Les gens ont besoin d'argent pour vivre. Il suffit juste de leur couper les vivre et ils vont bien devoir chercher un taf.LeGrandNoir a écrit : ↑09 janvier 2025 16:50Passez devant pour les remettre au boulot et pour la distribution de Viagra obligatoire, et tant qu'à faire pour l'interdiction de la drogue et l'interdiction de l'homosexualité. Je vous suivrai sur Cnews et BFMTV.![]()
Le gouvernement va-t-il «officialiser la régularisation de sans-papiers exerçant des métiers en tension»...
- Victor
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Re: Le gouvernement va-t-il «officialiser la régularisation de sans-papiers exerçant des métiers en tension»...
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
Alexis de Tocqueville
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Re: Le gouvernement va-t-il «officialiser la régularisation de sans-papiers exerçant des métiers en tension»...
"Médecins étrangers et indispensables : problème d'équivalence des diplômes non reconnus par l'UE."
Or, ces médecins bossent comme leurs confrères, sont absolument nécessaires et sont sous-payés par rapport à eux.
2 témoignages qui interpellent :
- BM rêvait d'être pédiatre depuis l'âge de cinq ans. Après des études scientifiques et la prise en charge de grandes urgences psychiatriques dans le désert algérien, elle a décidé de partir en France pour en étudier le système de santé. "Je voulais aller voir des endroits où on nous donne de bonnes conditions de travail. [...] Le problème en Algérie, ce n'est pas les études, mais le terrain. On n'a pas les bons moyens, les hôpitaux les plus propres, on n'a pas tout ça."
BM est accueillie "à bras ouverts" à l'hôpital de Gonesse, dans le Val-d'Oise (95). Elle comprend très rapidement qu'elle ne sera pas traitée comme les médecins originaires de l'Union européenne.
"Je fais le travail d'un médecin normal, mais dans des conditions très précaires."
Sur la carte de séjour de BM figurent les termes "stagiaire associé". Il s'agit d'un statut octroyé pour une période de six mois — renouvelable une fois et ne pouvant dépasser deux ans — à des médecins titulaires d'un diplôme de docteur en médecine et n'ayant pas effectué leur formation universitaire en France, qu'on appelle aussi "Padhue".
BM touche 1 400 euros net par mois malgré son niveau de diplôme. "Je fais des gardes supplémentaires, mais c'est au péril de ma santé. On travaille tous les jours de la semaine, on a un congé de 25 jours sur une année. [...] On se sent surexploité, on se sent méprisé et on se dit où est la justice dans tout ça ? ".
"On se sent méprisé alors que ce qu'on offre comme qualité de soin n'a pas de prix. On est indispensable."
Dans la perspective de la suspension de son contrat en mars 2025, BM préfère partir en Allemagne.
- Belkacem exerce aussi, depuis trois ans, à Gonesse, en tant que médecin praticien en pédopsychiatrie. Il gère deux centres médico-psychologiques.
Algérien d'origine et naturalisé français suite à son mariage, Belkacem s'installe en France en 2019. Il déplore le manque de moyens alloués à la santé en Algérie, malgré l'excellente qualité de la formation universitaire. Pour "pour arrondir les fins de mois", Belkacem fait des gardes aux urgences en tant qu'infirmier. Il a aussi été mobilisé, comme beaucoup de soignants, pendant toute la pandémie du covid-19.
"Je reste au minimum quinze minutes dans la voiture avec de la musique, pour décharger les ondes avant de rentrer."
Pour être inscrit à l'ordre des médecins et prétendre à des salaires décents, les Padhue doivent suivre la Procédure d'Autorisation d'Exercice (PAE), dont la première étape consiste à passer des "épreuves de vérification des connaissances" ou EVC. Mais Belkacem est réaliste : "Avec l'énorme charge de travail et un moral affaibli par rapport aux rémunérations, aux contrats précaires, de la maltraitance... Ce n'est pas évident d'avoir les capacités de réviser." Ce qui l'attend, s'il échoue aux EVC, c'est un contrat étudiant, alors qu'il est médecin spécialiste depuis 31 ans."
Le podcast diffusé ce matin sur France Culture : https://www.radiofrance.fr/francecultur ... es-1462070
Or, ces médecins bossent comme leurs confrères, sont absolument nécessaires et sont sous-payés par rapport à eux.
2 témoignages qui interpellent :
- BM rêvait d'être pédiatre depuis l'âge de cinq ans. Après des études scientifiques et la prise en charge de grandes urgences psychiatriques dans le désert algérien, elle a décidé de partir en France pour en étudier le système de santé. "Je voulais aller voir des endroits où on nous donne de bonnes conditions de travail. [...] Le problème en Algérie, ce n'est pas les études, mais le terrain. On n'a pas les bons moyens, les hôpitaux les plus propres, on n'a pas tout ça."
BM est accueillie "à bras ouverts" à l'hôpital de Gonesse, dans le Val-d'Oise (95). Elle comprend très rapidement qu'elle ne sera pas traitée comme les médecins originaires de l'Union européenne.
"Je fais le travail d'un médecin normal, mais dans des conditions très précaires."
Sur la carte de séjour de BM figurent les termes "stagiaire associé". Il s'agit d'un statut octroyé pour une période de six mois — renouvelable une fois et ne pouvant dépasser deux ans — à des médecins titulaires d'un diplôme de docteur en médecine et n'ayant pas effectué leur formation universitaire en France, qu'on appelle aussi "Padhue".
BM touche 1 400 euros net par mois malgré son niveau de diplôme. "Je fais des gardes supplémentaires, mais c'est au péril de ma santé. On travaille tous les jours de la semaine, on a un congé de 25 jours sur une année. [...] On se sent surexploité, on se sent méprisé et on se dit où est la justice dans tout ça ? ".
"On se sent méprisé alors que ce qu'on offre comme qualité de soin n'a pas de prix. On est indispensable."
Dans la perspective de la suspension de son contrat en mars 2025, BM préfère partir en Allemagne.
- Belkacem exerce aussi, depuis trois ans, à Gonesse, en tant que médecin praticien en pédopsychiatrie. Il gère deux centres médico-psychologiques.
Algérien d'origine et naturalisé français suite à son mariage, Belkacem s'installe en France en 2019. Il déplore le manque de moyens alloués à la santé en Algérie, malgré l'excellente qualité de la formation universitaire. Pour "pour arrondir les fins de mois", Belkacem fait des gardes aux urgences en tant qu'infirmier. Il a aussi été mobilisé, comme beaucoup de soignants, pendant toute la pandémie du covid-19.
"Je reste au minimum quinze minutes dans la voiture avec de la musique, pour décharger les ondes avant de rentrer."
Pour être inscrit à l'ordre des médecins et prétendre à des salaires décents, les Padhue doivent suivre la Procédure d'Autorisation d'Exercice (PAE), dont la première étape consiste à passer des "épreuves de vérification des connaissances" ou EVC. Mais Belkacem est réaliste : "Avec l'énorme charge de travail et un moral affaibli par rapport aux rémunérations, aux contrats précaires, de la maltraitance... Ce n'est pas évident d'avoir les capacités de réviser." Ce qui l'attend, s'il échoue aux EVC, c'est un contrat étudiant, alors qu'il est médecin spécialiste depuis 31 ans."
Le podcast diffusé ce matin sur France Culture : https://www.radiofrance.fr/francecultur ... es-1462070
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Re: Le gouvernement va-t-il «officialiser la régularisation de sans-papiers exerçant des métiers en tension»...
Il y a quelques années je me suis retrouvé aux urgences d'un CHU pour un problème ORL.Once a écrit : ↑09 janvier 2025 18:40 "Médecins étrangers et indispensables : problème d'équivalence des diplômes non reconnus par l'UE."
Or, ces médecins bossent comme leurs confrères, sont absolument nécessaires et sont sous-payés par rapport à eux.
2 témoignages qui interpellent :
- BM rêvait d'être pédiatre depuis l'âge de cinq ans. Après des études scientifiques et la prise en charge de grandes urgences psychiatriques dans le désert algérien, elle a décidé de partir en France pour en étudier le système de santé. "Je voulais aller voir des endroits où on nous donne de bonnes conditions de travail. [...] Le problème en Algérie, ce n'est pas les études, mais le terrain. On n'a pas les bons moyens, les hôpitaux les plus propres, on n'a pas tout ça."
BM est accueillie "à bras ouverts" à l'hôpital de Gonesse, dans le Val-d'Oise (95). Elle comprend très rapidement qu'elle ne sera pas traitée comme les médecins originaires de l'Union européenne.
"Je fais le travail d'un médecin normal, mais dans des conditions très précaires."
Sur la carte de séjour de BM figurent les termes "stagiaire associé". Il s'agit d'un statut octroyé pour une période de six mois — renouvelable une fois et ne pouvant dépasser deux ans — à des médecins titulaires d'un diplôme de docteur en médecine et n'ayant pas effectué leur formation universitaire en France, qu'on appelle aussi "Padhue".
BM touche 1 400 euros net par mois malgré son niveau de diplôme. "Je fais des gardes supplémentaires, mais c'est au péril de ma santé. On travaille tous les jours de la semaine, on a un congé de 25 jours sur une année. [...] On se sent surexploité, on se sent méprisé et on se dit où est la justice dans tout ça ? ".
"On se sent méprisé alors que ce qu'on offre comme qualité de soin n'a pas de prix. On est indispensable."
Dans la perspective de la suspension de son contrat en mars 2025, BM préfère partir en Allemagne.
- Belkacem exerce aussi, depuis trois ans, à Gonesse, en tant que médecin praticien en pédopsychiatrie. Il gère deux centres médico-psychologiques.
Algérien d'origine et naturalisé français suite à son mariage, Belkacem s'installe en France en 2019. Il déplore le manque de moyens alloués à la santé en Algérie, malgré l'excellente qualité de la formation universitaire. Pour "pour arrondir les fins de mois", Belkacem fait des gardes aux urgences en tant qu'infirmier. Il a aussi été mobilisé, comme beaucoup de soignants, pendant toute la pandémie du covid-19.
"Je reste au minimum quinze minutes dans la voiture avec de la musique, pour décharger les ondes avant de rentrer."
Pour être inscrit à l'ordre des médecins et prétendre à des salaires décents, les Padhue doivent suivre la Procédure d'Autorisation d'Exercice (PAE), dont la première étape consiste à passer des "épreuves de vérification des connaissances" ou EVC. Mais Belkacem est réaliste : "Avec l'énorme charge de travail et un moral affaibli par rapport aux rémunérations, aux contrats précaires, de la maltraitance... Ce n'est pas évident d'avoir les capacités de réviser." Ce qui l'attend, s'il échoue aux EVC, c'est un contrat étudiant, alors qu'il est médecin spécialiste depuis 31 ans."
Le podcast diffusé ce matin sur France Culture : https://www.radiofrance.fr/francecultur ... es-1462070
Le médecin qui m'a examiné parlait très mal le français.
J'ai eu du mal à me faire comprendre.
Il ne connaissait même pas les médicaments que je prenais à l'époque.....
Bon voilà, c'est anecdotique mais il faut quand même un minimum.
L'équivalence des connaissances ne me dérange pas.
On parle de santé, pas d'aspirateur.
Par contre à travail égal, salaire égal.
C'est de la pure exploitation cette histoire de salaire ridicule , c'est honteux et nous manquons cruellement de médecins.
La seule chose qui permet au mal de triompher est l inaction des hommes de bien.
Edmund Burke.
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Re: Le gouvernement va-t-il «officialiser la régularisation de sans-papiers exerçant des métiers en tension»...
Comme à Nice à 2 reprisesFonck1 a écrit : ↑09 janvier 2025 11:58sauf que vous n'avez aucune méthodologie pour les différencier.Victor a écrit : ↑09 janvier 2025 09:55 La question de la religion des sans-papiers devrait également être prise en compte.
Sachant qu'une personne musulmane peut plus facilement glisser vers un extrémisme religieux voire djihadiste ou terroriste qu'une personne d'une autre religion.
Malheureusement toute notre histoire récente nous l'a montré et nous le montre tous les jours.
je vous rappelle que les auteurs des attentats en France, étaient français, radicalisés en France et même dans nos prisons, un avait même travaillé pour les RG, ne portaient pas la barbe, ne portaient pas de djellaba, et n'allaient pas à la mosquée.
le 14 juillet et dans la cathédrale
Quand à ceux à double nationalité ; quelle nationalité faut il prendre en compte ; celle de ceux qu'ils tient ou l'autre
vous le savez bien que l'on ne peut pas aimer 2 personnes à la fois surtout lorsque l'on affiche de la haine envers un
Alors balancer qu'ils étaient français ; excusez moi du peu
Mais le sujet n'est pas ce qui n'ont pas vocation par leur comportement à être français ; mais ceux qui s'introduisent illégalement en france sans même demander un droit d'asile
pour les métiers en tension , la loi n'a pas changé pour le recours aux ressources que nous n'avons pas dans le cadre de la légalité
Tous les ans des centaines de milliers de travailleurs saisonniers 5SURTOUT AGRICOLES ° viennent légalement cor les démarches administrative pour cela ont été faites
https://europa.eu/youreurope/business/h ... dex_fr.htm
Mais l'on voit que parfois certains employeurs ripoux bafouent les droits élémentaires inscrits dans la demande
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Re: Le gouvernement va-t-il «officialiser la régularisation de sans-papiers exerçant des métiers en tension»...
Nous sommes d'accord sur ce point, et je suggère depuis longtemps le retour aux 40 h, aux 4 semaines de congés payés et à la retraite à 65 ans. Et d'ailleurs je donne l'exemple, je pars en retraite après 65 ans.Victor a écrit : ↑09 janvier 2025 18:23Les gens ont besoin d'argent pour vivre. Il suffit juste de leur couper les vivre et ils vont bien devoir chercher un taf.LeGrandNoir a écrit : ↑09 janvier 2025 16:50
Passez devant pour les remettre au boulot et pour la distribution de Viagra obligatoire, et tant qu'à faire pour l'interdiction de la drogue et l'interdiction de l'homosexualité. Je vous suivrai sur Cnews et BFMTV.![]()
Quant aux fonctionnaires et en plus: fin du contrat de fonctionnaire à vie et passage en CDI pour les nouveaux entrants, entretien d'évaluation semestriel, et bonus versé sur objectifs (KPIs) comme dans le privé.
“Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu'ils en chérissent les causes." Jacques-Bénigne Bossuet.
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Re: Le gouvernement va-t-il «officialiser la régularisation de sans-papiers exerçant des métiers en tension»...
Vous partez à la retraite à 65 ans peut être simplement parce que vous n'avez pas toutes les annuités pour parti à taux plein avantLeGrandNoir a écrit : ↑09 janvier 2025 20:21Nous sommes d'accord sur ce point, et je suggère depuis longtemps le retour aux 40 h, aux 4 semaines de congés payés et à la retraite à 65 ans. Et d'ailleurs je donne l'exemple, je pars en retraite après 65 ans.
Quant aux fonctionnaires et en plus: fin du contrat de fonctionnaire à vie et passage en CDI pour les nouveaux entrants, entretien d'évaluation semestriel, et bonus versé sur objectifs (KPIs) comme dans le privé.
Pour peu que l'on ait fait des études supérieurs et que l'on n'ait pas acquits des trimestres par des petits jobs de vacances
A moins d'avoir commencé à travailler avant 21 ans et sans interruption à 64 ans on n'a pas ses 43 annuités pur une pension à taux plein
C'est du -1.25 % par trimestre manquant
Ne prétendez pas que ce qui est peut être une obligation est un choix volontaire
Moi si j'ai pu partir un peu avant c'est grâce à l'accord minier de 2005
Tout comme d'autres partent avant en bénéficiant de l'accord de la fonction publique
J'en ai connu des personnes qui ne voulaient jamais partir en retraite car en dehors de leur leur boulot ils n'avaient aucuns pôles d'intérêts
D'autres une fois à la retraite sont plus débordés que quand ils travaillaient
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Re: Le gouvernement va-t-il «officialiser la régularisation de sans-papiers exerçant des métiers en tension»...
Je ne répondrai pas à un sinistre individu comme vous sur de tels sujets. Je peux juste vous dire que j'ai tous mes trimestres, et que j'ai fait des études longues et que ce que j'ai fait n'est pas à la porté de beaucoup de gens.vivarais a écrit : ↑09 janvier 2025 20:39Vous partez à la retraite à 65 ans peut être simplement parce que vous n'avez pas toutes les annuités pour parti à taux plein avantLeGrandNoir a écrit : ↑09 janvier 2025 20:21
Nous sommes d'accord sur ce point, et je suggère depuis longtemps le retour aux 40 h, aux 4 semaines de congés payés et à la retraite à 65 ans. Et d'ailleurs je donne l'exemple, je pars en retraite après 65 ans.
Quant aux fonctionnaires et en plus: fin du contrat de fonctionnaire à vie et passage en CDI pour les nouveaux entrants, entretien d'évaluation semestriel, et bonus versé sur objectifs (KPIs) comme dans le privé.
Pour peu que l'on ait fait des études supérieurs et que l'on n'ait pas acquits des trimestres par des petits jobs de vacances
A moins d'avoir commencé à travailler avant 21 ans et sans interruption à 64 ans on n'a pas ses 43 annuités pur une pension à taux plein
C'est du -1.25 % par trimestre manquant
Ne prétendez pas que ce qui est peut être une obligation est un choix volontaire
Moi si j'ai pu partir un peu avant c'est grâce à l'accord minier de 2005
Tout comme d'autres partent avant en bénéficiant de l'accord de la fonction publique
J'en ai connu des personnes qui ne voulaient jamais partir en retraite car en dehors de leur leur boulot ils n'avaient aucuns pôles d'intérêts
D'autres une fois à la retraite sont plus débordés que quand ils travaillaient
“Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu'ils en chérissent les causes." Jacques-Bénigne Bossuet.