteur. Pour situer leur dangerosité, deux desfrères, Anice, un gars très structuré et intelligent, et Moez, plus sanguin, ont déjà été mis en examen pour leur participation supposée à des règlements de comptes visant des concurrents. Quoi qu'il en soit, nous avons affaire à un réseau d'importance et qui ouvre les appétits." Des accusations contestées avec force par les 10 prévenus renvoyés, cette semaine, devant la 7e chambre, très froide, du tribunal correctionnel de Marseille.
En l'absence d'Anice Hamdaoui, dont le cas a été disjoint pour être jugé ultérieurement avec sa compagne, Stéphanie Chalamet. Mais en présence de Moez Hamdaoui, qui avait exprimé lui aussi son refus de comparaître. Il a pourtant été extrait en force de sa cellule à la grande colère de son avocat, Me Thomas Bidnic, qui a dénoncé un "scénario policier" et un procès "instruit à charge, à charge, à charge".
Le verdict, tombé hier, ne le fera pas changer d'avis : après des débats sans relief, entre dénégations et incidents d'audience, Moez Hamdaoui a été lourdement condamné à sept ans de prison. La peine requise par le parquet. Riyadh Hamdaoui a écopé de deux ans et six mois. Khaled Ansela a reçu cinq ans, son frère Abdelkader, trois ans dont six mois avec sursis, et son beau-frère, Laoirie Benayad, chez qui 1,3 kg de cocaïne avait été retrouvé, s'est vu infliger cinq ans ferme.
Côté pile, après les Bengler et les Ahamada, c'est une autre "grosse équipe", dixit la PJ, qui est placée sous les verrous. Côté face, pendant ce temps, vu la forte demande, le trafic a remplacé ses têtes et se porte comme un charme.
Source:La Provence.
Marseille-Paris en ligne directe, blanche comme la cocaïne. Selon les observations de la police judiciaire, les convois de plusieurs véhicules en mode go fast s'élançaient, à intervalle régulier, des quartiers nord de Marseille - au moins cinq voyages comptabilisés entre mai et novembre 2015 - pour s'approvisionner en poudre, à l'aller. "On allait acheter de la chicha", ont cligné des yeux les suspects.
Dans le but, au retour, martèle l'accusation, d'irriguer les principaux points de vente de drogue des cités du 13e : Val Plan, le Clos La Rose, La Bégude nord et La Bégude sud. Ces territoires en désespérance sociale où une guerre armée entre clans rivaux de trafiquants sème la mort à coups de rafales de kalachnikov.
Mais un jour de novembre 2015, le feu est passé au rouge. La liaison 13-93 a été coupée par des policiers parisiens, bien renseignés, qui ont réalisé l'un des plus beaux "coups" de l'année. Pris en flagrant délit, à Rosny-sous-Bois, le Marseillais Anice Hamdaoui et deux de ses complices, en plein achat de 2 kg de cocaïne (le prix du kg de cocaïne est estimé à 35 000 €) auprès d'un fournisseur notoire de l'est parisien.
En passant les voitures au radar, les policiers saisissaient 6 autres pains d'1 kg de cocaïne et 63 660 € en liquide. Toujours sur ce volet parisien, les perquisitions opérées chez une nourrice permettaient de découvrir 10 nouveaux kilos de coke, 17 kg de shit, près de 230 000 €, cinq armes de poing chargées et des explosifs...
Et aussi Prison ferme pour les braqueurs du laser-game:
Un petit tremblement de terre dans le monde des stupéfiants. Qui allait précipiter, en réplique, une autre intervention policière à 800 kilomètres de distance de la banlieue parisienne. Du côté de Val Plan précisément où, en parallèle, l'antenne marseillaise de l'Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS) filait discrètement mais assidûment, depuis des mois et des mois, les trois frères Hamdaoui. Très connue des services, la fratrie était déjà soupçonnée de tenir d'une main de fer "le réseau de revente de stupéfiants au sein des cités sensibles du 13e arrondissement".
Selon les rôles distribués avec précision par les magistrats, Anice (32 ans) serait chargé de l'approvisionnement. Riyadh (26 ans), dit "Grinch", superviserait les petites mains en bas des tours, aidé d'un autre chef d'équipe, Kévin Ruiz, dit "Kilou". Enfin, Moez (37 ans), l'aîné, présenté comme un membre "influent du banditisme marseillais", officierait en qualité de chef de file redouté et redoutable de cette organisation. Au palmarès judiciaire de ce dernier, entre autres, une condamnation à cinq ans de prison pour avoir participé à la tentative d'évasion du célèbre braqueur, Pascal Payet.
Au lendemain du coup de filet parisien, Moez Hamdaoui était à son tour arrêté au volant de sa Clio. Un Smith et Wesson chargé de six cartouches de 356 planquées dans la console centrale. "Avec tout ce qui se passe à Marseille, c'était pour me protéger", s'est-il laconiquement justifié devant la cour. Également appréhendés, Khaled Ansel, 36 ans, un boxeur professionnel de talent, officiellement devenu patron des bars à chicha, et son frère, Abdelkader, 32 ans. Tous deux sont décrits par l'accusation comme les gérants d'une filiale du trafic irriguant le secteur du boulevard Oddo (15e). Ce qu'ils réfutent.
"Une grosse équipe":
Au cours des différentes perquisitions effectuées dans l'entourage des Hamdaoui et des Ansel, ont encore étés saisis plus d'1,5 kg de cocaïne, des talkies-walkies, des balances, des armes, des douilles... "Les Hamdaoui sont à classer dans la catégorie des quelques grandes familles marseillaises du narcobanditisme, décrypte un enquêteur. Pour situer leur dangerosité, deux desfrères, Anice, un gars très structuré et intelligent, et Moez, plus sanguin, ont déjà été mis en examen pour leur participation supposée à des règlements de comptes visant des concurrents. Quoi qu'il en soit, nous avons affaire à un réseau d'importance et qui ouvre les appétits." Des accusations contestées avec force par les 10 prévenus renvoyés, cette semaine, devant la 7e chambre, très froide, du tribunal correctionnel de Marseille.
En l'absence d'Anice Hamdaoui, dont le cas a été disjoint pour être jugé ultérieurement avec sa compagne, Stéphanie Chalamet. Mais en présence de Moez Hamdaoui, qui avait exprimé lui aussi son refus de comparaître. Il a pourtant été extrait en force de sa cellule à la grande colère de son avocat, Me Thomas Bidnic, qui a dénoncé un "scénario policier" et un procès "instruit à charge, à charge, à charge".
Le verdict, tombé hier, ne le fera pas changer d'avis : après des débats sans relief, entre dénégations et incidents d'audience, Moez Hamdaoui a été lourdement condamné à sept ans de prison. La peine requise par le parquet. Riyadh Hamdaoui a écopé de deux ans et six mois. Khaled Ansela a reçu cinq ans, son frère Abdelkader, trois ans dont six mois avec sursis, et son beau-frère, Laoirie Benayad, chez qui 1,3 kg de cocaïne avait été retrouvé, s'est vu infliger cinq ans ferme.
Côté pile, après les Bengler et les Ahamada, c'est une autre "grosse équipe", dixit la PJ, qui est placée sous les verrous. Côté face, pendant ce temps, vu la forte demande, le trafic a remplacé ses têtes et se porte comme un charme.
Source:La Provence.
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Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
.........................Utilisation d'armes chimiques lors de raids en Syrie?................................
Selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme, des habitants de Saraqeb, dans le nord-ouest de la Syrie, ont rapporté dimanche avoir été victimes d’une attaque au gaz. Dans la semaine, les États-Unis avaient accusé le régime de Bachar al-Assad d’utiliser des armes chimiques, ce que Damas avait nié.
Cinq civils syriens souffrant d’asphyxie ont été hospitalisés dimanche après des bombardements du régime de Bachar al-Assad sur la ville de Saraqeb, dans le nord-ouest de ce pays en guerre, a indiqué l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), ajoutant que dix civils avaient été tués.
« Une odeur nauséabonde s’est répandue après que des hélicoptères du régime eurent frappé plusieurs quartiers de la ville de Saraqeb dans la province d’Idleb », a précisé l’OSDH.
L’OSDH a cité des habitants et des sources médicales faisant état d’un « gaz toxique », sans donner plus de détails.
Suspicions d’armes chimiques
Des raids de l'armée de l'air du régime ont par ailleurs tué six civils dans la ville de Kafr Nabl, dans le sud de la province d'Idleb, a indiqué l'Observatoire. Quatre autres civils ont été tués lors de bombardements du régime sur les villes de Maasarin et Maaret al-Noomane. Selon l'OSDH, "des avions présumés russes ont touché le principal hôpital de Maaret al-Noomane, causant des dégâts". Il a cessé de fonctionner en attendant que les réparations soient effectuées, a ajouté l'OSDH.
Jeudi, un haut responsable américain avait affirmé que le régime de Bachar al-Assad et le groupe État islamique (EI) « continuent d’utiliser des armes chimiques ».
Vendredi, le ministre américain de la Défense Jim Mattis avait déclaré que du chlore « a été » utilisé « à de nombreuses reprises » dans des attaques en Syrie.
« Mais ce qui nous inquiète le plus, c’est la possibilité que du gaz sarin ait été utilisé » récemment, avait-il ajouté, précisant que les États-Unis n’avaient pour le moment pas de preuves pour étayer cette hypothèse.
La Syrie a qualifié samedi les récentes accusations des États-Unis de « mensonges ».
Source:Ouest-France.
Selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme, des habitants de Saraqeb, dans le nord-ouest de la Syrie, ont rapporté dimanche avoir été victimes d’une attaque au gaz. Dans la semaine, les États-Unis avaient accusé le régime de Bachar al-Assad d’utiliser des armes chimiques, ce que Damas avait nié.
Cinq civils syriens souffrant d’asphyxie ont été hospitalisés dimanche après des bombardements du régime de Bachar al-Assad sur la ville de Saraqeb, dans le nord-ouest de ce pays en guerre, a indiqué l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), ajoutant que dix civils avaient été tués.
« Une odeur nauséabonde s’est répandue après que des hélicoptères du régime eurent frappé plusieurs quartiers de la ville de Saraqeb dans la province d’Idleb », a précisé l’OSDH.
L’OSDH a cité des habitants et des sources médicales faisant état d’un « gaz toxique », sans donner plus de détails.
Suspicions d’armes chimiques
Des raids de l'armée de l'air du régime ont par ailleurs tué six civils dans la ville de Kafr Nabl, dans le sud de la province d'Idleb, a indiqué l'Observatoire. Quatre autres civils ont été tués lors de bombardements du régime sur les villes de Maasarin et Maaret al-Noomane. Selon l'OSDH, "des avions présumés russes ont touché le principal hôpital de Maaret al-Noomane, causant des dégâts". Il a cessé de fonctionner en attendant que les réparations soient effectuées, a ajouté l'OSDH.
Jeudi, un haut responsable américain avait affirmé que le régime de Bachar al-Assad et le groupe État islamique (EI) « continuent d’utiliser des armes chimiques ».
Vendredi, le ministre américain de la Défense Jim Mattis avait déclaré que du chlore « a été » utilisé « à de nombreuses reprises » dans des attaques en Syrie.
« Mais ce qui nous inquiète le plus, c’est la possibilité que du gaz sarin ait été utilisé » récemment, avait-il ajouté, précisant que les États-Unis n’avaient pour le moment pas de preuves pour étayer cette hypothèse.
La Syrie a qualifié samedi les récentes accusations des États-Unis de « mensonges ».
Source:Ouest-France.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
toute cette drogue sert aussi peu être à payé les conflit armées au loin
on relève tout les ans le nbre important de gens qui ont besoin d'antidépresseurs et autre, mais incapable de savoir le nbre de ceux qui utilisent coke et cannabis.. et forcement on taxe ceux qui fument du tabac, c'est plus pratique, pour l'écologie de la plannnète, l'écologie pour ceux qui ne sont pas sorti de l'école et qui continuent le bachotage
on relève tout les ans le nbre important de gens qui ont besoin d'antidépresseurs et autre, mais incapable de savoir le nbre de ceux qui utilisent coke et cannabis.. et forcement on taxe ceux qui fument du tabac, c'est plus pratique, pour l'écologie de la plannnète, l'écologie pour ceux qui ne sont pas sorti de l'école et qui continuent le bachotage
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
.................Un Gendarme tué par un mineur de 15 ans....................
Le gendarme qui avait été grièvement blessé dimanche au cours d'un contrôle de vitesse en Gironde est mort, a-t-on appris lundi soir auprès de la gendarmerie.
Agé de 46 ans, cet adjudant de la brigade de Belin-Beliet avait été percuté par un motard âgé de 15 ans qui avait refusé d'obtempérer lors d'un contrôle de vitesse à Salles, au sud de Bordeaux. Dans un état grave, le sous-officier a été héliporté à l'hôpital Pellegrin de Bordeaux. Il était marié et père de trois enfants.
Dans un communiqué, le ministre de l'Intérieur, Gérard Collomb, a fait part de «son immense tristesse».
Il rappelle que «ce drame vient endeuiller la gendarmerie nationale un deuxième fois en trois jours», après le décès d'un gendarme motocycliste, samedi 3 février dans les Deux-Sèvres.
«Tentative de meurtre aggravé»:
L'adolescent, qui se trouvait au guidon d'une moto de cross, a été placé en garde à vue pour «tentative de meurtre aggravée», a annoncé lundi le parquet de Bordeaux. La victime, accompagnée de trois autres gendarmes, était chargée de tenir le radar destiné à mesurer la vitesse des usagers de cette route départementale de Salles.
L'enquête en cours, confiée aux gendarmes de la brigade de recherches d'Arcachon, doit notamment établir si le cyclomoteur de 50 cm3 utilisé par l'adolescent «était homologué pour circuler sur route». Elle doit aussi «déterminer les conditions précises dans lesquelles les faits sont survenus (conditions atmosphériques, visibilité, vitesses, trajectoires, positionnement des protagonistes, auditions de témoins...)», selon le parquet de Bordeaux.
En 2017, huit militaires de la gendarmerie sont morts dans l'exercice de leurs missions, selon des chiffres du ministère de l'Intérieur.
Source:Le Figaro.
Le gendarme qui avait été grièvement blessé dimanche au cours d'un contrôle de vitesse en Gironde est mort, a-t-on appris lundi soir auprès de la gendarmerie.
Agé de 46 ans, cet adjudant de la brigade de Belin-Beliet avait été percuté par un motard âgé de 15 ans qui avait refusé d'obtempérer lors d'un contrôle de vitesse à Salles, au sud de Bordeaux. Dans un état grave, le sous-officier a été héliporté à l'hôpital Pellegrin de Bordeaux. Il était marié et père de trois enfants.
Dans un communiqué, le ministre de l'Intérieur, Gérard Collomb, a fait part de «son immense tristesse».
Il rappelle que «ce drame vient endeuiller la gendarmerie nationale un deuxième fois en trois jours», après le décès d'un gendarme motocycliste, samedi 3 février dans les Deux-Sèvres.
«Tentative de meurtre aggravé»:
L'adolescent, qui se trouvait au guidon d'une moto de cross, a été placé en garde à vue pour «tentative de meurtre aggravée», a annoncé lundi le parquet de Bordeaux. La victime, accompagnée de trois autres gendarmes, était chargée de tenir le radar destiné à mesurer la vitesse des usagers de cette route départementale de Salles.
L'enquête en cours, confiée aux gendarmes de la brigade de recherches d'Arcachon, doit notamment établir si le cyclomoteur de 50 cm3 utilisé par l'adolescent «était homologué pour circuler sur route». Elle doit aussi «déterminer les conditions précises dans lesquelles les faits sont survenus (conditions atmosphériques, visibilité, vitesses, trajectoires, positionnement des protagonistes, auditions de témoins...)», selon le parquet de Bordeaux.
En 2017, huit militaires de la gendarmerie sont morts dans l'exercice de leurs missions, selon des chiffres du ministère de l'Intérieur.
Source:Le Figaro.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
...................Un Curé de Nice suspendu pour des faits présumés d'attouchements sexuels .....................
Le curé suspendu de toute activité auprès des jeunes pour des faits présumés d'attouchements sexuels quand il était aumônier d'un collège catholique niçois réputé, est mis en cause par plusieurs personnes, a précisé lundi le parquet de Nice, évoquant "un très grand nombre de victimes potentielles". Ce prêtre "est mis en cause de manière grave par des personnes aujourd'hui adultes pour des faits à caractère sexuel qui auraient pu être commis à l'encontre d'élèves alors qu'il était aumônier du collège Stanislas" à Nice, a indiqué lors de son point presse mensuel le procureur de la République Jean-Michel Prêtre.
Interrogée par l'AFP, la direction actuelle de ce fleuron de l'enseignement catholique privé niçois a indiqué "n'être pas du tout au courant de l'affaire". "Ca fait longtemps qu'il n'est plus à Stanislas", a-t-elle affirmé. Après avoir quitté Stanislas, ce prêtre a été aumônier dans deux établissements scolaires privés catholiques. Ce n'est qu'à la rentrée scolaire 2017 qu'il a été écarté du dernier établissement où il travaillait encore, l'école Saint Joseph, a vérifié l'AFP. "Ce prêtre, jusqu'à la révélation de ces faits, se trouvait toujours en situation de responsabilité de jeunes et quand le parquet a été rendu destinataire de lettres de personnes se déclarant victimes, il a tout de suite ouvert une enquête et demandé que cette personne soit administrativement rendue incapable de pouvoir encadrer des jeunes", a poursuivi le procureur.
Contacté vendredi par l'AFP, l'évêché de Nice avait confirmé que ce curé avait été suspendu de tout ministère auprès de la jeunesse, sans préciser que cette suspension avait été imposée par la préfecture. Ce prêtre, qui officie dans la région de Nice, continue cependant de célébrer la messe. L'enquête visant ce curé avait été révélée par France 3 Côte d'Azur, qui a interviewé la seule victime ayant à ce jour formalisé ses griefs dans une plainte au pénal. Elle a été confiée à la sûreté départementale.
"On est devant des faits décrits de manière très circonstanciée, avec des sources multiples, diverses et cohérentes, trois éléments qui créent la conviction que cela a bien pu se passer", a insisté M. Prêtre: "C'est quelqu'un qui était en fonction depuis de très longues années, 30 ans grosso modo, cela peut donc concerner un très grand nombre de victimes potentielles". "Il y a certainement des faits qui sont prescrits aujourd'hui, mais d'autres qui ne le sont pas. Cela fait partie des investigations en cours de vérifier quand ça s'est passé, quel âge avaient les victimes, puisque le délai de prescription pour les mineurs ne commence à courir que du jour de leurs 18 ans. A partir de ce délai, la prescription pour les faits les plus graves va jusqu'à 20 ans", a rappelé M. Prêtre.
Le curé suspendu de toute activité auprès des jeunes pour des faits présumés d'attouchements sexuels quand il était aumônier d'un collège catholique niçois réputé, est mis en cause par plusieurs personnes, a précisé lundi le parquet de Nice, évoquant "un très grand nombre de victimes potentielles". Ce prêtre "est mis en cause de manière grave par des personnes aujourd'hui adultes pour des faits à caractère sexuel qui auraient pu être commis à l'encontre d'élèves alors qu'il était aumônier du collège Stanislas" à Nice, a indiqué lors de son point presse mensuel le procureur de la République Jean-Michel Prêtre.
Interrogée par l'AFP, la direction actuelle de ce fleuron de l'enseignement catholique privé niçois a indiqué "n'être pas du tout au courant de l'affaire". "Ca fait longtemps qu'il n'est plus à Stanislas", a-t-elle affirmé. Après avoir quitté Stanislas, ce prêtre a été aumônier dans deux établissements scolaires privés catholiques. Ce n'est qu'à la rentrée scolaire 2017 qu'il a été écarté du dernier établissement où il travaillait encore, l'école Saint Joseph, a vérifié l'AFP. "Ce prêtre, jusqu'à la révélation de ces faits, se trouvait toujours en situation de responsabilité de jeunes et quand le parquet a été rendu destinataire de lettres de personnes se déclarant victimes, il a tout de suite ouvert une enquête et demandé que cette personne soit administrativement rendue incapable de pouvoir encadrer des jeunes", a poursuivi le procureur.
Contacté vendredi par l'AFP, l'évêché de Nice avait confirmé que ce curé avait été suspendu de tout ministère auprès de la jeunesse, sans préciser que cette suspension avait été imposée par la préfecture. Ce prêtre, qui officie dans la région de Nice, continue cependant de célébrer la messe. L'enquête visant ce curé avait été révélée par France 3 Côte d'Azur, qui a interviewé la seule victime ayant à ce jour formalisé ses griefs dans une plainte au pénal. Elle a été confiée à la sûreté départementale.
"On est devant des faits décrits de manière très circonstanciée, avec des sources multiples, diverses et cohérentes, trois éléments qui créent la conviction que cela a bien pu se passer", a insisté M. Prêtre: "C'est quelqu'un qui était en fonction depuis de très longues années, 30 ans grosso modo, cela peut donc concerner un très grand nombre de victimes potentielles". "Il y a certainement des faits qui sont prescrits aujourd'hui, mais d'autres qui ne le sont pas. Cela fait partie des investigations en cours de vérifier quand ça s'est passé, quel âge avaient les victimes, puisque le délai de prescription pour les mineurs ne commence à courir que du jour de leurs 18 ans. A partir de ce délai, la prescription pour les faits les plus graves va jusqu'à 20 ans", a rappelé M. Prêtre.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
................................Un Médecin(Spécialiste) Nîmois aux pratiques douteuses et surtout dangereuses.........................
Un spécialiste du traitement de l’obésité à Nîmes (Gard) est soupçonné d’avoir administré un produit interdit en France et dangereux à des centaines de patients. Il a été mis en examen ce mercredi.
Si l’obésité est le mal du siècle, ce médecin nîmois a su le transformer en poule aux œufs d’or. Le docteur Olivier M., 54 ans, a été mis en examen ce mercredi après midi à Nîmes (Gard), pour « blessure involontaire, mis en danger de la vie d’autrui et escroquerie ».
La justice le suspecte d’avoir, entre 2011 et novembre 2014 dans une clinique de Nîmes, mis en œuvre une technique d’intervention chirurgicale non reconnue en France sur 515 victimes dont une a failli perdre la vie, sans oublier de se faire indemniser par la caisse primaired’assurance maladie (CPAM) pour plus de 447 000 €, sur la base de fausses déclarations.
Traitement inefficace
L’affaire commence en septembre 2014, lorsqu’un premier patient est admis aux urgences du centre hospitalier de Nîmes. « Cet homme souffrait de complications après avoir subi une injection d’acide hyaluronique dans l’estomac pour combattre son obésité, en réduisant la sensation de faim, au bloc opératoire de la clinique Grand Sud », précise une source proche de l’affaire. La victime est tirée d’affaire.
Mais l’agence régionale de santé (ARS) va s’intéresser de plus près aux activités du gastro-entérologue et hépatologue. En effet, plusieurs hôpitaux lui rapportent de nombreux cas litigieux de personnes ayant des complications, la poussant à signaler l’affaire au parquet. « Nous avons recensé une dizaine de personnes qui ont souffert de complications après avoir subi ces injections dans cette clinique. »
Les enquêteurs de la sûreté vont découvrir que le médecin suivait depuis l’été 2013 un protocole de soins non autorisé dans l’Hexagone. « Ce traitement a été écarté par les autorités non seulement parce qu’il est inefficace, car son effet s’estompe avec le temps, mais aussi en raison des risques de complications médicales qui peuvent être mortelles », ajoute la même source. Jusqu’en novembre, 2014, les policiers dénombrent au moins 515 victimes qui sont passées entre les mains d’Olivier M.
Un appel à témoins lancé:
Le docteur, en plus de mettre la vie de ses patients en danger, trompait aussi la sécurité sociale qui a été escroquée à hauteur de 447 285 €. « Afin d’obtenir le remboursement de ses patients par la CPAM, Olivier M., facturait ses actes illégaux au titre d’actes d’endoscopie tout en pratiquant des dépassements d’honoraires », explique une source proche du dossier.
Durant deux ans, le médecin s’est justifié auprès du personnel médical qui travaillait dans le bloc opératoire de la clinique du Grand Sud. Il maquillait les archives de l’établissement, en effaçant lui-même sur les ordinateurs les traces de l’acquisition des produits interdits et injectés aux patients. Les enquêteurs ne peuvent pas écarter une complicité à l’intérieur de la clinique.
Lors de sa garde à vue face aux enquêteurs de la brigade financière de la sûreté, Olivier M. est passé aux aveux complets. « Il assure qu’il a monté cette affaire pour gagner de l’argent alors qu’il traversait une période difficile personnellement et professionnellement », explique une autre source proche du dossier. Les forces de l’ordre ont mené des perquisitions au domicile et dans les locaux professionnels du suspect et ont découvert qu’il avait commencé à réaliser ces actes illégaux avant 2013. Ils ont lancé mercredi un appel à témoins pour tenter de retrouver de nouvelle victime du praticien. Contactée mercredi, la clinique du Grand Sud s’est dite incapable de nous répondre.
Source:Le Parisien.
Un spécialiste du traitement de l’obésité à Nîmes (Gard) est soupçonné d’avoir administré un produit interdit en France et dangereux à des centaines de patients. Il a été mis en examen ce mercredi.
Si l’obésité est le mal du siècle, ce médecin nîmois a su le transformer en poule aux œufs d’or. Le docteur Olivier M., 54 ans, a été mis en examen ce mercredi après midi à Nîmes (Gard), pour « blessure involontaire, mis en danger de la vie d’autrui et escroquerie ».
La justice le suspecte d’avoir, entre 2011 et novembre 2014 dans une clinique de Nîmes, mis en œuvre une technique d’intervention chirurgicale non reconnue en France sur 515 victimes dont une a failli perdre la vie, sans oublier de se faire indemniser par la caisse primaired’assurance maladie (CPAM) pour plus de 447 000 €, sur la base de fausses déclarations.
Traitement inefficace
L’affaire commence en septembre 2014, lorsqu’un premier patient est admis aux urgences du centre hospitalier de Nîmes. « Cet homme souffrait de complications après avoir subi une injection d’acide hyaluronique dans l’estomac pour combattre son obésité, en réduisant la sensation de faim, au bloc opératoire de la clinique Grand Sud », précise une source proche de l’affaire. La victime est tirée d’affaire.
Mais l’agence régionale de santé (ARS) va s’intéresser de plus près aux activités du gastro-entérologue et hépatologue. En effet, plusieurs hôpitaux lui rapportent de nombreux cas litigieux de personnes ayant des complications, la poussant à signaler l’affaire au parquet. « Nous avons recensé une dizaine de personnes qui ont souffert de complications après avoir subi ces injections dans cette clinique. »
Les enquêteurs de la sûreté vont découvrir que le médecin suivait depuis l’été 2013 un protocole de soins non autorisé dans l’Hexagone. « Ce traitement a été écarté par les autorités non seulement parce qu’il est inefficace, car son effet s’estompe avec le temps, mais aussi en raison des risques de complications médicales qui peuvent être mortelles », ajoute la même source. Jusqu’en novembre, 2014, les policiers dénombrent au moins 515 victimes qui sont passées entre les mains d’Olivier M.
Un appel à témoins lancé:
Le docteur, en plus de mettre la vie de ses patients en danger, trompait aussi la sécurité sociale qui a été escroquée à hauteur de 447 285 €. « Afin d’obtenir le remboursement de ses patients par la CPAM, Olivier M., facturait ses actes illégaux au titre d’actes d’endoscopie tout en pratiquant des dépassements d’honoraires », explique une source proche du dossier.
Durant deux ans, le médecin s’est justifié auprès du personnel médical qui travaillait dans le bloc opératoire de la clinique du Grand Sud. Il maquillait les archives de l’établissement, en effaçant lui-même sur les ordinateurs les traces de l’acquisition des produits interdits et injectés aux patients. Les enquêteurs ne peuvent pas écarter une complicité à l’intérieur de la clinique.
Lors de sa garde à vue face aux enquêteurs de la brigade financière de la sûreté, Olivier M. est passé aux aveux complets. « Il assure qu’il a monté cette affaire pour gagner de l’argent alors qu’il traversait une période difficile personnellement et professionnellement », explique une autre source proche du dossier. Les forces de l’ordre ont mené des perquisitions au domicile et dans les locaux professionnels du suspect et ont découvert qu’il avait commencé à réaliser ces actes illégaux avant 2013. Ils ont lancé mercredi un appel à témoins pour tenter de retrouver de nouvelle victime du praticien. Contactée mercredi, la clinique du Grand Sud s’est dite incapable de nous répondre.
Source:Le Parisien.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
................Exclu lors d'un match,le joueur de Foot revient sur le terrain armé d'un fusil....................
Scène incroyable sur les terrains de football. En troisième division de district, un joueur s’est fait exclure pour une vilaine faute sur un adversaire. Énervé, il file chez lui et revient sur le terrain armé d’un fusil…
Triste spectacle sur les terrains de foot ce week-end à Poitiers. Lors d’un match opposant les amateurs de Saint-Eloi à ceux de Baroc, un joueur s’est tristement distingué.
Un joueur de Saint-Eloi met un mauvais coup à un membre de l'équipe de Baroc. Il est donc expulsé par l’arbitre. Sorti très énervé, celui-ci a quitté le stade immédiatement. L’histoire aurait pu s’arrêter là mais le joueur en question est revenu dans le stade armé d’un fusil.
Très remonté contre le joueur qui a pris un mauvais coup, il « a pointé l’arme vers lui », explique le président de Saint-Eloi dans les colonnes de la Nouvelle République. Le secrétaire général de Baroc a également rajouté qu’il « lui a mis le fusil sur la tempe. »
Finalement, aucun coup de feu. Le joueur armé repart et l’arbitre stoppe le match à la 70e. Il a été interpellé dans la foulée et sera jugé en comparution immédiate.
Source:Ouest-France.
Scène incroyable sur les terrains de football. En troisième division de district, un joueur s’est fait exclure pour une vilaine faute sur un adversaire. Énervé, il file chez lui et revient sur le terrain armé d’un fusil…
Triste spectacle sur les terrains de foot ce week-end à Poitiers. Lors d’un match opposant les amateurs de Saint-Eloi à ceux de Baroc, un joueur s’est tristement distingué.
Un joueur de Saint-Eloi met un mauvais coup à un membre de l'équipe de Baroc. Il est donc expulsé par l’arbitre. Sorti très énervé, celui-ci a quitté le stade immédiatement. L’histoire aurait pu s’arrêter là mais le joueur en question est revenu dans le stade armé d’un fusil.
Très remonté contre le joueur qui a pris un mauvais coup, il « a pointé l’arme vers lui », explique le président de Saint-Eloi dans les colonnes de la Nouvelle République. Le secrétaire général de Baroc a également rajouté qu’il « lui a mis le fusil sur la tempe. »
Finalement, aucun coup de feu. Le joueur armé repart et l’arbitre stoppe le match à la 70e. Il a été interpellé dans la foulée et sera jugé en comparution immédiate.
Source:Ouest-France.
Modifié en dernier par Crapulax le 08 février 2018 05:58, modifié 1 fois.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
.....La conductrice part pour son boulot à 6 heures du mat'.....Avec 3 grammes d'alcool dans le sang....Et provoque un accident.....
« J’ai bu de la vodka la soirée précédente, et j’ai repris un verre juste avant de monter dans ma voiture. Ensuite, je ne me souviens de rien », résume Alice, à la barre du tribunal correctionnel de Castres. Emmitouflée dans sa doudoune noire, la jeune fille de 21 ans tente d’expliquer pourquoi, ce matin du 25 juin 2016, elle a pris le volant avec plus de 3 grammes d’alcool dans le sang.
« Je devais me rendre au travail, vers 6 heures du matin. Je suis montée dans la voiture. Ma grand-mère était sur le siège passager. Je pensais être en état de conduire, mais ce n’était pas le cas », estime cette Castraise.
Quelques instants plus tard, son véhicule a éraflé un petit muret à hauteur de la rue Charles d’Espic, avant de percuter l’arrière d’une autre automobile dont le conducteur a été blessé. « Vous aviez les phares éteints alors qu’il faisait nuit. Vous auriez pu tuer quelqu’un. Les dommages ne sont heureusement que matériel. Mais la victime a eu 9 jours d’ITT », rappelle Freddy Marta, le procureur de la République.
Des séjours en hôpital psychiatrique:
« Ma cliente est alcoolique, et souffre de problèmes psychologiques. Elle en est consciente, et essaye de se soigner », prévient Me Palaffre, pour la défense. De son propre aveu, Alice boit régulièrement depuis ses 18 ans. « Je n’arrive pas à passer le cap. Mes séjours en hôpital psychiatrique ne sont pas efficaces », témoigne-t-elle.
Le procureur requiert un mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans, l’obligation de se soigner, et la suspension du permis de conduire pendant six mois. La présidente suit ces réquisitions, avant de s’adresser à la prévenue : « Il est encore temps de redresser la situation. Vous êtes jeune, soignez-vous, et trouvez votre chemin ».
Source:La Dépêche.
« J’ai bu de la vodka la soirée précédente, et j’ai repris un verre juste avant de monter dans ma voiture. Ensuite, je ne me souviens de rien », résume Alice, à la barre du tribunal correctionnel de Castres. Emmitouflée dans sa doudoune noire, la jeune fille de 21 ans tente d’expliquer pourquoi, ce matin du 25 juin 2016, elle a pris le volant avec plus de 3 grammes d’alcool dans le sang.
« Je devais me rendre au travail, vers 6 heures du matin. Je suis montée dans la voiture. Ma grand-mère était sur le siège passager. Je pensais être en état de conduire, mais ce n’était pas le cas », estime cette Castraise.
Quelques instants plus tard, son véhicule a éraflé un petit muret à hauteur de la rue Charles d’Espic, avant de percuter l’arrière d’une autre automobile dont le conducteur a été blessé. « Vous aviez les phares éteints alors qu’il faisait nuit. Vous auriez pu tuer quelqu’un. Les dommages ne sont heureusement que matériel. Mais la victime a eu 9 jours d’ITT », rappelle Freddy Marta, le procureur de la République.
Des séjours en hôpital psychiatrique:
« Ma cliente est alcoolique, et souffre de problèmes psychologiques. Elle en est consciente, et essaye de se soigner », prévient Me Palaffre, pour la défense. De son propre aveu, Alice boit régulièrement depuis ses 18 ans. « Je n’arrive pas à passer le cap. Mes séjours en hôpital psychiatrique ne sont pas efficaces », témoigne-t-elle.
Le procureur requiert un mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans, l’obligation de se soigner, et la suspension du permis de conduire pendant six mois. La présidente suit ces réquisitions, avant de s’adresser à la prévenue : « Il est encore temps de redresser la situation. Vous êtes jeune, soignez-vous, et trouvez votre chemin ».
Source:La Dépêche.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
La vidéo avait fait le tour du web, fin janvier : un policier tirant à dix reprises sur une voiture qui prenait la fuite, à Villeneuve-la-Garenne. Touché de deux balles, Boubacar, 19 ans, porte plainte pour tentative de meurtre.
Villeneuve-la-Garenne, 26 janvier. Un motard de la police nationale ouvre le feu sur une voiture qui prend la fuite, à la sortie de l’autoroute A86. La scène, filmée, fait le tour des réseaux sociaux. Le conducteur, Boubacar, 19 ans, habite Villeneuve. Il venait de prendre le volant abandonné par son copain Jordan, 26 ans, sans permis, qui refusait de s’arrêter à un contrôle de police. Et qui avait fini par sortir du véhicule en courant, avant d’être interpellé. Boubacar, qui quittait les lieux en voiture, été atteint par deux balles, à la hanche et au coude. Quinze jours après sa sortie de l’hôpital, il porte plainte contre le motard de la police.
Comment vous sentez-vous ?
Je suis encore choqué. Après que les policiers m’ont interpellé sur le parking de Boulanger (NDLR : dans le centre commercial des Chanteraines voisin), j’ai été conduit à l’hôpital. Je souffrais beaucoup. J’ai passé environ quatre heures en bloc opératoire. On m’a mis une plaque de métal dans le bras droit et 40 agrafes. Dans ma hanche, on a retiré la balle et recousu. Mais je n’arrive pas à dormir sans médicaments, la douleur m’en empêche.
Que faites-vous depuis votre sortie de l’hôpital ?
Je reste chez moi. Je ne peux plus faire de sport. J’ai dû arrêter aussi ma formation en informatique. Dans 40 jours je dois retourner à l’hôpital pour un contrôle. Quand on retirera les agrafes, il faudra que je commence la rééducation. Et puis j’ai peur. J’ai peur de la police et de sortir de mon appartement.
Vous avez décidé de porter plainte contre le motard qui a ouvert le feu, pourquoi ?
Il a essayé de me tuer. Il n’avait pas à tirer. J’ai mis mon clignotant pour me rabattre. Il est venu vers moi avec son arme en criant « je vais te fumer ». J’ai pris peur et j’ai démarré. C’est humain. Et là, il a vidé son chargeur. On était en pleine journée, il aurait pu me tuer et toucher quelqu’un d’autre. S’il n’y avait pas eu cette vidéo, ça aurait été la parole d’un policier contre la mienne. Là, la vidéo parle d’elle-même…
Deux plaintes pour le même motif : «Tentative de meurtre»
Me Steeve Ruben, l’avocat de Boubacar, a déposé plainte mercredi contre le motard pour « tentative de meurtre ». Selon toute vraisemblance, elle rejoindra l’enquête déjà confiée à l’Inspection générale de la police nationale visant à déterminer si, oui ou non, le motard a légitimement fait feu sur la voiture dont Boubacar a pris le volant, le 26 janvier dernier à Villeneuve-la-Garenne, après une course-poursuite.
Dans cette plainte, que Le Parisien a pu consulter, Boubacar raconte que « le véhicule était démarré, le policier à deux mètres devant moi, j’ai mis le clignotant à gauche, j’ai enclenché la vitesse et j’ai braqué le volant pour partir ». C’est alors qu’il a « entendu le premier coup de feu ».
Neuf impacts de balles ont été relevés sur la carrosserie de la voiture : sur la vitre avant, la partie inférieure du pare-brise, la vitre arrière…
Le policier livre une toute autre version : auditionné après les faits, il explique avoir fait feu parce que le « véhicule lui a foncé dessus » et parce qu’il a craint que la Golf « ne percute quelqu’un ». Le motard avait lui-même déposé plainte pour « tentative de meurtre » et « refus d’obtempérer », dès le lendemain des faits, en accusant Boubacar d’avoir tenté de le tuer en le renversant.
La vidéo a enflammé le quartier de la Caravelle plusieurs soirs…
Dès que je suis rentré, avec mes frères (NDLR : l’un d’eux est médiateur de la ville), nous sommes allés à la rencontre des jeunes en colère. On leur a dit de se calmer.Ils ont compris. Depuis, il n’y a plus eu de problème dans le quartier.
Source:Le Parisien.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
......................Un prisonnier décède après s'être fait tabassé par des codétenus aux Baumettes .....................
Un détenu du centre pénitentiaire de Marseille est décédé mercredi 7 février, après avoir été tabassé mi-décembre par des codétenus. Il avait passé depuis, plus d’un mois et demi dans le coma.
Ce "moulonnage" ou tabassage en règle avait été dénoncé en janvier par l’association Confluences, qui avait publié un rapport à partir de témoignages sur les conditions de détention au centre pénitentiaire des Baumettes.
Des agresseurs acharnés
Ramses Aly Elsayed, ressortissant égyptien, aurait été tabassé à la mi-décembre, "autour du 14", par cinq codétenus, dans une cour de promenade du nouveau bâtiment des Baumettes, inauguré l’an dernier, selon les éléments rassemblées par cette association, qui a pu consulter une vidéo.
Ses agresseurs se seraient acharnés sur cet homme d’une trentaine d’années en lui assénant des coups de pieds dans la tête puis en lui sautant à pieds joints sur le thorax. Les surveillants auraient mis plus de 20 minutes à venir pour emmener la victime.
L’homme a ensuite été transféré à l’Unité hospitalière sécurisée inter-régionale (UHSI), au sein de l’hôpital Nord de Marseille, où il est officiellement décédé mercredi.
L’administration pénitentiaire n’a pas commenté les faits, confirmant seulement le décès du détenu, sans préciser son identité. Le parquet de Marseille n’était pas joignable jeudi pour commenter ces faits.
Source:Sud-Ouest.
Un détenu du centre pénitentiaire de Marseille est décédé mercredi 7 février, après avoir été tabassé mi-décembre par des codétenus. Il avait passé depuis, plus d’un mois et demi dans le coma.
Ce "moulonnage" ou tabassage en règle avait été dénoncé en janvier par l’association Confluences, qui avait publié un rapport à partir de témoignages sur les conditions de détention au centre pénitentiaire des Baumettes.
Des agresseurs acharnés
Ramses Aly Elsayed, ressortissant égyptien, aurait été tabassé à la mi-décembre, "autour du 14", par cinq codétenus, dans une cour de promenade du nouveau bâtiment des Baumettes, inauguré l’an dernier, selon les éléments rassemblées par cette association, qui a pu consulter une vidéo.
Ses agresseurs se seraient acharnés sur cet homme d’une trentaine d’années en lui assénant des coups de pieds dans la tête puis en lui sautant à pieds joints sur le thorax. Les surveillants auraient mis plus de 20 minutes à venir pour emmener la victime.
L’homme a ensuite été transféré à l’Unité hospitalière sécurisée inter-régionale (UHSI), au sein de l’hôpital Nord de Marseille, où il est officiellement décédé mercredi.
L’administration pénitentiaire n’a pas commenté les faits, confirmant seulement le décès du détenu, sans préciser son identité. Le parquet de Marseille n’était pas joignable jeudi pour commenter ces faits.
Source:Sud-Ouest.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
.........................Le tueur à la burqa bientôt identifié?............................
Les policiers du SRPJ de Toulouse viennent de réaliser un vaste coup de filet dans l’enquête sur le règlement de compte qui a coûté la vie, le 3 juillet dernier, à Djamel Tarhi, 27 ans, exécuté à coups kalachnikov cheminement Auriacombe, dans le quartier de la Reynerie à Toulouse.
9 suspects interpellés:
Mardi, neuf personnes ont été interpellées dans la région toulousaine mais aussi du côté de Lyon, soupçonnées d’avoir participé à cet assassinat. Un meurtre perpétré selon un scénario original puisque le tueur, affublé d’une burqa avait sorti sa kalachnikov de la poussette qu’il charriait. Sept autres personnes avaient été blessées.
Hier, huit suspects étaient toujours entendus dans le cadre de la garde à vue par les enquêteurs de la brigade criminelle du SRPJ.
S’agissant d’un crime commis en bande organisée, les gardes à vue peuvent durer jusqu’à 96 heures. Les défèrements au Parquet devraient intervenir samedi matin.
Source:La Dépêche.
Les policiers du SRPJ de Toulouse viennent de réaliser un vaste coup de filet dans l’enquête sur le règlement de compte qui a coûté la vie, le 3 juillet dernier, à Djamel Tarhi, 27 ans, exécuté à coups kalachnikov cheminement Auriacombe, dans le quartier de la Reynerie à Toulouse.
9 suspects interpellés:
Mardi, neuf personnes ont été interpellées dans la région toulousaine mais aussi du côté de Lyon, soupçonnées d’avoir participé à cet assassinat. Un meurtre perpétré selon un scénario original puisque le tueur, affublé d’une burqa avait sorti sa kalachnikov de la poussette qu’il charriait. Sept autres personnes avaient été blessées.
Hier, huit suspects étaient toujours entendus dans le cadre de la garde à vue par les enquêteurs de la brigade criminelle du SRPJ.
S’agissant d’un crime commis en bande organisée, les gardes à vue peuvent durer jusqu’à 96 heures. Les défèrements au Parquet devraient intervenir samedi matin.
Source:La Dépêche.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
Sans vouloir prendre parti , d'après la vidéo , il me semble quand même que notre jeune ami boubacar a quand même décidé de partir un peu précipitamment malgré que le motard soit devant sa voiture,Crapulax a écrit :
La vidéo avait fait le tour du web, fin janvier : un policier tirant à dix reprises sur une voiture qui prenait la fuite, à Villeneuve-la-Garenne. Touché de deux balles, Boubacar, 19 ans, porte plainte pour tentative de meurtre.
Villeneuve-la-Garenne, 26 janvier. Un motard de la police nationale ouvre le feu sur une voiture qui prend la fuite, à la sortie de l’autoroute A86. La scène, filmée, fait le tour des réseaux sociaux. Le conducteur, Boubacar, 19 ans, habite Villeneuve. Il venait de prendre le volant abandonné par son copain Jordan, 26 ans, sans permis, qui refusait de s’arrêter à un contrôle de police. Et qui avait fini par sortir du véhicule en courant, avant d’être interpellé. Boubacar, qui quittait les lieux en voiture, été atteint par deux balles, à la hanche et au coude. Quinze jours après sa sortie de l’hôpital, il porte plainte contre le motard de la police.
Comment vous sentez-vous ?
Je suis encore choqué. Après que les policiers m’ont interpellé sur le parking de Boulanger (NDLR : dans le centre commercial des Chanteraines voisin), j’ai été conduit à l’hôpital. Je souffrais beaucoup. J’ai passé environ quatre heures en bloc opératoire. On m’a mis une plaque de métal dans le bras droit et 40 agrafes. Dans ma hanche, on a retiré la balle et recousu. Mais je n’arrive pas à dormir sans médicaments, la douleur m’en empêche.
Que faites-vous depuis votre sortie de l’hôpital ?
Je reste chez moi. Je ne peux plus faire de sport. J’ai dû arrêter aussi ma formation en informatique. Dans 40 jours je dois retourner à l’hôpital pour un contrôle. Quand on retirera les agrafes, il faudra que je commence la rééducation. Et puis j’ai peur. J’ai peur de la police et de sortir de mon appartement.
Vous avez décidé de porter plainte contre le motard qui a ouvert le feu, pourquoi ?
Il a essayé de me tuer. Il n’avait pas à tirer. J’ai mis mon clignotant pour me rabattre. Il est venu vers moi avec son arme en criant « je vais te fumer ». J’ai pris peur et j’ai démarré. C’est humain. Et là, il a vidé son chargeur. On était en pleine journée, il aurait pu me tuer et toucher quelqu’un d’autre. S’il n’y avait pas eu cette vidéo, ça aurait été la parole d’un policier contre la mienne. Là, la vidéo parle d’elle-même…
Deux plaintes pour le même motif : «Tentative de meurtre»
Me Steeve Ruben, l’avocat de Boubacar, a déposé plainte mercredi contre le motard pour « tentative de meurtre ». Selon toute vraisemblance, elle rejoindra l’enquête déjà confiée à l’Inspection générale de la police nationale visant à déterminer si, oui ou non, le motard a légitimement fait feu sur la voiture dont Boubacar a pris le volant, le 26 janvier dernier à Villeneuve-la-Garenne, après une course-poursuite.
Dans cette plainte, que Le Parisien a pu consulter, Boubacar raconte que « le véhicule était démarré, le policier à deux mètres devant moi, j’ai mis le clignotant à gauche, j’ai enclenché la vitesse et j’ai braqué le volant pour partir ». C’est alors qu’il a « entendu le premier coup de feu ».
Neuf impacts de balles ont été relevés sur la carrosserie de la voiture : sur la vitre avant, la partie inférieure du pare-brise, la vitre arrière…
Le policier livre une toute autre version : auditionné après les faits, il explique avoir fait feu parce que le « véhicule lui a foncé dessus » et parce qu’il a craint que la Golf « ne percute quelqu’un ». Le motard avait lui-même déposé plainte pour « tentative de meurtre » et « refus d’obtempérer », dès le lendemain des faits, en accusant Boubacar d’avoir tenté de le tuer en le renversant.
La vidéo a enflammé le quartier de la Caravelle plusieurs soirs…
Dès que je suis rentré, avec mes frères (NDLR : l’un d’eux est médiateur de la ville), nous sommes allés à la rencontre des jeunes en colère. On leur a dit de se calmer.Ils ont compris. Depuis, il n’y a plus eu de problème dans le quartier.
Source:Le Parisien.
Vous pouvez vous construire un trône avec des baïonnettes, mais vous ne resterez pas assis longtemps dessus.
Boris Eltsine
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
.............Des Rugbymans de l'équipe de France entendus par la Police écossaise avant leur départ en avion..........
Si les six joueurs du XV de France, entendus comme «simples témoins», étaient tous en passe de rentrer en France lundi soir, des zones d’ombre restent à éclaircir dans cette affaire qui plombe un peu plus le climat autour des Bleus.
Ils vont enfin rentrer en France. Après avoir été auditionnés comme «simples témoins» par la police écossaise, les six joueurs français, embarqués par les autorités locales à l’heure de monter dans l’avion direction Orly lundi midi, ont tous pu s’envoler pour la France lundi en fin de journée. Signe que ’’l’affaire’’, après avoir fait grand bruit sur la foi de rumeurs relayés par quelques médias français, s’est quelque peu dégonflée au fil des heures ? Les prochains jours le diront.
Pour l’instant, côté faits, la police écossaise a, via plusieurs communiqués, précisé tour à tour qu’il n’y aurait pas eu de bagarre, que les six joueurs - Louis Picamoles (Montpellier), Anthony Belleau (Toulon), Jonathan Danty (Stade Français), Rémi Lamerat (Clermont), Yacouba Camara (Montpellier) et Felix Lambey (Lyon) – étaient entendus comme «témoins potentiels d’une agression sexuelle», puis que, finalement, il n’y avait «pas eu de crime commis». La plainte a même été retirée selon nos informations.
Il reste cependant des points à éclaircir. Ainsi pourquoi Arthur Iturria et Geoffrey Palis, qui avaient pu eux s’envoler comme prévu en milieu de journée, ont été aperçus à leur arrivée à Orly avec des stigmates qu’ils n’avaient pas dimanche soir, au soir de la défaite à Murrayfield face à l’Ecosse ? Le deuxième-ligne clermontois arborait une large compresse au niveau du nez (fracture ?) et l’arrière du Castres Olympique un pansement au niveau de l’arcade sourcilière. De légères blessures récoltées lors d’une embrouille, dont l’origine reste à éclaircir, dans un bar - le Tigerlily - situé dans le centre d'Edimbourg. Une soirée pour laquelle le staff tricolore, contrairement à ce qui a été affirmé dans un premier temps, n’avait pas donné son accord.
Sous la menace de révélations dans les tabloïds britanniques
On n’en saura pas plus côté XV de France puisque les Bleus avaient consigne de ne pas s’exprimer à leur arrivée à l’aéroport d’Orly. Un silence-radio également observé par le président de la FFR, Bernard Laporte. Dans le contexte de sinistrose, entre mauvais résultats et affaires extra-sportives, ce dérapage est en tout cas bien malvenu. Et va nuire encore plus à l’image déjà sérieusement écornée du rugby français. Il est d’ailleurs à craindre que la presse anglo-saxonne - les fameux tabloïds – n’en restent pas là et dévoilent, dans les prochains jours, des témoignages qui pourraient s’avérer très gênants.
Toujours est-il que, lundi soir, les six joueurs contre lesquels aucune charge n’a été retenue, étaient sur le départ. A l’aéroport d’Edimbourg pour, enfin, regagner la France et passer quelques jours chez aux avant d’être rassemblé à nouveau, en fin de semaine, à Aix-en-Provence pour y préparer le match contre l’Italie, vendredi 23 février au soir au Stade Vélodrome de Marseille.. L’envoyé spécial du Progrès, présent sur place, y a récolté quelques mots de Félix Lambey. «Tout est OK. J’ai simplement été entendu comme témoin. J’attends mon avion pour rentrer à Lyon, via Francfort», a déclaré le deuxième-ligne du Lou, tenu à un devoir de réserve par la FFR. Mais il faudra bien parler et exposer la vérité dans les jours à venir. Afin de lever le soupçon. Ou d’entraîner un peu plus par le fond une équipe de France qui n’épargne décidément rien à ses supporters.
Source:Le Figaro.
Si les six joueurs du XV de France, entendus comme «simples témoins», étaient tous en passe de rentrer en France lundi soir, des zones d’ombre restent à éclaircir dans cette affaire qui plombe un peu plus le climat autour des Bleus.
Ils vont enfin rentrer en France. Après avoir été auditionnés comme «simples témoins» par la police écossaise, les six joueurs français, embarqués par les autorités locales à l’heure de monter dans l’avion direction Orly lundi midi, ont tous pu s’envoler pour la France lundi en fin de journée. Signe que ’’l’affaire’’, après avoir fait grand bruit sur la foi de rumeurs relayés par quelques médias français, s’est quelque peu dégonflée au fil des heures ? Les prochains jours le diront.
Pour l’instant, côté faits, la police écossaise a, via plusieurs communiqués, précisé tour à tour qu’il n’y aurait pas eu de bagarre, que les six joueurs - Louis Picamoles (Montpellier), Anthony Belleau (Toulon), Jonathan Danty (Stade Français), Rémi Lamerat (Clermont), Yacouba Camara (Montpellier) et Felix Lambey (Lyon) – étaient entendus comme «témoins potentiels d’une agression sexuelle», puis que, finalement, il n’y avait «pas eu de crime commis». La plainte a même été retirée selon nos informations.
Il reste cependant des points à éclaircir. Ainsi pourquoi Arthur Iturria et Geoffrey Palis, qui avaient pu eux s’envoler comme prévu en milieu de journée, ont été aperçus à leur arrivée à Orly avec des stigmates qu’ils n’avaient pas dimanche soir, au soir de la défaite à Murrayfield face à l’Ecosse ? Le deuxième-ligne clermontois arborait une large compresse au niveau du nez (fracture ?) et l’arrière du Castres Olympique un pansement au niveau de l’arcade sourcilière. De légères blessures récoltées lors d’une embrouille, dont l’origine reste à éclaircir, dans un bar - le Tigerlily - situé dans le centre d'Edimbourg. Une soirée pour laquelle le staff tricolore, contrairement à ce qui a été affirmé dans un premier temps, n’avait pas donné son accord.
Sous la menace de révélations dans les tabloïds britanniques
On n’en saura pas plus côté XV de France puisque les Bleus avaient consigne de ne pas s’exprimer à leur arrivée à l’aéroport d’Orly. Un silence-radio également observé par le président de la FFR, Bernard Laporte. Dans le contexte de sinistrose, entre mauvais résultats et affaires extra-sportives, ce dérapage est en tout cas bien malvenu. Et va nuire encore plus à l’image déjà sérieusement écornée du rugby français. Il est d’ailleurs à craindre que la presse anglo-saxonne - les fameux tabloïds – n’en restent pas là et dévoilent, dans les prochains jours, des témoignages qui pourraient s’avérer très gênants.
Toujours est-il que, lundi soir, les six joueurs contre lesquels aucune charge n’a été retenue, étaient sur le départ. A l’aéroport d’Edimbourg pour, enfin, regagner la France et passer quelques jours chez aux avant d’être rassemblé à nouveau, en fin de semaine, à Aix-en-Provence pour y préparer le match contre l’Italie, vendredi 23 février au soir au Stade Vélodrome de Marseille.. L’envoyé spécial du Progrès, présent sur place, y a récolté quelques mots de Félix Lambey. «Tout est OK. J’ai simplement été entendu comme témoin. J’attends mon avion pour rentrer à Lyon, via Francfort», a déclaré le deuxième-ligne du Lou, tenu à un devoir de réserve par la FFR. Mais il faudra bien parler et exposer la vérité dans les jours à venir. Afin de lever le soupçon. Ou d’entraîner un peu plus par le fond une équipe de France qui n’épargne décidément rien à ses supporters.
Source:Le Figaro.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
...................Une femme jugée pour esclavagisme.................
Le tribunal correctionnel de Nanterre rend son jugement ce lundi dans l'affaire d'une quinquagénaire soupçonnée d'avoir exploité sa cousine pendant cinq ans à Châtenay-Malabry. La jeune fille originaire du Mali, aujourd'hui âgée de 32 ans, était contrainte de travailler plus de 15 heures par jour sans repos et sans rémunération.
Voilà douze ans que Astan, une jeune femme originaire du Mali victime d'esclavage moderne, réclame justice. L'attente devrait prendre fin ce lundi. Le tribunal de Nanterre doit rendre son jugement dans cette affaire où une quinquagénaire est soupçonnée d'avoir exploité sa cousine et de l'avoir contrainte à travailler plus de 15 heures par jour dans un appartement situé à Châtenay-Malabry, dans les Hauts-de-Seine.
Astan n'a que 13 ans lorsqu'elle arrive en France en 2000 et s'installe dans la demeure familiale de l'une de ses cousines. «Elle avait promis au père de la jeune fille, issu d'un milieu très pauvre au Mali, qu'elle ferait des études et aurait une vie meilleure», raconte dans les colonnes du Parisien l'avocate de la plaignante, Juliette Vogel. Un rêve pour l'adolescente qui va rapidement se transformer en cauchemar. Au lieu d'être scolarisée, Astan est réduite à la servitude domestique et cette situation durera pendant près de cinq ans.
«Elle travaillait jusqu'à 18 heures par jour sans repos, n'a jamais été rémunérée et ses papiers d'identité lui ont été confisqués. Elle s'occupait de l'entretien du foyer qui pouvait compter jusqu'à neuf personnes et sortait uniquement pour aller chercher les enfants à l'école ou faire les courses. Elle dormait sur un matelas à même le sol et subissait régulièrement des violences physiques et psychiques», énumère l'avocate de la partie civile.
15 mois de prison avec sursis:
Ce n'est qu'en octobre 2005 que la jeune fille parvient à quitter le domicile sur le conseil d'un jeune garçon rencontré dans un cours d'alphabétisation. Rapidement épaulée par le Comité contre l'Esclavage Moderne (CCEM), elle décide de porter plainte un an plus tard contre sa logeuse. Entendue au cours de l'enquête, la prévenue âgée de 54 ans a affirmé avoir versé de «l'argent de poche» à l'enfant, nié les coups et la privation de nourriture. Elle a également assuré que l'adolescente faisait des travaux ménagers «comme l'ensemble des enfants».
Pour le procureur, le travail forcé d'Astan est «incontestable». «Au lieu de vivre comme une enfant, d'aller à l'école, d'avoir des amis, des loisirs, elle a fait le ménage», a-t-il déclaré lors du procès. La quinquagénaire, aujourd'hui poursuivie pour «exécution d'un travail dissimulé», «aide à l'entrée ou au séjour irréguliers d'un mineur étranger en France» et «soumission d'un mineur à des conditions de travail et d'hébergement indignes», encourt une peine d'emprisonnement de 15 mois avec sursis et 6000 euros d'amende.
Source:Le Figaro.
Le tribunal correctionnel de Nanterre rend son jugement ce lundi dans l'affaire d'une quinquagénaire soupçonnée d'avoir exploité sa cousine pendant cinq ans à Châtenay-Malabry. La jeune fille originaire du Mali, aujourd'hui âgée de 32 ans, était contrainte de travailler plus de 15 heures par jour sans repos et sans rémunération.
Voilà douze ans que Astan, une jeune femme originaire du Mali victime d'esclavage moderne, réclame justice. L'attente devrait prendre fin ce lundi. Le tribunal de Nanterre doit rendre son jugement dans cette affaire où une quinquagénaire est soupçonnée d'avoir exploité sa cousine et de l'avoir contrainte à travailler plus de 15 heures par jour dans un appartement situé à Châtenay-Malabry, dans les Hauts-de-Seine.
Astan n'a que 13 ans lorsqu'elle arrive en France en 2000 et s'installe dans la demeure familiale de l'une de ses cousines. «Elle avait promis au père de la jeune fille, issu d'un milieu très pauvre au Mali, qu'elle ferait des études et aurait une vie meilleure», raconte dans les colonnes du Parisien l'avocate de la plaignante, Juliette Vogel. Un rêve pour l'adolescente qui va rapidement se transformer en cauchemar. Au lieu d'être scolarisée, Astan est réduite à la servitude domestique et cette situation durera pendant près de cinq ans.
«Elle travaillait jusqu'à 18 heures par jour sans repos, n'a jamais été rémunérée et ses papiers d'identité lui ont été confisqués. Elle s'occupait de l'entretien du foyer qui pouvait compter jusqu'à neuf personnes et sortait uniquement pour aller chercher les enfants à l'école ou faire les courses. Elle dormait sur un matelas à même le sol et subissait régulièrement des violences physiques et psychiques», énumère l'avocate de la partie civile.
15 mois de prison avec sursis:
Ce n'est qu'en octobre 2005 que la jeune fille parvient à quitter le domicile sur le conseil d'un jeune garçon rencontré dans un cours d'alphabétisation. Rapidement épaulée par le Comité contre l'Esclavage Moderne (CCEM), elle décide de porter plainte un an plus tard contre sa logeuse. Entendue au cours de l'enquête, la prévenue âgée de 54 ans a affirmé avoir versé de «l'argent de poche» à l'enfant, nié les coups et la privation de nourriture. Elle a également assuré que l'adolescente faisait des travaux ménagers «comme l'ensemble des enfants».
Pour le procureur, le travail forcé d'Astan est «incontestable». «Au lieu de vivre comme une enfant, d'aller à l'école, d'avoir des amis, des loisirs, elle a fait le ménage», a-t-il déclaré lors du procès. La quinquagénaire, aujourd'hui poursuivie pour «exécution d'un travail dissimulé», «aide à l'entrée ou au séjour irréguliers d'un mineur étranger en France» et «soumission d'un mineur à des conditions de travail et d'hébergement indignes», encourt une peine d'emprisonnement de 15 mois avec sursis et 6000 euros d'amende.
Source:Le Figaro.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!