Il n'y a que le secteur qui paye pour çatisiphoné a écrit : et donc grâce à la corrida, l'espèce est préservée, c'est ça ?
Tas déjà vu beaucoup de taureau danses rues,ou les montagnes?
Il n'y a que le secteur qui paye pour çatisiphoné a écrit : et donc grâce à la corrida, l'espèce est préservée, c'est ça ?
je ne croise pas beaucoup de chevaux non plus dans les ruesFonck1 a écrit : Il n'y a que le secteur qui paye pour ça
Tas déjà vu beaucoup de taureaux dans les rues,ou les montagnes?
C'est bien pour ça qu'on les tue dans l'arène ! faudrait savoir !dinosaure a écrit : Quelle espèce ?
"Taureau de combat" ce n'est qu'une race pas une espèce.
Des animaux sélectionnés et triés pour un maximum d'aggressivité et de réaction à la douleur et dans le seul but de'en faire des animaux de corrida.
Il n'y a AUCUNE justification à maintenir cette espèce.
Jarod1 a écrit : C'est bien pour ça qu'on les tue dans l'arène ! faudrait savoir !
c'est quoi qu"on reproche, la souffrance de l'animal?Jarod1 a écrit : Les anti-corridas, c'est encore un truc de parisienss qui veulent expliquer à des gens qui vivent à 800 kilomètres de chez eux comment ils doivent vivre.
C'est pas ma culture du tout, mais je ne vois pas au nom de quoi j'interdirai ceux qui la pratiquent de le faire.
J'interdirai d'abord les tenues des toreros parce que ça fait vraiment tapette.
la tauromachie va a delà du spectacle fascinant que d'aucuns apprécient, c'est la mutation du rapport de force, la force du taureau n'est plus crainte mais au contraire magnifiée, c'est l'allégorie symbolique de la supériorité de l'homme sur la nature, il ne faut pas oublier que longtemps on a voué un culte à cet animal, symbole de puissance mais aussi de fertilité.katy a écrit :malheur j'ai honte !
j'ai découvert la corrida en Espagne, dans de très belles arènes, colorées des châles des madrilènes, chaque famille avait apporté un pique nique, chacun offrait à ses voisins,
il était 19H30 ou 20H00, une lumière sublime, et la corrida a commencé.
les toréros fiers, le torse bombé, la musique, les cris, les rites, on agite des mouchoirs, un, deux,
puis le taureau, le sang, je ferme les yeux, aux bords des larmes.
Puis j'ouvre les yeux, et une heure après je m'entends demander grâce pour ce taureau superbe qui a si bien combattu mais
une heure après je suis encore dedans.
D'autres corridas plus tard, j'ai eu honte d'y être parce que souvent ce fût un carnage,
sentiments ambivalents de sidération, d'éblouissement, de plaisir rustre des combats d'arène, et dégoût du sang, colère contre l'homme, mais j'y étais encore.
Puis il y eut la corrida de trop, celle où j'ai décidé de ne jamais plus y mettre les pieds, parce que je dois être digne d'être humaine, et je pense que la corrida nous renvoie à la partie animale ancestrale de notre humanité.
Mais j'ai toujours en tête ce premier spectacle où la mort m'apparut sublimée.