Total a redémarré sa production libyenne

[supprimé 1]

J'ai appris qu'un quantité non-négligeable de pétrole se trouverait près de la Guyane français d'après des évaluations faites en Septembre (forage effectué depuis Mars par une plate-forme). Il y en aurait une quantité égale que celui du Ghana (1,4 milliards de barils). Sachant que c'est à proximité d'un de nos territoire, cela n'assurera pas une indépendance énergétique, mais pourrait apporter gros à la Guyane et par extension à l'Etat par le biais des impôts.

Il faudra plusieurs années pour que la capacité d'exploitation soit optimale, mais ça semble prometteur.

[tisiphoné]

J'ai appris qu'un quantité non-négligeable de pétrole se trouverait près de la Guyane français d'après des évaluations faites en Septembre (forage effectué depuis Mars par une plate-forme). Il y en aurait une quantité égale que celui du Ghana (1,4 milliards de barils). Sachant que c'est à proximité d'un de nos territoire, cela n'assurera pas une indépendance énergétique, mais pourrait apporter gros à la Guyane et par extension à l'Etat par le biais des impôts.

Il faudra plusieurs années pour que la capacité d'exploitation soit optimale, mais ça semble prometteur.

http://www.forum-actualite.com/debats/p ... ne#p698204

[Fonck1]

ca rapportera rien a la guyanne,ca rapportera à total :roll:

[supprimé 1]

ca rapportera rien a la guyanne,ca rapportera à total :roll:

Obligé que cela rapporte un peu à la Guyane Fonck... Des travailleurs devront se rendre obligatoirement sur le territoire guyanais pour construire les infrastructures pétrolières (donc taxe sur les entreprises concernées) et ils consommeront avec les salaires imposants de Total (donc revenu de la TVA, des impôts locaux sur les nouveaux travailleurs, etc...). Donc quoi qu'il en soit, l'argent du pétrole ira en partie à la Guyane et à l'Etat d'une manière ou d'une autre... :roll:

Je sais que la tendance du moment veut qu'on croit que les administrations gagnent zéro, mais c'est pas vrai... :roll:

[tisiphoné]

Le CNT a déclaré qu'aucun contrat pétrolier ne sera conclu tant qu'un gouvernement n'aura pas été formé.

Le ministre des Finances et du Pétrole du Conseil national de transition, Ali Tarhouni a déclaré qu'aucun contrat pétrolier ne serait signé avant des élections en Lybie.

"Il n'y a pas de nouveaux contrats pendant cette période transitoire, ni pour Total, ni pour aucune autre compagnie" a-t-il déclaré à l'occasion de la visite en Libye d'une délégation de 80 entreprises françaises.

Il précise que seul un gouvernement élu pourra accorder de nouvelles concessions pétrolières. Le CNT attend désormais la tombée symbolique de la ville de Syrte, la ville symbolique du régime Khadafi. Cette chute devrait arriver dans les jours à venir compte tenu de l'avancée des troupes d'opposition contre l'ancien régime.

La production pétrolière de la Libye, actuellement remontée à 400.000 barils par jour après être tombée presque à l'arrêt du fait des violences, devrait atteindre environ 600.000 b/jour d'ici à la fin de l'année et approcher le million à la fin du premier trimestre 2012, a précisé le président de la NOC (National Oil Corporation), Nouri Berruien.

Certaines installations pétrolières ont été endommagées pendant les combats mais "les pires dégâts ont été commis au cours des 42 ans" de pouvoir de Mouammar Khadafi a estimé Nouri Berruien.

"Le critère de toute négociation commerciale (...) sera le principe de l'intérêt du peuple libyen, aucun autre critère n'est plus important", a ajouté M. Tahrouni, après avoir remercié la France pour son soutien face à M. Kadhafi. La transparence sera également exigée.

[Patrick_NL]

Le gouvernement provisoire n’est même pas formé ni Syrte libérée que les industriels français se précipitent en Libye pour préparer la reconstruction. Les marchés à conquérir sont nombreux.

La reconstruction s’annonce très lucrative en Libye, même si l’on en juge uniquement par la destruction quasi complète de la ville de Syrte. Une manne qui aiguise les appétits des hommes d’affaires. En première ligne : les Français, dont une importante délégation de plusieurs dizaines de représentants de 80 entreprises sont arrivés en Libye mercredi.

La plupart de ces grands groupes et PME travaillaient dans le pays du temps du colonel Kaddafi. Avant le conflit, les entreprises françaises comptaient 700 expatriés dans des domaines aussi divers que l'énergie, le BTP et les transports, l'agroalimentaire, les télécommunications, la sécurité, l'urbanisme et l'aménagement du territoire, la santé, la banque, l'eau et l'environnement… D’un régime l’autre, donc. Et le temps presse, car la concurrence avec les Chinois, les Turcs ou allemands s’annonce serrée.

Le secrétaire d'État chargé du Commerce extérieur, Pierre Lellouche, qui menait la délégation et encourageait les investisseurs potentiels, l’a bien compris. « D'autres ne vont pas attendre, je pense aux Turcs, Chinois, Allemands (...) qui n'étaient pas très nombreux pour aider ce pays pendant la guerre et qui sont en train d'arriver par vagues successives », a-t-il lancé.