cyrus a écrit : et moi et ben j'ai vu des gens demander du pognon, toujours du pognon et encore du pognon quand d'autres demande du travail... C'est moche partout c'est dégueulasse et les suicides, je les vois tous les jours, mais ce n'ai pas le sujet
ceux qui prennent le pognon on ne les voit pas en général..
ceux qui veulent travailler, on les comprend mais on ne les approuve pas...vas savoir...
le monde est drôle en fait...ou pas concerné...
Dans 2 ans, il n'y aura plus de SDF ! (Naguy de Bosca)
Dans 2 ans il n'y aura plus de Naguy de Bosca ! (gecko)
ce sont les choses de la vie, il y a aussi ceux qui veulent le pognon sans travailler, ceux qui veulent la paye du patron sans les emmer*es qui vont avec,... en des contradictions qui peuvent être dites en toutes amitiés
Les choses de la vie, par ci par là, c'est sûr n'émeuvent pas trop le pékin moyen, dont je suis,
mais attention, là ce n'est plus pareil, on a changé d'échelle....donc aussi de méthodes...
je crois que la majorité n'a pas perçu le phénomène...
un repère : le 1er MAI ..on en reparle après..
Dans 2 ans, il n'y aura plus de SDF ! (Naguy de Bosca)
Dans 2 ans il n'y aura plus de Naguy de Bosca ! (gecko)
Ouai je crois qu'il est normal, de nos jour de kidnapper le patron, c'est de plus en plus le cas, car c'est lui qui les a mené en bateau, normalement le Commandant sombre avec le navire, s'il a un peu d'honneur, alors que maintenant... on ne peut demander au employées d'avoir de l'étique, alors qu'au dessus ils agissent en truant.
En plus il n'y a pas mort d'homme,d'ailleurs les ouvriers peuvent s'énerver et se débattre contre l'inertie complice de l'état major, je crois que le plan d'arnaque se referme sur eux, comme il avait été prévu..
De même si vraiment ça tourne mal, il font venir le boucher et ils le saignent (pour le boudin), et avec le reste ils font un méchoui, le patron s'est engraissé sur leur dos, c'est normal qu'ils le bouffe à la fin, comme ça ils n'auront pas tout perdu..
Leur monde moderne c'est comme ça, c'est eux qui le disent...
tu bouffes ou tu te fait bouffer, c'est leur lois ça..
il faut oublier les lois de la république dans ces cas, c'est les nouvelles lois utralibérales antropophages qui priment de nos jour... c'est la loi de la jungle.. HAOOO
il faut oublier les lois de la république dans ces cas, c'est les nouvelles lois utralibérales antropophages qui priment de nos jour... c'est la loi de la jungle.. HAOOO
Ouhla !
Faut arrêter les hosties colombiennes bister !
"L'intransigeance est la vertu des temps difficiles." - Ch. de Gaulle
"Ceux qui peuvent renoncer à une liberté essentielle pour obtenir un peu de sécurité temporaire ne méritent ni la liberté ni la sécurité." - Benjamin Franklin
GECKO a écrit : Jesus chassa bien les marchands du temple..alors en 2009 les bousculer un peu..
Les libéraux?... un peu comme les troupes de singes qui chapardent, il volent le beurre et l'argent du beurre.. et ne ramènent pas le pôt... c'est la loi de la Jungle...
La loi du bouffe tout et à tous les râteliers... rien à voir avec la République.
Il faut bien garder à l'esprit que ce sont des bêtes sauvages... comme ça c'est plus facile de remplir l'assiette pendant le grand méchoui de fermeture finale de l'entreprise.
Modifié en dernier par bister le 28 avril 2009 20:49, modifié 1 fois.
Les Conti votent pour 50 000 €
Les salariés de Continental ont accepté la proposition de la direction portant la prime de licenciement à 50 000 €. Un accord qui marque la fin des assemblées générales quotidiennes à Clairoix.
Accord trouvé hier mais non sans mal chez Continental. Et les délégués syndicaux ont dû tempérer l’ardeur de leur troupe. « Non, pas question, on continue à se battre ! » C’est ainsi que, de prime d’abord, a été accueilli, hier après-midi, le compte rendu des négociations menées, la veille au soir, entre dirigeants et délégués de l’usine de Clairoix.
Mais la tension est retombée quand un délégué annonce que « la prime de licenciement est passée de 20 000 à 50 000 €. »Xavier Mathieu, délégué CGT, a estimé que « ce qui avait été proposé était exceptionnel », même si les exigences de départ se montaient à 200 000 €. « A vouloir aller plus loin, on risque de tout perdre », a-t-il tempéré. Alors, peu à peu, le ton a changé. Et, à main levée, la proposition de la direction a été acceptée par une large majorité.
Un à un, les délégués de chacun des syndicats ont alors pris la parole, se félicitant d’être enfin parvenus à un tel accord. Même si ce dernier devra être ratifié par le comité central d’entreprise, vendredi prochain. Un accord qui, par voie de conséquence, met sans doute fin aux assemblées générales qui se tenaient quotidiennement depuis l’annonce de la fermeture du site de Clairoix, le 11 mars dernier.
« C’est une aventure humaine de se revoir tous les jours, même si la situation est dramatique, témoigne un salarié. Maintenant, c’est sûr, ça va nous manquer. Mais on aura encore des occasions de se voir, notamment pour aller manifester. » Ce sera d’ailleurs le cas dès mardi, puisque les Conti ont d’ores et déjà prévu d’aller défiler dans les rues d’Amiens, en solidarité avec leurs collègues de l’usine Goodyear-Dunlop d’Amiens.
Et pendant ce temps là, Nicola de Tavernost, le propriétaire de M6 et actionnaire majoritaire des girondins de Bordeaux a versé une prime collective de 500.000 € au club.
Prison avec sursis pour des ouvriers de Continental
Un septième ouvrier a été relaxé par le tribunal correctionnel de Compiègne.
Le leader du mouvement des "Conti", le délégué CGT Xavier Mathieu, a été condamné à cinq mois de prison avec sursis.
Le tribunal a renvoyé sa décision au 4 novembre pour le montant d'éventuelles amendes.
Des peines de trois à six mois de prison avec sursis pour "destruction en réunion de biens au préjudice de l'Etat" avaient été requises à l'audience par le parquet.
Le 21 avril dernier, environ 200 ouvriers de Continental avaient pénétré dans la sous-préfecture de Compiègne et détruit des bureaux et des ordinateurs. Les dégâts avaient été évalués à plusieurs dizaines de milliers d'euros.
A l'audience, les ouvriers avaient reconnu "un dérapage", expliquant avoir agi "sous la colère de l'annonce de la fermeture de l'usine" de pneumatiques.
Les sept prévenus risquaient une peine maximale de cinq ans de prison et 75.000 euros d'amende.
Le groupe Continental a annoncé en mars dernier la suppression de 1.900 emplois et la fermeture du site de Clairoix, qui employait 1.120 salariés.
Les ouvriers de Continental-Clairoix avaient manifesté pendant des mois et obtenu une indemnité de 50.000 euros par salarié licencié.
la justice donne presque raison à des casseurs en les condamnant à des peines trés trés légères et en plus assorties du sursis. Je pense qu'il ne faut donc pas s'étonner de sa clémence vis à vis des "cols blancs" qui franchissent la ligne blanche.
Cette décision est effectivement très regrettable.
"disons que la chine est un pays particulier,c'est sur,tout le monde a du travail,et ceux qui ne savent rien faire au lieu d'attendre que ça passe balayent les autoroutes.
on ne sait pas trop à quoi ca sert,mais au moins,ils travaillent."