L'affaire Raoult est un leurre, et a été utilisée comme paravent d'une mise en scène destinée à la fois à enrichir des spéculateurs initiés (Gilead) et à enterrer l'idée d'un traitement dans l'esprit des individus ... parce que l'objectif n°1 depuis le début est le vaccinpapibilou a écrit : ↑28 décembre 2020 11:12 Que beaucoup de médias aient pris position contre Raoult, c'est effectivement indiscutable. Que France Soir ait pris position en sa faveur, comme en celle de Perronne, l'est aussi. Certains médias ont cependant essayé de montrer que aucune étude n'avait permis de se forger une opinion définitive.
Que l'IHU de Marseille ait publié, et continue de publier, des éléments chiffrés qui ne peuvent amener de conclusions d'un point de vue scientifique, c'est aussi exact et vous devriez vous poser des questions, non sur les chiffres eux mêmes mais sur le fait de savoir s'ils apportent une réponse définitive à la question du traitement qu'il a mis en œuvre, et si vous êtes objective vous devrez répondre que non.
De la même façon, l'essai Recovery (je ne parle pas de la fable du Lancet bien sûr) aurait montré que l'utilisation de l'HCQ ne montrait aucune efficacité. Mais cette étude présente aussi des biais. Donc, que ce soit dans un sens ou dans l'autre nous n'avons pas la réponse.
Une seule étude aurait peut-être pu apporter un élément favorable à ce protocole, c'et celui du Michigan. Malheureusement après une
pré-publication les résultats n'ont pas vu de version définitive.
L'honnêteté la plus absolue serait donc de reconnaître notre ignorance sur l'efficacité du traitement de Raoult. La saurons nous un jour ? Pas sûr.
Ensuite les démêlés entre scientifiques nous montrent que ce monde n'est pas exempt de coups bas et Raoult n'est pas en reste. Cette pandémie aura donc été l'occasion de nous montrer que le monde médical et de la recherche que nous aurions pu croire un peu plus clair, est un panier de crabes.
Cette conclusion, en revanche ne fait malheureusement pas partie des choses dont on doit dire: "je ne sais pas", car, là, on sait.
Mais mettre tout le monde dan le même panier serait injuste.
Il me semble même que la première des qualités que l'on devrait trouver chez un scientifique ou un mandarin est sa capacité à dire "je me suis trompé". Raoult avait parlé de grippette, il aurait du dire: je me suis trompé. Karine Lacombe ne voulait pas de masques , elle devrait dire je me suis trompée.
J'en ai entendu un le dire, je crois que c'est Deray auquel on disait "mais au début vous ne recommandiez pas le masque !" et il a répondu "eh bien je me suis trompé et maintenant je le mets chaque fois que je sors". Mais il n'y en a pas beaucoup.
De même qu'il n'y en a pas beaucoup sur ce forum !
la preuve en est que tous les autres traitements efficaces, dont l'ivermectine avec des résultats très concluants, ont fait l'objet d'un black out total ; là encore, les médias ont enterré sciemment ce qui fait clairement de l'ombre au vaccin
Je ne m'arrête pas aux critiques de scientifiques peu objectifs, je vois les patients comme des humains, pas comme des chiffres ou %
le Pr Raoult a soigné et guéri, ses études retracent ses résultats et il a toujours fait preuve de transparence, il n'y a pas de groupe contrôle parce que c'est contraire à l'éthique médicale, voilà tout ; les preuves d'efficacité sont multiples et ne s'arrêtent pas à la France ;
et la validation d'une science dictatoriale qui ne prouve que ce qui l'intéresse n'a pas la moindre valeur, d'autant plus qu'elle est très loin d'appliquer à elle-même les principes de rigueur qu'elle exige des autres.
Par ailleurs, il faut tout de même savoir que les épidémies ont toujours ou presque été gérées par une approche empirique, et que certains membres du Conseil scientifique considéraient même il n'y a pas si longtemps (2015) que les études randomisées n'étaient pas une solution en phase d'épidémie.
https://www.thelancet.com/action/showPd ... %2900344-8
https://www.francesoir.fr/opinions-trib ... 9-arretons
Dans un monde qui tourne rond, les scientifiques passeraient outre leurs différends et guerres d'égo pour faire face au contexte et être au service du soin avant tout ; ça n'a pas été le cas, mais on ne peut pas mettre tout le monde au même niveau en effet
moi je retiens ceux qui ont soigné, tant sur le plan physique que moral, en contrecarrant la communication délétère que les médias ont adoptée.
Pour les masques, il faut tout de même distinguer les milieux clos et l'extérieur ; le raisonnement ne peut pas être global, l'extension à l'extérieur est purement arbitraire, nullement fondé sur la science , et a été retoqué en justice dans plusieurs régions en raison de sa disproportion.
je rejoins cette position, la réponse ne peut pas être binaire, le masque peut être utile en phase épidémique en milieu clos ; en dehors de ce contexte, toute obligation est clairement un abus de droit manifeste, surtout s'il s'avère qu'il est susceptible d'engendrer l'aggravation de certaines pathologies.
Pour revenir aux médias, on peut regretter qu'il n'y ait quasiment eu aucune communication en matière de prévention ; on a pourtant un bon nombre de moyens efficaces de se préserver des virus en saison hivernale ; rien que ce point dénote d'un parti pris flagrant