La réforme de l'assurance chômage lèse la moitié des chômeurs.

[vincent]

qu'il y ait des entreprises qui ont des vrais besoins en contrats précaires, je le conçois ; mais rien dans l'évolution économique ne permet de comprendre comment on a fait pour passer d'une prédominance de CDI dans les emplois occupés (75% à 80%) à 80% de CDD dans les offres d'emplois ...
il y a véritablement une dérive justifiée par autre chose que la nécessité

quoi qu'il en soit, ce n'est pas un problème à partir du moment où la politique suit cette tendance plutôt que la faire payer à ses victimes qui n'ont pas d'autre choix compte tenu de la pauvreté des emplois proposés
mais le fait est que la réforme de l'indemnisation montre dans quelle direction le gouvernement veut aller : une vulgaire politique du chiffre et la baisse artificielle du taux de chômage ... les gens basculeront au RSA et autres minimas sociaux, mais pas d'importance, ces chiffres ne sont pas communiqués et les apparences sont sauves ...

mais rien dans l'évolution économique ne permet de comprendre comment on a fait pour passer d'une prédominance de CDI dans les emplois occupés (75% à 80%) à 80% de CDD dans les offres d'emplois ...

Dans les 30 glorieuses , ( a titre d'exemple , mais il y en a d' autres , vous pouviez avoir 3,4 ...mois de délais pour pouvoir prendre posséssion d' une voiture neuve entre commande et livraison ( en URSS c 'était des années . Pas trop de pb de rentabilité de concurrence , la demande était plus forte que l' offre . ( et c'est valable sur TOUS les produits ) .
L'industrie automobile , et d' autres tournaient , ronronnaient.....sauf exception , les années 70 n 'ont pas vu beaucoup de plans de licenciement....les courbes de production étaient pas un grosprobléme , on n' avait pas des stocks de milliers de voiture en attente.

En 2019 , le monde économique a ave, quand je dis que vous me faites penser a la mére du jeune dans Goodbye Lénine.....c 'estplus qu' une pensée .

De nos jours , les livraisons , donc production de voitures peuvent être trés cycliques

sur ce point précis , vous confirmez que vous êtes "hors sol" sur le plan économique .

Si d 'aventure les charlots qui vous servent de mentors venaient au a pouvoir , les dégats que va causer bobo au RU seraient équivalent a un séisme de 1 sur l' échelle de Richter et de 8 a 9 sur vos propositions .

Patronne de Renault entre 1986 et 92 avec la fin du CDI ou sa taxation a mort ( le terme est trés adapté )

donc , vers 1986 Sandouville produit 550 véhicules jours ( de mémoire) dont 50 intérieur cuir ( c'est la SIT à St Quentin qui les produit) vous êtes un patron aux anges
vous avez vos effectifs au max.....

1992 on doit avoisiner 150 vhs/j.......QUE FAITES VOUS ?

je vous rappelle au passage que vous voulez interdire les licenciements , et que vous êtes contre les délocalisations .

Moi , j' ai pris mes précautions , lorsque vous êtes arrivés au pouvoir , j' ai vendu toutes mes actions françaises et j' ai acheté du VW , du Mercedes , du Siemens , du Krauss Maffei .......

Je crois bien que vous serez confronté a la dure réalité ......l' automobile ( entre autre ) va s' éffondrer car les coûts rendrons les voitures plus chéres ....on préférera acheter ( pour ceux qui en ont les moyens c a d les plus aisés ) des Mercedes.........on reviendra sur ces lois a la con ( c'est le qualificatif le plus adapté ) ......mais la casse sera faites , lorsque les usines , le tissus de sous traitants aura disparu......c 'est 20 ans pour redresser la barre

Et qui aura trinqué ? les plus proches du bas de l' échelle .

[vincent]

Vous croyez vraiment que le durcissement du chômage fera baisser le chômage. Ce n'est pas pour cela que les employeurs embaucheront plus, par contre cela augmentera le nombre de personnes au RSA.

non , ils seront obligés d' aller bosser , ou de se former avant d' aller bosser....les employeurs embaucheront plus parce qu' ils demandent.....de la MO

[vincent]

Oui inspirons nous de ce model alors. Mais il faut faire attention aux missions que l'on propose aux gens. Ça ne sert à rien de proposer un cdd de 3 mois chez mcdo à un développeur web...il va perdre trois mois de sa carrière à ne pas développer ses compétences, et il pourrait louper des annonces de développeur web au passage. Sachant qu'il n'est pas aisé de rompre un cdd suffisamment vite pour choper une annonce au vol. Donc il faut tout revoir.

le développeur de web qui postule a Mc Do......faut lui faire faire un stage en psychatrie .......

[vincent]

qu'il y ait des entreprises qui ont des vrais besoins en contrats précaires, je le conçois ; mais rien dans l'évolution économique ne permet de comprendre comment on a fait pour passer d'une prédominance de CDI dans les emplois occupés (75% à 80%) à 80% de CDD dans les offres d'emplois ...
il y a véritablement une dérive justifiée par autre chose que la nécessité

petite lecture/mise au point désolé extraits

Les 10 chiffres qui montrent la métamorphose du marché du travail depuis 25 ans
VIDÉOS - Le ministère du Travail vient de publier une étude se penchant sur l'évolution des embauches et des ruptures en CDI et CDD depuis 25 ans en France. De quoi casser quelques idées reçues bien ancrées, y compris dans les plus hautes sphères de l'État.

1/ La part des personnes en CDI (hors intérim) dans l'économie n'a pratiquement pas évolué depuis le début des années 1980 en France. Elle est passée de 94% en 1982 exactement après la victoire de François Mitterrand à la présidentielle un an plus tôt à 88% en 2017. Ce qui revient à dire que, peu ou prou depuis 35 ans, neuf salariés sur dix sont en CDI.

2/ La part des embauches en CDD (dans les embauches totales) a certes progressé depuis le début des années 1990 mais elle n'a pas explosé comme il est souvent indiqué. Elle est ainsi passée de 76% en 1993 (soit trois sur quatre, déjà) à 87% en 2017 (soit près de neuf sur dix). Le taux a beau être impressionnant, il n'a rien en évolution du raz-de-marée dont les politiques abreuvent régulièrement l'opinion.

3/ Le taux d'entrée en CDD (c'est-à-dire le rapport entre les embauches en CDD et les effectifs de l'établissement) a quant à lui bel et bien explosé et montre parfaitement un changement important de comportement d'embauche. Ainsi, relève la Dares, «depuis 1993, ce ratio est multiplié par plus de 4 pour les établissements de plus de 50 salariés, passant de 20,5% en 1993 à 84% en 2017». Une hausse qui s'est déroulée en deux temps: d'une façon modérée de 1993 à 2000, plus exponentielle par la suite.

4/ La durée moyenne des CDD a quant à elle été divisée par un peu plus de deux depuis le début du millénaire, passant de 112 jours en 2001 à 46 jours en 2017.

5/ La part des contrats de moins d'un mois a augmenté tendanciellement sur la période, passant de 57% des CDD en 1998 à 83% en 2017. Dans ce lot, la part des contrats d'une seule journée s'est accrue de manière exponentielle en passant de 8% en 2001 à 30% des CDD en 2017. Ce qui revient à dire que près d'un tiers des CDD signés chaque année en France sont de moins d'une journée!

6/ La multiplication des recrutements en CDD très courts n'est pas généralisable à l'ensemble de l'économie, bien au contraire. Dans l'industrie et la construction, note la Dares, la part des CDD très courts dans les établissements de plus de 50 salariés a ainsi diminué entre 1998 et 2017, respectivement de 40,6% à 32,4% pour les premiers et de 32,9% à 21,9% pour les seconds.

7/ À l'inverse, la part des CDD très courts dans les établissements de plus de 50 salariés a fortement augmenté dans les services où la part des personnes signant uniquement des contrats d'une durée inférieure à un mois sur un trimestre avoisine les 40%. Elle est ainsi passée de 60% au milieu des années 1990 à plus de 80% aujourd'hui.

Si les démissions représentent toujours aujourd'hui, et de loin, le premier motif de rupture anticipée de contrat le plus fréquent (40% en 2017, devant les fins de période d'essai et les licenciements pour motif personnel), la part des licenciements économiques s'est littéralement effondrée, passant d'environ 20% des fins de contrat en 1993 à 5% à partir des années 2000 et même moins de 2% en 2017. Une baisse plutôt de nature structurelle, note le ministère du Travail, qui s'explique notamment par le changement de comportement des entreprises qui utilisent des modes de fins de contrat plus diversifiés, et notamment la rupture conventionnelle.

9/ Les ruptures conventionnelles, introduites en 2008 dans le Code du travail et dont plus de 400.000 sont homologuées chaque année désormais par les services du ministère du travail, «se seraient avant tout substituées à des démissions de CDI (environ 75% entre 2012 et 2017) et, dans une moindre mesure, à des licenciements économiques (entre 10 et 20%). Les 5 à 15% des ruptures conventionnelles restantes seraient des ruptures de contrat qui n'auraient peut-être pas eu lieu sans l'introduction du dispositif», note la Dares.

10/ Le taux de rotation de la main-d'œuvre, défini comme la moyenne des taux d'entrée et de sortie, présente enfin une forte tendance à la hausse depuis 25 ans, puisqu'il s'établit à 95,8% en 2017 pour l'ensemble des établissements de plus de 50 salariés, contre 28,7% en 1993.

Un zest d' objectivité ne nuit pas . Pourquoi ne citez vous que trés rarement des chiffres avec des sources , comme içi par exemple ?

[myself72]

Vincent ici c'est pour débattre et échanger des idées même si nous ne sommes pas toujours d'accord mais faire des copier coller de ce que vous trouvez sur les pages des journaux ,vraiment je ne vois pas l'intérêt surtout que chaque journal à ses propres chiffres suivant l'orientation de leurs idées politiques .

[sofasurfer]

petite lecture/mise au point désolé extraits

Les 10 chiffres qui montrent la métamorphose du marché du travail depuis 25 ans
VIDÉOS - Le ministère du Travail vient de publier une étude se penchant sur l'évolution des embauches et des ruptures en CDI et CDD depuis 25 ans en France. De quoi casser quelques idées reçues bien ancrées, y compris dans les plus hautes sphères de l'État.

1/ La part des personnes en CDI (hors intérim) dans l'économie n'a pratiquement pas évolué depuis le début des années 1980 en France. Elle est passée de 94% en 1982 exactement après la victoire de François Mitterrand à la présidentielle un an plus tôt à 88% en 2017. Ce qui revient à dire que, peu ou prou depuis 35 ans, neuf salariés sur dix sont en CDI.

2/ La part des embauches en CDD (dans les embauches totales) a certes progressé depuis le début des années 1990 mais elle n'a pas explosé comme il est souvent indiqué. Elle est ainsi passée de 76% en 1993 (soit trois sur quatre, déjà) à 87% en 2017 (soit près de neuf sur dix). Le taux a beau être impressionnant, il n'a rien en évolution du raz-de-marée dont les politiques abreuvent régulièrement l'opinion.

3/ Le taux d'entrée en CDD (c'est-à-dire le rapport entre les embauches en CDD et les effectifs de l'établissement) a quant à lui bel et bien explosé et montre parfaitement un changement important de comportement d'embauche. Ainsi, relève la Dares, «depuis 1993, ce ratio est multiplié par plus de 4 pour les établissements de plus de 50 salariés, passant de 20,5% en 1993 à 84% en 2017». Une hausse qui s'est déroulée en deux temps: d'une façon modérée de 1993 à 2000, plus exponentielle par la suite.

4/ La durée moyenne des CDD a quant à elle été divisée par un peu plus de deux depuis le début du millénaire, passant de 112 jours en 2001 à 46 jours en 2017.

5/ La part des contrats de moins d'un mois a augmenté tendanciellement sur la période, passant de 57% des CDD en 1998 à 83% en 2017. Dans ce lot, la part des contrats d'une seule journée s'est accrue de manière exponentielle en passant de 8% en 2001 à 30% des CDD en 2017. Ce qui revient à dire que près d'un tiers des CDD signés chaque année en France sont de moins d'une journée!

6/ La multiplication des recrutements en CDD très courts n'est pas généralisable à l'ensemble de l'économie, bien au contraire. Dans l'industrie et la construction, note la Dares, la part des CDD très courts dans les établissements de plus de 50 salariés a ainsi diminué entre 1998 et 2017, respectivement de 40,6% à 32,4% pour les premiers et de 32,9% à 21,9% pour les seconds.

7/ À l'inverse, la part des CDD très courts dans les établissements de plus de 50 salariés a fortement augmenté dans les services où la part des personnes signant uniquement des contrats d'une durée inférieure à un mois sur un trimestre avoisine les 40%. Elle est ainsi passée de 60% au milieu des années 1990 à plus de 80% aujourd'hui.

Si les démissions représentent toujours aujourd'hui, et de loin, le premier motif de rupture anticipée de contrat le plus fréquent (40% en 2017, devant les fins de période d'essai et les licenciements pour motif personnel), la part des licenciements économiques s'est littéralement effondrée, passant d'environ 20% des fins de contrat en 1993 à 5% à partir des années 2000 et même moins de 2% en 2017. Une baisse plutôt de nature structurelle, note le ministère du Travail, qui s'explique notamment par le changement de comportement des entreprises qui utilisent des modes de fins de contrat plus diversifiés, et notamment la rupture conventionnelle.

9/ Les ruptures conventionnelles, introduites en 2008 dans le Code du travail et dont plus de 400.000 sont homologuées chaque année désormais par les services du ministère du travail, «se seraient avant tout substituées à des démissions de CDI (environ 75% entre 2012 et 2017) et, dans une moindre mesure, à des licenciements économiques (entre 10 et 20%). Les 5 à 15% des ruptures conventionnelles restantes seraient des ruptures de contrat qui n'auraient peut-être pas eu lieu sans l'introduction du dispositif», note la Dares.

10/ Le taux de rotation de la main-d'œuvre, défini comme la moyenne des taux d'entrée et de sortie, présente enfin une forte tendance à la hausse depuis 25 ans, puisqu'il s'établit à 95,8% en 2017 pour l'ensemble des établissements de plus de 50 salariés, contre 28,7% en 1993.

Un zest d' objectivité ne nuit pas . Pourquoi ne citez vous que trés rarement des chiffres avec des sources , comme içi par exemple ?

Et un zeste d'intelligence non plus, mais vous n'en etes pas pourvu. Passer de 94 à 88% de CDI, cela signifie une explosion des contrats CDD et interim, ces derniers ont été mulltipliés par 10 sur la meme période.

De plus,l''utilisation tout azimut des ruptures conventionnelles permet aux entreprises de dégraisser sans passer par des plans sociaux. A tel point que certaines entreprises sont sous surveillance de la DDT car elles ont abusé de ce type de rupture et sont sous le coups d’enquêtes.

Que vous soyez nul en économie, ca tout le monde a pu le constater, mais en plus vous vous enfoncez en ne citant que les chiffres qui vous arrangent, nul et malhonnète par dessus le marché...

[vincent]

Vincent ici c'est pour débattre et échanger des idées même si nous ne sommes pas toujours d'accord mais faire des copier coller de ce que vous trouvez sur les pages des journaux ,vraiment je ne vois pas l'intérêt surtout que chaque journal à ses propres chiffres suivant l'orientation de leurs idées politiques .

je n' utilise cela généralement pour contrer des " opinions" qui sont présentées comme des faits . En citant des sources , je suis capable d'échanger . Ces chiffres viennent de l' INSEE je crois.....bon on peut mettre en doute l' INSEE , la rotondité de la terre.....

[vincent]

Vincent ici c'est pour débattre et échanger des idées même si nous ne sommes pas toujours d'accord mais faire des copier coller de ce que vous trouvez sur les pages des journaux ,vraiment je ne vois pas l'intérêt surtout que chaque journal à ses propres chiffres suivant l'orientation de leurs idées politiques .

que je sache , 1 étage plus haut le contrait le bébé grincheux ...... sur les CDD .....avec des arguments.....avec des questions sur lesquelles je n' ai pas de réponse .

Moi , je ne vois pas l' intéret d' avancer des opinions farfelues et vouloir en faire une vérité .....même en posant une simple question , dont la maniére de la poser implique qu' il n 'y a pas de réponse , ou qu' elle est évidentes .

[vincent]

[quote=sofasurfer
Que vous soyez nul en économie, ca tout le monde a pu le constater, mais en plus vous vous enfoncez en ne citant que les chiffres qui vous arrangent, nul et malhonnète par dessus le marché...
[/quote]

Pensez vous rélement que c' est dur d' être au chômage , au RMI ? ben non , j' en suis l' exemple parfait .

Certes je n' ai pas eu l' existance brillante qu' a du être la votre . Vous avez peut être bossé 50 , 60 heures par semaine , emporté sans doute par votre travail passionnant . Vous avez même peut être entendu votre secrétaire vous dire vers le mois de mars , que vous deviez prendre les congés payés que vous n' aviez toujours pas pris......que sais je !!!!

Et tout cela pour en arriver où par rapport a vincent, ivrogne, ASSEDIC , RMI ......qui change de voiture tous les 2 ans !!!


Garantie OR 12 mois
M. VINCB•rrRBUULT RETAIL GROUP

VBHICULEA COMMERCIALISER
%dèle/Version : scaqlC TCE 140 OC
Couleur : BLEU cosevos Origine : Service NOVO
KilotTétrage réel : 9 800 Genre : VP 1ère tvEin : Non
%rque . RBUULT NO : FF768CD Type 1
1ère nise en circ. : 29/03/2019
NO série : VFIRFA00461310195 Carrosserie : CI Energie : Ssence
Usage Professionnel: Non Puiss.
TVA TTC
Prix du Véhicule
mCK RRG TOTALEASSU mCK RRG TOTALE SERVCE DENIARCHES IMMATRICULATION
ItxrrENS
TOTAL SUPPLav1Eh.rrs
Total des Services et t&tériels certificat irm•atriculation redevance d envoi taxe de gestion carburant (1 €/I)
TOTA L SUPPLENBITS A DMINISTRATIFS Voir détails page suivante 24494.24€

Total Général IJnitaire 25 600.00€

[lotus95]

que je sache , 1 étage plus haut le contrait le bébé grincheux ...... sur les CDD .....avec des arguments.....avec des questions sur lesquelles je n' ai pas de réponse .

Moi , je ne vois pas l' intéret d' avancer des opinions farfelues et vouloir en faire une vérité .....même en posant une simple question , dont la maniére de la poser implique qu' il n 'y a pas de réponse , ou qu' elle est évidentes .

les chiffres sont importants oui, mais il faut savoir les interpréter et faire des liens ...

tiens, prenez une autre source, Pôle Emploi : la proportion d'inscrits en catégorie B et C (contrats précaires) a grimpé de 10 points en 10 ans

je mettrai juste un bémol sur le fait que les CDD peuvent parfois être des pré-embauches en CDI ou des choix individuels, mais on n'en connait pas la proportion ; et ça ne remet pas en cause le constat global de baisse de proportion des CDI dans les emplois occupés

toujours est t-il que même s'il s'agit d'un manque de visibilité pour les entreprises, ou de leviers de flexibilité qu'on utilise, la tendance est très couteuse pour la collectivité (perte de 10 milliards par an), et les entreprises n'assument pas suffisamment ce surcoût ; et ce n'est pas la réformette du bonus/malus qui va changer quelque chose ...

c'est prendre le problème à l'envers que de faire payer cette évolution aux demandeurs d'emploi qui, non seulement, ne peuvent pas se projeter dans l'avenir, mais peuvent également basculer dans l'extrême pauvreté parce qu'on privilégie les bénéfices des entreprises.

C'est comme si on était incapable d'aller jusqu'au bout du raisonnement en se disant que le cycle économique se retournera fatalement contre ceux qui cherchent à le déséquilibrer à leur avantage ...

[Georges61]

non , ils seront obligés d' aller bosser , ou de se former avant d' aller bosser....les employeurs embaucheront plus parce qu' ils demandent.....de la MO

Mais non ! Il n'embaucheront pas plus, la robotisation leur coûte moins cher que la main-d'oeuvre.
Pour aller bosser, il faut trouver un employeur qui embauche. Quand à la formation, laissez mois rire : les artisans et commerçants ne veulent plus en faire et ce n'est pas dans les gênes de l'industrie française. Pôle emploi accorde des formations à doses homéopathiques. Le neveu d'un de mes voisins veux devenir soudeur pour travailler dans un chantier naval, Pôle emploi lui a dit qu'il n'aurait pas de place de libre avant un an.

[vincent]

Mais non ! Il n'embaucheront pas plus, la robotisation leur coûte moins cher que la main-d'oeuvre.
Pour aller bosser, il faut trouver un employeur qui embauche. Quand à la formation, laissez mois rire : les artisans et commerçants ne veulent plus en faire et ce n'est pas dans les gênes de l'industrie française. Pôle emploi accorde des formations à doses homéopathiques. Le neveu d'un de mes voisins veux devenir soudeur pour travailler dans un chantier naval, Pôle emploi lui a dit qu'il n'aurait pas de place de libre avant un an.

Des places en formation encore disponibles ? - GRETA Lyon
https://www1.ac-lyon.fr › greta › places-disponibles
Des places sont encore disponibles dans les formations pour adultes des GRETA de Lyon, l'Ain, ... Chaudronnerie Tuyautage Ferronnerie Soudage Usinage ..

Pourquoi n ' a t il pas eu de place ?

1 il cherchait a coté de papa maman , de la copine ,
2 il avait déja un bon CV de "formé " ?

Et vous vous posez sans doute la question de pourquoi ils ne veulent plus en former !!!!! faut aller leur demander ( j' ai la réponse, mais je vous laisse bosser )

[Georges61]

Des places en formation encore disponibles ? - GRETA Lyon
https://www1.ac-lyon.fr › greta › places-disponibles
Des places sont encore disponibles dans les formations pour adultes des GRETA de Lyon, l'Ain, ... Chaudronnerie Tuyautage Ferronnerie Soudage Usinage ..

Pourquoi n ' a t il pas eu de place ?

1 il cherchait a coté de papa maman , de la copine ,
2 il avait déja un bon CV de "formé " ?

Et vous vous posez sans doute la question de pourquoi ils ne veulent plus en former !!!!! faut aller leur demander ( j' ai la réponse, mais je vous laisse bosser )

Il cherchait juste à moins de 900 km de chez lui, je sais c'est beaucoup demandé. De plus personne ne lui indiqué qu'il y avait de la place dans ce GRETA.
D'après un artisan venu réparer notre machine à laver qui m'a donné une réponse à ma question " on a pas le temps de s'emmerder avec un apprentis, on a autre chose à foutre"

[vincent]

Il cherchait juste à moins de 900 km de chez lui, je sais c'est beaucoup demandé. De plus personne ne lui indiqué qu'il y avait de la place dans ce GRETA.
D'après un artisan venu réparer notre machine à laver qui m'a donné une réponse à ma question " on a pas le temps de s'emmerder avec un apprentis, on a autre chose à foutre"

De plus personne ne lui indiqué qu'il y avait de la place dans ce GRETA.

Fautse bouger le cul , votre réponse fait froid dans le dos .......s' il faut mettreun "coach" dérrière chaque type qui cherche une formation ......


Moi non plus , je savais pas qu' il y avait des places de disponibles......qui cherche , lui ou moi .....2 minutes sur Google .

Pendant des années u paysagiste entretenais le terrain de la maison de campagne vendue l' an dernier . :
Chaque année , il venait avec un apprenti.....sauf depuis 2016/17 environ . Ma question : pourquoi vous n' en prenez plus( il est trés bien placé , ex prof dans le collége technique (avec section espace vert) d' a coté

Réponse :

" Maintenat même aprés 1 ére année , interdiction de se servirde tronçonneuse , fil thermique etc etc .....prendre qq 'un pour lui apprendre a passer le balai , le rateau ....."

oui l' artisan n' a pas envie de s' enmerder avec dede telles contraintes , tout comme le viticulteur n' a pas les moyens de faire des chambres niveau IBIS pour loger les vendangeurs ( l' type Formule1 est interdit , car il y a des litrs a étages interdit pour loger des vendangeurs )