Peut être en attendant tout ce qu'ils sortent c'est béton.Jarod1 a écrit : Si c'est une source Mediapart, il n'y a pas de quoi s'affoler.
Pas de procès au cul en diffamation ou autre chose.
Vérifiable et vérifié.
Peut être en attendant tout ce qu'ils sortent c'est béton.Jarod1 a écrit : Si c'est une source Mediapart, il n'y a pas de quoi s'affoler.
Non. Leur spécialité c'est la remise d'espèce, donc par nature le truc invérifiable.GEORGES a écrit : Peut être en attendant tout ce qu'ils sortent c'est béton.
Pas de procès au cul en diffamation ou autre chose.
Vérifiable et vérifié.
Je crois que des foreuses, c'est le genre de machines volumineuses et bruyantes, loin de toute forme de discrétion. Donc invérifiable, il suffit d'une jolie photo de la part des locaux, et l'affaire est réglée... :roll:Jarod1 a écrit : Non. Leur spécialité c'est la remise d'espèce, donc par nature le truc invérifiable.
Un revers pour les uns, une victoire pour les autres. Le gouvernement a décidé lundi d'abroger les trois permis de recherche de gaz de schiste accordés à Total et à l'Américain Schuepbach dans le sud de la France, une victoire pour les opposants mobilisés depuis des mois contre la technique contestée de la fracturation hydraulique.
«Dans les deux rapports Schuepbach, était explicitement mentionné le projet d'utiliser la fracturation hydraulique» pourtant interdite depuis juillet, a souligné à l'AFP la ministre de l'Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet. Dans le rapport de Total, «ce n'était pas le cas» mais «j'ai fait valoir l'argument que ce rapport n'était pas crédible», a-t-elle ajouté. Le géant pétrolier français s'est dit «très surpris» par l'abrogation dont il a été informé «par voie de presse». Il a demandé des explications «pour comprendre sur quelles bases légales» a eu lieu l'annulation de son permis dit de Montélimar, grand de plus de 4.000 km2. Dans son rapport remis aux ministères concernés le 12 septembre, Total s'est engagé «sans aucune ambiguité» à n'utiliser aucune technique interdite, rappelle le pétrolier.
Le chef de file des anti-schiste José Bové a lui fait part de sa «satisfaction», tout en demandant plus de garanties autour d'autres permis. Pour les 61 autres permis d'exploration toujours en vigueur, dont 12 concernent des hydrocarbures non conventionnels, toutes les compagnies «ont pris l'engagement formel de ne pas recourir à la fracturation hydraulique», a indiqué le ministère. Des «inspections» seront menées pour s'assurer du non-recours à cette technique, selon le gouvernement.