papibilou a écrit : ↑20 avril 2025 09:40
UBUROI a écrit : ↑19 avril 2025 21:00
Moi je propose de suspendre le remboursement des soins à partir de 64 ans.
Vous ne préférez pas l'euthanasie à 64 ans ?
Non, ne soyons pas trop dur! mais 75 ans me semble acceptable. Dans 2 mois
Plus sérieusement, la vraie vérité est atroce!
- on se focalise sur 2026 et on s'égare tous, chacun sur son chemin et ses intérêts très particuliers!
40 Mrds€ et c'est la panique!
- et lui de taper sur
"les retraités" avec leur abattement sur les retraites de 10%
qui ne sont pas "pour frais professionnels", mais pour tenir compte de la baisse des revenus au moment du passage en retraite ainsi que des dépenses de santé plus élevées à cet âge..
- et moi, Uburoi, de revenir sur les exonérations de cotisations sociales et/ou d'IR sur un certains nombre de revenus perçus par les
"actifs" comme l'intéressment, la participation, les HS, les chèques vacances etc...
Tiens les actifs, on rigole moins
Mais enfin, 4.5 Mrds ici, crédit d'impôt "recherche" supprimé pour les grosses entreprises c'est +- 4 Mrds...
On es loin des 40 Mrds€ pour 2026
Pire:
Pour 2024, le déficit public devrait s’établir à 5,8 % du PIB, l’objectif est dpnc de le réduire à 5,4 % dès cette année 2025, en déployant un effort budgétaire estimé à 50 milliards d’euros. En 2026, une nouvelle réduction est prévue pour atteindre 4,6 %, reposant principalement sur une baisse des dépenses à hauteur d’environ 40 milliards d’euros. Ce dont on discute.
Les années suivantes confirment une trajectoire de repli progressif : 4,1 % en 2027, puis 3,4 % en 2028
Devant un tel mur, la seule solution,
c'est de mettre tout à plat comme en 1958. Les causes de la crise financière, économique, dettes et déficits ne sont pas les mêmes en 2024/2025 qu'en 1958. Mais c'est bien
une volonté politique de De Gaulle et de Pinay qui a permis le redressement.
C'est ce qui manque en 2025! Et la "cohabitation" n'arrange rien!
https://books.openedition.org/igpde/3040?lang=fr Annexe VIII. Colloque. « Redressement financier » de 1958
Texte commun de MM. Roger Goetze, Antoine Dupont-Fauville et Jean Méo
Les causes actuelles de la crise, ce sont le manque de croissance ( productivité du travail, industrialisation, innovations), des dépenses publiques d'Etat et ses CT redondantes (millefeuille, Agences en doublon...), inefficaces en plus (services publics déficients pour l'usager), la balance commerciale...
Sur les dépenses sociales j'inviterais les contempteurs du modèle français à comparer ce qui est comparable: le modèle français est "étatisé" (obligatoire et géré par des organismes publics ou privés exerçant une mission de SP); d'autres modèles laissent aux salariés de se couvrir librement, volontairement en cotisant personnellement, ce qui diminue l'impact du financement de ces régimes sur le ration "dépenses publiques" - PIB!
Le Messie vite!