tu es donc bien un menteur.
entre dégradé et vandalisme, il y a un fossé énorme qu’apparemment, t'es pas capable de voir.
un simple tag est une dégradation....
quand on est honnête, on se targue de mettre l'information dans son intégralité :
on est bien loin des musulmans en guerre qui dégradent nos lieux de culte que tu essayes de nous fourrer dans l'oignon.Plus de dégradations car plus d’églises
La Place Beauvau avait évoqué 541 faits antisémites, 100 faits anti-musulmans et 1 063 actes anti-chrétiens recensés. Sans donner le détail précis, Beauvau avait insisté sur le fait que les actes anti-chrétiens étaient «essentiellement des dégradations ou atteintes aux biens, et concernent en grande majorité des dégradations ou du vandalisme dans les églises et dans les cimetières».
Sur les 1 063 cas recensés, moins d’un millier concernent ainsi des dégradations (contre «une centaine» d’actions violentes). Et parmi les dégradations, «les deux tiers, voire les trois quarts (soit autour de 700, ndlr) concernent des bâtiments religieux, et le reste des sépultures», jugeait Beauvau sans plus de précisions.
Le ministère précisait par ailleurs que le nombre important de dégradations visant les lieux chrétiens s’expliquait en partie par le nombre supérieur d’églises par rapport aux lieux de cultes des deux autres religions.
Les deux chiffres, 877 selon la gendarmerie, ou environ 700 selon le ministère de l’Intérieur, regroupent des faits de natures diverses. Tout graffiti sur un bâtiment religieux peut être considéré comme une dégradation, au même niveau qu’une atteinte à un tabernacle ou du matériel religieux saccagé.
Le ministère de l’Intérieur citait en exemple des inscriptions sataniques, le nombre 666, le A barré de l’anarchie, des croix gammées, des tags nationalistes ou néonazis, mais aussi des inscriptions comme Allah akbar («Dieu est le plus grand»).
Interrogé par CheckNews sur la proportion de dégradations par revendication (anarchiste, nationaliste, anticlérical, islamiste, etc.), le ministère avait refusé de détailler, rappelant seulement que «tout bâtiment religieux doit être respecté».