La réforme des retraites.

[papibilou]

Il faut dans un premier temps revenir au 65 ans pour tous comme avant 1981 avec évidemment une suppression de tous les régimes spéciaux (sans clause du grand-père).
Et si cela ne suffit pas à équilibrer les comptes et bien il faut repousser l'âge de départ à 66, 67, etc.

Ça me semble trop rigide. 65 ans d'âge pivot et 62 minimum mais avec forte décote si il manque des annuités.

[Victor]

Il faut dans un premier temps revenir au 65 ans pour tous comme avant 1981 avec évidemment une suppression de tous les régimes spéciaux (sans clause du grand-père).
Et si cela ne suffit pas à équilibrer les comptes et bien il faut repousser l'âge de départ à 66, 67, etc.

Ça me semble trop rigide. 65 ans d'âge pivot et 62 minimum mais avec forte décote si il manque des annuités.

C'est surtout ce qu'il ne faut pas faire.
Beaucoup pensent s'en sortir avec une faible pension puis se rendent compte qu'ils sont trop justes.
Votre idée, c'est une fabrique à pauvres et à mécontents.

Par ailleurs, le jeune qui rentre tard sur le marché du travail à cause d'études longues ne doit pas être pénalisé vis à vis d'un jeune qui ne suit pas d'études supérieures.

Cela me paraît évident. Comment voulez-vous motiver des jeunes à suivre des études si :
1 - Ils acceptent de vivre sans revenu ou avec de faibles revenus durant toute leur période d'études, c'est à dire avec un confort de vie et des conditions souvent difficiles et précaires.
2 - Etre fortement pénalisé en fin de carrière, car devant partir en retraite bien plus tard.

[Mickey]

Ça me semble trop rigide. 65 ans d'âge pivot et 62 minimum mais avec forte décote si il manque des annuités.

C'est surtout ce qu'il ne faut pas faire.
Beaucoup pensent s'en sortir avec une faible pension puis se rendent compte qu'ils sont trop justes.
Votre idée, c'est une fabrique à pauvres et à mécontents.

Par ailleurs, le jeune qui rentre tard sur le marché du travail à cause d'études longues ne doit pas être pénalisé vis à vis d'un jeune qui ne suit pas d'études supérieures.

Cela me paraît évident. Comment voulez-vous motiver des jeunes à suivre des études si :
1 - Ils acceptent de vivre sans revenu ou avec de faibles revenus durant toute leur période d'études, c'est à dire avec un confort de vie et des conditions souvent difficiles et précaires.
2 - Etre fortement pénalisé en fin de carrière, car devant partir en retraite bien plus tard.

C'est un choix de vie, personne n'est obligé de faire de longues études. Un gars qui démarre sa vie active à 30 piges doit bien s'attendre à bosser jusqu'à 70 ans si il n'a pas capitalisé, ce qui normalement devrait être le cas avec des diplômes et un job rémunérateur. Contrairement à un ouvrier au smic qui lui ne pourra jamais épargner.
Et rien n'empêche un étudiant de travailler pendant ses nombreuses vacances et ainsi commencer à cotiser pour sa future retraite au lieu de glander aux crochets de papa et maman.

[Victor]

C'est surtout ce qu'il ne faut pas faire.
Beaucoup pensent s'en sortir avec une faible pension puis se rendent compte qu'ils sont trop justes.
Votre idée, c'est une fabrique à pauvres et à mécontents.

Par ailleurs, le jeune qui rentre tard sur le marché du travail à cause d'études longues ne doit pas être pénalisé vis à vis d'un jeune qui ne suit pas d'études supérieures.

Cela me paraît évident. Comment voulez-vous motiver des jeunes à suivre des études si :
1 - Ils acceptent de vivre sans revenu ou avec de faibles revenus durant toute leur période d'études, c'est à dire avec un confort de vie et des conditions souvent difficiles et précaires.
2 - Etre fortement pénalisé en fin de carrière, car devant partir en retraite bien plus tard.

C'est un choix de vie, personne n'est obligé de faire de longues études. Un gars qui démarre sa vie active à 30 piges doit bien s'attendre à bosser jusqu'à 70 ans si il n'a pas capitalisé, ce qui normalement devrait être le cas avec des diplômes et un job rémunérateur. Contrairement à un ouvrier au smic qui lui ne pourra jamais épargner.
Et rien n'empêche un étudiant de travailler pendant ses nombreuses vacances et ainsi commencer à cotiser pour sa future retraite au lieu de glander aux crochets de papa et maman.

Vous voulez vivre dans un pays sans médecin, sans chirurgien, sans ingénieur, sans chercheur ?
Posez-vous les bonnes questions.

[papibilou]

Ça me semble trop rigide. 65 ans d'âge pivot et 62 minimum mais avec forte décote si il manque des annuités.

C'est surtout ce qu'il ne faut pas faire.
Beaucoup pensent s'en sortir avec une faible pension puis se rendent compte qu'ils sont trop justes.
Votre idée, c'est une fabrique à pauvres et à mécontents.

Par ailleurs, le jeune qui rentre tard sur le marché du travail à cause d'études longues ne doit pas être pénalisé vis à vis d'un jeune qui ne suit pas d'études supérieures.

Cela me paraît évident. Comment voulez-vous motiver des jeunes à suivre des études si :
1 - Ils acceptent de vivre sans revenu ou avec de faibles revenus durant toute leur période d'études, c'est à dire avec un confort de vie et des conditions souvent difficiles et précaires.
2 - Etre fortement pénalisé en fin de carrière, car devant partir en retraite bien plus tard.

Ça se regarde au niveau individuel. Si vous pensez que les français ne sauront pas quelle pension il leur faut pour vivre, c'est les prendre pour des idiots.
Et ne mélangez pas avec la problématique du financement étudiant, sinon on necomprend plus rien. Les jeunes ne se posent pas de questions sur leur future retraite.

[Victor]

C'est surtout ce qu'il ne faut pas faire.
Beaucoup pensent s'en sortir avec une faible pension puis se rendent compte qu'ils sont trop justes.
Votre idée, c'est une fabrique à pauvres et à mécontents.

Par ailleurs, le jeune qui rentre tard sur le marché du travail à cause d'études longues ne doit pas être pénalisé vis à vis d'un jeune qui ne suit pas d'études supérieures.

Cela me paraît évident. Comment voulez-vous motiver des jeunes à suivre des études si :
1 - Ils acceptent de vivre sans revenu ou avec de faibles revenus durant toute leur période d'études, c'est à dire avec un confort de vie et des conditions souvent difficiles et précaires.
2 - Etre fortement pénalisé en fin de carrière, car devant partir en retraite bien plus tard.

Ça se regarde au niveau individuel. Si vous pensez que les français ne sauront pas quelle pension il leur faut pour vivre, c'est les prendre pour des idiots.
Et ne mélangez pas avec la problématique du financement étudiant, sinon on necomprend plus rien. Les jeunes ne se posent pas de questions sur leur future retraite.

Parce que cela leur semble très loin ..
Un financement des études, c'est un logement CROUS, et de quoi se nourrir basiquement et éventuellement d'acheter quelques vêtements.
Ce n'est pas comparable à un revenu de salarié.
Faire des études, c'est un sacrifice. On sacrifie plusieurs années de revenus, sans parler de tous les WE consacrés à potasser, etc.
Il ne faut surtout pas d'une double peine en fin de carrière avec un départ en retraite largement au-dessus des autres français.
Cela me paraît évident.
A force de taper sur les élites de la société, on aura une société avec des élites au rabais.

[Patchouli38]

Ça se regarde au niveau individuel. Si vous pensez que les français ne sauront pas quelle pension il leur faut pour vivre, c'est les prendre pour des idiots.
Et ne mélangez pas avec la problématique du financement étudiant, sinon on necomprend plus rien. Les jeunes ne se posent pas de questions sur leur future retraite.

Parce que cela leur semble très loin ..
Un financement des études, c'est un logement CROUS, et de quoi se nourrir basiquement et éventuellement d'acheter quelques vêtements.
Ce n'est pas comparable à un revenu de salarié.
Faire des études, c'est un sacrifice. On sacrifie plusieurs années de revenus, sans parler de tous les WE consacrés à potasser, etc.
Il ne faut surtout pas d'une double peine en fin de carrière avec un départ en retraite largement au-dessus des autres français.
Cela me paraît évident.
A force de taper sur les élites de la société, on aura une société avec des élites au rabais.

Les gamins, avant de penser à leur retraite, préparent d'abord leur avenir par des projets, des rêves. Et beaucoup savent que la réussite passe d'abord par les études. Favoriser les français n'ayant pas fait d'études, c'est dévaloriser les métiers demandant un haut niveau d'études.
Le risque serait également d'augmenter la "fuite de cerveaux". Ceux qui ont des métiers "intellectuels" (chercheurs, par exemple), préfèreront partir dans un pays ou ils seront mieux considérés.

[oups]

C'est un choix de vie, personne n'est obligé de faire de longues études. Un gars qui démarre sa vie active à 30 piges doit bien s'attendre à bosser jusqu'à 70 ans si il n'a pas capitalisé, ce qui normalement devrait être le cas avec des diplômes et un job rémunérateur. Contrairement à un ouvrier au smic qui lui ne pourra jamais épargner.
Et rien n'empêche un étudiant de travailler pendant ses nombreuses vacances et ainsi commencer à cotiser pour sa future retraite au lieu de glander aux crochets de papa et maman.

Vous voulez vivre dans un pays sans médecin, sans chirurgien, sans ingénieur, sans chercheur ?
Posez-vous les bonnes questions.

Bah sans certains chercheur pourquoi pas ? faut voir les domaines dans lesquels certains cherchent
Par contre des trouveurs ca c’est indispensable ,d’accord .Un chercheur qui ne publie pas on s’en passe volontier ,nos zimpôts le remercieront.
Bon après le gars de 20 ou 30 berges qui pense deja à sa retraite ( au détriment de ce qui la précède) il est mal barré pour qu’elle soit conséquente

[Mickey]

Bon après le gars de 20 ou 30 berges qui pense deja à sa retraite ( au détriment de ce qui la précède) il est mal barré pour qu’elle soit conséquente

C'est le cas des fonx, qui pourtant bénéficient d'une retraite conséquente. Après faut vouloir se branler le noeud pendant trente ans.

[Fonck1]

Bon après le gars de 20 ou 30 berges qui pense deja à sa retraite ( au détriment de ce qui la précède) il est mal barré pour qu’elle soit conséquente

C'est le cas des fonx, qui pourtant bénéficient d'une retraite conséquente. Après faut vouloir se branler le noeud pendant trente ans.

déjà, la plupart des fonctionnaires ne rentrent qu'à la quarantaine.
donc carrière dans l'administration, c'est assez rare.

ensuite question de se branler le nœud, j'en connais plus qui se branlent dans le privé plus que dans le public,c'est les rois de la parlotte, ils ne tiennent aucun engagements, ne finissent pas le travail, quand encore ils le font comme il faut, dans le public, si tu bosses pas, adieu carrière et primes, et tout le monde a besoin de fric, et tout le monde a besoin d'évoluer, enfin, tu ne dois pas savoir ce que c'est vu tes réflexions bas du plafond.

des collègues aujourd'hui m'ont dit qu'un bâtiment, complètement rénové par le privé, avait ses portes avec contrôle d'accès bloquées depuis deux ans, ils y sont allé pour finir le job de ces branlos, deux jours de travail à rattraper le boulot merdique de ces boites privées.
une autre fois, Vinci se pointe avec un intérimaires pour changer une dizaine de ventilos convecteurs, l'employé vinci n'a rien vérifié, les pompes de relevages même pas posées, un ventilo de bureau de direction n'avait même pas été raccordé, les tuyaux arrivaient mais n'avaient pas été branché, il a fallu repeindre tout le bureau blanc devenu noir d'eau sale après inondation, tu vois, je peux t'en sortir des dizaines comme ça, nous passons notre temps à finir leur travail de merde, j'ai vraiment pas d'autres mots....en plus, ces abrutis m'ont changé tous les ventilos convecteurs vétustes certes, mais qui marchaient, et les deux salles où ça ne marchait pas, ils me les ont pas changés...des trous du cul comme j'en ai jamais vu....
aucune compétence, aucun savoir être, aucun professionnalisme, aucune conscience professionnelle...

[oups]

C'est le cas des fonx, qui pourtant bénéficient d'une retraite conséquente. Après faut vouloir se branler le noeud pendant trente ans.

déjà, la plupart des fonctionnaires ne rentrent qu'à la quarantaine.
donc carrière dans l'administration, c'est assez rare.

ensuite question de se branler le nœud, j'en connais plus qui se branlent dans le privé plus que dans le public,c'est les rois de la parlotte, ils ne tiennent aucun engagements, ne finissent pas le travail, quand encore ils le font comme il faut, dans le public, si tu bosses pas, adieu carrière et primes, et tout le monde a besoin de fric, et tout le monde a besoin d'évoluer, enfin, tu ne dois pas savoir ce que c'est vu tes réflexions bas du plafond.

des collègues aujourd'hui m'ont dit qu'un bâtiment, complètement rénové par le privé, avait ses portes avec contrôle d'accès bloquées depuis deux ans, ils y sont allé pour finir le job de ces branlos, deux jours de travail à rattraper le boulot merdique de ces boites privées.
une autre fois, Vinci se pointe avec un intérimaires pour changer une dizaine de ventilos convecteurs, l'employé vinci n'a rien vérifié, les pompes de relevages même pas posées, un ventilo de bureau de direction n'avait même pas été raccordé, les tuyaux arrivaient mais n'avaient pas été branché, il a fallu repeindre tout le bureau blanc devenu noir d'eau sale après inondation, tu vois, je peux t'en sortir des dizaines comme ça, nous passons notre temps à finir leur travail de merde, j'ai vraiment pas d'autres mots....en plus, ces abrutis m'ont changé tous les ventilos convecteurs vétustes certes, mais qui marchaient, et les deux salles où ça ne marchait pas, ils me les ont pas changés...des trous du cul comme j'en ai jamais vu....
aucune compétence, aucun savoir être, aucun professionnalisme, aucune conscience professionnelle...

En règle générale le gars du public qui demande à un gars du privé ou meme du public d’intervenir se doit de vérifier/ valider ce qui est fait nan ?
Perso le gars que je missionne pour ceci ou cela, il m’à dans le dos jusqu’à temps que j’lui dise " c’est bon , ça marche , merci à vous ,j’attend votre facture On parle ici "d’amicales pressions " , rien à voir du harcelement
Mais bon j’suis ptete trop exigeant, je lâche l’affaire uniquement quand tout est fait et la facturation correcte .A part ca j’aime bien bosser pour le public , même si j’ai un peu merdouillé et si par hasard ça se remarque et que le gars s’en tape pas :deux banalités , un resto et au pire un ptit coup de fil au gars qui va bien et hop ça s’arrange

[papibilou]

Ça se regarde au niveau individuel. Si vous pensez que les français ne sauront pas quelle pension il leur faut pour vivre, c'est les prendre pour des idiots.
Et ne mélangez pas avec la problématique du financement étudiant, sinon on necomprend plus rien. Les jeunes ne se posent pas de questions sur leur future retraite.

Parce que cela leur semble très loin ..
Un financement des études, c'est un logement CROUS, et de quoi se nourrir basiquement et éventuellement d'acheter quelques vêtements.
Ce n'est pas comparable à un revenu de salarié.
Faire des études, c'est un sacrifice. On sacrifie plusieurs années de revenus, sans parler de tous les WE consacrés à potasser, etc.
Il ne faut surtout pas d'une double peine en fin de carrière avec un départ en retraite largement au-dessus des autres français.
Cela me paraît évident.
A force de taper sur les élites de la société, on aura une société avec des élites au rabais.

Vous faites fi de 2 éléments majeurs:
1 on peut racheter des années d'études supérieures pour la retraite.
2 les études supérieures favorisent l'accès à des emplois beaucoup mieux rémunérés donc à une pension bien plus élevée.
Enfin je crains que vous n'ayez pas saisi mes propositions.
Exemples:
Je parie que mes enfants qui sont cadres dirigeants s'ils peuvent partir à 62 ans avec une pension de 5000 euros par mois au lieu de 7000 seront ravis. Et ça fera des économies sur le budget social.
Si un ouvrier a commencé tôt il doit pouvoir partir plus tôt sans décote parce qu'il aura bénéficié de points de pénibilité.
Si un cadre moyen derrière son bureau estime qu'il a suffisamment avec une pension avec décote il le fera, sinon il continuera quelques années pour ne pas avoir de décote.

[oups]

Parce que cela leur semble très loin ..
Un financement des études, c'est un logement CROUS, et de quoi se nourrir basiquement et éventuellement d'acheter quelques vêtements.
Ce n'est pas comparable à un revenu de salarié.
Faire des études, c'est un sacrifice. On sacrifie plusieurs années de revenus, sans parler de tous les WE consacrés à potasser, etc.
Il ne faut surtout pas d'une double peine en fin de carrière avec un départ en retraite largement au-dessus des autres français.
Cela me paraît évident.
A force de taper sur les élites de la société, on aura une société avec des élites au rabais.

Vous faites fi de 2 éléments majeurs:
1 on peut racheter des années d'études supérieures pour la retraite.
2 les études supérieures favorisent l'accès à des emplois beaucoup mieux rémunérés donc à une pension bien plus élevée.
Enfin je crains que vous n'ayez pas saisi mes propositions.
Exemples:
Je parie que mes enfants qui sont cadres dirigeants s'ils peuvent partir à 62 ans avec une pension de 5000 euros par mois au lieu de 7000 seront ravis. Et ça fera des économies sur le budget social.
Si un ouvrier a commencé tôt il doit pouvoir partir plus tôt sans décote parce qu'il aura bénéficié de points de pénibilité.
Si un cadre moyen derrière son bureau estime qu'il a suffisamment avec une pension avec décote il le fera, sinon il continuera quelques années pour ne pas avoir de décote.

Bien que l’ouvrier qui commence tôt et fini tard en étant toujours ouvrier , ptete qu’en terme de gestion de sa carrière Bon j’dis ça mais on est pas obligé de faire ce qu’il faut afin d’évoluer , on a encore le droit d’attendre que ça tombe tout seul ou que l’autre le fasse à votre place après tout