Si c'est wikikidi.....quo vadis a écrit :Pirouette !Victor a écrit :
La bio de ce type est claire. Il est spécialiste de la Grèce ancienne ... pas de l'histoire de l'empire colonial français.
Il a ensuite mené un combat politique et militant.
Donc je résume, le type est historien spécialiste de la Grèce antique puis il milite politiquement.
L'embrouille c'est de se servir de sa spécialité d'historien de la Grèce antique pour justifier son militantisme et ses prises de position politique sur l'histoire récente. C'est tout simplement une escroquerie intellectuelle.
Le déni compulsif semble ton trait de caractère...tous les autres historiens sont d'accord sur ces crimes coloniaux...
Il y'a les historiens qui ont connu l’Algérie coloniale triomphante et sa décolonisation, comme Charles-André Julien, auteur de L’histoire de l’Afrique du Nord (1931 et 1951), de L’Afrique du Nord en marche (1952, 1953 et 1972), et de L’histoire de l’Algérie contemporaine, Tome 1 : Conquête et colonisation, 1827-1871 (1964).
Il y'a les historiens qui ont vécu la décolonisation de l’Algérie, comme l’historien et militant Pierre Vidal-Naquet, auteur de L’affaire Audin (1958) et de La torture dans la République (1972) ; ou comme Charles-Robert Ageron qui a poursuivi la décolonisation de l’histoire de l’Algérie et plus largement celle de l’histoire de la colonisation française par ses nombreux livres et colloques.
Charles-André Julien et Charles-Robert Ageron sont les historiens incontournables qui sont des spécialistes repères
en la matière.
Les faits sont là...les crimes aussi. On ne fait pas son marché dans l'histoire en sélectionnant suivant le poids politique et social
actuel des anciennes victimes. Tu serais le premier à t'indigner si un hurluberlu comme toi, dans l'autre sens, niait la Shoah.
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Notre ami n'est pas allé bien loin dans son temple culturel; il n'a lu que l'intro, peut-être a-t-il regardé également quelques images qui sait?
Plus loin on peut lire entre autre;(ça lui aurait évité cette belle boulette binaire!! )
(..)À partir de la fin de 1957, il effectue un travail d'historien à propos de la disparition de Maurice Audin, mathématicien, assistant à l'université d'Alger, arrêté par les parachutistes pendant la bataille d'Alger, puis « disparu » : alors que la thèse officielle affirme que Maurice Audin s'est évadé, Pierre Vidal-Naquet, avec les autres membres du « Comité Audin », défend la thèse de sa mort sous la torture. Il en fait un livre, L'Affaire Audin, paru en 1958 et réédité, largement complété, des années plus tard.(..)
Ne pas oublier Bejamin Stora, Raphaëlle Branche....