les gars c'est comme une branche.... tu t' accroches puis ça casse les gars c'est comme les chiens.... tu les flattes, la queue se lève
les gars c'est comme la lettre Q.... un gros zéro avec une petite queue
les gars c'est comme les oignons.... ça fait pleurer
les gars c'est comme les trains.... si tu le manques, tu prends le prochain
les gars c'est comme la nuit.... ça fait rêver
Les gars c'est comme la bière.... les 2 rendent malade
les gars c'est comme les fruits.... après la saison , ils sont pourris
les gars c'est comme le caramel.... c'est bon mais c'est collant
les gars c'est comme des allumettes.... quand tu les frottes, ils perdent la tête
les gars c'est comme les grenouilles.... ça saute sur tt qui bouge
les gars c'est comme les places de parking.... les meilleurs son pris
les gars c'est comme les éléphants.... ça trompe tt le tps
les gars c'est comme les pokémons il faut les dressé pour kil évolue
les gars c'est comme du pop corn +c'est cho +ça saute
Les mecs c'est comme les cigarettes tu les allume, tu les consumes et tu les
jettes
Les mecs c'est comme les chiottes: soit ils sont occupes, soit ils sont merdiques ...
Les mecs c'est comme les pruneaux ça fait vite chier
Les mecs c'est comme le métro, quand t'en loupe un tu prend le suivant
Les hommes, c'est comme les champignons...
On les cherche, on les trouve. Et après, ils nous empoisonnent !
Les hommes, c'est comme des éléphants. - Ca trompe.
Un homme, c'est comme une cassette vidéo. - Avance, recule, avance, recule, stop, éjecte .
Les hommes, c'est comme du cristal. - C'est beau mais ça casse vite!
Les hommes, c'est comme les serpents. - Ca n'a pas de tête, juste une queue
Pourquoi les vieilles filles sont toujours constipées? Elles n'ont pas de mari pour les faire chier!!!
TRISTESSE
-
Doums
Les rêves
Quand j'entends tes douces paroles
Mon cœur palpite comme un fou
Je me laisse entraîner dans la farandole
Où que j'aille, je te vois partout!
Mes pensées s'accrochent à tes pas
Plus jamais, je ne me sentirai seule
Tu es toujours là
Je nous imagine couchés au creux d'une meule.
Ah que j'aime l'odeur du foin
Je la respire à plein poumons
Il me faudra attendre le mois de juin
Pour enfin profiter de la situation.
Je me promène aussi dans les bois
Pour écouter le chant des oiseaux
Je ne puis m'empêcher de penser à toi
Et je traverse pieds nus le ruisseau.
Les rêves sont toute ma fortune
Ils me permettent de voyager très loin
Je disparais sur la lagune
J'ai perdu mon chemin...
Mon cœur palpite comme un fou
Je me laisse entraîner dans la farandole
Où que j'aille, je te vois partout!
Mes pensées s'accrochent à tes pas
Plus jamais, je ne me sentirai seule
Tu es toujours là
Je nous imagine couchés au creux d'une meule.
Ah que j'aime l'odeur du foin
Je la respire à plein poumons
Il me faudra attendre le mois de juin
Pour enfin profiter de la situation.
Je me promène aussi dans les bois
Pour écouter le chant des oiseaux
Je ne puis m'empêcher de penser à toi
Et je traverse pieds nus le ruisseau.
Les rêves sont toute ma fortune
Ils me permettent de voyager très loin
Je disparais sur la lagune
J'ai perdu mon chemin...
-
Doums
.+*°*+.~~ jE T'aiME TanT .+*°*+.
Je t'aime tant
Que je veux vivre à tes côtés
D'avoir une vie à nous
Et de fonder notre propre famille
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Je t'aime tellement
Que je ne veux plus que tu me quittes
Ou qu'on se chamaille pour un rien
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Tu es le seul qui m'a sauvé
De ce monde obscure
Et tout ce que je veux
C'est d'être à tes côtés
Pour toujours
Que je veux vivre à tes côtés
D'avoir une vie à nous
Et de fonder notre propre famille
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Je t'aime tellement
Que je ne veux plus que tu me quittes
Ou qu'on se chamaille pour un rien
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Tu es le seul qui m'a sauvé
De ce monde obscure
Et tout ce que je veux
C'est d'être à tes côtés
Pour toujours
-
Doums
+*°*+. ~~ RUPTURE .+*°*+.
PARCE QU'ON S'ENGUEULE
COMME ON L'A FAIT AUSSI SOUVENT
PARCE QU'ON NE S'ENTEND PLUS
QU'ON EST PLUS SUR LA MÊME LONGUEUR D'ONDE
PARCE QU'ON N'A PAS LES MÊME DESIRS
QUE JE NE PEUX PAS TE DONNER MAINTENANT
PARCE QUE TU ME RAPPELLAIS SANS CESSE
LA PERTE DE NOTRE MOITIE
PARCE QUE J'ETAIS OBLIGER DE FAIRE TANT DE SACRIFICE
ET TOI PAS
PARCE QUE JE NE POUVAIS PLUS VOIR MES AMIS
SANS QUE TU ME SURVEILLES ET QUE TU VIENNES
PARCE QUAND TES AMIS ETAIENT LA
TU M'AVAIS HUMILIE DEVANT EUX
ET MÊME DEVANT TES PROPRES PARENTS
PARCE QUE TU ME LAISSAIS PLUS UNE JOURNEE
QUE J'AVAIS L'IMPRESSION D'ETOUFFER
C'EST PARCE QUE TU N'AVAIS PAS CONFIANCE EN MOI
QUE MON COEUR A COMMENCE A SE BRISER A 2
PARCE QUE MON COEUR A TROP SOUFFERT
QUE MAINTENANT IL PLEURE NON!
C'EST DEPUIS CE JOUR QUE MON ÂME A TROP SOUFFERT
QUE C'ETAIT UNE GÔUTTE QUI A FAIT BORDE LE VASE
MARRE DE TES GAMINERIES ENFANTINS
MARRE DE TES CAPRICES
C'EST PARCE QUE TU ME NARGUES
AVEC TOUTES SES FILLES QUI TE VOULAIT
C'EST PARCE QUE TU M'AS MENTI
ET QUE TU FAIS L'HYPOCRITE DERRIERE MON DOS
COMME UN COUP DE POIGNARD SUR MON COEUR
QUE MON COEUR A DIT STOP!
MEME SI MON COEUR ET MON ÂME NE VEULENT PAS
QUE JE T'AI TANT AIME DE TOUT MON ÊTRE
QUE JE TE QUITTE AVANT QU'ON SE FASSE PLUS DE MAL
ET AVANT QU'ON ENTRE TUE POUR DU BON !!!
ET QUE J'AI LAISSE COULER TANT DE LARMES
SUR CE POEME DE NOTRE VIE
COMME ON L'A FAIT AUSSI SOUVENT
PARCE QU'ON NE S'ENTEND PLUS
QU'ON EST PLUS SUR LA MÊME LONGUEUR D'ONDE
PARCE QU'ON N'A PAS LES MÊME DESIRS
QUE JE NE PEUX PAS TE DONNER MAINTENANT
PARCE QUE TU ME RAPPELLAIS SANS CESSE
LA PERTE DE NOTRE MOITIE
PARCE QUE J'ETAIS OBLIGER DE FAIRE TANT DE SACRIFICE
ET TOI PAS
PARCE QUE JE NE POUVAIS PLUS VOIR MES AMIS
SANS QUE TU ME SURVEILLES ET QUE TU VIENNES
PARCE QUAND TES AMIS ETAIENT LA
TU M'AVAIS HUMILIE DEVANT EUX
ET MÊME DEVANT TES PROPRES PARENTS
PARCE QUE TU ME LAISSAIS PLUS UNE JOURNEE
QUE J'AVAIS L'IMPRESSION D'ETOUFFER
C'EST PARCE QUE TU N'AVAIS PAS CONFIANCE EN MOI
QUE MON COEUR A COMMENCE A SE BRISER A 2
PARCE QUE MON COEUR A TROP SOUFFERT
QUE MAINTENANT IL PLEURE NON!
C'EST DEPUIS CE JOUR QUE MON ÂME A TROP SOUFFERT
QUE C'ETAIT UNE GÔUTTE QUI A FAIT BORDE LE VASE
MARRE DE TES GAMINERIES ENFANTINS
MARRE DE TES CAPRICES
C'EST PARCE QUE TU ME NARGUES
AVEC TOUTES SES FILLES QUI TE VOULAIT
C'EST PARCE QUE TU M'AS MENTI
ET QUE TU FAIS L'HYPOCRITE DERRIERE MON DOS
COMME UN COUP DE POIGNARD SUR MON COEUR
QUE MON COEUR A DIT STOP!
MEME SI MON COEUR ET MON ÂME NE VEULENT PAS
QUE JE T'AI TANT AIME DE TOUT MON ÊTRE
QUE JE TE QUITTE AVANT QU'ON SE FASSE PLUS DE MAL
ET AVANT QU'ON ENTRE TUE POUR DU BON !!!
ET QUE J'AI LAISSE COULER TANT DE LARMES
SUR CE POEME DE NOTRE VIE
-
Doums
.+*°*+. ~~ SEnTiMeNTS CaChes .+*°*+.
JE N'ARRIVE A SAVOIR
DE CE QUI SE PASSE DANS MON COEUR
JE NE SAIS PAS CE QUE JE VEUX
JE NE COMPREND PLUS MES SENTIMENTS
JE N'AI JAMAIS CESSE DE PENSER A TOI
MEME QUAND J'ETAIS AVEC QUELQU'UN D'AUTRE
JE ME DEMANDAIS SI J'AVAIS FAIT LE BON CHOIX.
MAIS NON JE M'ETAIS TROMPE
JE NE SAIS MEME PAS POURQUOI JE T'AI RECONTACTE
SANS DOUTE QUE JE ME SENTAIT SEULE
OU QUE TU ME MANQUAIS
QUE TU AVAIS RAISON SUR CE POINT
MAIS SEULEMENT JE ME REND COMPTE
QUE JE T'AIME ENCORE
ET çA N'EST JAMAIS PARTI
QUI EST TOUJOURS RESTE AU FOND DE MON COEUR
QUE J'AIMERAIS TANT TE DIRE
MAIS QUE AUCUNE PAROLE SE MONTRE
PEUR DE TA REACTION
PEUR QUE çA SE PASSE QU'UN SEUL INSTANT
ALORS QUE J'AIMERAI QUE CELA DURE
TOUTE L'ETERNITE
DE CE QUI SE PASSE DANS MON COEUR
JE NE SAIS PAS CE QUE JE VEUX
JE NE COMPREND PLUS MES SENTIMENTS
JE N'AI JAMAIS CESSE DE PENSER A TOI
MEME QUAND J'ETAIS AVEC QUELQU'UN D'AUTRE
JE ME DEMANDAIS SI J'AVAIS FAIT LE BON CHOIX.
MAIS NON JE M'ETAIS TROMPE
JE NE SAIS MEME PAS POURQUOI JE T'AI RECONTACTE
SANS DOUTE QUE JE ME SENTAIT SEULE
OU QUE TU ME MANQUAIS
QUE TU AVAIS RAISON SUR CE POINT
MAIS SEULEMENT JE ME REND COMPTE
QUE JE T'AIME ENCORE
ET çA N'EST JAMAIS PARTI
QUI EST TOUJOURS RESTE AU FOND DE MON COEUR
QUE J'AIMERAIS TANT TE DIRE
MAIS QUE AUCUNE PAROLE SE MONTRE
PEUR DE TA REACTION
PEUR QUE çA SE PASSE QU'UN SEUL INSTANT
ALORS QUE J'AIMERAI QUE CELA DURE
TOUTE L'ETERNITE
-
Doums
AINSI VONT NOS VIES
Tendres années aux rythmes du passé
Qui reviennent peser sur les âmes oubliées
Un regard en arrière pour mieux avancer
Une larme pour ce qui est perdu à jamais…
Inexorablement la vie coule et les amours s’y noient
Petites perles englouties par les flots de la vie
Mais ainsi va la vie, il faut savoir accepter parfois
Que rien ne reste inchangé, tout passe et vieillit
A mes torts, je viens de le comprendre et l’accepter
Aussi lourd soit-il le poids de nos si grands souvenirs
Vidée, je me relève encore, lassée de tant souffrir
Et emprunte seule ce nouveau chemin, pour oublier
Si je pouvais redessiner le monde, oh crois-moi je le ferai
De milles et une couleurs je redessinerai notre terre
Juste pour retrouver, ne serait-ce qu’une poussière
Ne serait-ce qu’un soupçon de ce qu’on était
Mais dans les vagues de l’ignorance je t’ai vu plonger
Petite perle chère à mon cœur dans les flots de ta vie
Qu’importe l’amertume si c’est le bonheur qui t’a trouvé
Qu’importe alors que nos chemins se séparent aujourd’hui...
Il est dit que mieux vaut se séparer avant qu’il ne soit trop tard
Ne pas se désaimer tant qu’il reste encore des choses à sauver…
Il paraît que mieux vaut se quitter avant de tout gâcher
Ces bons souvenirs du passé… pour qu’il ne soit jamais trop tard…
Qui reviennent peser sur les âmes oubliées
Un regard en arrière pour mieux avancer
Une larme pour ce qui est perdu à jamais…
Inexorablement la vie coule et les amours s’y noient
Petites perles englouties par les flots de la vie
Mais ainsi va la vie, il faut savoir accepter parfois
Que rien ne reste inchangé, tout passe et vieillit
A mes torts, je viens de le comprendre et l’accepter
Aussi lourd soit-il le poids de nos si grands souvenirs
Vidée, je me relève encore, lassée de tant souffrir
Et emprunte seule ce nouveau chemin, pour oublier
Si je pouvais redessiner le monde, oh crois-moi je le ferai
De milles et une couleurs je redessinerai notre terre
Juste pour retrouver, ne serait-ce qu’une poussière
Ne serait-ce qu’un soupçon de ce qu’on était
Mais dans les vagues de l’ignorance je t’ai vu plonger
Petite perle chère à mon cœur dans les flots de ta vie
Qu’importe l’amertume si c’est le bonheur qui t’a trouvé
Qu’importe alors que nos chemins se séparent aujourd’hui...
Il est dit que mieux vaut se séparer avant qu’il ne soit trop tard
Ne pas se désaimer tant qu’il reste encore des choses à sauver…
Il paraît que mieux vaut se quitter avant de tout gâcher
Ces bons souvenirs du passé… pour qu’il ne soit jamais trop tard…
-
Doums
Adieu, je t'aime...
Dans mon passé j’ai fait souffrir
Des cœurs blessés sans réfléchir
Et t’écorcher, je ne voudrais pas
Je sais que ton cœur a saigné déjà
Des nuits entières je peux passer
À rêver, à t’imaginer
Je sais maintenant que tu me lis
Je n’en demande pas plus, c’est promis
Je me dois de faire de l’ordre
Me défaire de ces chaînes, de ces cordes
Être enfin libéré
Pour avoir le droit de t’aimer
Je sais que ton cœur a peur d’aimer
Le passé l’a tant déchiré
Mais mon espoir me permet de te dire
Qu’un jour viendra où il pourra guérir
Je pense à toi
Je rêve de toi
Mais je n’ai pas le droit
Je n’ai plus le droit
Si seulement je pouvais effacer
Ce qui nous sépare et qui me fait pleurer
Et voilà que je perds à ce jour
Cette chance que j’avais de te faire la court
J’ai déjà, dans le passé
Tenté d’aimer mais j’ai blessé
Écervelé, inexpérimenté
Aucune idée, j’ai juste blessé
Je me plait juste de t’écrire
Peut-être y aura-t-il un avenir
De quelques jours j’ai besoin
Quelques jours, est-ce trop loin?
À tous les jours grandit en moi
L’idée folle que de moi tu voudras
Au bout des jours au bout du compte
Serais-je de ton avenir ou un simple conte
Qu’importe maintenant
Ce que tu penses, ce que tu dis
Aujourd’hui je fais le serment
De t’aimer à l’infini
Je t’écrirais tous les jours
Que tu m’aimes, que tu me hais
Moi je t’aimerai toujours
Et ne t’oublierai jamais
Même si se termine cette douce folie
De te voir heureuse me rassasies
Je vais t’écrire mais je garderai
Pour moi le fruit de mes pensées
Adieu ma bien aimée....
Des cœurs blessés sans réfléchir
Et t’écorcher, je ne voudrais pas
Je sais que ton cœur a saigné déjà
Des nuits entières je peux passer
À rêver, à t’imaginer
Je sais maintenant que tu me lis
Je n’en demande pas plus, c’est promis
Je me dois de faire de l’ordre
Me défaire de ces chaînes, de ces cordes
Être enfin libéré
Pour avoir le droit de t’aimer
Je sais que ton cœur a peur d’aimer
Le passé l’a tant déchiré
Mais mon espoir me permet de te dire
Qu’un jour viendra où il pourra guérir
Je pense à toi
Je rêve de toi
Mais je n’ai pas le droit
Je n’ai plus le droit
Si seulement je pouvais effacer
Ce qui nous sépare et qui me fait pleurer
Et voilà que je perds à ce jour
Cette chance que j’avais de te faire la court
J’ai déjà, dans le passé
Tenté d’aimer mais j’ai blessé
Écervelé, inexpérimenté
Aucune idée, j’ai juste blessé
Je me plait juste de t’écrire
Peut-être y aura-t-il un avenir
De quelques jours j’ai besoin
Quelques jours, est-ce trop loin?
À tous les jours grandit en moi
L’idée folle que de moi tu voudras
Au bout des jours au bout du compte
Serais-je de ton avenir ou un simple conte
Qu’importe maintenant
Ce que tu penses, ce que tu dis
Aujourd’hui je fais le serment
De t’aimer à l’infini
Je t’écrirais tous les jours
Que tu m’aimes, que tu me hais
Moi je t’aimerai toujours
Et ne t’oublierai jamais
Même si se termine cette douce folie
De te voir heureuse me rassasies
Je vais t’écrire mais je garderai
Pour moi le fruit de mes pensées
Adieu ma bien aimée....
-
Doums
Nostalgie d'une mere ...
Mes chers enfants, aujourd’hui si grands
Partis à la rencontre de vos tourments..
En mon sein si doux est gravé la trace,
De votre amour infini que rien ne remplace..
Mon corps usé par la vie ne saurait oublier,
Les heures magiques passées à vous bercer,
Malgré le temps, malgré le vent, votre douce chaleur..
Reste blottie, protégée, au fond de mon cœur...
Que ma grande maison me semble périr..!
Sans tous vos jeux, vos pleurs, vos éclats de rire!
Même le soleil ,timide, n'ose plus y entrer...
IL craint de percer l'ombre ,de votre place abandonnée..
Quand la nuit recouvre le ciel de son manteau étoilé,
Je revois vos visages, mon sourire, venir vous border...
Vous raconter les fées ,les princes, la beauté du ciel,
Inventer pour vous des histoires d' arc-en-ciel...
Puis un torrent de tendresse, vous enlaçait doucement,
De mes bras rassurants, était né votre firmament...
Je cueillais alors, heureuse, sur votre joue la rosée,
Qui dans mon cœur venait, tel un élixir, se verser..
Vous êtes, mes enfants, la plus douce page de ma vie,
Que je lis et relirais ,l'âme emplie de magie...
Vous resterez le plus bel édifice, la plus noble pierre,
Qui a bâtit ma vie, mon bonheur, mon univers...
Et si sous mon aile reste un grand vide aujourd'hui,
J'attends sagement un merveilleux signe de la vie,
Celle que vous donnerez, mes filles a votre tour,
Et que les cheveux blancs, je couvrirais d'amour..
Partis à la rencontre de vos tourments..
En mon sein si doux est gravé la trace,
De votre amour infini que rien ne remplace..
Mon corps usé par la vie ne saurait oublier,
Les heures magiques passées à vous bercer,
Malgré le temps, malgré le vent, votre douce chaleur..
Reste blottie, protégée, au fond de mon cœur...
Que ma grande maison me semble périr..!
Sans tous vos jeux, vos pleurs, vos éclats de rire!
Même le soleil ,timide, n'ose plus y entrer...
IL craint de percer l'ombre ,de votre place abandonnée..
Quand la nuit recouvre le ciel de son manteau étoilé,
Je revois vos visages, mon sourire, venir vous border...
Vous raconter les fées ,les princes, la beauté du ciel,
Inventer pour vous des histoires d' arc-en-ciel...
Puis un torrent de tendresse, vous enlaçait doucement,
De mes bras rassurants, était né votre firmament...
Je cueillais alors, heureuse, sur votre joue la rosée,
Qui dans mon cœur venait, tel un élixir, se verser..
Vous êtes, mes enfants, la plus douce page de ma vie,
Que je lis et relirais ,l'âme emplie de magie...
Vous resterez le plus bel édifice, la plus noble pierre,
Qui a bâtit ma vie, mon bonheur, mon univers...
Et si sous mon aile reste un grand vide aujourd'hui,
J'attends sagement un merveilleux signe de la vie,
Celle que vous donnerez, mes filles a votre tour,
Et que les cheveux blancs, je couvrirais d'amour..
-
Doums
VAGUE A L'ÂME DU POETE
Lecteur écoute moi, je ne suis pas poète
J’écris tout simplement les mots que j’aime bien
Qui passent par le cœur et trottent dans ma tête
Pour aller s’étaler sur un vieux parchemin.
Je ne suis pas Rimbaud, Lamartine ou Verlaine,
Je ne laisserai rien à la postérité,
Je n’ai pas le secret des mots que l’on enchaîne
De ceux qui vont dormir dans les livres dorés.
Les poètes, vois-tu, ont l’âme vagabonde,
Ils traversent la vie sur des chevaux ailés,
Ils tutoient les étoiles et vivent dans un monde
Que n’abordent jamais les méchants, les damnés.
Si leurs écrits empreints de doux arômes
Trahissent les secrets des rêves caressés
C’est que leurs nuits, vois-tu, se peuplent de fantômes,
Lambeaux de souvenirs à leurs cœurs accrochés.
J’écris tout simplement les mots que j’aime bien
Qui passent par le cœur et trottent dans ma tête
Pour aller s’étaler sur un vieux parchemin.
Je ne suis pas Rimbaud, Lamartine ou Verlaine,
Je ne laisserai rien à la postérité,
Je n’ai pas le secret des mots que l’on enchaîne
De ceux qui vont dormir dans les livres dorés.
Les poètes, vois-tu, ont l’âme vagabonde,
Ils traversent la vie sur des chevaux ailés,
Ils tutoient les étoiles et vivent dans un monde
Que n’abordent jamais les méchants, les damnés.
Si leurs écrits empreints de doux arômes
Trahissent les secrets des rêves caressés
C’est que leurs nuits, vois-tu, se peuplent de fantômes,
Lambeaux de souvenirs à leurs cœurs accrochés.
-
Doums
JE PENSE A TOI
Je pense à toi tout le temps,
Matin et soir, nuit et jour,
Même les jours de mauvais temps,
Je veux dans ma vie ton amour.
Je rêve de te prendre dans mes bras,
Je rêve de t'embrasser tendrement,
Je veux qu'on s'enlace où qu'on soit,
Mais ce n'est qu'un rêve malheureusement.
A vrai dire je ne sais pas quoi faire,
Si t'aimer ne mène à rien,
Et toi tu restes là sans rien faire,
Et pour moi ce n'est pas bien.
Pourtant je sais qu'au fond de toi tu ressens quelque chose
Et je voudrais bien le découvrir,
Car ma vie n'est pas bien rose,
Et toi seul pourrait la refaire luire.
Matin et soir, nuit et jour,
Même les jours de mauvais temps,
Je veux dans ma vie ton amour.
Je rêve de te prendre dans mes bras,
Je rêve de t'embrasser tendrement,
Je veux qu'on s'enlace où qu'on soit,
Mais ce n'est qu'un rêve malheureusement.
A vrai dire je ne sais pas quoi faire,
Si t'aimer ne mène à rien,
Et toi tu restes là sans rien faire,
Et pour moi ce n'est pas bien.
Pourtant je sais qu'au fond de toi tu ressens quelque chose
Et je voudrais bien le découvrir,
Car ma vie n'est pas bien rose,
Et toi seul pourrait la refaire luire.
-
Doums
Il y a
Il y a, dans l’amour
Des obstacles de parcours
Qu’il faut contourner
Pour mieux s’aimer
Il y a, dans les querelles
Des mots trop cruels
Qu’il ne faut pas remarquer
Pour mieux pardonner
Il y a, dans le lit
Des manques à l’envie
Qu’il ne faut pas blesser
Pour mieux en discuter
Il y a dans tout ceci
Les espérances de la vie
Qu’il nous faut chaque jour
Bâtir avec son amour
Il y a, dans mon cœur
L’amour sans chaleur
Qui pleure chaque nuit
Ton départ mon chéri
Des obstacles de parcours
Qu’il faut contourner
Pour mieux s’aimer
Il y a, dans les querelles
Des mots trop cruels
Qu’il ne faut pas remarquer
Pour mieux pardonner
Il y a, dans le lit
Des manques à l’envie
Qu’il ne faut pas blesser
Pour mieux en discuter
Il y a dans tout ceci
Les espérances de la vie
Qu’il nous faut chaque jour
Bâtir avec son amour
Il y a, dans mon cœur
L’amour sans chaleur
Qui pleure chaque nuit
Ton départ mon chéri
-
Doums
Parce que...
Parce que j’ai déjà tout donné
Mon corps, mes rêves, mes années
Pourquoi devrais-je y croire encore
Pour être oubliée telle une île sans trésors
Parce que j’ai cru au bonheur
Et j’ai trop souvent refoulé mes pleurs
Pourquoi devrais-je encore le prier
Pour qu’il vienne à ma solitude m’arracher
Parce que j’ai consacré des heures
A aimer et ainsi faire mon malheur
Pourquoi devrais-je alors espérer
Une histoire qui fait de moi l’abandonnée
Parce que j’ai pleuré tant de fois
Sur des hommes que j’avais fait rois
Pourquoi devrais-je envier cet amour
Qui fait de moi une reine sans atours
Donnez-moi, oui, donnez-moi
Une seule raison pour que j’y crois
L’amour n’est qu’un chemin de croix
Et sur sa route j’ai perdu en lui ma foi
Parce que j’ai cru avoir trouvé
Les ruptures ne furent que cruauté
Pourquoi, oui, dites-moi pourquoi
Le prochain devrais-je l’aimer… ?
Mon corps, mes rêves, mes années
Pourquoi devrais-je y croire encore
Pour être oubliée telle une île sans trésors
Parce que j’ai cru au bonheur
Et j’ai trop souvent refoulé mes pleurs
Pourquoi devrais-je encore le prier
Pour qu’il vienne à ma solitude m’arracher
Parce que j’ai consacré des heures
A aimer et ainsi faire mon malheur
Pourquoi devrais-je alors espérer
Une histoire qui fait de moi l’abandonnée
Parce que j’ai pleuré tant de fois
Sur des hommes que j’avais fait rois
Pourquoi devrais-je envier cet amour
Qui fait de moi une reine sans atours
Donnez-moi, oui, donnez-moi
Une seule raison pour que j’y crois
L’amour n’est qu’un chemin de croix
Et sur sa route j’ai perdu en lui ma foi
Parce que j’ai cru avoir trouvé
Les ruptures ne furent que cruauté
Pourquoi, oui, dites-moi pourquoi
Le prochain devrais-je l’aimer… ?
-
Doums
Fin d'un guerrier
On entend son souffle
Son corps qui s’essouffle
À force de courir
À force de fuir
Tenant encore bien haut
Son fidèle drapeau
N’ayant pu conquérir l’ennemi
Il essaye de sauver sa vie
Mais n’ayant nul part où aller
Il se laisse quitter
Ce monde qu’il n’a su apprécier
Cet homme épuisé
Ce combattant blessé
Il aurait voulu crier
Mais plus rien ne semblait fonctionner
Il ne voulait plus se battre
Il souhaitait se faire abattre
Il avait trop mal
Il avait trop souffert
Le sang coulait sur sa chair
La trop grande douleur
Lentement l’emporte sur la peur
Il ferma une dernière fois les yeux
Sur ce monde qui n’était pas si merveilleux
Il respira une dernière fois l’air
Qui flottait en ce temps de guerre
On était loin de la paix
Loin de ce qu’on rêvait
Que restera-t-il
De cet homme un peu en exil
Qui combattis durant cette guerre
Qui trouva une fin plutôt amère
Peut-être quelques paroles
Mais elles prendront aussi leur envol…
Son corps qui s’essouffle
À force de courir
À force de fuir
Tenant encore bien haut
Son fidèle drapeau
N’ayant pu conquérir l’ennemi
Il essaye de sauver sa vie
Mais n’ayant nul part où aller
Il se laisse quitter
Ce monde qu’il n’a su apprécier
Cet homme épuisé
Ce combattant blessé
Il aurait voulu crier
Mais plus rien ne semblait fonctionner
Il ne voulait plus se battre
Il souhaitait se faire abattre
Il avait trop mal
Il avait trop souffert
Le sang coulait sur sa chair
La trop grande douleur
Lentement l’emporte sur la peur
Il ferma une dernière fois les yeux
Sur ce monde qui n’était pas si merveilleux
Il respira une dernière fois l’air
Qui flottait en ce temps de guerre
On était loin de la paix
Loin de ce qu’on rêvait
Que restera-t-il
De cet homme un peu en exil
Qui combattis durant cette guerre
Qui trouva une fin plutôt amère
Peut-être quelques paroles
Mais elles prendront aussi leur envol…
-
Doums
En quarantaine
On se lève un matin avec quelques douleurs
Dans le cou, dans le dos, quand ce n’est pas ailleurs…
Au début c’est pas grave, on n’est pas trop inquiets,
On ne sait pus d’ailleurs quand çà a commencé…
Les écrits se font flous sans qu’on ait bu d’alcool,
Les bras s’allongent alors imperceptiblement…
On n’y prête attention que lorsque nos enfants
Nous collent sous les yeux leur devoir pour l’école…
Le miroir nous renvoie ce que l’on craignait tant,
Ces rides que l’on voit se creuser lentement,
Juste en dessous des yeux sans qu’on ait mal dormi,
Juste au creux de la joue sans qu’on ait trop souri…
Dans la rue votre enfant rencontre un bon copain
Qui lui dit « c’est ton vieux ?» en nous tendant la main…
Une très jolie femme qui fait vibrer nos sens
Nous dit « merci monsieur » après une courte danse…
Et puis soudainement, des envies de géant,
De faire toutes les choses qu’on n’a pas faites avant…
Si on n’est plus tout jeune, il nous reste l’envie,
Et pour les assouvir, encore pas mal de vie…
Quand on a quarante ans…
Dans le cou, dans le dos, quand ce n’est pas ailleurs…
Au début c’est pas grave, on n’est pas trop inquiets,
On ne sait pus d’ailleurs quand çà a commencé…
Les écrits se font flous sans qu’on ait bu d’alcool,
Les bras s’allongent alors imperceptiblement…
On n’y prête attention que lorsque nos enfants
Nous collent sous les yeux leur devoir pour l’école…
Le miroir nous renvoie ce que l’on craignait tant,
Ces rides que l’on voit se creuser lentement,
Juste en dessous des yeux sans qu’on ait mal dormi,
Juste au creux de la joue sans qu’on ait trop souri…
Dans la rue votre enfant rencontre un bon copain
Qui lui dit « c’est ton vieux ?» en nous tendant la main…
Une très jolie femme qui fait vibrer nos sens
Nous dit « merci monsieur » après une courte danse…
Et puis soudainement, des envies de géant,
De faire toutes les choses qu’on n’a pas faites avant…
Si on n’est plus tout jeune, il nous reste l’envie,
Et pour les assouvir, encore pas mal de vie…
Quand on a quarante ans…