yen'amare a écrit : ↑07 octobre 2019 22:00
Ton problème c'est de croire que tout ce qu'on produit c'est de la richesse. Le manque d’énergie qui se concrétise nous conduit obligatoirement à la récession. Pour financer les retraites, c'est à dire assurer les besoins des retraités il faudra faire des choix quant à l'utilisation de l'énergie et donné la priorité pour produire ce qui est nécessaire. Aujourd'hui dans ton système économique libéral que tu chéris tant on fabrique des yachts, des jets privés et des hôtels de luxe pour que les retraités puissent manger. Hé bien si on ne les fabrique pas on n'est pas moins riche et les retraité peuvent consommer la même chose. Ton point commun avec vincent c'est que toute vos solutions qui vous viennent à l'esprit c'est pour que les riches puissent continuer à vivre dans le luxe et l’opulence en se foutant du reste du monde.
le régime capitaliste , souvent , se rééquilibre tout seul ....c 'est son principal atout face aux régimes socialistes ....
Transports aériens : les jets privés cloués au sol faute de pilotes ?
Selon « The Independant », la pénurie de pilotes, attirés par les compagnies, pourrait condamner certains appareils à rester au sol dans les années à venir. Par LePoint.fr
Modifié le 08/10/2019 à 06:43 - Publié le 08/10/2019 à 04:53 | Le Point.fr
Salaire attractif et meilleure organisation font pencher la balance en faveur des compagnies.
Salaire attractif et meilleure organisation font pencher la balance en faveur des compagnies.
© Markus Mainka / picture alliance / Picture-Alliance/AFP
Les personnalités les plus riches de la planète sont-elles trop près de leurs sous ? Paradoxalement, l'un des plus grands symboles de richesse est en passe de connaître une véritable pénurie : le marché des jets privé. Les ventes sont pourtant au beau fixe, la demande ne cesse de croître, mais l'un des maillons essentiels de la chaîne du vol privé, à savoir le pilote, pourrait venir à manquer.
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Comme le révèle The Independant(article en anglais), pour les pilotes, l'herbe est plus verte au sein des grandes compagnies, ou même des compagnies à bas prix, qu'à bord de l'avion personnel d'un super-riche. Oliver Stone, directeur de CompanyColibiri, spécialisée dans la revente de jets exprime ainsi son inquiétude : « Le monde a besoin de 98 000 nouveaux pilotes d'avions d'affaires d'ici 2038 pour faire face à la demande croissante. » Faute d'un tel nombre de pilotes, certains avions privés seront donc condamnés à ne pas pouvoir prendre leur envol.
Jusqu'à 220 000 euros par an
Selon Oliver Stone, l'impact se fait d'ores et déjà sentir sur le marché des avions privés, les compagnies ne se contentant pas de recruter des pilotes expérimentés au profit de pilotes fraîchement formés. Il faut dire que les conditions de travail sont moins avantageuses qu'au sein d'une compagnie aérienne. Au Royaume-Uni, par exemple, chez Ryanair, easyJet ou British Airways, les pilotes peuvent toucher jusqu'à 220 000 euros par an, soit beaucoup plus que ce qu'offre en moyenne le propriétaire d'un jet privé. De manière générale, selon The Independant, les pilotes sont, dans ce cas, payés à l'heure. S'ajoutent à cela les voyages en jet organisés à la dernière minute qui ne peuvent pas lutter contre l'organisation bien à l'avance des compagnies aériennes. La tendance a donc de grandes chances de se confirmer, réduisant peut-être certains avions privés en simples pièces de musée.