Bon, finalement, ce fut "Black Swan"... un film bien torturé comme je les aime !!!
J'ai même pu profiter de la dernière scène de "Full Metal Jacket" ("M-I-C-K-E-Y-M-O-U-Z-E..."), et je n'ai pu résister au court-métrage qui a suivi, alléché par un titre extraordinaire : "L'attaque du géant suceur de cerveau de l'espace"... ou comment mixer "Les demoiselles de Rochefort" et "La guerre des mondes" !!! Kitchissime mais tellement bon !!!
Il n'y absolument aucun mérite à exciter les gens. Le vrai héros c'est celui qui apaise.
La laïcité n'est pas une conviction mais le principe qui les autorise toutes, sous réserve du respect de l'ordre public.
J'ai regardé Mesrine, l'autre soir à la télé . 1er partie : l'instinct de mort interprété par Cassel dans le rôle principal. Moi, c'est la polémique sur sa mort qui me fait réagir. Exécution sommaire ou légitime défense de la police. On ne sait toujours pas.
La seule chose qui permet au mal de triompher est l inaction des hommes de bien.
Edmund Burke.
scorpion3917 a écrit : J'ai regardé Mesrine, l'autre soir à la télé . 1er partie : l'instinct de mort interprété par Cassel dans le rôle principal. Moi, c'est la polémique sur sa mort qui me fait réagir. Exécution sommaire ou légitime défense de la police. On ne sait toujours pas.
D'un autre côté, il a eu ce qu'il cherchait...
Il n'y absolument aucun mérite à exciter les gens. Le vrai héros c'est celui qui apaise.
La laïcité n'est pas une conviction mais le principe qui les autorise toutes, sous réserve du respect de l'ordre public.
tisiphoné a écrit :
ça devrait vous donner à réfléchir à l'empathie que l'on éprouve envers une personne à cause d'un film.
Qui te parle d'empathie. Je m'interroge uniquement sur sa mort qui a fait l'objet de polémiques . Le film ne donne pas la réponse mais on voit la police tirer sans donner les sommations et Broussard mettre une arme dans sa main au moment de sa mort. Certains ont parler d'une exécution sommaire, les ordres venant de tout en haut. Broussard a parlé de légitime défense. Mais tout ceci reste flou. Bon, voilà, c'est tout, pure curiosité de ma part.
La seule chose qui permet au mal de triompher est l inaction des hommes de bien.
Edmund Burke.
Il a été assassiné comme un chien tout ca parce que les flics en avaient peur et qu'ils ne voulaient lui laisser aucune chance de pouvoir etre juger.Ils ont été ridiculisés en permanence,ils ne voulaient pas etre exposés à un procés qui aurait pointé leur incompétence c'est tout!Mesrine vivant,meme aprés X années de placard (et encore je ne parle pas d'évasion) serait allé régler ses comptes sans broncher.Pour l'Etat francais ce fut un soulagement de le faire taire à jamais!
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
Crapulax a écrit : Il a été assassiné comme un chien tout ca parce que les flics en avaient peur et qu'ils ne voulaient lui laisser aucune chance de pouvoir etre juger.Ils ont été ridiculisés en permanence,ils ne voulaient pas etre exposés à un procés qui aurait pointé leur incompétence c'est tout!Mesrine vivant,meme aprés X années de placard (et encore je ne parle pas d'évasion) serait allé régler ses comptes sans broncher.Pour l'Etat francais ce fut un soulagement de le faire taire à jamais!
Je pense un peu comme toi sans pour autant tenter de trop l'humaniser, était il vraiment le monstre que l'on nous a décrit ?
La seule chose qui permet au mal de triompher est l inaction des hommes de bien.
Edmund Burke.
Un homme qui tue et qui est un bandit comme lui pouvait se montrer "humain" dans ses rapports avec les gens et sauvage quand la situation était nécessaire.Il ne faut pas glorifier le mal,seulement essayer de comprendre le pourquoi du comment,aprés on peut respecter le fait que l'homme assume totalement ses choix.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
Crapulax a écrit : Un homme qui tue et qui est un bandit comme lui pouvait se montrer "humain" dans ses rapports avec les gens et sauvage quand la situation était nécessaire.Il ne faut pas glorifier le mal,seulement essayer de comprendre le pourquoi du comment,aprés on peut respecter le fait que l'homme assume totalement ses choix.
«Y’a rien à la télé!» Chaque soir, c’est la même chose. Vous vous asseyez devant votre écran, prêt à profiter d’un bon film ou d’une émission de divertissement et votre voisin de canapé, télécommande en main, vous assène cette terrible sentence. Rien à la télé, vraiment? Depuis 2005 et le lancement de la télévision numérique terrestre (TNT), pas moins de dix-huit chaînes sont pourtant pourtant à portée de zappette. Un sacré spectre de possibilités, quand on songe aux six petites chaînes que comptait jusqu’alors le paysage audiovisuel français. Rien à la télé, vous êtes sûrs? Alors que le déploiement de la TNT s’est achevé mardi, 20 Minutes a tenté de répondre à cette question que tout le monde se pose.
Davantage de programmes, mais pas plus de choix?
«A la rentrée, les chaînes de la TNT ont mis à l’antenne 30 programmes inédits», rappelle Estelle Boutière, consultante chez NPA Conseils. Sans parler de ce qui est diffusé sur les chaînes info.» De fait, avant la TNT, il était impossible de tomber en journée sur un flash info (iTélé et BFM TV) ou des programmes jeunesse (Gulli). Certaines chaînes ont aussi importé en France des types de programmes jamais vus auparavant. «Tout ce qui relève de la fiction-réalité comme “Les Cht’is à Ibiza” sur W9 ou “Les Anges de la télé-réalité” sur NRJ 12», détaille Estelle Boutiere. De ce point de vue donc, il y a plus à la télé!
Mais y a-t-il pour autant plus de choix? Pas si sûr. «On aurait 100 ou 300 chaînes supplémentaires, cela serait pareil, affirme Jean-Louis Missika, professeur au Cnam et à Sciences-Po, auteur de La fin de la télévision. Car la concurrence entraîne plutôt des offres identiques. Sur les grandes chaînes, on a exactement les mêmes programmes au même moment, et sur les petites chaînes, le style est différent mais c’est pareil.» Ce qu’on appelle de la programmation horizontale.
Le blues du consommateur
Au-delà de l’offre de programmes, la sociologie voit quant à elle dans la «y’a rien à la télé» attitude une réaction symptomatique de l’époque. Ni justifiée, ni injustifiée, elle serait tout simplement celle de l’homme moderne. Qui se trimballe entre spleen et ennui. «Le media-consommateur est gavé de programmes», note Denis Muzet, président de l’Institut Médiascopie. Ce sociologue a analysé le phénomène sur une partie des programmes télé, ceux qui relèvent de l’information. «Le consommateur d’info a un peu les réflexes d’un obèse, il est maintenant repu, et a donc toujours l’impression de ne rien trouver de neuf. L’abondance médiatique tue le goût, conduit à un affadissement, qui pousse le téléspectateur à trouver qu’il n’y a rien», analyse-t-il.
Un sentiment indépassable? La question risque en tout cas de hanter les patrons de chaîne, alors que six nouvelles canaux vont arriver sur la TNT en 2012. Marie Lhérault, consultante chez IMCA et auteure de La télévision pour les nuls, se montre plutôt pessimiste sur leur impact sur le téléspectateur. Car selon elle, «cela va toucher les jeunes générations, nées avec d’autres écrans que celui de la télévision. Elles sont habituées aux séries américaines ou à d’autres programmes à la production plus ambitieuse que ceux de la télé française et accessibles sur le Net.» Avec un peu d’effort, on en imaginerait presque la fin de la télévision… si n’était un détail: depuis l’arrivée de la TNT, rappelle Estelle Boutière, «les gens regardent plus la télévision»!
Il n'y absolument aucun mérite à exciter les gens. Le vrai héros c'est celui qui apaise.
La laïcité n'est pas une conviction mais le principe qui les autorise toutes, sous réserve du respect de l'ordre public.