C'est pas tout à fait vrai : ils se sont aussi fait rouler par leurs dirigeants.Fonck1 a écrit : c'est tout a fait vrai.
Cela n'explique pas tout, et n'enlève rien au fait que c'est aux Grecs de faire des efforts pour s'en sortir.
C'est pas tout à fait vrai : ils se sont aussi fait rouler par leurs dirigeants.Fonck1 a écrit : c'est tout a fait vrai.
c'est surtout pas en continuant a faire du black qu'ils y arriveront.dinosaure a écrit : Sauf qu'en leur enlevant toute possibilité de faire redémarrer leur économie on sait qu'il ne s'en sortiront jamais.
C'est un cercle vicieux.
Et continuer à leur prêter donner de l'argent pour essayer de les renflouer, c'est au mieux les maintenir à moyen terme, au pire entraîner les "prêteurs" dans leur chute.dinosaure a écrit : Sauf qu'en leur enlevant toute possibilité de faire redémarrer leur économie on sait qu'il ne s'en sortiront jamais.
C'est un cercle vicieux.
Rouler par leurs dirigeants ? Ouais...enfin que tu fais de la dépense (armées, fonctionnaires, etc...) et qu'il n'y a pas de recettes, y a un moment où comme dirait Bourvil "ça va beaucoup mons bien marcher" !Stick a écrit : C'est pas tout à fait vrai : ils se sont aussi fait rouler par leurs dirigeants.
Cela n'explique pas tout, et n'enlève rien au fait que c'est aux Grecs de faire des efforts pour s'en sortir.
:roll: :roll:Fonck1 a écrit : c'est tout a fait vrai.
La lutte contre la fraude fiscale a fait des progrès, mais elle marque le pas. Ainsi, selon une lettre « officieuse » de Lucas Papademos, le paiement des impôts reste un point d'achoppement et les Grecs préfèrent désormais ne pas s’en acquitter en attendant de voir si le pays sort ou non de l’euro... Et lorsque le fisc fait son travail, la justice, corrompue, lente et inefficace, ne fait pas le sien, ce qui permet aux fraudeurs d’échapper à l’impôt. Autant dire que l’économie noire (entre 30 et 40 % du PIB) demeure toujours aussi florissante. Pour donner une idée de ce qui est en jeu, la fraude fiscale a été estimée, pour 2009, entre 15 et 20 milliards d’euros, soit trois quarts du déficit budgétaire de l’époque.Jarod1 a écrit : J'avais lu que 17 % des Grecs payaient effectivement des impôts (je suppose sur le revenu).
Ajoute l'absence de TVA...
Certes, les riches ne payaient rien, mais les pauvres non plus, bref, personne ne payait rien.
Et je suppose que c'est pire en ce moment...
elem a écrit : La lutte contre la fraude fiscale a fait des progrès, mais elle marque le pas. Ainsi, selon une lettre « officieuse » de Lucas Papademos, le paiement des impôts reste un point d'achoppement et les Grecs préfèrent désormais ne pas s’en acquitter en attendant de voir si le pays sort ou non de l’euro... Et lorsque le fisc fait son travail, la justice, corrompue, lente et inefficace, ne fait pas le sien, ce qui permet aux fraudeurs d’échapper à l’impôt. Autant dire que l’économie noire (entre 30 et 40 % du PIB) demeure toujours aussi florissante. Pour donner une idée de ce qui est en jeu, la fraude fiscale a été estimée, pour 2009, entre 15 et 20 milliards d’euros, soit trois quarts du déficit budgétaire de l’époque.
http://bruxelles.blogs.liberation.fr/co ... tendu.html
wait and see
Christine Lagarde regrette "que ses remarques [sur la Grèce] aient été mal comprises et qu'elles aient offensé", a déclaré jeudi 31 mai, à Washington, un porte-parole du Fonds monétaire international (FMI), Gerry Rice.
La patronne de l'organisation s'était attirée les foudres des Grecs en déclarant, au quotidien britannique The Guardian, qu'ils "devraient commencer par s'entraider collectivement", en "payant tous leurs impôts". Les Grecs s'étaient dits "humiliés" par ces propos.
"Un grand respect pour la Grèce et son peuple"
Christine Lagarde et le FMI ont toujours dit qu'ils éprouvaient "un grand respect pour la Grèce et son peuple, et les sacrifices que de très nombreux Grecs consentent pour surmonter la crise économique", a ajouté ce porte-parole.
"Depuis quelques années, le FMI fait de gros efforts pour soutenir la Grèce", a ajouté Gerry Rice. Le FMI a annoncé le 17 mai qu'il se mettait en retrait de la Grèce, qu'il refusait de travailler avec le gouvernement transitoire à Athènes et qu'il attendait les élections de juin pour reprendre éventuellement le versement de son aide au pays. En théorie, une nouvelle tranche aurait dû être débloquée ce jeudi 31 mai.