Jackout a écrit :
Surement pas un signe d'intelligence !
Etre agnostique serait plus indiqué, non pas pour de l'intelligence, mais de l'humilité de reconnaitre que l'on sait pas.
Ceci dit croire, c'est personnel et un droit pour chacun et nul n'aurait le droit de considérer ce choix comme un reflet de l'intellect de chacun.
Mais soyons bien d'accord, la conviction religieuse est quelque chose de personnel et doit le rester. Imposer sa vision de sa foi ne saurai être accepté.
Est-ce que l'auteur de ce pseudo-sujet peut m'expliquer ce qu'il entend par "crédible" ?
Par qui veut-il être cru ?
A-t-il besoin que les autres lui disent "comme vous avez raison" chaque fois qu'il étale ses convictions ?
Tout ça est dénué de sens.
"L'intransigeance est la vertu des temps difficiles." - Ch. de Gaulle
"Ceux qui peuvent renoncer à une liberté essentielle pour obtenir un peu de sécurité temporaire ne méritent ni la liberté ni la sécurité." - Benjamin Franklin
Pour répondre à ta question Mr Dinosaure, je me permets de citer doublon qui parfaitement su resumer mon ressenti:
Le sujet est qu'il y a en France une certaine méfiance, si ce n'est moquerie/dédain à l'encontre des cultes et en la parole des croyants perçus comme des idiots crédules. Pourquoi ? Autrement, pourquoi en France il y a ce "mépris furtif" à l'encontre des croyants régulièrement ? Une absence de crédibilité parce qu'on se dit croyant en tel culte ? Quelles sont les raisons de ce mépris ?
Je ne pense pas avoir besoin de convaincre, ou que l'on me dise que j'ai raison.
Mais simplement pouvoir exprimer une opinion sans être pris de haut, par certaines personnes ayant soi disant la connaissance absolu des choses.
Certaines personnes Athées, dont tu semble faire parti, exprime leurs dédains de façon plutôt violente comme tu viens de le faire
dans ton dernier post.
Ce qui est dénué de sens, c'est la façon dont tu t'emporte pour imposer ta conviction, j'ai déjà répondu ou plutôt doublon à répondu à ta question. Il n'y a donc a mon sens pas besoin d’être plus "clair" et d'hausser le ton.
Tu ne fait que confirmer que tu prend les croyants pour des idiots.
T'ai je manqué de respect ? si c'est le cas je te présente mes excuses.
En tout état de cause, je pense que tu devrais calmer tes nerfs et ouvrir un tant soit peu ton esprit.
agone a écrit : Pour répondre à ta question Mr Dinosaure, je me permets de citer doublon qui parfaitement su resumer mon ressenti:
Je ne pense pas avoir besoin de convaincre, ou que l'on me dise que j'ai raison.
Mais simplement pouvoir exprimer une opinion sans être pris de haut, par certaines personnes ayant soi disant la connaissance absolu des choses.
Certaines personnes Athées, dont tu semble faire parti, exprime leurs dédains de façon plutôt violente comme tu viens de le faire
dans ton dernier post.
Ce qui est dénué de sens, c'est la façon dont tu t'emporte pour imposer ta conviction, j'ai déjà répondu ou plutôt doublon à répondu à ta question. Il n'y a donc a mon sens pas besoin d’être plus "clair" et d'hausser le ton.
Tu ne fait que confirmer que tu prend les croyants pour des idiots.
T'ai je manqué de respect ? si c'est le cas je te présente mes excuses.
En tout état de cause, je pense que tu devrais calmer tes nerfs et ouvrir un tant soit peu ton esprit.
mais qui t'empêche d'exprimer et de vivre tes croyances?
seulement si chaque fois que tu les vis tu as besoin de l'approbation des autres on va pas s'en sortir
tisiphoné a écrit : seulement si chaque fois que tu les vis tu as besoin de l'approbation des autres on va pas s'en sortir
+100000
"L'intransigeance est la vertu des temps difficiles." - Ch. de Gaulle
"Ceux qui peuvent renoncer à une liberté essentielle pour obtenir un peu de sécurité temporaire ne méritent ni la liberté ni la sécurité." - Benjamin Franklin
Mais moi aussi je suis complètement d'accord avec vous, il n'est pas question de faire adhérer les gens à mon discours.
Quoique des fois j'avoue j'aimerai bien
Prenons un exemple (le premier qui me viens à l'esprit) :
"Il interdit de manger du porc, Allah, l'interdit, patati et patata ....."
cette opinion va être des-crier de façon violente par certain Athées : "Quel connerie c'est rétrograde, tu appartient à une secte..., faut être vraiment abruti pour croire à cela". Sauf que certain Athées oublient un chose, c'est que scientifiquement c'est pas complètement faux. Et donc le discours du croyant de ce fait decribiliser sur le sujet du seul fait qu'il soit religieux.
Ps: Je suis pas le seul avoir ce ressenti sur ce forum, les autres ont dû abandonner le combat. il ont eu peur du Dinosaure, mais c'est un Herbivore, il montre ces crocs mais ne mord pas , revenez m'aider , me sent un peu seul la
Il interdit de manger du porc, Allah, l'interdit,
Aussi longtemps que cette interdiction ne concerne que le croyant, je m'en tape et me garde bien de juger ce croyant. Je commence a critiquer et juger que si et seulement si il veut me l'imposer.
"Quand le dernier arbre aura été abattu - Quand la dernière rivière aura été empoisonnée - Quand le dernier poisson aura été péché - Alors on saura que l'argent ne se mange pas." Geronimo
Il est bon de nuancer et montrer des exemples (exagérés) pour illustrer le niveau de crédibilité d'un individu. Nous définissons tous, plus ou moins, une grille de lecture (un filtre) qui varie selon des critères qui nous correspondent le plus : origines ethniques, croyance/non-croyance, statut social, niveau d'étude, façon de s'exprimer, positionnement politique, etc...
Par une liste très longue de critère d'écoute, la légitimité d'une personne varie par rapport à notre propre posture. Pour exemple, opposons un jeune issu d'un milieu populaire, au niveau d'éducation relativement faible et dont l'origine n'est pas européenne. Face à lui se présente un homme venant d'un milieu moyen-sup, européen d'origine, avec un niveau d'éducation élevé...
Dans cette opposition, la lecture de chaque sujet est tellement divergeant que l'incompréhension est le résultat final : l'un ne comprend pas la position de l'autre, ne comprend pas sa façon d'agir et de penser. Entre croyants et non-croyants, par une histoire française spécifique, l'écart de compréhension entre les deux parties est souvent important, limite insurmontable dans des cas plus rares.
A partir de cette qualification, il faut quantifier, et comme dans la plupart des sociétés (au delà des lois, car il n'y a pas que le droit), c'est la majorité qui domine le sujet et marginalise les personnes dont les critères sont trop éloignés des siens, et donc se développe un niveau d'exclusion plus ou moins important (parfois voulu par les deux parties), corrélé avec la proximité/opposition des valeurs de chaque groupe d'individus.
Une majorité de personnes en France sont (selon les derniers chiffres) non-croyants ou agnostiques il me semble. Les agnostiques, catégorie intermédiaire, ne juge que modérément les croyants et non-croyants (par bénéfice du doute, absence de certitude sur l'existence de Dieu selon un dogme religieux). Mais les athées, plus portés à dire que "Dieu est mort" sont bien plus éloignés des croyants, car les positions sont opposées à souhait : les athées considèrent qu'il n'y a pas de dieu quelconque, quelque qu'il soit. Par un décalage aussi important de compréhension, il s'en suit une exclusion mutuelle.
Donc, un conflit dans le dialogue s'en suit, un refus d'ouverture catégorique, voir dans un cas d'exclusion extrême un conflit idéologique majeur et une fermeture communautaire qui détruit les chances de dialogue.
Donc, dans une certaine mesure, chaque partie doit faire l'effort d'accorder une certaine ouverture à l'autre : les athées, malgré leur conception de la non-existence d'un dieu ne doivent pas imposer leur vision. Mais cela doit être appliqué dans l'autre sens, les religieux ne devant pas faire du prosélytisme, juste chercher à comprendre la volonté de ne pas croire en Dieu. Et la clé de voûte d'un tel dialogue est de conserver le respect des choix de chacun.
doublon a écrit : Il est bon de nuancer et montrer des exemples (exagérés) pour illustrer le niveau de crédibilité d'un individu. Nous définissons tous, plus ou moins, une grille de lecture (un filtre) qui varie selon des critères qui nous correspondent le plus : origines ethniques, croyance/non-croyance, statut social, niveau d'étude, façon de s'exprimer, positionnement politique, etc...
Par une liste très longue de critère d'écoute, la légitimité d'une personne varie par rapport à notre propre posture. Pour exemple, opposons un jeune issu d'un milieu populaire, au niveau d'éducation relativement faible et dont l'origine n'est pas européenne. Face à lui se présente un homme venant d'un milieu moyen-sup, européen d'origine, avec un niveau d'éducation élevé...
Dans cette opposition, la lecture de chaque sujet est tellement divergeant que l'incompréhension est le résultat final : l'un ne comprend pas la position de l'autre, ne comprend pas sa façon d'agir et de penser. Entre croyants et non-croyants, par une histoire française spécifique, l'écart de compréhension entre les deux parties est souvent important, limite insurmontable dans des cas plus rares.
A partir de cette qualification, il faut quantifier, et comme dans la plupart des sociétés (au delà des lois, car il n'y a pas que le droit), c'est la majorité qui domine le sujet et marginalise les personnes dont les critères sont trop éloignés des siens, et donc se développe un niveau d'exclusion plus ou moins important (parfois voulu par les deux parties), corrélé avec la proximité/opposition des valeurs de chaque groupe d'individus.
Une majorité de personnes en France sont (selon les derniers chiffres) non-croyants ou agnostiques il me semble. Les agnostiques, catégorie intermédiaire, ne juge que modérément les croyants et non-croyants (par bénéfice du doute, absence de certitude sur l'existence de Dieu selon un dogme religieux). Mais les athées, plus portés à dire que "Dieu est mort" sont bien plus éloignés des croyants, car les positions sont opposées à souhait : les athées considèrent qu'il n'y a pas de dieu quelconque, quelque qu'il soit. Par un décalage aussi important de compréhension, il s'en suit une exclusion mutuelle.
Donc, un conflit dans le dialogue s'en suit, un refus d'ouverture catégorique, voir dans un cas d'exclusion extrême un conflit idéologique majeur et une fermeture communautaire qui détruit les chances de dialogue.
Donc, dans une certaine mesure, chaque partie doit faire l'effort d'accorder une certaine ouverture à l'autre : les athées, malgré leur conception de la non-existence d'un dieu ne doivent pas imposer leur vision. Mais cela doit être appliqué dans l'autre sens, les religieux ne devant pas faire du prosélytisme, juste chercher à comprendre la volonté de ne pas croire en Dieu. Et la clé de voûte d'un tel dialogue est de conserver le respect des choix de chacun.
Quelle purge !
"disons que la chine est un pays particulier,c'est sur,tout le monde a du travail,et ceux qui ne savent rien faire au lieu d'attendre que ça passe balayent les autoroutes.
on ne sait pas trop à quoi ca sert,mais au moins,ils travaillent."
doublon a écrit :
Si tu as quelque chose à ajouter, ne t'en prives pas !
Ta façon de dire aussi peu de choses en tant de mots est purement et simplement sidérante.
"disons que la chine est un pays particulier,c'est sur,tout le monde a du travail,et ceux qui ne savent rien faire au lieu d'attendre que ça passe balayent les autoroutes.
on ne sait pas trop à quoi ca sert,mais au moins,ils travaillent."