vincent a écrit : ↑29 octobre 2020 10:23
pour vivarais ( qui connait trés bien l' amérique ) être conservatrice = être démocrate , bref du Trump sauce vivarais RN
Et en regardant ses propos différement , il affirme que Trump a mis une juge démocrate en place .....le con ( y a pas d' autre qulificatif )
La gauche n'existe pas aux USA. Il y a le centre-droit et la droite nationale.
Les anciens conservateurs sont plutôt du côté 'républicains' mais pas tous. Les néo-conservateurs sont issus des lobbies juifs au départ, principalement du côté démocrate, puis ont grossi avec des affiliés aux 2 camps, mais aussi d'autres tendances.
Je ne sais pas où se situe la nouvelle nommée à la cour suprême
«Vous avez eu à choisir entre la guerre et le déshonneur vous avez choisi le déshonneur, vous aurez la guerre»
(Phrase apocryphe de W Churchill)
Boycott QATAR FIFA 2022
UBUROI a écrit : ↑29 octobre 2020 11:19
Vincent, faudra avant passer une loi devant les parlementaires. Mais avec une majorité au Sénat après le 3/11, pourquoi pas. Ca ne serait pas scandaleux pour des conservateurs habitués depuis 4 ans à tant de magouilles, de mensonges, de renoncement aux valeurs "républicaines" et américaines. Le 11 novembre, la Cour Suprême est saisi du litige portant sur l'Obama Care. Nous verrons si Biden gagne et si le Sénat passe à "gauche" ce que décidera cette Cour; mais en toute logique la nouvelle juge qui met "Dieu" devant tout devrait défendre un régime de santé qui s'adresse aux pauvres, aux exclus...Rien de plus chrétien, non?
Exact , mais je suis persuadé que cela ne doit pas poser de probléme , l'élection n ' rien a voir avec l' élection présidentielle......j' ai la majorité des voix je suis élu.....pour la présidentielle c'est pas obligatoire
hulneb a écrit : ↑29 octobre 2020 11:43
La gauche n'existe pas aux USA. Il y a le centre-droit et la droite nationale.
Les anciens conservateurs sont plutôt du côté 'républicains' mais pas tous. Les néo-conservateurs sont issus des lobbies juifs au départ, principalement du côté démocrate, puis ont grossi avec des affiliés aux 2 camps, mais aussi d'autres tendances.
Je ne sais pas où se situe la nouvelle nommée à la cour suprême
vous devez être une des rares personnes a ne pas savoir........questionde bon sens .
Vous imaginez un instant Trump féliciter cette juge en la qualifiant d ' exceptionnelle " qui a fait un bon boulot "
alors que ce serait une fidéle démocrate ?
sofasurfer a écrit : ↑29 octobre 2020 11:23 Détailler que Biden est à gauche, c'est avoir une vision binaire et égocentrique franchouillarde. Dans ce contexte, il faut s’abstenir de toute analyse géopolitique, le monde ne tourne pas autour de "l'exemple " français...
Trump ironise sur Bernie le «communiste» et «Joe l ... - Le Soleilwww.lesoleil.com › Actualités › Monde
WASHINGTON — Ultra-visible sur le terrain, Donald Trump se fait bien plus discret dans les spots télévisés que son rival démocrate Joe Biden, en tête dans les
Biden a gauche est soft ......et franchouillard .....et Trump qui le traite de communiste c 'est quoi ?
sofasurfer a écrit : ↑29 octobre 2020 11:23 Détailler que Biden est à gauche, c'est avoir une vision binaire et égocentrique franchouillarde. Dans ce contexte, il faut s’abstenir de toute analyse géopolitique, le monde ne tourne pas autour de "l'exemple " français...
Trump ironise sur Bernie le «communiste» et «Joe l ... - Le Soleilwww.lesoleil.com › Actualités › Monde
WASHINGTON — Ultra-visible sur le terrain, Donald Trump se fait bien plus discret dans les spots télévisés que son rival démocrate Joe Biden, en tête dans les
Biden a gauche est soft ......et franchouillard .....et Trump qui le traite de communiste c 'est quoi ?
C'est de la communication de campagne sauce USA, l’électeur US aime quand c'est saignant!
L’ouverture d'esprit n'est pas une fracture du crâne
donc quand qq un écris que Biden est de gauche.........c 'est pas spécialement franchouillard c ' était l' unique objet de mon post .
Excellente initiative pour ceux qui n' y voient pas trés bien......
15:16 - Des élus du RN aux Etats-Unis pour soutenir Trump
Jordan Bardella et Jérôme Rivière se sont envolés ce vendredi pour les Etats-Unis afin d'apporter le soutien du Rassemblement national à Donald Trump. Respectivement numéro deux du parti et eurodéputé, ils doivent retouver des représentants américains pro-Trump et notamment sillonner la Pennsylvanie, Etat-clé pour l'élection. Ce mardi, ils suivront la soirée électorale avec des membres de l'équipe de campagne de Trump depuis Washington. Le Rassemblement national a toujours apporté son soutien à Donald Trump et encore fin septembre, Jordan Bardella confiait que la réélection du milliardaire républicain userait "une bonne nouvelle pour l'Amérique".
vivarais chéri , vous croyez que ça va faire bouger les électeurs américains ?
Moi, je crois surtout que ça risque de faire bouger qq électeurs français
16h43
Je viens de poursuivre la lecture de l' étude.......ben , j' avais une réaction a la " français moyen " , " européen moyen "
ben , il faut que Marine rappelle la meute......
14:11 - Enorme plébiscite des Européens pour Biden
Un vaste sondage réalisé par BVA pour RTL dans cinq pays d'Europe met en lumière l'impopularité assez conséquente de Donald Trump. S'ils pouvaient voter à l'élection américaine, 11 737 sondés ont répondu largement en faveur de Joe Biden. Par exemple, en Allemagne, 66% aurait donné leurs voix au candidat démocrate, contre seulement 8% à Donald Trump (27% d'abstentionnistes ou d'indécis). En France, plus de 4 personnes sur 5 ont une mauvaise opinion du président sortant et même chez l'extrême droite, sa popularité ne décolle pas (seulement 25% d'opinion favorable chez les sympathisants du Rassemblement National).
UBUROI a écrit : ↑30 octobre 2020 20:29
Je parie sur Trump, ça devrait affoler les trumpistes, et mes héritiers, car la dernière fois j'avais parié sur Clinton :ghe
Pourvu qu'il gagne!
Mettez pas trop de pognon surTrump......ça sent le roussi a tous les étages
En Arizona, les mormons républicains en ont marre de Trump
À Mesa, en banlieue de Phoenix, où vit une grande communauté mormone, certains fidèles dénoncent les agissements du président et font campagne pour Joe Biden. Par Alexis Buisson, envoyé spécial à Mesa (Arizona)
Publié le 29/10/2020 à 14:00 | Le Point.fr
Présidentielle américaine. Plus de 20 % des votes anticipés viennent des nouveaux électeurs
L’élection présidentielle américaine aura lieu mardi 3 novembre 2020. Parmi tous les électeurs qui ont déjà voté, via le vote par correspondance ou le vote d’anticipation, plus de 20 % sont les électeurs qui n’ont pas voté pendant l’élection de 2016.
pendant ce temps, c'est l'affolement la bas et les démocrates se mettent à acheter des flingues en masse.
le chômage n'augmente pas, il y a un manque d'emploi.
Muriel Penicaud ministre du travail. France-Inter le 30/07/2018.
"y a pas que les bonbons qui font tomber les dents" célèbre citation de la BAC nantaise.
donc quand qq un écris que Biden est de gauche.........c 'est pas spécialement franchouillard c ' était l' unique objet de mon post .
Excellente initiative pour ceux qui n' y voient pas trés bien......
15:16 - Des élus du RN aux Etats-Unis pour soutenir Trump
Jordan Bardella et Jérôme Rivière se sont envolés ce vendredi pour les Etats-Unis afin d'apporter le soutien du Rassemblement national à Donald Trump. Respectivement numéro deux du parti et eurodéputé, ils doivent retouver des représentants américains pro-Trump et notamment sillonner la Pennsylvanie, Etat-clé pour l'élection. Ce mardi, ils suivront la soirée électorale avec des membres de l'équipe de campagne de Trump depuis Washington. Le Rassemblement national a toujours apporté son soutien à Donald Trump et encore fin septembre, Jordan Bardella confiait que la réélection du milliardaire républicain userait "une bonne nouvelle pour l'Amérique".
vivarais chéri , vous croyez que ça va faire bouger les électeurs américains ?
Moi, je crois surtout que ça risque de faire bouger qq électeurs français
16h43
Je viens de poursuivre la lecture de l' étude.......ben , j' avais une réaction a la " français moyen " , " européen moyen "
ben , il faut que Marine rappelle la meute......
14:11 - Enorme plébiscite des Européens pour Biden
Un vaste sondage réalisé par BVA pour RTL dans cinq pays d'Europe met en lumière l'impopularité assez conséquente de Donald Trump. S'ils pouvaient voter à l'élection américaine, 11 737 sondés ont répondu largement en faveur de Joe Biden. Par exemple, en Allemagne, 66% aurait donné leurs voix au candidat démocrate, contre seulement 8% à Donald Trump (27% d'abstentionnistes ou d'indécis). En France, plus de 4 personnes sur 5 ont une mauvaise opinion du président sortant et même chez l'extrême droite, sa popularité ne décolle pas (seulement 25% d'opinion favorable chez les sympathisants du Rassemblement National).
les cons, ça ose tout, et c'est à ça qu'on les reconnait
« Ainsi s'éteint la liberté, sous une pluie d'applaudissements. » Star Wars, épisode III
"nul bien sans peine".....
Cette année, en début de campagne, le nombre d’États potentiellement décisif semblait n’avoir jamais été aussi important. Depuis début septembre, nous vous avons proposé chaque semaine un de ces États dans notre newsletter. Même un grand État comme le Texas, deuxième par le nombre de grands électeurs et traditionnellement républicain, est incertain. Cet État résume à lui seul l’évolution démographique du corps électoral américain. Une douzaine de Swing states, aux profils très différents les uns des autres, peuvent à un moment ou un autre de la campagne et de la soirée électorale s’avérer déterminants.
Dans la dernière ligne droite, deux États sont particulièrement surveillés. La Floride, où Trump a sa résidence et où il vote, État où se noua en 2000 la crise qui finit par donner la victoire à Bush, sera mardi soir un tournant dans l’annonce des résultats. Sans la Floride, Trump n’a quasiment aucune chance de l’emporter, mais s’il empoche les 29 grands électeurs de Floride, le risque de contestation dans les autres États sera accru. Les Républicains ont mené toute une campagne pour multiplier les obstacles au vote par correspondance, en contestant les délais, les modalités et la rigueur des énoncés soumis aux électeurs.
Pennsylvanie, symbole du maquis juridique
La Pennsylvanie, où le résultat est incertain, est le meilleur exemple de ce maquis juridique que représente l’élection américaine du président. Comme l’explique Charles-Philippe David, professeur à l’Université du Québec à Montréal (UQAM) et fondateur de l’Observatoire sur les États-Unis, dans l’un des podcasts Maison Blanche que nous avons consacrés au scrutin, "il n’y a pas une élection mais cinquante élections". Avec des différences de procédures d’État à État qui exigeraient des journées entières pour brosser un tableau exhaustif.
Lors des primaires en Pennsylvanie, des milliers de votes ont été annulés pour des vices de forme. Dans une mesure rentrant dans la marge d’erreur des sondages. En cas de victoire en Floride et de résultat serré en Pennsylvanie, la machine républicaine à contester juridiquement les résultats se mettra en place. Les deux partis ont lâché des centaines d’avocats et de scrutateurs pour se préparer à une bataille qui pourrait être épique, si aucun vainqueur net ne se dégage dans la nuit de mardi à mercredi.
La réforme du système électoral ? Presque impossible
Selon un récent sondage du Pew Research Institute, 61 % des Américains estiment désormais qu’il serait temps de passer à un système d’élection au suffrage universel du président américain, en ne prenant comme critère que le vote à l’échelle fédérale sans la pondération des États. Une écrasante majorité des Démocrates sont pour, une écrasante majorité des Républicains sont contre. Il y a donc peu de chances qu’il y ait un accord.
Ce dilemme entre les États et la Fédération existe depuis 1776, c’est-à-dire depuis la déclaration d’indépendance des treize premières colonies vis-à-vis de la puissance britannique. Toute l’histoire américaine, et le quotidien de ses habitants, est marquée par la coexistence, parfois conflictuelle, entre les prérogatives fédérales et les revendications de chaque État. Il n’y a pas que le système électoral qui constitue un maquis juridique, les lois et réglementations de toutes sortes varient d’un État à l’autre, qu’il s’agisse du port d’armes ou des licences de pompistes.
Enfin, il y a un obstacle presque insurmontable à cette réforme vers le suffrage universel. Pour qu’elle advienne, plusieurs voies existent, notamment une réforme de la constitution. Pour cela, il faudrait obtenir un vote des deux-tiers à la Chambre des représentants ainsi qu’au Sénat. Hypothèse hautement improbable si l’on regarde les équilibres politiques à Capitol Hill depuis trente ans. Surtout, il faudrait que trois-quarts des États ratifient cet amendement de la réforme constitutionnelle. Inimaginable. Le système actuel est justement le levier d’affirmation et de pouvoir des nombreux États du centre de la fédération, qui ne disposent pas de la puissance économique de la Californie ou de la Côte Est.
Tout se jouera donc dans les fameux Swing states. En voici les principaux :
Floride
- Pennsylvanie
- Texas
- Ohio
- New Hampshire
- Géorgie
- Arizona
- Iowa
- Nevada
- Michigan
- Caroline du Nord
- Wisconsin
« Ainsi s'éteint la liberté, sous une pluie d'applaudissements. » Star Wars, épisode III
"nul bien sans peine".....
coincetabulle a écrit : ↑31 octobre 2020 10:00
pendant ce temps, c'est l'affolement la bas et les démocrates se mettent à acheter des flingues en masse.
Imagine, les supporters de Trump sont chauffés à blanc par leur président qui leur annonce que les élections sont truquées. Faut les voir défiler en milices armées jusqu'aux dents. De quoi flipper si Trump perd.
jabar a écrit : ↑31 octobre 2020 16:47
Imagine, les supporters de Trump sont chauffés à blanc par leur président qui leur annonce que les élections sont truquées. Faut les voir défiler en milices armées jusqu'aux dents. De quoi flipper si Trump perd.
Sur le plan psychologique , j ' ai du mal a ne pas faire une comparaison entre "les moteurs" trumpiens , et les moteurs des islamistes .
Hier , reportage Arte aux USA ....différentes interview en direct . Un trumpiste , bien de sa personne, pas en débardeur avec kalach en bandouillére , pas la tronche d' un pilier de restaurant routier . Non , trés bien sappé , vocabulaire posé , rien a voir avec les hystériques habituels .Ce monsieur , sans sourciller , affirmait que l' état de crispation , la division des USA etc etc .......tout cela était la conséquence du comportements des démocrates ......
C 'était pas drôle , mais triste , et ça faisait peur