Puisque le débat s'y prête , je suis prêt , après une longue recherche intraforumesque, à fournir de premiers résultats!
, voici des conclusions , bien qu'encore provisoires:
Finalement, le dinosaure est devant un texte comme un singe devant un miroir !
Perdant les repères de son histoire tronquée, , il tente de regarder derrière en passant par le coté !
Celà explique d'effrayants soubresauts qui peuvent apeurer un cours instant, un primate qui s'est replié dans la canopée
j'aurais dû trouver plut tôt ce qui nous rapproche plutôt que de me braquer sur ce qui nous distingue !
Pour le rapprochement, c'est peutêtre les rides d'expression devant l'incertitude? Bien plus selon compléments d'enquête!
Pour se distinguer, y a beaucoup, notamment si on lui donne une banane, il va surement se la mettre dans l’oreille !
Le texte et l'audition se disputent souvent l'enregistrement autant que la compréhension!
Je sais bien que toute "publication scientifique" entraine des risques, mais le dinosaure est un herbivore qui fait plus de bruit que de dégats, surtout quand on est prévenu par le bruissement des feuillus qui le nourissent!
J'en assumerai sans peur ni reproches, toutes les conséquences!
Juste un mot pour olga, j'ajouterai à son message clair et détailllé, que c'est grace à la verticalité que l'homme a pu dévelloper un langage élaboré, puisque son larinx fut ainsi mieux libéré pour produire des sons plus diversifié. on voit ntament ainsi la relation entre le "marériel", la matière, et la production des effets de l'intelligenvce! (j'ai bien dit les effets, pour ne pas engager la polémique!!)
Contribution simiesque sans rémunération, puisqu'à chacun selon ses besoins, comme disai ent les marxistes!
