ce sujet pour parler de cette femme, qui bien malgré elle, défraie les chroniques, on ne parlera pas ici de l'affaire Woerth, juste de cette milliardaire, de ses rapports avec sa fille et de sa façon de vivre"Si on m'abuse, c'est que je me laisse abuser, tant mieux pour moi. Qu'on me laisse vivre!", a lancé l'héritière de L'Oréal dans un entretien à Europe 1 ce lundi matin. Des extraits de l'interview avaient déjà été diffusés vendredi, où elle expliquait être "prête à la bagarre" avec sa fille contre laquelle elle venait de déposer plainte pour "violences morales".
Liliane Bettencourt indique avoir agi ainsi "parce qu'elle ne savait plus quoi faire". "Si je ne peux pas faire autrement, oui, je suis prête à la bagarre", confie-t-elle. "Parce qu'elle ne me ménage pas" déclare-t-elle au sujet de sa fille Françoise Meyers-Bettencourt, qu'elle accuse de la harceler. Elle ironise: "Je ne sais pas si elle est assezpour continuer" ajoutant que "c'est emmerdant de harceler" et que "pour faire des choses dans la vie, il faut avoir de la force". "Je ne sais pas si elle a cette force-là", conclut-elle.
"Qu'est ce qu'elle a ma santé?"
A Marc-Olivier Fogiel qui lui demandait si elle allait bien, l'héritière a répondu: "Qu'est ce qu'elle a ma santé? Je vais bien dans la lutte. Quand c'est plat je m'emmerde."
L'héritière de l'Oréal revient aussi sur ses relations avec le photographe François-Marie Banier. Elle décrit un homme "drôle" qui l'a "beaucoup amusée" et lui a fait "du bien" plus que de mal. Avant d'ajouter: "Il m'a fait comprendre aussi que le bien avait des limites".
Elle a également balayé les questions de son interlocuteur concernant d'éventuels dons d'argent à des hommes politiques d'un "non, bien sûr que non, je ne distribue pas de l'argent comme ça".
c'est dur d"être une mamie milliardaire de nos jours
Je l'ai entendue sur E1 et elle n'avait pas l'air plus à côté de la plaque que pas mal de personnes plus jeunes qu'elle.
