oui,mieux que les jantes tape cul des bagnoles allemandes.novisad a écrit : Diantre du 225 X 70X16..., mais il s'agit de pneus pour tracteur agricole, remarquez que ça doit étre trés confortable du 70 sur du 16
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oui,mieux que les jantes tape cul des bagnoles allemandes.novisad a écrit : Diantre du 225 X 70X16..., mais il s'agit de pneus pour tracteur agricole, remarquez que ça doit étre trés confortable du 70 sur du 16
Au lieu de faire le beau avec votre "savoir" en caoutchouc, vous feriez mieux d'aller dire aux syndicats de Continental ce que vous pensez d'eux.novisad a écrit : Diantre du 225 X 70X16..., mais il s'agit de pneus pour tracteur agricole, remarquez que ça doit étre trés confortable du 70 sur du 16
La loi "n'autorise pas" ce genre de chose : elle l'impose.dinosaure a écrit : Ils devraient accepter !
Rien que pour mettre l'employeur en faute puisque ce serait à lui d'obtenir des permis de travail et des cartes de résident du gouvernement tunisien.![]()
A part ça, pourquoi la loi autorise-t-elle ce genre de chose ? Les offres de reclassement devraient être encadrées.
Toujours en train de répondre à côté de la plaque hein ?Stick a écrit : La loi "n'autorise pas" ce genre de chose : elle l'impose.
La poutre & la paille, l'hôpital & la charité, le Roquefort & le camembert...dinosaure a écrit : Toujours en train de répondre à côté de la plaque hein ?
Donc, puisque tu ne veux pas comprendre tout seul, j'explique.dinosaure a écrit :La loi autorise des offres de reclassement "foutage de gueule".
Tiède ou pas, il est hors sujet et se fout du monde en faisant croire qu'il est choqué.dinosaure a écrit :Quant au syndicaliste qui te dérange tellement, je le trouve bien tiède.
dura lex sed lex. le problème,c'est pas la loi,c'est la politique.la loi ne fait qu'appliquer,pas autoriser.dinosaure a écrit : Je t'invite à regarder dans un dictionnaire le sens du verbe "autoriser".
Je t'invite à lire ce que j'ai écrit, seul moyen, à ma connaissance, de comprendre ce que j'explique.dinosaure a écrit : Je t'invite à regarder dans un dictionnaire le sens du verbe "autoriser".
Continue à psalmodier ta litanie sans rapport avec le sujet. Ce n'est pas grave.Stick a écrit : ...
Dinosaure a compris que Stick trouve normal que les gentils capitalistes puisse proposer au méchants ouvriers un reclassement en Tunisie à un salaire de misèredinosaure a écrit : Continue à psalmodier ta litanie sans rapport avec le sujet. Ce n'est pas grave.
Tout le monde a compris que tu trouves normal que les gentils capitalistes puisse proposer au méchants ouvriers un reclassement en Tunisie à un salaire de misère.
On continue à persécuter les gentils capitalistes ultra-libéraux dans ce pays !Continental est condamné par le conseil des prud'hommes de Rambouillet dans les Yvelines pour avoir licencié "sans cause réelle et sérieuse" 29 salariés de son site des Yvelines, a-t-on appris auprès de l'avocat des salariés. "Les juges leur a accordé entre six mois et un an de salaires de dommages et intérêts", a déclaré Me David Métin. "Les juges ont reconnu que Continental n'a pas tenté de reclasser ces salariés dans le groupe", a-t-il ajouté. Neuf salariés ont toutefois été déboutés, le conseil ayant jugé qu'ils étaient partis volontairement.
Trente-huit salariés avaient été licenciés en mars et septembre 2009 dans le cadre d'un plan de sauvegarde de l'emploi prévoyant la suppression de 382 postes sur le site de Rambouillet et la délocalisation de la production en Tunisie.
par TF1 News (avec AFP)
2500 salariés doivent aujourd'hui approuver ou non un plan réduisant le coût du travail de 8% contre le maintien des effectifs durant cinq ans.
Les salariés d'un site Continental basé dans la région Midi-Pyrénées devront aujourd'hui participer à une consultation décisive pour leur avenir. Comme les salariés de General Motors à Strasbourg en juillet, ou encore ceux du site Continental de Clairoix en 2007, ils devront approuver ou non un plan de la direction visant à réduire le coût du travail en échange de garanties sur l'emploi. Il s'agira aujourd'hui pour eux de décider s'ils acceptent ou non une réduction de 8% de leur coût, contre un maintien des effectifs pendant cinq ans. Décrivant la situation du site comme étant «alarmante», la direction de Continental Automotive France fait valoir que «seule une telle réduction du coût du travail permettrait d'engranger de nouvelles commandes» en 2012-2013.
Concrètement, les salariés perdraient un certain nombre de jours de RTT, des primes, leur intéressement, et consentiraient également à une modération salariale, détaillent la CGT et la CFDT. Au total, l'ensemble des mesures prévues permettraient de faire économiser «5000 euros par salarié» à la direction, estime encore la CFDT. En échange de ces sacrifices, Continental promet de son côté «une série d'engagements fermes de la part de la direction locale et de la maison-mère basée en Allemagne» en matière d'emploi. Une promesse à laquelle ne croit guère la CGT, qui fustige une «prévision bidon». L'exemple du site Continental de Clairoix, en particulier, n'incite pas les syndicats à l'optimisme. Malgré un volume hebdomadaire de travail passé à 40 heures en 2007 en échange du maintien du site jusqu'en 2012, le site de Clairoix avait en effet été fermé en 2009.