lepicard a écrit :
c'est pour ça que t'as la tremblote
, on croyait que c'était une tétanie d'herbage
vous êtes un anti , c'est votre droit . En fait vous avez des opinions ....on ne voit rien de concret . Je met un excellent post a votre attention en expliquant comment je suis passé de NEUTRE , ANTI ( comme vous ) a PRO homéopathie , et cela ne vous pose aucune question ......seriez pas un pigiste des labos ? car on ne voit aucun doute en vous ,et aucun argument...ça fait beaucoup de doute sur votre position .
Puis questions sur sa vie ce qu' elle mange ce qu' elle prend comme médicaments.....Et là , ma compagne apprend que sa fille a trés souvent mal au dos ,qu' elle prend Voltaréne+ paracéramol régulièrement .
Mme " mais il faut un ordonnance pour ces médicaments "
la femme de ménage " oui , mais il lui renouvelle a chaque fois"
L' hôpital lui a dit de cesser ces médicaments , d' aller voir l' osthéopathe.....MEDECINE// comme on dit, et non remboursée.......
ce traitement avait irrité jusqu' au sang le colon , le rectum.........
Tout bon homéopathe vous dira que Voltaréne est un poison ( article publié dans Le Point Le médicament dangereux du mois Le Voltaréne çijoint )
Maintenant , avec des produits homologués , validés ......pour un simple mal de dos chronique , ça coute :
3 jours arrêt maladie
3 jours aux urgences avec radio IRM Scanner
séquelles sur systéme digestif
Santé - Le médicament dangereux du mois : Voltarène
Et aussi : l'allaitement efficace contre l'obésité infantile ; un espoir pour les malades du sida ; les prometteuses plantes médicinales de l'île Maurice…
Modifié le 12/05/2019 à 18:36 - Publié le 12/05/2019 à 09:01 | Le Point
Antidouleur. C’est l’un des médicaments les plus prescrits par les médecins français et les plus stockés dans l’armoire à pharmacie de M. et Mme Tout-le-Monde. L’anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) diclofénac est commercialisé depuis 1980 sous l’appellation Voltarène et compte aujourd’hui de nombreux génériques. L’an dernier, l’Assurance-maladie a remboursé 5,5 millions de boîtes de comprimés. Il est massivement utilisé contre les douleurs d’intensité légère à modérée, en rhumatologie notamment, et donne généralement satisfaction. Professionnels et patients s’y sont habitués. Moi-même, il y a peu, j’en consommais encore régulièrement. Mais, depuis six ans, la réanalyse de centaines d’essais cliniques des AINS et d’études épidémiologiques sur des centaines de milliers de patients a montré, avec le diclofénac – comparé à d’autres médicaments de la même catégorie à l’efficacité identique –
, une nette augmentation des effets cardio-vasculaires graves, tels que les infarctus du myocarde et les insuffisances cardiaques, et même des morts d’origine cardio-vasculaire. La fréquence de ses effets toxiques est voisine de celle des très délétères coxibs (Celebrex, Arcoxia, Dynastat et génériques), cousins du Vioxx, déclencheur de l’un des plus grands scandales américains de l’histoire du médicament : environ 28 000 décès et problèmes cardiaques enregistrés avec cet antidouleur entre 1999 et 2004, date de son retrait du marché.De plus, cette fréquence est supérieure à celle qu’on observe avec d’autres AINS, tels le naproxène (Naprosyne, Apranax, Proxen…) et l’ibuprofène à dose modérée. Depuis dix mois, une nouvelle étude a démontré que ce surcroît de risques est avéré dès les premières semaines de traitement. Les autorités sanitaires européennes et françaises recommandent aux personnes cardiaques ou à risques cardio-vasculaires de ne pas utiliser le diclofénac, et, dans le cas contraire, d’adopter la dose efficace la plus faible sur la durée la plus courte possible. La très sérieuse revue Prescrire va plus loin, demandant purement et simplement d’écarter ce médicament§ JÉRÔME VINCENT