licenciements

[Louisa]

les licenciements se multiplient ......

Sun sur le point de licencier près de 6000 personnes...

Par Ludovic DUPUY, le 17 novembre 2008

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Tags : Sun - plan de restructuration - licenciement - réorganisation interne

Sun, en plein plan de restructuration, annonce la suppression prochaine de 5000 à 6000 postes, et devrait prochainement procéder à une réorganisation interne.

Afin de « s'adapter au climat économique mondial », Sun, troisième fabricant mondial de serveurs (derrière IBM et HP), va prochainement supprimer entre 5000 et 6000 emplois, ce qui est représentatif d’environ 15 à 18% de son effectif mondial.

[Louisa]

JPMorgan s'apprête aussi à supprimer des milliers d'emplois
La semaine dernière, la presse faisait état de 10.000 emplois supprimés chez Citigroup et 3.000 chez RBS. Quant à Morgan Stanley, elle a officialisé la suppression de 10% des effectifs de son activité marché.

http://www.challenges.fr/actualites/fin ... emplo.html

[Louisa]

17/11/08 11:10 Wall Street : 70 000 emplois menacés

(AOF) - L'industrie financière se prépare à des suppressions d'emplois massives. Alors que les banques américaines finalisent leurs plans de licenciements et leurs budgets 2009, cadres et analystes estiment que 70 000 emplois supplémentaires pourraient être supprimés à la fin du mois. Premières cibles : les activités de banque d'investissement et de trading, particulièrement affectées par le gel des marchés de capitaux et par l'effondrement des opérations de financement et de rachats d'entreprise. Goldman Sachs – 32 500 employés dans le monde – prévoit une réduction de 10 % de ses effectifs. Plus de 20 000 emplois sont concernés chez Citigroup. De son côté, Merrill Lynch s'est séparé d'environ 5 700 collaborateurs, soit 9 % de ses effectifs, alors que Morgan Stanley a licencié 4 400 employés, selon des données Bloomberg. A ces chiffres s'ajoutent les 23 000 pertes d'emploi liées aux faillites de Bear Stearns et Lehman Brothers. Une récente étude menée par la Réserve fédérale concluait que la seule ville de New York pourrait perdre entre 55 000 et 78 000 emplois financiers dans les prochaines années.

[Fonck1]

ben c'est la crise...ca semble logique....ils vont pas embaucher s'ils gagnent pas d'argent...

[Crapulax]

Je connais une personne qui m'a dit puisqu'elle y bosse,qu'à l'ANPE c'était pas le pied et des potos intérimaires qui ont pas de missions!D'autre part,Legrand va fermer sur Limoges et là ca va faire bobo,il employait à gavas!

[Fonck1]

legrand fabriquant de matos elect.construction en crise,société dependant des construction en super crise!

[Louisa]

Nantes va perdre sa dernière raffinerie de sucre




Plus assez rentable, la raffinerie Béghin Say fermera définitivement ses portes l'été prochain, laissant près de 180 salariés sur le carreau.

Ses cheminées crachaient leur fumée blanche dans le ciel de Nantes depuis plus de 70 ans. En juillet prochain, elles s'arrêteront définitivement.

Confirmant les craintes évoquées en juin, Philippe Duval, le président de Tereos, a annoncé mercredi, devant le comité central d'entreprise, la fermeture de la raffinerie Béghin Say à l'été 2009.

Surnommée la « boîte bleue » depuis qu'elle a été repeinte de cette couleur, en 1991, l'usine, qui raffine chaque année 110 000 tonnes de sucre de canne, est victime de la réforme du Règlement sucre de l'Union européenne. Lancée en 2006, cette réforme, qui vise à mettre fin à la surproduction de sucre au sein de l'UE, s'est traduite par la réduction des quotas de production et la suppression de l'aide au raffinage.
(...)
Au printemps, Tereos s'était fait souffler un marché de 250 000 tonnes de sucre de canne en provenance de l'île Maurice par son principal concurrent, la raffinerie Saint-Louis de Marseille, filiale du géant allemand Sudzücker. Depuis, aucune des pistes explorées pour trouver de nouveaux fournisseurs ou récupérer l'activité raffinage abandonnée par des concurrents européens n'a abouti.

172 salariés « sacrifiés »

Pour les 172 salariés de Béghin Say, l'annonce de la fermeture de l'usine ne constitue pas une surprise. « On s'y attendait depuis quelques années, ça se profilait depuis le rachat par Tereos en 2002, explique Patrick Janin, élu CGT. On a été sacrifié sur l'autel d'une stratégie de groupes au niveau européen, Saint-Louis conservant le sucre de canne et Tereos se recentrant sur la betterave ».

Un comité d'entreprise extraordinaire doit se tenir ce matin, à Nantes. Un nouveau comité central d'entreprise se réunira le 15 décembre pour lancer la procédure de plan social.

Des reclassements difficiles

Comme la loi l'y oblige, la direction promet qu'« une solution adaptée sera proposée à chacun des salariés ». Mais les syndicats ne se font pas beaucoup d'illusions : « Il sera difficile de reclasser tout le monde, d'autant que les autres usines du groupe sont implantées dans le Nord-Pas-de-Calais ou en région parisienne, souligne Patrice Tripon, élu CFDT. La plus proche est à Artenay, dans le Loiret ».

En congés RTT cette semaine, les salariés de Béghin Say seront tous de retour au travail lundi. « L'ambiance était déjà très morose, on ne sait pas quelle va être leur réaction », confie Patrick Janin.

Xavier Boussion [/quote]

[Fonck1]

c('est pas u n mal pour le sucre,les français deviennent obèses!!

[Crapulax]

:content115 Oui Fonck et nous allons perdre un Madrange sur les 2!Déjà qu'on est pauvre,alors là,c'est panique à bord!

[tisiphoné]

:content115 Oui Fonck et nous allons perdre un Madrange sur les 2!Déjà qu'on est pauvre,alors là,c'est panique à bord!

tu te retrouves comme un "jambon "

[Louisa]

Emploi : la crise frappe de plein fouet les « variables d'ajustement »


Les patrons les appellent, « variable d'ajustement » ; la CGT, « travailleurs précaires » : ce sont des personnes salariées sous contrat d'intérim ou à durée déterminée. Elles paient cher la crise.

« Que faites-vous dans la vie ? » « Je suis variable d'ajustement chez Manitou, Toyota Industrial Equipment, Leduc, Bouhyer, Manuli-OTIM... ».

Ce n'est pas une mauvaise blague écrite sur le dos des centaines de travailleurs qui, selon la CGT, ont perdu leur emploi ces dernières semaines, chez Manitou, chez Toyota et leurs sous-traitants. Cet improbable dialogue pourrait exister dans la réalité pour peu que chacun s'exprime dans le jargon des cadres responsables de la ressource humaine des entreprises.

et oui il y aussi tout ceux qui se retrouvent sans emplois, mais comme se sont des "variables d'ajustements", cela n'est pas compter comme des licenciements.

[Crapulax]

:content115 Tisi,non,c'est l'usine de paté et compagnie,pas celle du Jambon