vincent a écrit : vivarais a écrit :
vous ne vous sentez pas un peu ..... avec vos 100% français
alors que celà va etre du 100 % australiens car aprés vérification aucuns sous marins ne sera construit en france mais tous dans les chantiers navals en australie
il ne s'agit que d'un transfert de technologie qui a terme va se retourner contre nous car les australiens pourront s'en servir pur d'autres applications
un peu comme les rafales à l'inde construits en inde ou les air bus en chine construits en chine
une fois de plus un marché de dupes et vous applaudissez
cela a était dit dans l'actualité mais voici la source
https://www.bing.com/news/search?q=sous ... &FORM=EWRE
un retour de boom rang comme vous dites
arretez d l'ancer le boom rang vous n'etes pas doué pour cela
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aucun contrat de ce type ne se fait sans contre partie ,sans accords commerciaux
Lundi 11 février, Naval Group a signé l’accord de partenariat stratégique avec l’Etat australien qui était dans les tuyaux depuis 2016. Douze sous-marins seront construits.
Un accord qui lie le fleuron de l’industrie navale française à Canberra pour les 50 prochaines années.
La ministre des armées, Florence Parly a fait le déplacement jusqu’à l’autre bout du monde ce week-end. L’enjeu était de taille : un accord stratégique entre Naval Group, groupe spécialisé dans l’industrie navale et de défense (dont les fameux arsenaux français sont les ancêtres) et le gouvernement australien. Le Premier ministre local, Scott Morrison, et Christopher Pyne, ministre australien de la Défense étaient aussi de l’évènement.
Le deal est simple mais gargantuesque : Naval Group va livrer 12 sous-marins nouvelle génération à l’Australie pour une somme gravitant autour des 30 milliards d’euros. Mais ce n’est pas tout. Le contrat prévoit aussi “le transfert de nouvelles technologies et de capacités de production avancées à l’Australie, et un plan de charge garanti pour l’industrie australienne qui permettra aux entreprises participant au programme d’investir dans les capacités nécessaires à la construction et à la maintenance des sous-marins”, explique-t-on du côté de Naval Group. Surtout, cette collaboration va s’étaler sur les 50 prochaines années.
Au moins 2 200 emplois créés
Ce contrat est aussi une belle opportunité pour l’emploi. Entre la première phase des travaux qui se concentrera sur la préparation du site, les travaux de terrassement et l’empilement des nouvelles installations, puis d’ici 2028-2029, lorsque la production battra son plein,
Naval Group prévoit de créer en tout au moins 2 200 emplois en Australie, en particulier à Brisbane où seront construits les appareil de guerre.
« Nous sommes très enthousiastes devant les possibilités qui s’offrent à nous et nous sommes déterminés à offrir un programme de calibre mondial à l’Australie. Nous sommes reconnaissants aux équipes du Commonwealth d’Australie et de Naval Group qui ont travaillé intensément pour parvenir à cet accord », a déclaré Hervé Guillou, PDG de Naval Group.
En 2016, Naval Group a su sortir en tête d’une course effrénée visant à remporter ce deal. La compagnie française avait été choisie en pour la livraison de ces 12 sous-marins nouvelle génération, remportant au terme d’années de négociations ce “contrat du siècle”.
Et ses concurrents n’étaient pas du genre marins d’eau douce : il s’agissait de ThyssenKrupp Marine Systems, du consortium japonais de Mitsubishi Heavy Industries et de Kawasaki Heavy Industries.
Ce renforcement de son arsenal militaire et naval par l’Australie répond à un besoin d’affirmer sa puissance régionale. En effet, en Océanie, la Chine tente d’étendre son influence militaire (la rumeur persiste selon laquelle la Chine voudrait installer une base militaire au Vanuatu), économique (elle pratique la pêche intensive dans les eaux océaniques) et diplomatique : pour contrer Taiwan, la Chine se rapproche de plus en plus des micro-Etats de la région. Premier partenaire économique des Etats qui composent l’Océanie, l’Australie va pouvoir assurer ses arrières en termes militaires. Et donc forcément économiques.
Effectivement,les bassins de carénage seront fait .En fait j' avais en tête les bassins de St Nazaire que j' ai du aller voir3ou 4fois, pas besoin de tels volumes , même si un sous marin est volumineux cela n' a rien avoir avec ces[surligne
] villes flottantes , et méthaniers (1)que nous construisons .[/surligne]
Maintenant ,quand on voit le match France contre Thyssen , Mitsubishi , ben voila la preuve comme quoi
1 nous avons de trés bons ingénieurs ,trés bien payés sinon ils seraient partis sous d' autres cieux
2 nous avons une technologie qui n' a pas a rougir , bienau contraire
Maintenat vous vous lamentez de ces transferts technologiques ( qui se produisent sur tous les continents pour de tels marchés)
quelle aurait été votre réaction si nous avions perdu ce marché ? qq exemple de ce que nous aurions pu lire
1 L' industrie française a la ramasse ,Thyssen nous donne une leçon
2 Nos chefs d 'entreprise sont nuls
3 Nos ingénieurs ne font pas le poids / allemands encore une fois
4 Notre technologie dans les domaine de pointe ne sont pas a la hauteur
5 Echec de nos hommes politiques dans les négociations
etc etc , bref , tout votre discours défaitiste , je n' ai fait que reprendre vos opinions;et certainement qu' en saluant la victoire de Thyssen , vous auriez olublié que Thyssen auraient du faire , comme tout les candidats , des transferts de technologie
VOUS AVEZ LA EN FACE DE VOUS LA DEMONSTRATION QUE LES OPINIONS QUE VOUS PRECHEZ DEPUIS DES LUSTRES SONT FAUSSES
Ce contrat démontre le contraire de tous vos propos, c 'est un boomerang , normal ,on est en Australie .
Mais je ne doute pas que dés demain ,si l'occasion se présente,vous nous parlerez de tous les défauts de la France, de son industrie ,de ses patrons ,de ces salaires de misére des ingénieur etc etc.....votre délire repartira,aucun doute là dessus.
Allez boire un pti verre de Wisky pour oublier.......et rêver que ce contrat....n 'était qu' un rêve
allez un pti coupdérrière la tronche pour vouscasser le moral
a propos deMéthanier
P
hilippe Berterott ière, PDG du groupe d'ingénierie navale GTT. La société qu'il dirige affiche 360% de chiffre d'affaires réalisé à l'international.Philippe Berterottière, PDG du groupe d'ingénierie navale GTT. La société qu'il dirige affiche 360% de chiffre d'affaires réalisé à l'international. Dahmane
Le groupe d'ingénierie navale GTT dirigé par Philippe Berterottière réalise la totalité de son chiffre d'affaires à l'international, notamment en Corée du Sud et en Chine. Il occupe la deuxième place de notre classement 2013 et affiche une croissance de 360% de CA à l'export.
Le groupe GTT (89 millions d'euros de chiffre d'affaires) affiche la plus forte croissance de CA réalisé à l'international dans notre palmarès 2013. Cet expert mondial en ingénierie navale,
dont le siège est installé dans la vallée de Chevreuse (Yvelines), est devenu "le" spécialiste des techniques dites membranes pour le stockage et le transport de gaz naturel liquéfié (GNL) par bateau.
GTT équipe ainsi 70 % des navires méthaniers en circulation dans le monde. "90 % des navires en commande pour les prochaines années seront munis de la technologie GTT", annonce ainsi fièrement Philippe Berterottière, PDG de la société depuis 2009.
Des efforts dans l'innovation
Certes GTT n'est pas une PME indépendante classique : son capital est détenu à 40 % par GDF Suez et à 30 % par Total, les 30 %restants étant la propriété d'un fonds d'investissement américain, Hellman & Friedman. Mais, si elle figure dans notre classement c'est que cette société n'est pas filiale stricto sensu d'une autre ; aucun actionnaire ne détenant plus de 50 % de son capital. En outre, GTT est "totalement indépendante du point de vue opérationnel", précise son dirigeant. Et, en l'occurrence, cette entreprise est emblématique de nos championnes 2013 de l'international.
D'abord, parce que GTT est exemplaire par son effort d'investissement dans l'innovation :"Un tiers du personnel travaille ici pour la R&D et les employés sont à 60 % ingénieurs ou techniciens, ce qui est une proportion plus fréquente dans une start-up que dans une société mature", souligne Philippe Berterottière, qui ajoute : "90 % des méthaniers sont construits en Corée, qui est notre premier partenaire industriel. Dès lors, nous devons être à la hauteur en termes d'innovation, au risque d'être vite dépassés !" Ensuite, parce que GTT bénéficie du dynamisme mondial du secteur de l'énergie, même si le transport de gaz naturel liquide a fléchi en 2009-2010 "avec un ralentissement général de la demande consécutif aux investissements américains dans le gaz de schiste", précise le PDG.
GTT (Gaztransport et Technigaz)
Localité : Saint-Rémy-les-Chevreuse (78)
ET LA HONTE DE LA HONTE son capital est détenu à 40 % par GDF Suez des vilains capitalistes détiennent 40%du capital
j' arrête là , je ne voudrais pas provoquer un arrêt cardiaque , quand même ,je suis pas surfer