et les tessinois sont nostalgiques de bénito...dinosaure a écrit : Les suisses alémaniques n'ont pas été dénazifiés.
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et les tessinois sont nostalgiques de bénito...dinosaure a écrit : Les suisses alémaniques n'ont pas été dénazifiés.
c'est carrément vrai,il faut dire qu'ils ont tellement d'or juif dans les coffres...dinosaure a écrit : Les suisses alémaniques n'ont pas été dénazifiés.
Il faut pas generaliser.Je crainds que certains collabos Francais n'aient pas beaucoup change non plus.L'editeur JM Lepen a aussi pas mal vecu de la litterature Nazie et des diaques du meme type.dinosaure a écrit : Les suisses alémaniques n'ont pas été dénazifiés.
si le minaret n'a pas été accepté,et l'on peut s'en réjouir,je ne suis absolument pas d'accord pour que le moindre denier de l'état aille a la construction de lieux de foi.Patrick_NL a écrit : Au moment où les Suisses votent pour ou contre les minarets, Strasbourg met sa Grande Mosquée sous toit. Et sans… minaret !
Exception Francaise au principe de laicite cetedifice religieux est finance a 25% par des fonds publics
http://www.tdg.ch/actu/monde/coupole-is ... 2009-11-27
Le principe de laicité n existe pas en Alsace.Patrick_NL a écrit : Au moment où les Suisses votent pour ou contre les minarets, Strasbourg met sa Grande Mosquée sous toit. Et sans… minaret !
Exception Francaise au principe de laicite cetedifice religieux est finance a 25% par des fonds publics
http://www.tdg.ch/actu/monde/coupole-is ... 2009-11-27
c'est bien dommage qu'ils aient pas réussis a se bouger depuis lors...cela dit,et sans minaret,strazbourg construit une mosquée.on aura pas a légiférerPascale a écrit : Le principe de laicité n existe pas en Alsace.
Ils ont un statut spécial, car en 1905, l Alsace n était pas française.
certaines mauvaises langues vont jusqu'a dire qu'ils ne sont toujours pas francais... voire madame balasko...Pascale a écrit :
Le principe de laicité n existe pas en Alsace.
Ils ont un statut spécial, car en 1905, l Alsace n était pas française.
pas plus pas moins que les basques au pays basques,les catalans a perpignan,ou ne sais quoi d'autre.et oui,c'est multi culturel en plus d'être multirégional....gemmill a écrit :
certaines mauvaises langues vont jusqu'a dire qu'ils ne sont toujours pas francais... voire madame balasko...
C'est vrai mais ils ne sont pas les seuls à avoir profité financièrement du malheur des Juifs, de grandes banques américaines comme la Morgan se sont scandaleusement enrichies en rachetant l'or juif aux nazis et puis les Suisses n'ont pas livré leurs ressortissants juifs à ceux-ci contrairement à d'autres pays. Quant aux généralités de Dinosaure, elles ne peuvent forcément qu'être fausses puisque abusives, faire passer tous les Suisses alémaniques pour des nazis, c'est carrément de la diffamation mais bon c'est sa marotte. :roll:Fonck1 a écrit : c'est carrément vrai,il faut dire qu'ils ont tellement d'or juif dans les coffres...provenant des dents de ceux qui sont passés dans les fours et autres...
faut dire que pour les choper dans les montagnes....barbara a écrit : les Suisses n'ont pas livré leurs ressortissants juifs à ceux-ci contrairement à d'autres pays.
ben malheureusement,force est de constater que ce pays est empli de gens rigoureusement hermétiques (j'ai pas dit helvétiquesbarbara a écrit : Quant aux généralités de Dinosaure, elles ne peuvent forcément qu'être fausses puisque abusives, faire passer tous les Suisses alémaniques pour des nazis, c'est carrément de la diffamation mais bon c'est sa marotte. :roll:
[/quote]barbara a écrit : les Suisses n'ont pas livré leurs ressortissants juifs à ceux-ci contrairement à d'autres pays.
Le 22 août 1942, trois Juifs apatrides, Eduard Gros, Hubert et Paul Kan franchissent la frontière suisse, près de Genève. Ils sont arrêtés peu après par la Gendarmerie de l'Armée, reconduits en voiture jusqu'au poste-frontière allemand de La Plaine et obligés à repasser la frontière à pied pour retourner en France occupée. Dès que ces réfugiés aperçoivent les policiers allemands, ils sautent dans le Rhône et retournent, à la nage, sur la rive suisse. Désespérés, ils supplient les autorités de leur accorder l'asile, en vain. L'un d'eux tente de s'ouvrir les veines.
Prévenant cette tentative, les gardes-frontières et les soldats suisses traînent les trois hommes qui se cramponnent les uns aux autres, pour les éloigner de la berge et les remettre aux fonctionnaires allemands qui s'apprêtent à les recevoir. Vu la résistance des trois réfugiés, l'extradition s'avère impossible. Comme il faut éviter d'attirer l'attention par des actions intempestives, l'officier de police de l'Arrondissement territorial de Genève, Daniel Odier, a convenu avec les fonctionnaires frontaliers allemands la remise officielle des réfugiés sur le sol de la France occupée.
Les trois Juifs sont finalement arrêtés par la police frontalière allemande et, comme l'ont rapporté plus tard d'autres réfugiés, ils sont internés dans la prison de Gex. Le 18 septembre 1942, Eduard Gros, Hubert et Paul Kan seront déportés vers Auschwitz via Drancy.
Rapport Bergier, p. 145*