et si Sarkozy était empêché comme ils l'avaient envisagé ?

[Jarod1]

Je n'ai particulièrement la foi, tous les indices n'étant pas au vert , je dis juste que jamais un Président n'a été autant calomnié.et que cette façon d'affirmer tous les jours que quand la chasse d'eau ne fonctionne plus quelque part, Sarko est dans le coup, c'est assez minable. Mais c'est un procédé assez classique lorsqu'on a rien de sérieux à dire. Et comme il en reste toujours quelque chose, selon l'adage, c'est de bonne guerre.

[Fonck1]

Je n'ai particulièrement la foi, tous les indices n'étant pas au vert , je dis juste que jamais un Président n'a été autant calomnié.

il en a fait de même avec le bas peuple,qui je le rappelle,l'a élu.

et que cette façon d'affirmer tous les jours que quand la chasse d'eau ne fonctionne plus quelque part, Sarko est dans le coup, c'est assez minable. Mais c'est un procédé assez classique lorsqu'on a rien de sérieux à dire. Et comme il en reste toujours quelque chose, selon l'adage, c'est de bonne guerre.

personnellement,il y a de bonnes choses dans ce qu'il a fait,certes peu a mon gout,et probablement stratégiques a son niveau,comme les AE,ou d'avoir posé le débat sur la table de l'islam en france,et comme l'aborder.
le problème,c'est que l'on est resté pour beaucoup dans des pétards mouillés,électoraux,et que les français depuis 4 ans et demi ont juste l'impression,et probablement la raison,de s'être fait mettre un peu plus par le pouvoir français.

je crois qu'il avait été élu sur des bases qui leur ressemblaient,ca été très rapidement le contraire qui a été mis en place.

[supprimé 1]

1/ Je ne vois pas très bien comment un Président fraichement élu pourrait se maintenir si quelques semaines après une assemblée d'opposition était élue, la crise de régime serait évidente et une nouvelle présidentielle organisée. Enfin, souhaitons-le.

2/ Par contre, je ne vois pas de quelle "manoeuvre" tu parles, s'il est réélu, ce sera simplement parce que 50 % des votants +1 auront voté pour lui.

3/ Quant aux affaires, c'est quand même très léger : les emplois fictifs à Paris ne le concernent pas, ça concerne la "chiraquie"; Bettencourt ce sont les paroles en off d'une infirmière à une greffière qui aurait démenti les propos d'une comptable qui se serait ensuite rétractée, bref, du vent ; quant à Karachi, il s'agit là encore des paroles d'une femme d'un "proche" du Président qui dit le contraire de sa fille, etc etc etc..encore du vent.

Bref, si un Président doit être empêché pour ça, personne ne pleurera cette fois d'avoir le Pen au premier plan.

1/ Cela s'est déjà produit, jusqu'à un changement de l'Assemblée à terme. Cependant, ici, le quinquennat présidentiel est superposé à celui des députés. Donc soit Sarko devient président, reste et espère que la gauche devienne très impopulaire pour dissoudre l'Assemblée et faire un tour de force, soit oui, il se peut qu'il démissionne, mais ce serait assez surprenant (bien que pas impossible).

2/ Par manœuvre, je parle des alliances possibles avec des partis supposés ne pas proposer théoriquement d'alliance, sans compter l'éventualité d'un second tour Marine/Sarko (bien que la probabilité semble aujourd'hui quasi nulle). Ce serait une façon de s'assurer de la présidence, mais pas forcément l'assemblée qui pourrait basculer à gauche (les contradictions politiques existent).

3/Les affaires jusqu'à présent stigmatisent pas uniquement Sarkozy, mais son camp, quelque soit l'orientation dans le parti de chaque personnalité (chiracien, balladurien, etc...). Certes, certains n'hésitent pas à tout lui mettre sur le dos à tort, mais il est cependant la personnalité qui obligatoirement sera la première à abattre en vu de son impopularité (réformes, discours, polémiques) et de son appartenance à une famille politique qui en ce moment est fortement suspectée d'avoir fait des magouilles par le passé et qui en période de crise sont devenues encore plus insupportables qu'en période économique stable...

[scorpion3917]

Toutes ces affaires , dont beaucoup ne sont pas d'hier, resurgissent subitement au grand jour à quelques mois des élections. Le calendrier judiciaire, étrangement, coïncide avec le calendrier électoral. Certains médias attisant les braises d'un feu qui couve pour le gouvernement actuel. Je ne suis pas naïf, mais cette campagne électorale sent vraiment mauvais et nous n'en sommes qu'au début.