Sergent Major a écrit :
Quelle élégance, quel respect, du Sarko tout craché !
Il n'a pas tort, c'est la même chose que les particuliers qui sont prêts à accueillir tout le monde mais chez les autres pas chez eux. M'étonnerait que dans ce pays bien propret qu'est le Luxembourg il y ait beaucoup de terrains prévus pour les Roms.
"Vous aurez beau entendre, vous ne comprendrez pas ; vous aurez beau regarder, vous ne verrez pas".
barbara a écrit :
Il n'a pas tort, c'est la même chose que les particuliers qui sont prêts à accueillir tout le monde mais chez les autres pas chez eux. M'étonnerait que dans ce pays bien propret qu'est le Luxembourg il y ait beaucoup de terrains prévus pour les Roms.
Ne fais pas de ton cas une généralité !
Si les gens du voyage sont parqués en nombre, bien-sûr que cela pose un problème, mais une création d'aires d'accueil dans chaque commune permettrait justement d'éviter ces rassemblements sauvages. Il faut que chaque commune joue le jeu. Idem pour les dix ou quinze mille roms ...
Sergent Major a écrit :
Ne fais pas de ton cas une généralité !
Si les gens du voyage sont parqués en nombre, bien-sûr que cela pose un problème, mais une création d'aires d'accueil dans chaque commune permettrait justement d'éviter ces rassemblements sauvages. Il faut que chaque commune joue le jeu. Idem pour les dix ou quinze mille roms ...
tout a fait vrai,et que les camps prennent aussi en charge la gestion de leur consommation eau,électricité et chiots.
Besson se clashe avec Hortefeux. C'est du grand n'importe quoi,quelle image pathétique du pouvoir en France,c'est du Santa Barbara.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
L'administration Obama a emboîté le pas mercredi au Congrès, aux médias et à une ONG inquiète pour les droits des Roms.
Source Le Monde.
Sarko l'Américain mal vu dans sa patrie d'adoption.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
J'ai répondu sur un autre post ce que je pensais de la leçon de morale des USA qui feraient mieux de balayer devant leur porte.
Quels sont les Roms que nous renvoyons chez eux ? : ceux qui sont depuis plus de 3 mois en France et qui ne travaillent pas et bénéficient des avantages sociaux français ( Caf , santé , etc ) ; de plus , les "volontaires" au retour reçoivent 300 euros ; bande de saloperies de Français .
Au fait , les donneurs de leçons européens , regardez ce qui se passe chez vous :
1) au Luxembourg = le gouvernement de Claude Juncker a décidé un plan d'économie de 1 milliard et demi d'euros ; très bien , direz-vous . Sauf que ceux qui en font les frais sont des salariés français , allemands et belges qui travaillent dans le grand duché : " la loi 6148 réduit de moitié l'abattement fiscal pour les indemnités de déplacements et supprime les allocations familiales aux enfants de plus de 18 ans engagés dans un cursus d'enseignement supérieur "; seuls sont concernés par ces mesures les non-Luxembourgeois . N'est-ce point de la discrimination , madame la députée européenne ?
2) en Allemagne = jusqu'en 2005 , les travailleurs frontaliers alsaciens qui partaient en retraite bénéficiaient sur leurs rentes des mêmes avantages fiscaux que les Allemands , si on y ajoutait les crédits d'impots dont ils bénéficient de la part de l'Etat Français , ils payaient peu ou pas d'impots . Précision : il s'agissait , dans la plupart des cas , d'employés à des postes à revenus moyens , voire faibles.L'Allemagne a joué l'immobilisme jusqu'en 2009 , date à laquelle le fisc a commencé à réclamer aux ex-salariés alsaciens les arriérés ( selon le cas , entre 10 et 20.000 euros ).
Merci le Luxembourg , merci l'Allemagne qui pénalisaient ainsi ceux qui ont travaillé pour votre économie de reprocher à la France de renvoyer chez eux des inactifs .
Au fait , en restant dans ce genre de logique , peut-être devrions nous réclamer aux Roms les 300 euros que certains d'entre eux ont perçus.( laissez tomber , c'est une boutade)
Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet
Cette polémique illustre les limites, voir le caractère nuisible de l'Europe politique.
Que l'Europe s'occupe d'assurer le libéralisme et la croissance dans ses frontières et laisse ses membres mener les politiques régaliennes voulues par ses citoyens.
Vif échange
Le clash serait intervenu à table, lors d’un déjeuner de travail. Difficile de savoir quelle a été la teneur de ce vif échange. Une source a expliqué que José Manuel Barroso, répondant aux critiques de Nicolas Sarkozy aurait indiqué qu’il ne voulait pas "se laisser distraire de son travail" par des querelles. Selon une autre source, le président français aurait au préalable, lors d’une session de travail, indiqué que "la Commission avait blessé la France", en comparant les renvois de Roms roumains et bulgares aux déportations de la Deuxième guerre mondiale.
Explications de Sarkozy
Nicolas Sarkozy interrogé sur ces échanges lors d’une conférence de presse cet après-midi, a démenti être sorti de ses gonds. Mais a prévenu : "je suis chef de l’État français. Je ne peux laisser insulter notre pays".
Le président a ensuite affirmé que la France avait été "profondément choquée" par les propos de Viviane Reding. Et qu’elle allait continuer à démanteler "tous les camps illégaux".
La France continuera à démanteler les camps illégaux Nicolas Sarkozy persiste et signe à Bruxelles (0'51")
Barroso et Juncker n’en démordent pas
Des propos qui n’auront pas suffi manifestement à apaiser l’atmosphère. Quelques minutes plus tard, José Manuel Barroso est revenu sur la polémique, prévenant que les discriminations contre les minorités sont "inacceptables".
Puis, c’est Jean-Claude Juncker, Premier ministre luxembourgeois et président de l’Eurogroupe, qui manifestement irrité a déclaré que les attaques de Nicolas Sarkozy contre le Luxembourg n’était "pas convenables".
Une tension inédite entre Paris et Bruxelles
Hier, la commissaire européenne avait franchi un palier dans les tensions entre Paris et Bruxelles, en dressant un parallèle avec les déportations de la Seconde guerre mondiale. Nicolas Sarkozy l’avait alors invitée à "accueillir quelques Roms chez elle", au Luxembourg. Summum de délicatesse.
Depuis le début de la semaine, Paris et Bruxelles sont à couteaux tirés sur la question des Roms, et notamment l’existence de cette circulaire administrative, depuis amendée, qui ciblait expressément les Roms. La Commission européenne a menacé notamment la France de poursuite en justice pour non respect de la législation européenne sur la liberté de circulation des citoyens européens.
Les responsables européens ont du coup tenté ce matin de jouer l’apaisement... peine perdue. Un projet de déclaration commune sur la nécessité de mieux intégrer les Roms aurait été un temps envisagé, selon des diplomates, avant d’être abandonné. Ils devront donc se revoir "lors d’un prochain sommet".