Même quand on vous mets des sources d'auteurs français vous en faites le déni et prétendez que cela vient de mon cerveau.Anne32 a écrit :quo vadis a écrit : Est-ce que « Force K » vous dit quelque chose à vous qui prétendez tout savoir sous prétexte que vous aviez vécu ( comme plusieurs historiens français ayant vécu là-bas, d’ailleurs très connus qui écrivent sur la colonisation et la guerre d’Algérie, ayant eu accès à plusieurs sources et archives sur les évènements couvrant tout le territoire, pas seulement votre coin de rue et la plage, et auxquelles vous ne pourrez pas avoir accès puisque non chercheuse universitaire) ?
"En 1956 Maurice Lassabe, un ancien commissaire de police de Vichy promu divisionnaire, recrute Djillali Belhadj, un militant indépendantiste alors emprisonné. Objectif du policier français, qui se fait M. Aideux (E2, un service, qui comme en Métropole s’occupe des manipulations) racontent Roger Faligot et Pascal Krop ; « Convaincre Kobus (Djillali) de travailler pour les Français en organisant un contre-maquis contrôlé par DST.
Officiellement, cette « Force K » sera antifrançaise, mais en sous-main, alimentée par les Français, elle combattra le FLN.
Composée d’anciens nationalistes « retournés « ou recrutés de force ou de voyous de droit commun déguisés en combattants du FLN, la « Force K » est secrètement commandée par les capitaines Conille et Hentic, deux agents des services spéciaux français.
Pour discréditer, le FLN, elle fait courir la rumeur que ce dernier est inféodé aux communistes et que ses membres sont donc des « anti-Dieu ».
Des atrocités seront commises par procuration via cette «Force K » dans les villages mais qu’on fera endosser au FLN pour que la population s’en détache.
Une autre technique de guerre psychologique, redoutable en efficacité a été mise en œuvre par les services français : faire croire à l’ennemi qu’il était totalement infiltré afin de l’inciter à organiser des purges injustifiées. Le colonel Amirouche, chef de la wilaya 3 en Kabilie, intoxiqué par les services du d’ation psychologique du capitaine Paul Alain Léger, il procéda à une terrible épuration des maquis, qui restera dans les mémoires et relatée en détail par l’historien Gilbert Meynier."
(qui a vécu en Algérie comme d’autres historiens qui savent plus que les pieds noirs de quoi il s’agit.)
Source : Françalgérie crimes et mensonges page 27
Autre extrait ( qui doit vous parler en tant que femme...enfin en principe) page 26
"...Les femmes sont restées dans les villages,chez elles. Ordre leur fut donné de laisser les portes ouvertes et de séjourner isolément dans les différentes pièces de chaque maison. Le douar fut donc transformé en un populeux BMC (bordel de campagne) où furent lâchées les compagnies de chasseurs alpins ou autres légionnaires. Cent cinquante jeunes filles ont pu trouver refuge au couvent des Soeurs blanches et chez les Pères blancs...On ne trouve aucune trace de quelques autres !"
Dans un documentaire de Patrick Rotman, diffusé sur FR3 en 2002, un ancien appelé confirme que la région des Ouadhias devint quelques jours durant un immense bordel.
Pire : il révèle qu'un jour un soldat sort un nourrisson de son berceau et lui fracasse la tête ne le projetant contre un mur.
Poussé à la confidence, il avouera lui-même finalement être lui-même l'auteur de ce terrible geste..."
Je ne suis pas Algérien, je n’ai pas vécu là-bas mais je peux vous dire que j’en sais plus que vous sur la question via les témoignages d’appelés, documentaires et des historiens français ayant vécu là-bas ou pas.
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Vous ne savez rien du tout
Vous vous gavez et vous enivrez de faits qui n'ont vu le jour que dans votre pauvre cerveau
Je vous ai demandé, mais vous ne répondez pas, de m'expliquer pourquoi nous n'avons pas agi comme les américains et les Australiens qui ont passé les autochtones au fil de l'épée
Nous avons apporté à ceux que vous idolâtrez, la sécurité, la santé, la protection, la sérénité
Aucun pays ne peut se targuer d'avoir fait autant.C'est ce qui vous rend enragé, alors vous inventez pour vous donner bonne conscience
Ca peut prendre avec ceux qui ne connaissent rien de notre passé, mais avec moi, ca ne passe pas
Vous nous reprochez de nous être rebiffés, après qu'un groupe d'égorgeurs ait assassiné froidement un notable Arabe qui tentait de protéger un instituteur métropolitain venu enseigner au bled.(1er novembre 1954)
Mais vous mettez votre tête dans le sable comme une autruche lorsque je vous évoque les tortures subies par nos soldats et les civils
Faire la guerre, soit, mais torturer, ébouillanter, égorger, émasculer, éventrer les femmes, c'est seulement le rebut de l'humanité qui pratique ça
Aussi je vous mets à la même hauteur que ces gens là
Avec tout mon mépris
Faut le faire.
Egorger, éventrer, émasculer, torturer...a été un système sur tout le territoire algérien pour garder la main coloniale.
Vous vouliez garder votre petit confort mais vous ne voulez pas savoir à quel prix pour le peuple indigène qu'il soit
algérien, indochinois, malgache ou camerounais.
Vous prétendez savoir mais vous ne savez rien. Sinon la propagande des pieds noirs ultra et de l'OAS qui assassinait
chaque via de gosses de 14, 15 et 16 ans bien endoctrinés. Ce sont même des gosses de cet âge qui ont tiré sur des appelés,
ce qui a produit de ces derniers sur votre sort.
Vous ne voulez diffuser que ce qui a touché votre communauté de pieds noirs qui ont tressé la corde eux-mêmes pour se faire
pendre à force d'atrocités, d'arrogance, d'humiliations...pour maintenir votre standard de vie sur le dos d'autrui.
La France a été saignée aux grandes veines de même que les indigènes pour vous maintenir sur place, à force de pressions
et menaces envers les politiques de la métropole, via vos représentants. Elle achetait vos produits beaucoup plus cher que les produits européens et contribuait à vous financer de même que les impôts des indigènes.
Des jeunes appelés sont morts ou traumatisés par ce qu'on leur a obligé de faire pour vous maintenir le statut de seigneurs au-dessus des indigènes.
Vos terroristes ultra tiraient à vue sur femmes et enfants avec la protection de vos élus pieds noirs qui vous armaient.
On retrouvait chaque matin des femmes de ménagés éxécutes dans le quartier européen.
L'OAS a commis plus d'une centaine d'attentats sur des Français et indigènes. Chaque jour des tiers au mortiers saignaient
les quartiers indigènes, mis au blocus alimentaire et les éxécutions sommaires se succèdent.
Des pieds noirs dockers n'ont pas jugé utiles de prévenir leurs collègues musulmans de l'attentat sur les docks qui allaient
déchiquetter par dizaines leurs collègues. Vous avez cédé à la surenchère des ultras ce qui a entraîné votre perte.
Ne venez donc pas pleurer puisque vous avez été politiquement intransigeants face à Paris qui voulait réformer les
choses pour donner un peu de droits les plus élémentaires aux indigènes exclus de tout sur leur propre sol en plus
des violences morales et physiques qu'ils subissaient.
Dans ce cas je vous renvoie le compliment.
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