I read a Book...
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Re: Vos lectures
Eté relax, lecture itou :
"La vie
mode d'emploi " de Georges Perec .
Solide construction romanesque, agréable à lire.
j' ai relu "L'étranger" de Camus. La justice n'a plus qu' à se voiler la face.
"La vie
mode d'emploi " de Georges Perec .
Solide construction romanesque, agréable à lire.
j' ai relu "L'étranger" de Camus. La justice n'a plus qu' à se voiler la face.
ULTIMA NECAT
- VERNON
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Re: Vos lectures
" TETE DE TURC " par Günther Wallraff , 307 pages , Editions La Découverte
Durant 2 ans , ce journaliste allemand a vécu dans la peau d'un immigré turc dans la RFA des années 1980.
Si vous souhaitez savoir à quoi ressemble l'Enfer , lisez-le !
1848 = abolition de l'esclavage . Ah bon !
Durant 2 ans , ce journaliste allemand a vécu dans la peau d'un immigré turc dans la RFA des années 1980.
Si vous souhaitez savoir à quoi ressemble l'Enfer , lisez-le !
1848 = abolition de l'esclavage . Ah bon !
Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet
Georges Courteline
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Re: Vos lectures
De Jacques Sigot : " Ces barbelés oubliés par l'histoire: un camp pour les Tsiganes...".
Il s'agit du camp de Montreuil Bellay dans le Maine et Loire. Jacques Sigot est un instituteur à la retraite, qui a consacré sa vie à retouver tout ce qui concerne ce camp où étaient regroupés, pendant l'Occupation, tout ce qu'on avait pu rafler de Tsiganes ( nom choisi par l'auteur pour désigner ceux qu'on appelait alors "les nomades" ). Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il n'a pas été encouragé par la municipalité, ni par les instances officielles. Mais heureusement, (la paperasse administrative a ses bons côtés !) il a pu retrouver des quantités de documents d'époque.
Un détail " intéressant ": Les occupants du camp n'ont été libérés qu'en...1946 ! On ne peut pas dire que les Allemands faisaient pression à cette époque, non ? Les barbelés avaient été bombardés et n'existaient plus. Sachant que jamais les Tsiganes n'acceptent de se séparer de leurs enfants, les responsables avaient trouvé un moyen tout simple de les empêcher de s'évader : on prélevait un enfant par famille, et on l'enfermait dans la prison, bien hermétique, elle.
Lisez-le, faites-le lire, il ne faut pas que ce pan d'histoire soit oublié. Je vais offrir mon exemplaire à ma bibliothèque municipale après lecture.
Il s'agit du camp de Montreuil Bellay dans le Maine et Loire. Jacques Sigot est un instituteur à la retraite, qui a consacré sa vie à retouver tout ce qui concerne ce camp où étaient regroupés, pendant l'Occupation, tout ce qu'on avait pu rafler de Tsiganes ( nom choisi par l'auteur pour désigner ceux qu'on appelait alors "les nomades" ). Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il n'a pas été encouragé par la municipalité, ni par les instances officielles. Mais heureusement, (la paperasse administrative a ses bons côtés !) il a pu retrouver des quantités de documents d'époque.
Un détail " intéressant ": Les occupants du camp n'ont été libérés qu'en...1946 ! On ne peut pas dire que les Allemands faisaient pression à cette époque, non ? Les barbelés avaient été bombardés et n'existaient plus. Sachant que jamais les Tsiganes n'acceptent de se séparer de leurs enfants, les responsables avaient trouvé un moyen tout simple de les empêcher de s'évader : on prélevait un enfant par famille, et on l'enfermait dans la prison, bien hermétique, elle.
Lisez-le, faites-le lire, il ne faut pas que ce pan d'histoire soit oublié. Je vais offrir mon exemplaire à ma bibliothèque municipale après lecture.
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Re: Vos lectures
La lecture de "Tête de Turc" m'avait fortement impressionné ; le reporter prend des risques inouis pour l'époque.
Dans la même veine, l'expérience faite par un journaliste du sud des Etats Unis , "Dans la peau d'un Noir" , Folio . Hélas j'ai oublié le nom de l'auteur.
Encore une prise de risque, voulue et assumée, pour connaitre la ségrégation raciale dans l'Amérique des 50' s. Il parait que certains de ses voisins ont refusé de lui parlé après avoir eu connaissance de son expérience.
Dans la même veine, l'expérience faite par un journaliste du sud des Etats Unis , "Dans la peau d'un Noir" , Folio . Hélas j'ai oublié le nom de l'auteur.
Encore une prise de risque, voulue et assumée, pour connaitre la ségrégation raciale dans l'Amérique des 50' s. Il parait que certains de ses voisins ont refusé de lui parlé après avoir eu connaissance de son expérience.
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- LadyAnne
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Re: Vos lectures
Merci, Tisi ! J'ai lu le roman et il m'a bien plu, j'en ai acheté un exemplaire pour offrir à mon amie, je crois que c'est un bon choix.tisiphoné a écrit : si ton amie aime la culture japonaise, je te conseille ce roman: le monde flottant d’Alan Spence
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Re: Vos lectures
je suis vraiment touchée que tu m'en parles :oops:LadyAnne a écrit : Merci, Tisi ! J'ai lu le roman et il m'a bien plu, j'en ai acheté un exemplaire pour offrir à mon amie, je crois que c'est un bon choix.
j'espère que ton amie a aimé également
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Re: Vos lectures
Je les ai lus tous les deux. Il y a aussi :" Dans la peau d'un Chinois ". Comme il est difficile de se grimer en Chinois, l'auteur, dont j'ai oublié le nom, s'est fait passer pour un Ouïghour ( et pas en yogourt, comme Kouchner les appelle...). Les constatations sont étrangement similaires dans les trois livres. On est toujours "le sale étranger " de quelqu'un, décidemment...Alogos a écrit : La lecture de "Tête de Turc" m'avait fortement impressionné ; le reporter prend des risques inouis pour l'époque.
Dans la même veine, l'expérience faite par un journaliste du sud des Etats Unis , "Dans la peau d'un Noir" , Folio . Hélas j'ai oublié le nom de l'auteur.
Encore une prise de risque, voulue et assumée, pour connaitre la ségrégation raciale dans l'Amérique des 50' s. Il parait que certains de ses voisins ont refusé de lui parlé après avoir eu connaissance de son expérience.
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Re: Vos lectures
Je viens de terminer LE NAZI ET LE BARBIER de Edgar Hilsenrath (Editions Attila)
Livre écrit par un juif allemand qui connut les ghettos durant la seconde guerre mondiale avant d'émigrer en Israël , puis aux Usa.
Histoire d'un allemand , né le même jour et dans la même rue , que son ami d'enfance juif. Ce qui ne l'empêcha pas de devenir exterminateur SS , dont la famille de son ami ; en 1945 , il se fait passer pour Juif ( eu égard à son faciès ) et émigre en Israël où il devient un sioniste pur et dur.
3 Lettres peuvent résumer ce livre :
C comme Cynisme et Cul
I comme Ignoble
A comme Amoral.
C'est spécial , mais j'ai aimé
Livre écrit par un juif allemand qui connut les ghettos durant la seconde guerre mondiale avant d'émigrer en Israël , puis aux Usa.
Histoire d'un allemand , né le même jour et dans la même rue , que son ami d'enfance juif. Ce qui ne l'empêcha pas de devenir exterminateur SS , dont la famille de son ami ; en 1945 , il se fait passer pour Juif ( eu égard à son faciès ) et émigre en Israël où il devient un sioniste pur et dur.
3 Lettres peuvent résumer ce livre :
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C'est spécial , mais j'ai aimé
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Re: Vos lectures
Ai lu les épreuves d'un bouquin écrit par lépouse du correspondant de france2 en Israel : déprimant -
l' Universelle connerie a gagné haut la main sa conquête du monde jadis civilisé : entre les réalité shows, les concours stupides, et autres, on peut se demander s'il y a du monde à l'endroit de la cervelle.
Dire qu'on abat des arbres pour publier certains bouquins.....
Dans un autre domaine ; il y a bien des années, j'avais beaucoup aimé "La Vingt-cinquième heure".
je feuillette en ce moment "Eric Zemmour, une supercherie française" . Très bon coup d'oeil sur le phénomène médiatique.
l' Universelle connerie a gagné haut la main sa conquête du monde jadis civilisé : entre les réalité shows, les concours stupides, et autres, on peut se demander s'il y a du monde à l'endroit de la cervelle.
Dire qu'on abat des arbres pour publier certains bouquins.....
Dans un autre domaine ; il y a bien des années, j'avais beaucoup aimé "La Vingt-cinquième heure".
je feuillette en ce moment "Eric Zemmour, une supercherie française" . Très bon coup d'oeil sur le phénomène médiatique.
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Re: Vos lectures
Bret Easton Ellis : “Dans mon univers, le mal est toujours là”
Solitude, aliénation, paranoïa… L'œuvre du romancier américain condense nos angoisses contemporaines. Dans son dernier livre, “Suite(s) impériale(s)”, où l'on retrouve le héros de “Less Than zero” vingt-cinq ans plus tard, Bret Easton Ellis renoue avec ses origines.
Baies vitrées largement ouvertes sur le ciel bleu-gris de Los Angeles, parquets lisses, intérieur sans désordre, clair mais presque austère à force de dépouillement : l'appartement de West Hollywood où vit Bret Easton Ellis ressemble à s'y méprendre à celui où il a installé Clay, le narrateur de Suite(s) impériale(s), son nouveau roman. Clay, le tout jeune homme à la dérive de Less than zero (1985), est devenu, vingt-cinq ans plus tard, dans ce Suite(s) impériale(s), un scénariste à succès, de retour à Los Angeles après des années d'absence. Et c'est là, à Hollywood, lieu où le paraître, l'exploitation et la manipulation des autres, le goût du pouvoir pervertissent les relations entre les individus, qu'Ellis plonge Clay dans une intrigue d'une noirceur vertigineuse.
A 46 ans, l'auteur parcimonieux des Lois de l'attraction (1987), d'American Psycho (1991), de Glamorama (1998), de Lunar Park (2005) – sept ouvrages en tout, six romans et un recueil de nouvelles (1), en comptant celui qui paraît aujourd'hui –, est un écrivain accompli. Qui continue de tendre à la société américaine, à l'homme occidental contemporain, un miroir bien plus profond qu'on ne l'a dit trop souvent, réduisant injustement Ellis à un auteur « branché », un dandy vaguement talentueux, un provocateur superficiel. Réputation que chacun de ses romans n'a cessé de démentir.
Solitude, aliénation, paranoïa… L'œuvre du romancier américain condense nos angoisses contemporaines. Dans son dernier livre, “Suite(s) impériale(s)”, où l'on retrouve le héros de “Less Than zero” vingt-cinq ans plus tard, Bret Easton Ellis renoue avec ses origines.
Baies vitrées largement ouvertes sur le ciel bleu-gris de Los Angeles, parquets lisses, intérieur sans désordre, clair mais presque austère à force de dépouillement : l'appartement de West Hollywood où vit Bret Easton Ellis ressemble à s'y méprendre à celui où il a installé Clay, le narrateur de Suite(s) impériale(s), son nouveau roman. Clay, le tout jeune homme à la dérive de Less than zero (1985), est devenu, vingt-cinq ans plus tard, dans ce Suite(s) impériale(s), un scénariste à succès, de retour à Los Angeles après des années d'absence. Et c'est là, à Hollywood, lieu où le paraître, l'exploitation et la manipulation des autres, le goût du pouvoir pervertissent les relations entre les individus, qu'Ellis plonge Clay dans une intrigue d'une noirceur vertigineuse.
A 46 ans, l'auteur parcimonieux des Lois de l'attraction (1987), d'American Psycho (1991), de Glamorama (1998), de Lunar Park (2005) – sept ouvrages en tout, six romans et un recueil de nouvelles (1), en comptant celui qui paraît aujourd'hui –, est un écrivain accompli. Qui continue de tendre à la société américaine, à l'homme occidental contemporain, un miroir bien plus profond qu'on ne l'a dit trop souvent, réduisant injustement Ellis à un auteur « branché », un dandy vaguement talentueux, un provocateur superficiel. Réputation que chacun de ses romans n'a cessé de démentir.
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Re: Vos lectures
J'ai presque terminé le livre d'Howard Becker "sociologie de la déviance", bon c'est un livre de sociologie hein! Mais très facile d'accès et qui, de plus, parle de musique et de marijuana (yeah! ). Le sociologue s'interroge sur les manières de devenir un fumeur de marijuana aux USA (ça date un peu quand même), sur la catégorie des "déviants" qui ne sont en réalité des déviants que parce-qu'on leur a collé cette étiquette, sur l'imposition de normes dans la société (qui les crée, qui les applique), sur le "mal-être" des joueurs de jazz obligé de jouer du commercial à des "caves" pour gagner un peu d'argent...
Pour ceux qui doivent étudier la sociologie, celui-ci est un classique et très facile à lire donc n'hésitez pas! Pour ceux qui ne font pas de la sociologie bah lisez le quand même!
Pour ceux qui doivent étudier la sociologie, celui-ci est un classique et très facile à lire donc n'hésitez pas! Pour ceux qui ne font pas de la sociologie bah lisez le quand même!
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Re: Vos lectures
je vais lire, du moins essayer de lire et d'être intéressé par, "S. ......, le président des riches" -
Les librairies sont vides en ce moment : les futurs prix littéraires, les GalliGrasset, envahissent tout l'espace.
mIiisèèèère.
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Re: Vos lectures
Je viens de finir un livre "A governanta ". il s'agit de la gouvernante de Salazar, qui l'a servi jusqu'au bout. Malheureusement, il est en portugais ( et non traduit), et je suis en train de lire "Salazar et les millionnaires" ( idem). Passionnant !
Salazar n'était pas ma tasse de thé, loin de là, mais tout de même :
Toute sa vie, il a tenu à payer scrupuleusement ce qui relevait de ses dépenses personnelles, son électricité, son téléphone, etc. Quand il s'est installé dans le palais présidentiel qu'il a fallu ré-aménager ( c'était un ancien couvent), les instructions données aux ouvriers sont incroyables :" je voudrais que le carrelage des salles de bains soit de couleur différente, à condition que ç ne coûte pas plus cher ". Et là, c'était l'état qui payait, pourtant !
Il a tenu à acheter une petite maison dont il a laissé l'usufruit à sa gouvernante, pour ses vieux jours...pour cela, il a dû emprunter de l"argent, qu'il a remboursé mois par mois sur son salaire ! Idem pour une maison qu'il a offerte à ses soeurs, histoire de leur laisser un héritage, il a pris un crédit.
Tout cela est prouvé par des documents irréfutables. A ma connaissance, il n'y a que de Gaulle qui ait eu pareils scrupules.
Quand on pense que certains s'offrent des Rollex...
Salazar n'était pas ma tasse de thé, loin de là, mais tout de même :
Toute sa vie, il a tenu à payer scrupuleusement ce qui relevait de ses dépenses personnelles, son électricité, son téléphone, etc. Quand il s'est installé dans le palais présidentiel qu'il a fallu ré-aménager ( c'était un ancien couvent), les instructions données aux ouvriers sont incroyables :" je voudrais que le carrelage des salles de bains soit de couleur différente, à condition que ç ne coûte pas plus cher ". Et là, c'était l'état qui payait, pourtant !
Il a tenu à acheter une petite maison dont il a laissé l'usufruit à sa gouvernante, pour ses vieux jours...pour cela, il a dû emprunter de l"argent, qu'il a remboursé mois par mois sur son salaire ! Idem pour une maison qu'il a offerte à ses soeurs, histoire de leur laisser un héritage, il a pris un crédit.
Tout cela est prouvé par des documents irréfutables. A ma connaissance, il n'y a que de Gaulle qui ait eu pareils scrupules.
Quand on pense que certains s'offrent des Rollex...
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Re: Vos lectures
Je viens de terminer ! " SORGE , l'espion du siècle "par H.H.KIRST
Histoire d'un journaliste Allemand résident au Japon qui , en réalité , était un espion de l'URSS
Il avait prévenu les Soviets que Hitler allait attaquer leur pays , mais n'en ont pas tenu compte. Lorsque Sorge leur annonça en Octobre 1941 que la Japon, pourtant allié des nazis , n'attaquerait pas en Sibérie , les soviets le crurent et Joukov déplaça des divisions de Sibérie pour défendre Moscou.
Sorge fut pris et pendu en 1944 , sans que les Soviets ne bougent le petit doigt .
La patrie reconnaissante le fit héros de l'Union Soviétique dans les années 1960 et émis un timbre à son effigie.
Le livre est difficile à trouver en librairie , les éditions " J'ai lu " n'existant plus
Histoire d'un journaliste Allemand résident au Japon qui , en réalité , était un espion de l'URSS
Il avait prévenu les Soviets que Hitler allait attaquer leur pays , mais n'en ont pas tenu compte. Lorsque Sorge leur annonça en Octobre 1941 que la Japon, pourtant allié des nazis , n'attaquerait pas en Sibérie , les soviets le crurent et Joukov déplaça des divisions de Sibérie pour défendre Moscou.
Sorge fut pris et pendu en 1944 , sans que les Soviets ne bougent le petit doigt .
La patrie reconnaissante le fit héros de l'Union Soviétique dans les années 1960 et émis un timbre à son effigie.
Le livre est difficile à trouver en librairie , les éditions " J'ai lu " n'existant plus
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Re: Vos lectures
Mme Jargonos n'a qu'un seul idéal dans sa vie d'inspectrice : "appliquer le programme".
Erik Orsenna m'emporte dans sa poésie pour la défense de la langue, dont il est un amoureux.
Petit livre de 176 pages, avec des illustrations. Edité dans la collection Le Livre de poche,
"Les Chevaliers du subjonctif"
met en scène des ados rebelles au diktat du nivellement par le bas. Jouissif !
Erik Orsenna m'emporte dans sa poésie pour la défense de la langue, dont il est un amoureux.
Petit livre de 176 pages, avec des illustrations. Edité dans la collection Le Livre de poche,
"Les Chevaliers du subjonctif"
met en scène des ados rebelles au diktat du nivellement par le bas. Jouissif !
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