I read a Book...
- Sov Strochnis
- Fan d'Inter
- Messages : 5963
- Enregistré le : 27 décembre 2008 21:19
- Localisation : Hyperborée
Re: Vos lectures
De toute manière l'idée principale du livre c'est la souplesse, il ne s'agit pas non plus de fuir la réalité sous des attitudes faussement positives. Se reposer ça a du bon aussi. Quant à la lucidité de ses comportements, c'est ton schéma qui te le permet, beaucoup de personnes ne savent tout simplement pas comment s'extraire d'une déprime ou de problèmes personnels. Et c'est à chacun de décider de vouloir changer ou non. J'ai un ami qui est auteur, philosophe, psychologue, qui voyage à travers le monde entier, je pense que sa plume est magique du fait de certains points négatifs de sa personnalité, il décide de se laisser porter, les choses le choisissent, la clope l'a choisi, les livres l'ont choisi, et quand je lui demande s'il devait choisir il me répond: pas sans lui (un vieil ami qu'il a perdu). Des racines profondes le tiennent dans un schéma, il est fabuleux.
-
- Posteur TOP VIP
- Messages : 2561
- Enregistré le : 25 mai 2009 20:03
- Localisation : Par là-bas
Re: Vos lectures
Tu as un ami qui possède des qualités rares - Sans faire le dogmatique, peu de gens savent errer sans péril.
On a presque tous des schémas ; certains sont orientés vers la dépression, la mélancolie.
La reformulation de tous leurs codes doit représenter un bouleversement de leur personne ; j'imagine avec peine un Baudelaire assouplir son penchant vers l'abîme et devenir insouciant. Déprogrammer son logiciel de perception des correspondances, à la limite de la mystique, pour s'ouvrir au bien être et à la douceur de vivre. Il était trop fasciné par la chute pour y songer : et je ne nie pas les qualités du livre que tu nous recommande.
La fuite des réalités ressemble souvent à une illusion que l'on cherche à rendre vraie, bref une chimère. Mais c'est tentant, il faut bien l'avouer ; car on peut fuir les réalités de maintes façons. J'ai plongé dans un domaine très éloigné des soucis de mes contemporains, sachant que j'étais inoffensif ; mais j'esquive la brutalité du quotidien. Je vis en permanence dans une sorte de rève qui fut vrai, si tu vois ce que je veux dire - d'ailleurs, Queneau le dit très bien dans "les Fleurs bleues" - (Hey, belle assoc d'idées ; des fleurs du mal aux fleurs bleues. Fin de la louange.)
En plus de me vider le cerveau, je peins à plaisir ; la matière est onctueuse, elle est souple, oui elle aussi, le pinceau est comme attiré. très sensuel. l'alliance de la douceur et de la matière-couleur.
faut j'arrète d'écrire - on dirait que j'écris mon journal.
On a presque tous des schémas ; certains sont orientés vers la dépression, la mélancolie.
La reformulation de tous leurs codes doit représenter un bouleversement de leur personne ; j'imagine avec peine un Baudelaire assouplir son penchant vers l'abîme et devenir insouciant. Déprogrammer son logiciel de perception des correspondances, à la limite de la mystique, pour s'ouvrir au bien être et à la douceur de vivre. Il était trop fasciné par la chute pour y songer : et je ne nie pas les qualités du livre que tu nous recommande.
La fuite des réalités ressemble souvent à une illusion que l'on cherche à rendre vraie, bref une chimère. Mais c'est tentant, il faut bien l'avouer ; car on peut fuir les réalités de maintes façons. J'ai plongé dans un domaine très éloigné des soucis de mes contemporains, sachant que j'étais inoffensif ; mais j'esquive la brutalité du quotidien. Je vis en permanence dans une sorte de rève qui fut vrai, si tu vois ce que je veux dire - d'ailleurs, Queneau le dit très bien dans "les Fleurs bleues" - (Hey, belle assoc d'idées ; des fleurs du mal aux fleurs bleues. Fin de la louange.)
En plus de me vider le cerveau, je peins à plaisir ; la matière est onctueuse, elle est souple, oui elle aussi, le pinceau est comme attiré. très sensuel. l'alliance de la douceur et de la matière-couleur.
faut j'arrète d'écrire - on dirait que j'écris mon journal.
ULTIMA NECAT
- Sov Strochnis
- Fan d'Inter
- Messages : 5963
- Enregistré le : 27 décembre 2008 21:19
- Localisation : Hyperborée
Re: Vos lectures
"Le crépuscule d'une idole. L'affabulation freudienne"
Onfray parle de Freud, je trouve la démarche intéressante, pas encore lu. La psychanalyse grosse supercherie.
Onfray parle de Freud, je trouve la démarche intéressante, pas encore lu. La psychanalyse grosse supercherie.
- Sov Strochnis
- Fan d'Inter
- Messages : 5963
- Enregistré le : 27 décembre 2008 21:19
- Localisation : Hyperborée
Re: Vos lectures
La mort, de Vladimir Jankélévitch
Pourquoi un phénomène aussi banal et aussi régulier que la mort est toujours aussi étonnant et troublant, et surtout pourquoi la mort est un scandale ? Livre de philosophie, assez abordable et bien écrit. J'aime beaucoup la façon dont il aborde le sujet.
Pourquoi un phénomène aussi banal et aussi régulier que la mort est toujours aussi étonnant et troublant, et surtout pourquoi la mort est un scandale ? Livre de philosophie, assez abordable et bien écrit. J'aime beaucoup la façon dont il aborde le sujet.
-
- Posteur TOP VIP
- Messages : 2561
- Enregistré le : 25 mai 2009 20:03
- Localisation : Par là-bas
Re: Vos lectures
Pourquoi ta question contient-elle la réponse ?
La mort , phénomène banal - mais inéluctable. On radote là-dessus depuis des siècles, sauf peut-être les pythagoriciens.
Aucune lecture intéressante . (des rapports, des extraits de colloques , des 'papiers', du vent......)
je déclare ma tête vide.
je déclare mon absence d'intéret pour les rumeurs autour du couple sarkozy, des propos racistes ou non de zemmour ; en ce moment, ce qui se passe en france ne me concerne que de très loin.
La mort , phénomène banal - mais inéluctable. On radote là-dessus depuis des siècles, sauf peut-être les pythagoriciens.
Aucune lecture intéressante . (des rapports, des extraits de colloques , des 'papiers', du vent......)
je déclare ma tête vide.
je déclare mon absence d'intéret pour les rumeurs autour du couple sarkozy, des propos racistes ou non de zemmour ; en ce moment, ce qui se passe en france ne me concerne que de très loin.
ULTIMA NECAT
- Sov Strochnis
- Fan d'Inter
- Messages : 5963
- Enregistré le : 27 décembre 2008 21:19
- Localisation : Hyperborée
Re: Vos lectures
Justement le livre tente d'aller plus loin, de raisonner sur la mort de l'en deçà de la mort et l'au delà de la mort, dans les deux cas la mort est impensable mais ses composantes "vivantes" les interprétations peuvent être pensées, mais ça synthétise assez bien les phénomènes sociaux sur la mort, la collection des cimetières des archives des défunts. Personnellement j'ai bien aimé, c'est autre chose, après c'est philosophique, dans le genre histoire ya les gisants d'Aries.
Le sujet sur la mort n'est donc pas tout à fait caduc et peut être étudié comme l'est la naissance, la gastronomie, etc...bref, ce sujet m'est cher aussi parce qu'une bonne compréhension des pensées sur la mort peuvent ensuite servir à remonter à la préhistoire et tenter d'aborder la mentalité des premières sépultures. Certains métiers qui touche la mort sont tout à fait passionnant, et on en apprend tout le temps, c'est inépuisable, tout comme on a toujours des poètes qui parlent d'amour, chaque expérience, chaque récit est unique.
Le sujet sur la mort n'est donc pas tout à fait caduc et peut être étudié comme l'est la naissance, la gastronomie, etc...bref, ce sujet m'est cher aussi parce qu'une bonne compréhension des pensées sur la mort peuvent ensuite servir à remonter à la préhistoire et tenter d'aborder la mentalité des premières sépultures. Certains métiers qui touche la mort sont tout à fait passionnant, et on en apprend tout le temps, c'est inépuisable, tout comme on a toujours des poètes qui parlent d'amour, chaque expérience, chaque récit est unique.
Re: Vos lectures
La mort a donné toute une littérature : j'ai beaucoup de sympathie pour Epicure qui disait avec bon sens que pendant que l'on est vivant, la mort ne nous affecte pas - après la mort, on sait comment cela se passe. La solution au problème de la peur de la mort se trouve évacuée.
Je viens de passer des jours exaltants à re-visiter un riuel de transmission de la vitalité, puis de la fertilité. Pourtant, les dieux savent si les Anc. Romains fréquentaient la mort, et les morts (les simulacra et autres représentations).
Les hommes ont imaginé des dieux immortels pour se rassurer, étant eux-mêmes de simples mortels. En même temps, plus les siècles ont passé,plus les mises à mort sont devenues de plus en plus cruelles.
Je viens de passer des jours exaltants à re-visiter un riuel de transmission de la vitalité, puis de la fertilité. Pourtant, les dieux savent si les Anc. Romains fréquentaient la mort, et les morts (les simulacra et autres représentations).
Les hommes ont imaginé des dieux immortels pour se rassurer, étant eux-mêmes de simples mortels. En même temps, plus les siècles ont passé,plus les mises à mort sont devenues de plus en plus cruelles.
- Sov Strochnis
- Fan d'Inter
- Messages : 5963
- Enregistré le : 27 décembre 2008 21:19
- Localisation : Hyperborée
Re: Vos lectures
Tu me plais Clodius.
-
- Posteur TOP VIP
- Messages : 2561
- Enregistré le : 25 mai 2009 20:03
- Localisation : Par là-bas
Re: Vos lectures
Re-coucou.
Les morts étaient parfois inhumés dans le sens Est-Ouest car l'est c'est le Levant (là où reposait la tête) et l'ouest c'est l'Occident, le "tomber" du jour= de la vie puisque la lumière équivalait à la vie et à son retour (voir le mythe d'Osiris ) .
Il parait que même maintenant un appart. dont les fenêtres donnent sur l'Ouest donne des idées sombres. A la tombée du jour, naissent les idées noires voire suicidaires - c'est ancré chez l'humain.
J'ai lu aussi que l'homme le plus riche de Bénarès est un paria qui vend le bois pour les buchers : il est en contact avec la mort, donc il es tabou.
La métempsycose a fait son chemin par Pythagore, la mort n'étant pas une fin définitive - ni une fin en soi.
C'est un des aspects du combat qu' a mené M. Onfray contre les religions morticoles. Pourquoi punir le corps de son vivant ?
Pourquoi ne pas jouir de sa vie, bref passage, mais expérience unique à savourer sans retenue ?
Les morts étaient parfois inhumés dans le sens Est-Ouest car l'est c'est le Levant (là où reposait la tête) et l'ouest c'est l'Occident, le "tomber" du jour= de la vie puisque la lumière équivalait à la vie et à son retour (voir le mythe d'Osiris ) .
Il parait que même maintenant un appart. dont les fenêtres donnent sur l'Ouest donne des idées sombres. A la tombée du jour, naissent les idées noires voire suicidaires - c'est ancré chez l'humain.
J'ai lu aussi que l'homme le plus riche de Bénarès est un paria qui vend le bois pour les buchers : il est en contact avec la mort, donc il es tabou.
La métempsycose a fait son chemin par Pythagore, la mort n'étant pas une fin définitive - ni une fin en soi.
C'est un des aspects du combat qu' a mené M. Onfray contre les religions morticoles. Pourquoi punir le corps de son vivant ?
Pourquoi ne pas jouir de sa vie, bref passage, mais expérience unique à savourer sans retenue ?
ULTIMA NECAT
-
- Posteur TOP VIP
- Messages : 2561
- Enregistré le : 25 mai 2009 20:03
- Localisation : Par là-bas
Re: Vos lectures
Me re-voilou dans le coin des lecteurs.
Ai lu " Qu'est-ce que le libéralisme ? ": Ethique, politique, société
de Catherine Audard.
Le livre est écrit de façon claire, sans mots inventés dans les cours financières. L'auteur expose le cheminement du libéralisme depuis que le concept de liberté individuelle est apparu chez les penseurs de la politique, ça remonte à Hobbes, puis Hume, Kant etc. Pour finir, elle explique les ajustements et les corrections apportés à cette notion très vaste, avec la vision de J. Rawls et d'autres modernes dont Habermas.
Elle aborde le multiculturalisme, l'Etat-providence, le débat religieux : des sujets d'actualité.
En fait j'avais besoin de faire le point sur le libéralisme et son amalgame avec le capitalisme. Ce livre m'y a beaucoup aidé.
Contrairement aux idées reçues, le libéralisme ne s'oppose pas à la solidarité.
C'est un pavé de 700 pages environ, en Folio - essais. Mais ça passe bien.
En revanche, j'avoue avoir calé sur "Pièces d'identité" de BH L - 1300 pages au minimum.
après l'explication de texte que nous inflige l'auteur sur "Les mots" de Sartre. Il y voit le refus de la littérature, l'auto-dérision d'un mao repentant....il oublie de dire que Les Mots signifient que Sartre dit par ce biais qu'il n'existe que par les mots. Sans un flos ininterrompu de mots, pas de Sartre.
Sartre qui lisait des histoires de cowboys dans son enfance, des polards, plutot que des grands textes. Pas opposition à son grand'père, patriarche et éducateur dont la parole ne supportait pas la contradiction.
Il y a des pages et des pages sur Sartre, un vrai désespoir !
J'ai calé.
Autre lecture : de Paul Veyne "Comment l'occident devint chrétien" : Constantin empereur converti
Assez court, abordable car bien écrit, et avec des pointes d'humour.
L'empereur était un grand stratège, un grand politique mais il était sincère : c'est après qu'il a fait ses calculs et qu'il s'est dit que les évèques formaient un réseau très utile pour maintenir la paix dans l'empire.
bon voilà, c'est tout.
Ai lu " Qu'est-ce que le libéralisme ? ": Ethique, politique, société
de Catherine Audard.
Le livre est écrit de façon claire, sans mots inventés dans les cours financières. L'auteur expose le cheminement du libéralisme depuis que le concept de liberté individuelle est apparu chez les penseurs de la politique, ça remonte à Hobbes, puis Hume, Kant etc. Pour finir, elle explique les ajustements et les corrections apportés à cette notion très vaste, avec la vision de J. Rawls et d'autres modernes dont Habermas.
Elle aborde le multiculturalisme, l'Etat-providence, le débat religieux : des sujets d'actualité.
En fait j'avais besoin de faire le point sur le libéralisme et son amalgame avec le capitalisme. Ce livre m'y a beaucoup aidé.
Contrairement aux idées reçues, le libéralisme ne s'oppose pas à la solidarité.
C'est un pavé de 700 pages environ, en Folio - essais. Mais ça passe bien.
En revanche, j'avoue avoir calé sur "Pièces d'identité" de BH L - 1300 pages au minimum.
après l'explication de texte que nous inflige l'auteur sur "Les mots" de Sartre. Il y voit le refus de la littérature, l'auto-dérision d'un mao repentant....il oublie de dire que Les Mots signifient que Sartre dit par ce biais qu'il n'existe que par les mots. Sans un flos ininterrompu de mots, pas de Sartre.
Sartre qui lisait des histoires de cowboys dans son enfance, des polards, plutot que des grands textes. Pas opposition à son grand'père, patriarche et éducateur dont la parole ne supportait pas la contradiction.
Il y a des pages et des pages sur Sartre, un vrai désespoir !
J'ai calé.
Autre lecture : de Paul Veyne "Comment l'occident devint chrétien" : Constantin empereur converti
Assez court, abordable car bien écrit, et avec des pointes d'humour.
L'empereur était un grand stratège, un grand politique mais il était sincère : c'est après qu'il a fait ses calculs et qu'il s'est dit que les évèques formaient un réseau très utile pour maintenir la paix dans l'empire.
bon voilà, c'est tout.
ULTIMA NECAT
-
- Posteur TOP VIP
- Messages : 2561
- Enregistré le : 25 mai 2009 20:03
- Localisation : Par là-bas
Re: Vos lectures
de BOECE
"La consolation de Philosophie"
C'est l'histoire d'un mec qui chouine parce que sa jeunesse est passée - il patauge dans la maturité vieillissante et parmi les Goths qui ont envahi Rome (of course) . Bel attelage , nom de Zeus .
En édition bilingue - Livre de Poche
Je suis mort de rire avec " L'identité nationale, une énigme" de Marcel Detienne :
quand un historien spécialiste de la période hellénistique parcourt les méandres de la carte d'identité à la française.
Last but not least : "Lettre à un ami israélien" de Régis Debray - Il s'attendait à recevoir des coups mais pas à être lynché.
Style trop fouillé, tarabiscoté - propos confus qui machonnent une pensée pourtant claire de la situation. Voir l'article d' Elie Barnavi dans le Marianne du 5 juin.
Ouh, la la, honte à moi : j'oubliais
"La promenade au phare " de Virginia Woolf -
Un délice - un mouvement fluide entre la réalité intérieure et les faits dans une fiction qui passe par le regard de chacun des personnages.
L' autre demeure un inconnu : ses actes parlent , ses paroles disent des mots qui glissent à la surface des choses pour son interlocuteur - Intériorité et indifférence, d'où la nécessité de changer de personnage pour modifier le point de vue.
"La consolation de Philosophie"
C'est l'histoire d'un mec qui chouine parce que sa jeunesse est passée - il patauge dans la maturité vieillissante et parmi les Goths qui ont envahi Rome (of course) . Bel attelage , nom de Zeus .
En édition bilingue - Livre de Poche
Je suis mort de rire avec " L'identité nationale, une énigme" de Marcel Detienne :
quand un historien spécialiste de la période hellénistique parcourt les méandres de la carte d'identité à la française.
Last but not least : "Lettre à un ami israélien" de Régis Debray - Il s'attendait à recevoir des coups mais pas à être lynché.
Style trop fouillé, tarabiscoté - propos confus qui machonnent une pensée pourtant claire de la situation. Voir l'article d' Elie Barnavi dans le Marianne du 5 juin.
Ouh, la la, honte à moi : j'oubliais
"La promenade au phare " de Virginia Woolf -
Un délice - un mouvement fluide entre la réalité intérieure et les faits dans une fiction qui passe par le regard de chacun des personnages.
L' autre demeure un inconnu : ses actes parlent , ses paroles disent des mots qui glissent à la surface des choses pour son interlocuteur - Intériorité et indifférence, d'où la nécessité de changer de personnage pour modifier le point de vue.
ULTIMA NECAT
-
- Posteur TOP VIP
- Messages : 2561
- Enregistré le : 25 mai 2009 20:03
- Localisation : Par là-bas
Re: Vos lectures
Besoin d' ancrage, envie de me faire plaisir ?
je relis Les Essais de Montaigne -
Chaque lecture apporte une vision différente, une lecture enrichit une lecture précédente. Un livre sans fin, un inépuisable questionnement - j'adore.
Quoique, je conçois que ce soit chiant pour certains.
je relis Les Essais de Montaigne -
Chaque lecture apporte une vision différente, une lecture enrichit une lecture précédente. Un livre sans fin, un inépuisable questionnement - j'adore.
Quoique, je conçois que ce soit chiant pour certains.
ULTIMA NECAT
- VERNON
- Fan d'Inter
- Messages : 10220
- Enregistré le : 28 février 2008 20:28
- Localisation : Catalunya
Re: Vos lectures
Je viens de relire pour la Nième fois le Tintin " LE TRESOR DE RACKHAM LE ROUGE ".
Je le connais par coeur , mais , chaque fois que je le relis , je suis mort de rire . C'est la première apparition du Professeur Tournesol ; le moins que l'on puisse dire , c'est qu'il ne rate pas son entrée.
Je le connais par coeur , mais , chaque fois que je le relis , je suis mort de rire . C'est la première apparition du Professeur Tournesol ; le moins que l'on puisse dire , c'est qu'il ne rate pas son entrée.
- LadyAnne
- Fan d'Inter
- Messages : 1671
- Enregistré le : 24 mai 2008 21:43
- Localisation : Hauts de Seine
Re: Vos lectures
après avoir vu le film, qui m'a beaucoup plu, je viens de lire "La Tête en friche" de Marie-Sabine Roger, c'est encore mieux que le film. Bien sûr, ce n'est pas du même niveau que les essais de Montaigne ( célèbre rugbyman, comme chacun sait ), mais c'est une très jolie histoire, et je préfère la fin du livre à celle du film.
Que l'importance soit dans ton regard et non dans la chose regardée.
Plus un corps tombe moins vite, moins sa vitesse est plus grande.
Plus un corps tombe moins vite, moins sa vitesse est plus grande.
-
- Posteur TOP VIP
- Messages : 2561
- Enregistré le : 25 mai 2009 20:03
- Localisation : Par là-bas
Re: Vos lectures
La fin du film m'a ému - quoique ce soit une fin attendue et bateau. Je veux dire La tête en friche -
Montaigne c'est l' Albaladéjo du XVI°! ça se passe aussi dans dans le Sud Ouest, et à la fin, il est devenu vieux, il a mal au ventre et il nous redit que c'est la mort ,la fin du voyage.
Tiens, du coup j'ai envie de relire "La Foire aux cancres". LadyAnne, tu es géniale - merci pour cette idée.
ça ou Les vacances de bérurier -
Montaigne c'est l' Albaladéjo du XVI°! ça se passe aussi dans dans le Sud Ouest, et à la fin, il est devenu vieux, il a mal au ventre et il nous redit que c'est la mort ,la fin du voyage.
Tiens, du coup j'ai envie de relire "La Foire aux cancres". LadyAnne, tu es géniale - merci pour cette idée.
ça ou Les vacances de bérurier -
ULTIMA NECAT