tisiphoné a écrit :
tu crois que c'est un pare feu à l'affaire Guérini qui empoisonne le PS ?
Je n'avais pas pensé à çà, précisément, mais c'est le début de la campagne et tous les coups bas sont permis .
Et pour çà, je crois qu'à gauche comme à droite ils seront aussi dégueu les uns que les autres .
Celui qui n'a aucune folie n'est pas aussi sage qu'il le croit.
Jarod1 a écrit : Donc un juge devenu écrivain explique qu'un témoin a vu.
Probant.
un juge se fait sa pub pour son bouquin qui ne contient que des "ragots" et non des preuves......à mon avis elle va faire ses valises car je pensais que tout fonctionnaire était tenu à un droit de réserve et surtout une obligation au secret professionnel....des plus pourris , je pense que c'est le juge qui propage des RAGOTS. J'aime les faits et les preuves et non des "confidences de bistrot"
Quand toutes les affaires sont systématiquement étouffées par l'exécutif que reste-t-il comme choix ?
"L'intransigeance est la vertu des temps difficiles." - Ch. de Gaulle
"Ceux qui peuvent renoncer à une liberté essentielle pour obtenir un peu de sécurité temporaire ne méritent ni la liberté ni la sécurité." - Benjamin Franklin
Dire la vérité est aussi un acte de courage,avec les risques que cela comporte,professionnellement et physiquement.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
yaka a écrit :
un juge se fait sa pub pour son bouquin qui ne contient que des "ragots" et non des preuves......à mon avis elle va faire ses valises car je pensais que tout fonctionnaire était tenu à un droit de réserve et surtout une obligation au secret professionnel....des plus pourris , je pense que c'est le juge qui propage des RAGOTS. J'aime les faits et les preuves et non des "confidences de bistrot"
c est pas le juge qui a écris le bouquins elle a seulement témoignez au milieux de 27 autre personne . le bouquins a était écris par 2 journaliste du monde !
Tout ce qui va dans le sens des accusations semble se tenir car il y a plusieurs personnes qui disent la même chose. Mais bon, on peut aussi imaginer une conspiration pour lui nuire. Nous sommes en campagne électorale et tous les coups sont permis.
La seule chose qui permet au mal de triompher est l inaction des hommes de bien.
Edmund Burke.
1/ Pourquoi ces supposé révélations sortent maintenant alors que ces confidences ont été entendues il y a fort longtemps...
2/ Pourquoi ces supposés déclaration entendues par un tiers (la femme qui connait la femme qui connait l'ours) n'ont pas été actées par ecrit ?
3/ Quelles sont les preuves ?
Conclusion, une rumeur lançée sans preuve pour faire dévier le regard de l'opinion publique vers autre chose... désolé, mais là il m'en faut un peu plus.
En effet, cela coûte presque rien de sortir du sensationnel quand on a pas grand chose pour l'étayer. A qui profite l'opération ?
Vous croyez vous à la bonne action gratuite du magistrat ? Moi je n'y crois pas...
A moins que l'on m'apporte les preuves...
L'amour comme épée, l'humour comme bouclier (Edmond Wells).
Rananen a écrit :
c est pas le juge qui a écris le bouquins elle a seulement témoignez au milieux de 27 autre personne . le bouquins a était écris par 2 journaliste du monde !
Certes, mais elle a quand même validé le manuscrit avant impression.
Donc une caution morale à tout ceci.
Aprés, lancer une rumeur à au moins cet avantage, elle persistera même si toute la lumière est faite et que l'interessé est blanchi.
La rumeur ne s'efface jamais...
L'amour comme épée, l'humour comme bouclier (Edmond Wells).
L'ex-infirmière de Liliane Bettencourt a affirmé mercredi dans une interview à l'hebdomadaire «Marianne» qu'elle n'avait «pas parlé de remise d’enveloppes à Nicolas Sarkozy, ni à personne d’autre», à la juge de Nanterre Isabelle Prévost-Desprez ou à sa greffière
«Lorsque j’ai été auditionnée par la juge Isabelle Prévost-Desprez, je ne lui ai pas parlé de remise d’enveloppes à Nicolas Sarkozy, ni à personne d’autre. Je n’en ai parlé ni à la juge, ni à sa greffière», déclare l'infirmière, identifiée sous les initiales HY, qui dit aussi avoir été la cible de «menaces de mort» dans cette «affaire sensible».
"Je remarque aussi que les pro DSK sont aussi les anti Sarko...à fond"
Voila une drole de remarque. Il ne vous ait pas venu a l'esprit que l'on pouvait n'apprecier ni l'un ni l'autre et ce pour des raisons differentes.
"Quand le dernier arbre aura été abattu - Quand la dernière rivière aura été empoisonnée - Quand le dernier poisson aura été péché - Alors on saura que l'argent ne se mange pas." Geronimo
Belle contradiction dans cette phrase.
Quelqu'un qui se dit menacée de mort c'est clair que porter par écrit de telles affirmations sur le prince c'est courrir un énorme risque, autant que cela reste verbal. Pas d'écrit pas de traces.
Les mots restent les paroles s'envolent.
"Les batailles de la vie ne sont jamais gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n'abandonnent jamais."
L'ex infirmière a démentie les révélations,elle en a le droit.Par contre dire qu'elle avait eu des menaces menaces de mort est une atteinte à la justice et à la vérité,pas bon du tout venant d'un pays qui se dit démocratique.Ma parole,ceux qui n'aime pas le Communisme y verront des méthodes Staliniène.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
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...La mort avant le déshonneur!
pour ma par il n y a aucun doute que ca soit vrai , sarkosy est une racaille , je les toujours dit et les démentie prouve seulement que les gens qui pourrait témoigner subisse des pressions . nous avons donc affaire a un système mafieux .
et franchement sur la date de cette révélation , si ça avait était un coup politique le livre serait sortie 15 jour avant l élection .
L'affaire de l'atteinte au secret des sources du Monde dans le traitement du dossier Bettencourt prend désormais la dimension d'une affaire d'Etat. Contrairement aux affirmations officielles et répétées de l'exécutif, la direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) – le contre-espionnage français – a bien procédé à l'examen des appels téléphoniques passés par notre collaborateur Gérard Davet, entre le 12 et le 16 juillet 2010, afin de tenter d'identifier ses sources. Ce faisant, les services secrets ont, sur ordre, violé la loi sur le secret des sources pour tenter de colmater les fuites du dossier Bettencourt.
La juge d'instruction parisienne Sylvia Zimmermann, chargée depuis le 13 mai d'une information judiciaire après le dépôt de deux plaintes conjointes du Monde et de Gérard Davet, avait délivré le 21 juin une commission rogatoire aux gendarmes de la section de recherches de Paris. Elle leur demandait d'obtenir en urgence auprès d'Orange les réquisitions qui avaient été adressées en juillet 2010 à l'opérateur téléphonique par la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI). La demande de la juge a été effectuée en urgence car il existait un risque de dépérissement des preuves – le délai de conservation des facturations détaillées (fadettes) des particuliers par les opérateurs téléphoniques n'excéde pas un an. Le parquet de Paris, initialement saisi d'une enquête préliminaire, n'avait pas jugé bon d'effectuer cette demande.
Les enquêteurs ont pu rapidement obtenir deux télécopies, classées "confidentiel", adressées par le contre-espionnage à Orange. Elles sont toutes les deux signées par le commissionnaire divisionnaire Stéphane Tijardovic, en poste à la DCRI. La première d'entre elles, datée du 19 juillet 2011, réclame les factures téléphoniques détaillées liées au téléphone portable de Gérard Davet. La DCRI, dirigée par Bernard Squarcini, un policier réputé très proche de Nicolas Sarkozy, souhaitait alors obtenir le détail des communications téléphoniques passées par notre collaborateur, entre le 12 et le 16 juillet 2010. Ces réquisitions ont ainsi été ordonnées juste après la révélation par Le Monde, dans son édition datée du 18-19 juillet, du contenu des déclarations à la police de Patrice de Maistre, l'homme de confiance de Liliane Bettencourt. Le gestionnaire de fortune y mettait en difficulté Eric Woerth, ministre du travail de Nicolas Sarkozy. L'Elysée s'était ému de ces "fuites" dans la presse.
Source:Le Monde.
Ca pue de plus en plus et comme je l'avais souligné,Woerth est grillé.
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