Nous nous doutons bien que corvo, fidèle à ses habitudes, va trouver la faute d'orthographe (transcription de l'arabe, qui plus est...) nécessaire à la pérennité de son statut d'intellectuel aux yeux incrédules et humides d'une intelligentsia toute acquise à la cause investigatrice . Force est de constater que c'est un domaine dans lequel il excelle. Nous reconnaissons en lui un redoutable chasseur de pluriels oubliés par un quelconque plumitif dont l'âme de philistin est enfin stigmatisée par le chevalier blanc du Lagarde & Michard et autres Grévisse pour cours moyen première année.
La seule réserve que nous nous permettons d'émettre, concernant les ambitions de correcteur orthographique du roi de l'accord du genre et du nombre devant l'auxiliaire, voire devant l’Éternel, c'est qu'à force de privilégier la forme, il finisse par oublier le fond. Imaginez qu'un jour un mal élevé irrévérencieux ose écrire « corvo est un callamiteu zabruti »...
Ce qu'à Dieu ne plaise. Évidemment !