Connaissez-Vous Keny Arkana ?
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tout les gouts sont dans la nature ...
Perso je n'ecoute plus de rap "commercial" , les artistes qui sont la pour faire du blé meme en chantant de la daube ca me soule autant que toi je pense , sur la forme+le fond
mais Keny est un Ovni dans le rap :
"Je suis pas une Rapeuse mais une contestataire qui fait du rap "
"apelle moi la marseillaise plus révolutionnaire que ton chant sanguinaire"
"moi je cherche le nombre et pas le chiffre"
voila sa "bio" http://www.keny-arkana.com/divers/bio1.php
Perso je n'ecoute plus de rap "commercial" , les artistes qui sont la pour faire du blé meme en chantant de la daube ca me soule autant que toi je pense , sur la forme+le fond
mais Keny est un Ovni dans le rap :
"Je suis pas une Rapeuse mais une contestataire qui fait du rap "
"apelle moi la marseillaise plus révolutionnaire que ton chant sanguinaire"
"moi je cherche le nombre et pas le chiffre"
voila sa "bio" http://www.keny-arkana.com/divers/bio1.php
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Le FN a pris son morceau "nettoyage au karcher" pour l'utiliser dans la propagande de mr Le Pen ....
Voila la réponse de keny a jean-mari :
Vous m'avez pris pour une des votre
Appelle moi l'ennemi de ton fascisme
Des barricades jusqu'aux urnes de votes
Hé bande de cons, Vous voulez endormir les miens
Mais le mensonge de l'ennemi et son message on connait bien
Manipulation, vous n'aurez ni mon esprit ni ma chair
Et gros porc ton M. Propre on va t'nettoyer au karcher
Hé, tu m'as pris clasher Sarko
J'te crache mon rap internationaliste fait pour brûler vos drapeaux
Tu veux ma rage hein pour que ta moyenne monte
Ton bleu blanc rouge m'écoeure moi j'suis une citoyenne du monde
Nique ton système, Ségolène, Sarko ou Le Pen,
Y'a pas de révolution, dans votre politique institutionnelle
Moi j'apelle à la désobéiçance civile
Réapropriation pour donner un sens à nos vies
Le combat est ferme, certainement pas façonnable,
Anti FN, Oui j'emmerde le Front National
A bat le front de la haine
Un gros porc a voulu récupérer la cause,
Les vrais savent qu'il s'est grillé,
Le silence dit qu'on approuve alors j'continue de crier,
Faire emmerger la parole des sans voix
Car la vrai révolution se construira d'en bas
La résistance est en marche contre vos partis démoniaques,
Oligarchie, confrérie, c'est le peuple contre les monarques
Insoumis, on le reste même quand l'ordre tyranise
Faut qu'on construise sans eux pour faire tomber leur pyramide
Le combat continue
Et le changement viendra d'en bas
Désobéiçance civile
Rampe vers la France
Moi je retiens aucun de vos candidats, Votre mascarade présidentielle,
Car le changement ne sera pas institutionnel
Fuck le FN
Fuck l'UMP
Fuck le PS
Le changement viendra d'en bas
Nique les partisants de la haine
Leur propagande basée sur la calomnie et le mensonge
Voil à encore une preuve
Keny Arkana, la rage du peuple
Dédié à tous les sans droits
Le changement viendra d'en bas, on continue le combat!
Voila la réponse de keny a jean-mari :
Vous m'avez pris pour une des votre
Appelle moi l'ennemi de ton fascisme
Des barricades jusqu'aux urnes de votes
Hé bande de cons, Vous voulez endormir les miens
Mais le mensonge de l'ennemi et son message on connait bien
Manipulation, vous n'aurez ni mon esprit ni ma chair
Et gros porc ton M. Propre on va t'nettoyer au karcher
Hé, tu m'as pris clasher Sarko
J'te crache mon rap internationaliste fait pour brûler vos drapeaux
Tu veux ma rage hein pour que ta moyenne monte
Ton bleu blanc rouge m'écoeure moi j'suis une citoyenne du monde
Nique ton système, Ségolène, Sarko ou Le Pen,
Y'a pas de révolution, dans votre politique institutionnelle
Moi j'apelle à la désobéiçance civile
Réapropriation pour donner un sens à nos vies
Le combat est ferme, certainement pas façonnable,
Anti FN, Oui j'emmerde le Front National
A bat le front de la haine
Un gros porc a voulu récupérer la cause,
Les vrais savent qu'il s'est grillé,
Le silence dit qu'on approuve alors j'continue de crier,
Faire emmerger la parole des sans voix
Car la vrai révolution se construira d'en bas
La résistance est en marche contre vos partis démoniaques,
Oligarchie, confrérie, c'est le peuple contre les monarques
Insoumis, on le reste même quand l'ordre tyranise
Faut qu'on construise sans eux pour faire tomber leur pyramide
Le combat continue
Et le changement viendra d'en bas
Désobéiçance civile
Rampe vers la France
Moi je retiens aucun de vos candidats, Votre mascarade présidentielle,
Car le changement ne sera pas institutionnel
Fuck le FN
Fuck l'UMP
Fuck le PS
Le changement viendra d'en bas
Nique les partisants de la haine
Leur propagande basée sur la calomnie et le mensonge
Voil à encore une preuve
Keny Arkana, la rage du peuple
Dédié à tous les sans droits
Le changement viendra d'en bas, on continue le combat!
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paroles : 5° Soleil
Mon esprit s'égare, l'esprit qui surchauffe ~ Les gens se détestent,
la guerre des égos ~ XXIème siècle, sinisme et mépris ~ Non-respect de
la Terre, folie plein les tripes ~ Frontières, barricades, émeutes et
matraques ~ Cris et bains de sang, bombes qui éclatent ~ Politique de la
peur, science immorale ~ Insurrection d'un peuple, marché des armes
Nouvel ordre mondial, fusion de terreur ~ l'Homme est l'animal le
plus prédateur ~ Le système pue la mort, assassin de la Vie ~ A tué la
mémoire pour mieux tuer l'avenir ~ Des disquettes plein la tête, les sens
nous trompent ~ Le troisième Å“il ouvert car le cerveau nous ment ~
L'être humain s'est perdu, a oublié sa force ~ A oublié la lune, le
soleil et l'atome
Inversion des pôles, vers la haine se dirige ~ A perdu la raison pour
une excuse qui divise ~ L'égoïsme en devise, époque misérable ~ Haine
collective contre rage viscérale ~ Une lueur dans le cÅ“ur, une larme
dans l'Å“il ~ Une prière dans la tête, une vieille douleur ~ Une vie de
rancÅ“ur l à où meurt le pardon ~ Où même la Foi prend peur, allez viens,
nous partons !
Des lois faites pour le peuple et les rois tyrannisent ~ Confréries et
business en haut de la pyramide ~ à‡a sponsorise le sang entre chars et
uzis ~ Innocent dans un ciel aux couleurs des usines ~ Un silence de
deuil, une balle perdue ~ Toute une famille en pleurs, un enfant abattu ~
Des milices de l' à‰tat, des paramilitaires ~ Des folies cérébrales, des
peuples entiers à-terre !
bidonvilles de misères à l'entrée des palaces ~ Liberté volée, synonyme de paperasse ~ L'humanité troquée contre une vie illusoire ~
Entre stress du matin et angoisse du soir ~ Des névroses plein la tête, des
nerfs rompus ~ Car à tes risques, l'homme moderne est souvent
corrompu ~ Et quand la vie s'endort, arrive sans la voir ~ Une mort
silencieuse, un S.D.F dans le froid
Prison de ciment, derrière les Å“illères ~ le combat est si long pour
un peu de lumière ~ Les familles se déchirent et les pères se font
rares ~ Les enfants ne rient plus, se bâtissent des remparts ~ Les mères
prennent sur elles, la jeunesse se croit en taule ~ Toute cette guerre
est réelle, donc on se battra encore ~ C'est la vie illusoire qui nous
bouffe les tripes ~ Une bouteille de vodka, quelques grammes de
''weed''
Certains ne reviennent pas de ces raids violents ~ Du butex injecté
dans une flaque de sang ~ Des enfants qui se battent, un coup de couteau
en trop ~ Ce n'est plus à la baraque que les momes rentrent tôt ~
Ils t'apprennent la vie dans un verre de colère ~ Formatage de la rue,
formatage scolaire ~ C'est chacun sa disquette, quand les mondes se rencontrent ~ C'est le choc des cultures, voire la haine de la honte !
Les barrières sont l à , dans nos têtes, bien au chaud ~ Les plus durs
craquent vite, c'est la loi du roseau ~ Non, rien n'est rose ici,
la grisaille demeure ~ Dans les cÅ“urs meurtris, qui à petit feu
meurent ~ Ne pleure pas ma sœur car tu portes le monde ~ Noble est ton coeur,
crois en toi et remonte ~ N'écoute pas les bâtards qui voudraient te
voir triste ~ Même Terre-mère est malade, mais Terre-mère résiste !
Donc ces cons qui s'en vont, apprentis créateurs ~ Qui ont tout
déréglé, sanguinaires prédateurs ~ Babylone est bien grande mais n'est rien
dans le fond ~ Une vulgaire mascarade au parfum d'illusions ~
Ma àtresse de nos esprits crédules et naïfs ~ Conditionnement massif l à où les nerfs sont à vif ~ Dans la marge et la rage, parce qu'on est
galériens ~ Ensemble, nous sommes le Monde et le système n'est rien !
Prend conscience de ton frère, reste près de ton cÅ“ur ~ N'écoute pas
le système, assassin et menteur ~ Eloignes-toi de la haine qui nous à à à à à à àêêêê à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à àêêêê saute tous aux bras ~ humanité humaine, seul l'Amour nous sauvera ~
Écoute le silence quand ton âme est en paix ~ La lumière s'y trouve, la
lumière est entrée ~ Vérité en nous-même, lieu de la création ~ N'oublie
pas ton histoire, n'oublie pas ta mission
Dernière génération à pouvoir tout changer ~ La vie est avec nous,
n'aies pas peur du danger ~ Alors levons nos voix pour ne plus oublier ~
Tas de poussière d'étoiles, qu'attends-tu pour briller ? ~ Tous frères
et sœur Reformons la chaine~ Car nous ne sommes qu'un,
divisés dans la chair ~ Retrouvons la joie, l'entraide, qu'on s'élève ~ Une lueur suffit à faire fondre les tenebres
S'essouffle ce temps, une odeur de souffre ~ La fin se ressent, la
bête envoute la foule ~ Les symboles s'inversent, se confondent
et s' obsèques ~ L'étoile qui fait tourner la roue se rapproche de
notre ciel ~ Terre à l'agonie, mal-être à l'honneur ~ Folie, calomnie,
ton cœur à la bonne heure ~ Ignorance du bonheur, de la magie de la vie
~ Choqués par l'horreur et formés à la survie
L'époque, le pire, une part des conséquences ~ Le bien ou le mal,
aujourd'hui choisis ton camp ! ~ L'être humain s'est perdu, trop centré
sur l'Avoir ~ Les étoiles se concertent pour nous ramener sur la voie
~ Cadrillage ciceller dépasse la lumière ~ Aies confiance en la
vie, en la force de tes rêves ~ Tous un ange à l'épaule, présent si tu
le cherches ~ Dans nos cœurs, on n'est qu'un avec l'Esprit et le
Geste !
Le Grand Jour se prépare, ne vois-tu pas les signes ? ~ La mort
n'existe pas, c'est juste la fin d'un cycle ~ Cette fin se dessine,
l'être humain se décime ~ L'espoir indigo ,les playades nous designent~
Lève la tête et comprend, ressents la force en ton être ~ Dépasse
Babylone, élucide le mystère ~ Rien n'est plus tiré au sort, que le Ciel nous
bénisse ~ Enfant du quinto sol , comprend entre les lignes.
Mon esprit s'égare, l'esprit qui surchauffe ~ Les gens se détestent,
la guerre des égos ~ XXIème siècle, sinisme et mépris ~ Non-respect de
la Terre, folie plein les tripes ~ Frontières, barricades, émeutes et
matraques ~ Cris et bains de sang, bombes qui éclatent ~ Politique de la
peur, science immorale ~ Insurrection d'un peuple, marché des armes
Nouvel ordre mondial, fusion de terreur ~ l'Homme est l'animal le
plus prédateur ~ Le système pue la mort, assassin de la Vie ~ A tué la
mémoire pour mieux tuer l'avenir ~ Des disquettes plein la tête, les sens
nous trompent ~ Le troisième Å“il ouvert car le cerveau nous ment ~
L'être humain s'est perdu, a oublié sa force ~ A oublié la lune, le
soleil et l'atome
Inversion des pôles, vers la haine se dirige ~ A perdu la raison pour
une excuse qui divise ~ L'égoïsme en devise, époque misérable ~ Haine
collective contre rage viscérale ~ Une lueur dans le cÅ“ur, une larme
dans l'Å“il ~ Une prière dans la tête, une vieille douleur ~ Une vie de
rancÅ“ur l à où meurt le pardon ~ Où même la Foi prend peur, allez viens,
nous partons !
Des lois faites pour le peuple et les rois tyrannisent ~ Confréries et
business en haut de la pyramide ~ à‡a sponsorise le sang entre chars et
uzis ~ Innocent dans un ciel aux couleurs des usines ~ Un silence de
deuil, une balle perdue ~ Toute une famille en pleurs, un enfant abattu ~
Des milices de l' à‰tat, des paramilitaires ~ Des folies cérébrales, des
peuples entiers à-terre !
bidonvilles de misères à l'entrée des palaces ~ Liberté volée, synonyme de paperasse ~ L'humanité troquée contre une vie illusoire ~
Entre stress du matin et angoisse du soir ~ Des névroses plein la tête, des
nerfs rompus ~ Car à tes risques, l'homme moderne est souvent
corrompu ~ Et quand la vie s'endort, arrive sans la voir ~ Une mort
silencieuse, un S.D.F dans le froid
Prison de ciment, derrière les Å“illères ~ le combat est si long pour
un peu de lumière ~ Les familles se déchirent et les pères se font
rares ~ Les enfants ne rient plus, se bâtissent des remparts ~ Les mères
prennent sur elles, la jeunesse se croit en taule ~ Toute cette guerre
est réelle, donc on se battra encore ~ C'est la vie illusoire qui nous
bouffe les tripes ~ Une bouteille de vodka, quelques grammes de
''weed''
Certains ne reviennent pas de ces raids violents ~ Du butex injecté
dans une flaque de sang ~ Des enfants qui se battent, un coup de couteau
en trop ~ Ce n'est plus à la baraque que les momes rentrent tôt ~
Ils t'apprennent la vie dans un verre de colère ~ Formatage de la rue,
formatage scolaire ~ C'est chacun sa disquette, quand les mondes se rencontrent ~ C'est le choc des cultures, voire la haine de la honte !
Les barrières sont l à , dans nos têtes, bien au chaud ~ Les plus durs
craquent vite, c'est la loi du roseau ~ Non, rien n'est rose ici,
la grisaille demeure ~ Dans les cÅ“urs meurtris, qui à petit feu
meurent ~ Ne pleure pas ma sœur car tu portes le monde ~ Noble est ton coeur,
crois en toi et remonte ~ N'écoute pas les bâtards qui voudraient te
voir triste ~ Même Terre-mère est malade, mais Terre-mère résiste !
Donc ces cons qui s'en vont, apprentis créateurs ~ Qui ont tout
déréglé, sanguinaires prédateurs ~ Babylone est bien grande mais n'est rien
dans le fond ~ Une vulgaire mascarade au parfum d'illusions ~
Ma àtresse de nos esprits crédules et naïfs ~ Conditionnement massif l à où les nerfs sont à vif ~ Dans la marge et la rage, parce qu'on est
galériens ~ Ensemble, nous sommes le Monde et le système n'est rien !
Prend conscience de ton frère, reste près de ton cÅ“ur ~ N'écoute pas
le système, assassin et menteur ~ Eloignes-toi de la haine qui nous à à à à à à àêêêê à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à àêêêê saute tous aux bras ~ humanité humaine, seul l'Amour nous sauvera ~
Écoute le silence quand ton âme est en paix ~ La lumière s'y trouve, la
lumière est entrée ~ Vérité en nous-même, lieu de la création ~ N'oublie
pas ton histoire, n'oublie pas ta mission
Dernière génération à pouvoir tout changer ~ La vie est avec nous,
n'aies pas peur du danger ~ Alors levons nos voix pour ne plus oublier ~
Tas de poussière d'étoiles, qu'attends-tu pour briller ? ~ Tous frères
et sœur Reformons la chaine~ Car nous ne sommes qu'un,
divisés dans la chair ~ Retrouvons la joie, l'entraide, qu'on s'élève ~ Une lueur suffit à faire fondre les tenebres
S'essouffle ce temps, une odeur de souffre ~ La fin se ressent, la
bête envoute la foule ~ Les symboles s'inversent, se confondent
et s' obsèques ~ L'étoile qui fait tourner la roue se rapproche de
notre ciel ~ Terre à l'agonie, mal-être à l'honneur ~ Folie, calomnie,
ton cœur à la bonne heure ~ Ignorance du bonheur, de la magie de la vie
~ Choqués par l'horreur et formés à la survie
L'époque, le pire, une part des conséquences ~ Le bien ou le mal,
aujourd'hui choisis ton camp ! ~ L'être humain s'est perdu, trop centré
sur l'Avoir ~ Les étoiles se concertent pour nous ramener sur la voie
~ Cadrillage ciceller dépasse la lumière ~ Aies confiance en la
vie, en la force de tes rêves ~ Tous un ange à l'épaule, présent si tu
le cherches ~ Dans nos cœurs, on n'est qu'un avec l'Esprit et le
Geste !
Le Grand Jour se prépare, ne vois-tu pas les signes ? ~ La mort
n'existe pas, c'est juste la fin d'un cycle ~ Cette fin se dessine,
l'être humain se décime ~ L'espoir indigo ,les playades nous designent~
Lève la tête et comprend, ressents la force en ton être ~ Dépasse
Babylone, élucide le mystère ~ Rien n'est plus tiré au sort, que le Ciel nous
bénisse ~ Enfant du quinto sol , comprend entre les lignes.
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- Localisation : Hérault
paroles: cueille ta vie
Un nouveau jour se lève, enfin nouveau est un grand mot.
Ils se ressemblent tellement tous qu'on ne fait plus gaffe aux alentours.
Les gens se bousculent, se marchent dessus en fait mais ils ne se regardent plus.
Chacun reste dans sa tête. Assis à l'arrêt de bus,
J'vois cet homme le regard vide comme chaque matin il part au chantier
Mais n'en a plus envie. Ca fait trente que ça dure le même train-train,
Mais il faut bien nourrir sa petite famille même s'il sent sa vie mourir.
Lui qui dans sa jeunesse s'est battu pour la France,
Pour retour de pièce comme beaucoup n'a eu le droit qu' à son ingratitude,
Espère un bon avenir pour ses gosses, dans un pays qui s'efforce
A mettre des bâtons dans les roues à ceux qui n'ont pas la bonne face.
Puis un bruit de volets qui s'ouvrent,
Une vieille dame à sa fenêtre qui regarde le monde tel un tableau
Dans lequel elle ne veut plus être.
Où les époques passent comme des saisons, la sienne est morte,
Et chaque soir elle s'endort avec l'idée de ne plus se réveiller.
Elle se sent seule en bas, les gens de sa vie sont partis,
Et quand elle parle d'elle c'est au passé, s'excuse presque d'être en vie.
N'attend que le dimanche pour aller choisir des fleurs,
Afin d'aller au cimetière se recueillir auprès de son mari défunt.
Puis un rire de petite fille vient ensoleiller la rue, elle court dans tous les sens
La joie de vivre, la vie dans son état pur, qui s'émerveille devant la rosée du matin,
Pleine de « regarde maman » et maman crie vient ici et donne moi la main.
La tête baissée elle obéit d'un air un peu déçu,
Puis la relève voyant la vieille dame à se fenêtre au-dessus.
Echange de regards brefs, brefs mais signifiants,
Etincelant les yeux de la vieille dame qui murmurait doucement.
Un peu plus loin ce jeune garçon assis sur des cartons,
Entouré de bouteilles vides qui n'attend plus rien que l'hécatombe.
Victime d'une vie qu'il n'a plus voulu prendre en main,
Prisonnier du bitume il s'est construit son monde.
De très loin un monde intérieur riche où lui seul est souverain,
Royaume imaginaire qui ne laisse plus rentrer la cruauté des humains.
Il n'a plus la notion du temps, enfermé dans sa tête,
L'enfant lui pleure à chaque instant où la tempête s'arrête.
Puis une femme sort de chez elle, lunettes de soleil,
Qui cachent des larmes et l'hématome d'un amour passionnel.
Fruit d'une union virant aux déboires à double tranchant,
Devenant coupable le soir lorsqu'il commence à boire.
Elle a perdue l'homme qu'elle aimait, volé par l'alcool,
Attendant toujours son retour et repoussant toujours l'ultimatum,
Culpabilisant, car seule et laisée l'amour rend aveugle
Surtout quand la vue donne envie de se crever les yeux.
Puis un homme style la cinquantaine sort de sa voiture,
Costard cravate, tête droite, avance avec fière allure.
Mais dans son ombre on peut lire celle d'un homme triste et seul, pas d'amis,
Juste des gens intéressé par son fric, il les a tous perdus, sa famille et ses proches,
Faute d'un égo démesuré, trop d'aigreurs dans les reproches.
Et aujourd'hui a fini par comprendre dans son malheur,
Qu'en étant seul même tout l'argent du monde n'a plus de valeur.
Il n'est jamais trop tard pour cueillir sa vie,
Rattrapé le retard tout commence aujourd'hui.
Sortir la tête de sa bulle même si ce monde nous dépasse,
Ouvrir les yeux et se libérer de nos habitudes de glace.
Il n'est jamais trop tard pour changer le courant de l'esclave,
Passé ma àtre de sa vie pour ne plus vivre mourant,
Osé plongé dans l'inconnu,
Souvent réparateur on choisit son chemin,
Il para àt que le bonheur fait peur.
Cueille ta vie, avant qu'elle à à à à à à à àê soit emportée par le vent.
Cueille ta vie, avant qu'elle soit abîmée par le temps.
Cueille ta vie, tiens là fort et ne l'enferme pas dans leur rang,
Ne là laisse pas s'envoler loin des rêves, cueille là dès maintenant.
Un nouveau jour se lève, enfin nouveau est un grand mot.
Ils se ressemblent tellement tous qu'on ne fait plus gaffe aux alentours.
Les gens se bousculent, se marchent dessus en fait mais ils ne se regardent plus.
Chacun reste dans sa tête. Assis à l'arrêt de bus,
J'vois cet homme le regard vide comme chaque matin il part au chantier
Mais n'en a plus envie. Ca fait trente que ça dure le même train-train,
Mais il faut bien nourrir sa petite famille même s'il sent sa vie mourir.
Lui qui dans sa jeunesse s'est battu pour la France,
Pour retour de pièce comme beaucoup n'a eu le droit qu' à son ingratitude,
Espère un bon avenir pour ses gosses, dans un pays qui s'efforce
A mettre des bâtons dans les roues à ceux qui n'ont pas la bonne face.
Puis un bruit de volets qui s'ouvrent,
Une vieille dame à sa fenêtre qui regarde le monde tel un tableau
Dans lequel elle ne veut plus être.
Où les époques passent comme des saisons, la sienne est morte,
Et chaque soir elle s'endort avec l'idée de ne plus se réveiller.
Elle se sent seule en bas, les gens de sa vie sont partis,
Et quand elle parle d'elle c'est au passé, s'excuse presque d'être en vie.
N'attend que le dimanche pour aller choisir des fleurs,
Afin d'aller au cimetière se recueillir auprès de son mari défunt.
Puis un rire de petite fille vient ensoleiller la rue, elle court dans tous les sens
La joie de vivre, la vie dans son état pur, qui s'émerveille devant la rosée du matin,
Pleine de « regarde maman » et maman crie vient ici et donne moi la main.
La tête baissée elle obéit d'un air un peu déçu,
Puis la relève voyant la vieille dame à se fenêtre au-dessus.
Echange de regards brefs, brefs mais signifiants,
Etincelant les yeux de la vieille dame qui murmurait doucement.
Un peu plus loin ce jeune garçon assis sur des cartons,
Entouré de bouteilles vides qui n'attend plus rien que l'hécatombe.
Victime d'une vie qu'il n'a plus voulu prendre en main,
Prisonnier du bitume il s'est construit son monde.
De très loin un monde intérieur riche où lui seul est souverain,
Royaume imaginaire qui ne laisse plus rentrer la cruauté des humains.
Il n'a plus la notion du temps, enfermé dans sa tête,
L'enfant lui pleure à chaque instant où la tempête s'arrête.
Puis une femme sort de chez elle, lunettes de soleil,
Qui cachent des larmes et l'hématome d'un amour passionnel.
Fruit d'une union virant aux déboires à double tranchant,
Devenant coupable le soir lorsqu'il commence à boire.
Elle a perdue l'homme qu'elle aimait, volé par l'alcool,
Attendant toujours son retour et repoussant toujours l'ultimatum,
Culpabilisant, car seule et laisée l'amour rend aveugle
Surtout quand la vue donne envie de se crever les yeux.
Puis un homme style la cinquantaine sort de sa voiture,
Costard cravate, tête droite, avance avec fière allure.
Mais dans son ombre on peut lire celle d'un homme triste et seul, pas d'amis,
Juste des gens intéressé par son fric, il les a tous perdus, sa famille et ses proches,
Faute d'un égo démesuré, trop d'aigreurs dans les reproches.
Et aujourd'hui a fini par comprendre dans son malheur,
Qu'en étant seul même tout l'argent du monde n'a plus de valeur.
Il n'est jamais trop tard pour cueillir sa vie,
Rattrapé le retard tout commence aujourd'hui.
Sortir la tête de sa bulle même si ce monde nous dépasse,
Ouvrir les yeux et se libérer de nos habitudes de glace.
Il n'est jamais trop tard pour changer le courant de l'esclave,
Passé ma àtre de sa vie pour ne plus vivre mourant,
Osé plongé dans l'inconnu,
Souvent réparateur on choisit son chemin,
Il para àt que le bonheur fait peur.
Cueille ta vie, avant qu'elle à à à à à à à àê soit emportée par le vent.
Cueille ta vie, avant qu'elle soit abîmée par le temps.
Cueille ta vie, tiens là fort et ne l'enferme pas dans leur rang,
Ne là laisse pas s'envoler loin des rêves, cueille là dès maintenant.
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paroles: jeunesse de l'occident
Ce monde me rend contestataire...
Pourtant je rêve de paix et de bonheur
C'est peut-être pour ça d'ailleurs, et d'ailleurs j'peux pas me taire !
Désolée j'veux réveiller les frères et soeurs
Monde de fous, j'veux pas attendre de voir ce que l'enfer réserve !
J'suis peut-être idéaliste, certains me le reprocheront
Mais on a besoin d'idéaux pour bousculer les choses
Alors laisse moi crier, même à blanc, le mal d'une époque
Le même que tu retrouveras dans les yeux de mes sistas et de mes potes
Parce qu'on est conscient que ça tourne pas rond et qu'il n'y a pas de solutions
Du moins, pas encore, alors ça s'base sur des résolutions
On change le monde qu' à son échelle, est-tu prêt pour la Révolution?
Car faut voir à quel prix ils osent parler d'évolution...
Le Sud qui crève pour que le Nord bouffe
'Parait que c'est mort... bref, marre de voir toujours les mêmes qui morflent,
Tous confiants face au progrès technique et
Quand tout sera informatisé, on se plaindra de s'être bien fait niquer ! ! !
Parce qu'ils nous la mettent, et ça qu'on l'admette ou non
Parce qu'on veut pas d'ma àtres qui génèrent que misères et tourments
Parce que le 3/4 des peuples n'attendent que le grand tournant
Jeunesse de l'Occident, à nous de contrer les gouvernements !
Parce qu'ils nous la mettent, et ça qu'on l'admette ou non
Parce qu'on veut pas d'ma àtres qui génèrent que misères et tourments
Parce que le 3/4 des peuples n'attendent que le grand tournant
Jeunesse de l'Occident, à nous de contrer les gouvernements !
J'peux pas me plaindre, c'est aussi pour ça que j'peux pas me taire
Quand j'pense au mode de vie de mon peuple à l'autre bout de la terre
Mes amis qui m'ont dit: "Toi, t'as de la chance d'être née en France,
Tu peux te construire un avenir et venir nous voir en vacance !
Alors lâche pas! parce que tu peux encore réver..."
J'le jure au moins pour eux que j'foncerai droit jusqu' à l'arrivée
Que j'oublierai pas que la parole est une arme, que c'est rare d'être entendu
Donc j'viens pas pour glorifier les drames de la rue!...
Mais son espoir car faut y croire car
Tout est possible quand on l'veut, loin d'ceux qui veulent tous nous voire au placard
Parce qu'ensemble, unis, on pourrait faire de grandes choses
si Dieu veut, un jour vaincra la rabia del pueblo...
Ce monde me rend contestataire...
Pourtant je rêve de paix et de bonheur
C'est peut-être pour ça d'ailleurs, et d'ailleurs j'peux pas me taire !
Désolée j'veux réveiller les frères et soeurs
Monde de fous, j'veux pas attendre de voir ce que l'enfer réserve !
J'suis peut-être idéaliste, certains me le reprocheront
Mais on a besoin d'idéaux pour bousculer les choses
Alors laisse moi crier, même à blanc, le mal d'une époque
Le même que tu retrouveras dans les yeux de mes sistas et de mes potes
Parce qu'on est conscient que ça tourne pas rond et qu'il n'y a pas de solutions
Du moins, pas encore, alors ça s'base sur des résolutions
On change le monde qu' à son échelle, est-tu prêt pour la Révolution?
Car faut voir à quel prix ils osent parler d'évolution...
Le Sud qui crève pour que le Nord bouffe
'Parait que c'est mort... bref, marre de voir toujours les mêmes qui morflent,
Tous confiants face au progrès technique et
Quand tout sera informatisé, on se plaindra de s'être bien fait niquer ! ! !
Parce qu'ils nous la mettent, et ça qu'on l'admette ou non
Parce qu'on veut pas d'ma àtres qui génèrent que misères et tourments
Parce que le 3/4 des peuples n'attendent que le grand tournant
Jeunesse de l'Occident, à nous de contrer les gouvernements !
Parce qu'ils nous la mettent, et ça qu'on l'admette ou non
Parce qu'on veut pas d'ma àtres qui génèrent que misères et tourments
Parce que le 3/4 des peuples n'attendent que le grand tournant
Jeunesse de l'Occident, à nous de contrer les gouvernements !
J'peux pas me plaindre, c'est aussi pour ça que j'peux pas me taire
Quand j'pense au mode de vie de mon peuple à l'autre bout de la terre
Mes amis qui m'ont dit: "Toi, t'as de la chance d'être née en France,
Tu peux te construire un avenir et venir nous voir en vacance !
Alors lâche pas! parce que tu peux encore réver..."
J'le jure au moins pour eux que j'foncerai droit jusqu' à l'arrivée
Que j'oublierai pas que la parole est une arme, que c'est rare d'être entendu
Donc j'viens pas pour glorifier les drames de la rue!...
Mais son espoir car faut y croire car
Tout est possible quand on l'veut, loin d'ceux qui veulent tous nous voire au placard
Parce qu'ensemble, unis, on pourrait faire de grandes choses
si Dieu veut, un jour vaincra la rabia del pueblo...
-
- Posteur Occasionnel
- Messages : 94
- Enregistré le : 06 mai 2008 12:16
- Localisation : Hérault
paroles: la rue nous appartient
Expulsés de nos centres-villes, expropriés de nos droits
Colonisation trop subtile, pour que vraiment le peuple voit
Divisés dans la peur, trop renfermés sur nos merdes
Celles qu'ils sèment et dont les fruits nous arrivent en pleine geule
C'est le même bourreau qui vient taper sur nos crânes
Et entre nous on se déverse tout le poison de nos drames
Ca dort dans la rue, supporte tous les malheurs
Pendant que des batiments sont vides, dorment pour prendre de la valeur
Ca expulse des familles, des vieux des enfants
Entre cars de CRS et caméra de surveillance
Quelques années ont suffi pour aseptiser nos ruelles
Apartheid social et culturel
Aujourd'hui les fachos s'affirment, aiment nous humilier
La ville n'est plus au peuple mais aux marchands d'immobilier
Fonds spéculatifs, les appétits deviennent tarés
Depuis que la guerre aux pauvres est déclarée
Virés de nos quartiers populaires, c'est les banques qui poussent à la place
Nous ghétoïsent, nous font la guerre, pour nous envoyer à la casse
Les cowboys sont armés, prennet goût à tabasse
Veulent faire déborder le vase, pour mieux nous voir boire la tasse
C'est le nouvel ordre qui tape jusqu' à nos quartiers
Police featuring AirFrance si jamais t'as pas de papiers
Babylone construit son empire sur nos misères
Depuis que les Droits De l'Hommes sont morts lors d'une bavure policière
Génération bouc-émissaire, mégots de jeunes sous le préau
Ecrasés mais qui n'a pas dit son dernier mot
2008, injustices, y'a que des murs et des tensions
Des familles, même des enfants enfermés en rétention
Survivre dans ce merdier est devenu un mode de vie
Des SDF qui crèvent dans le froid devant des immeubles vides
La guerre aux pauvres est officielle, d àtes-leurs que ça va trop loin
Pas d'apartheid, non, la rue nous appartient
"Crie leur qu'on est le monde
Que le peuple finira par vaincre
Qu'ils ont le chiffre, qu'on a le nombre
Et que la rue nous appartient"
Mesure européenne, réhabilitation
Synonyme d'expulsion et d'aseptisation
Syndicats collabots qui jouent le jeu de la drague
Pendant que le chaos social est étouffé à coup de matraque
Une populace qui se voile la face, mais jusqu' à quand ?
Et ces putains de médias vendus qui ne connaissent que la propagande
Des flics violents qui aiment provoquer les jeunes
Gouvernemet fasciste qui nous en met plein la geule
Des fonds de pensions privés qui rachètent des quartiers entiers
Qui virent les habitants sans prendre la peine de les reloger
Sans papiers humiliés par les gardiens du chaos
Compagnies aériennes complices de la nouvelle gestapo
Trop de collabos pour les charters de la honte
Fichage ADN, coup et blessures, et déportations
J'appelle à la résistance, mobilisée sur le terrain
Désobéissance car la rue nous appartient!
Expulsés de nos villes, comme expulsés de nos vies
On ira occuper la rue, comme tous les immeubles vides
On ira affronter l'abus qui sévit et va trop loin
On se laisera pas voler la rue, car la rue nous appartient
Ils veulent dessiner l'apartheid, on dessinera le maquis
On ira se réapproprier tout ce qu'ils ont pris pour acquis
Sans logis, sans papiers, sans rêves et sans droits
Solidarité, on est ensemble, c'est le front des sans voix
Expulsés de nos centres-villes, expropriés de nos droits
Colonisation trop subtile, pour que vraiment le peuple voit
Divisés dans la peur, trop renfermés sur nos merdes
Celles qu'ils sèment et dont les fruits nous arrivent en pleine geule
C'est le même bourreau qui vient taper sur nos crânes
Et entre nous on se déverse tout le poison de nos drames
Ca dort dans la rue, supporte tous les malheurs
Pendant que des batiments sont vides, dorment pour prendre de la valeur
Ca expulse des familles, des vieux des enfants
Entre cars de CRS et caméra de surveillance
Quelques années ont suffi pour aseptiser nos ruelles
Apartheid social et culturel
Aujourd'hui les fachos s'affirment, aiment nous humilier
La ville n'est plus au peuple mais aux marchands d'immobilier
Fonds spéculatifs, les appétits deviennent tarés
Depuis que la guerre aux pauvres est déclarée
Virés de nos quartiers populaires, c'est les banques qui poussent à la place
Nous ghétoïsent, nous font la guerre, pour nous envoyer à la casse
Les cowboys sont armés, prennet goût à tabasse
Veulent faire déborder le vase, pour mieux nous voir boire la tasse
C'est le nouvel ordre qui tape jusqu' à nos quartiers
Police featuring AirFrance si jamais t'as pas de papiers
Babylone construit son empire sur nos misères
Depuis que les Droits De l'Hommes sont morts lors d'une bavure policière
Génération bouc-émissaire, mégots de jeunes sous le préau
Ecrasés mais qui n'a pas dit son dernier mot
2008, injustices, y'a que des murs et des tensions
Des familles, même des enfants enfermés en rétention
Survivre dans ce merdier est devenu un mode de vie
Des SDF qui crèvent dans le froid devant des immeubles vides
La guerre aux pauvres est officielle, d àtes-leurs que ça va trop loin
Pas d'apartheid, non, la rue nous appartient
"Crie leur qu'on est le monde
Que le peuple finira par vaincre
Qu'ils ont le chiffre, qu'on a le nombre
Et que la rue nous appartient"
Mesure européenne, réhabilitation
Synonyme d'expulsion et d'aseptisation
Syndicats collabots qui jouent le jeu de la drague
Pendant que le chaos social est étouffé à coup de matraque
Une populace qui se voile la face, mais jusqu' à quand ?
Et ces putains de médias vendus qui ne connaissent que la propagande
Des flics violents qui aiment provoquer les jeunes
Gouvernemet fasciste qui nous en met plein la geule
Des fonds de pensions privés qui rachètent des quartiers entiers
Qui virent les habitants sans prendre la peine de les reloger
Sans papiers humiliés par les gardiens du chaos
Compagnies aériennes complices de la nouvelle gestapo
Trop de collabos pour les charters de la honte
Fichage ADN, coup et blessures, et déportations
J'appelle à la résistance, mobilisée sur le terrain
Désobéissance car la rue nous appartient!
Expulsés de nos villes, comme expulsés de nos vies
On ira occuper la rue, comme tous les immeubles vides
On ira affronter l'abus qui sévit et va trop loin
On se laisera pas voler la rue, car la rue nous appartient
Ils veulent dessiner l'apartheid, on dessinera le maquis
On ira se réapproprier tout ce qu'ils ont pris pour acquis
Sans logis, sans papiers, sans rêves et sans droits
Solidarité, on est ensemble, c'est le front des sans voix
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paroles: ca nous correspond pas
Ils aiment pas les jeunes comme nous, hein!!? Style insoumis face à leurs lois,
Critères, normes, conformisme, on marche pas à ces valeurs l à ...
Nous c'est avec nos principes les plus justes qu'on avance
Qu'on compte construire, et la Révolution, te casse on la pense!
Regarde! ce monde n'est pas notre, non, vu que ce monde nous méprise
Et à force de se battre contre le vent, ya plus que le vent qui nous ma àtrise!
T'façon, toujours les mêmes pour qui ça barde
Trop de rage dans l'bide, trop d'coups en tra àtre par leur système
Maintenant j'baisse plus ma garde!!!
Qu'est-ce qu'ils croient tous, qu'on va se laisser marcher dessus!!?
Dicter nos vies!!? par un monde qui s'moque de nous, qui nous exclu
On a la Foi en l à -haut, plus importante que leurs barrières
On a nos convictions profondes, eux ne s'arrêtent que sur les bonnes manières
Ok! On a pas la forme, on a l'fond et eux sont vides d'idées
Ne connaissent que celles des autres et parlent comme des moutons téléguidés
A croire qu'ils sont tellement conditionnés
Qu'ils ne réfléchissent plus par eux-mêmes et des stéréotypes sont devenus prisonniers!
On avance peut-être à contre-sens
Mais avec bonne conscience, en paix avec nos croyances,
Nos convictions et on s'en balance
Si ça gêne Babylone qui aimerait qu'on marche à la baguette
J'emmerde leurs règles, mais j'respecte la Vie et ma planète
Ca c'est primordial à mes yeux, dons j'refuse de m'plier
A un système corrompu, immoral ou d'oublier l'passé
Car aujourd'hui n'est que sa continuité
L'bonheur n'existe pas ici, à qui la faute? La Soumission de l'Humanité!!!!!!
J'prétend pas éveiller les consciences, mais j'peux pas la fermer!
Donc même si c'est danger, j'm'en fou! rien ne m'empêchera de m'exprimer!
Même s'ils veulent qu'on s'taise en récupérant notre moov'
Aimeraient formater nos idées pour mieux nous faire rentrer dans l'moule!
Non merci!!! j'rap pour la Marge et j'en suis fière alors
Si la Marge rime avec Liberté! Pour mes soeurs et pour mes frères d'abord!!!!!
Qui se sentent incompris dans ce monde et ses notions de valeurs
Nous, on croit en la Justice du Ciel et pas en la leur!...
La vie qu'on nous impose, j'refuse!
Leurs routes toute tracées, j'refuse!
Leur Vie sans fantaisies, du style machine programmée, j'refuse!
Leurs cases et leurs routines, j'refuse!
D'écraser pour monter, j'refuse!
D'obéir à des lois ambigu à«s et répressives, j'refuse!
De fermer les poings tant que les points ne seront pas sur les "i", j'refuse!
D'être pion d'un état qui contribue à piller des pays, j'refuse!
Sur, d'oublier l'mien, j'refuse! de fermer les yeux ou les tiens, j'refuse!
De m'taire ou d'faire comme si tout allait bien, j'refuse! j'refuse! j'refuse! j'refuse! j'refuse!
Leur monde et leurs règles, ça nous correspond pas!
Leur matérialisme à l'extrême, ça nous correspond pas!
La propagande de leur influences néfastes, ça nous correspond pas!
Leurs cases, ça nous correspond pas!
Leurs buts, ça nous correspond pas!
Toutes leurs priorités économiques, ça nous correspond pas!
Leurs étiquettes catégoriques, ça nous correspond pas!
Leurs institutions et leurs lois, leurs ordres, leurs critères et leurs droits
Leurs normes, tout ça, ça nous correspond pas!!!!!!!
Prisonniers de leur système
Prisonniers on est tous et s'il parait qu'on manque pas d'air mais si ils savaient comme on étouffe ici!
Prisonniers de leurs critères
Fondés sur le mensonge, ça nous correspond pas!
Aimeraient dicter nos vies mais c'est les Anges qui guident nos pas...
Prisonniers de leur système
Prisonniers on est tous et s'il parait qu'on manque pas d'air mais si ils savaient comme on ççétouffe à à à à ici!
Prisonniers de leurs repères
Fondés sur le mensonge, ça nous correspond pas!!! ça nous correspond pas!!!
Ils aiment pas les jeunes comme nous, hein!!? Style insoumis face à leurs lois,
Critères, normes, conformisme, on marche pas à ces valeurs l à ...
Nous c'est avec nos principes les plus justes qu'on avance
Qu'on compte construire, et la Révolution, te casse on la pense!
Regarde! ce monde n'est pas notre, non, vu que ce monde nous méprise
Et à force de se battre contre le vent, ya plus que le vent qui nous ma àtrise!
T'façon, toujours les mêmes pour qui ça barde
Trop de rage dans l'bide, trop d'coups en tra àtre par leur système
Maintenant j'baisse plus ma garde!!!
Qu'est-ce qu'ils croient tous, qu'on va se laisser marcher dessus!!?
Dicter nos vies!!? par un monde qui s'moque de nous, qui nous exclu
On a la Foi en l à -haut, plus importante que leurs barrières
On a nos convictions profondes, eux ne s'arrêtent que sur les bonnes manières
Ok! On a pas la forme, on a l'fond et eux sont vides d'idées
Ne connaissent que celles des autres et parlent comme des moutons téléguidés
A croire qu'ils sont tellement conditionnés
Qu'ils ne réfléchissent plus par eux-mêmes et des stéréotypes sont devenus prisonniers!
On avance peut-être à contre-sens
Mais avec bonne conscience, en paix avec nos croyances,
Nos convictions et on s'en balance
Si ça gêne Babylone qui aimerait qu'on marche à la baguette
J'emmerde leurs règles, mais j'respecte la Vie et ma planète
Ca c'est primordial à mes yeux, dons j'refuse de m'plier
A un système corrompu, immoral ou d'oublier l'passé
Car aujourd'hui n'est que sa continuité
L'bonheur n'existe pas ici, à qui la faute? La Soumission de l'Humanité!!!!!!
J'prétend pas éveiller les consciences, mais j'peux pas la fermer!
Donc même si c'est danger, j'm'en fou! rien ne m'empêchera de m'exprimer!
Même s'ils veulent qu'on s'taise en récupérant notre moov'
Aimeraient formater nos idées pour mieux nous faire rentrer dans l'moule!
Non merci!!! j'rap pour la Marge et j'en suis fière alors
Si la Marge rime avec Liberté! Pour mes soeurs et pour mes frères d'abord!!!!!
Qui se sentent incompris dans ce monde et ses notions de valeurs
Nous, on croit en la Justice du Ciel et pas en la leur!...
La vie qu'on nous impose, j'refuse!
Leurs routes toute tracées, j'refuse!
Leur Vie sans fantaisies, du style machine programmée, j'refuse!
Leurs cases et leurs routines, j'refuse!
D'écraser pour monter, j'refuse!
D'obéir à des lois ambigu à«s et répressives, j'refuse!
De fermer les poings tant que les points ne seront pas sur les "i", j'refuse!
D'être pion d'un état qui contribue à piller des pays, j'refuse!
Sur, d'oublier l'mien, j'refuse! de fermer les yeux ou les tiens, j'refuse!
De m'taire ou d'faire comme si tout allait bien, j'refuse! j'refuse! j'refuse! j'refuse! j'refuse!
Leur monde et leurs règles, ça nous correspond pas!
Leur matérialisme à l'extrême, ça nous correspond pas!
La propagande de leur influences néfastes, ça nous correspond pas!
Leurs cases, ça nous correspond pas!
Leurs buts, ça nous correspond pas!
Toutes leurs priorités économiques, ça nous correspond pas!
Leurs étiquettes catégoriques, ça nous correspond pas!
Leurs institutions et leurs lois, leurs ordres, leurs critères et leurs droits
Leurs normes, tout ça, ça nous correspond pas!!!!!!!
Prisonniers de leur système
Prisonniers on est tous et s'il parait qu'on manque pas d'air mais si ils savaient comme on étouffe ici!
Prisonniers de leurs critères
Fondés sur le mensonge, ça nous correspond pas!
Aimeraient dicter nos vies mais c'est les Anges qui guident nos pas...
Prisonniers de leur système
Prisonniers on est tous et s'il parait qu'on manque pas d'air mais si ils savaient comme on ççétouffe à à à à ici!
Prisonniers de leurs repères
Fondés sur le mensonge, ça nous correspond pas!!! ça nous correspond pas!!!
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paroles: le Rap a perdu ces esprits
Eh, l'rap, l'ennemi que tu contestais à tes débuts t'a récupéré
et tes soldats se tirent dessus, ont perdu de vue leur mission et leur camp
ont oublié que peu d'entre nous ont la parole et qu'elle est rare et précieuse...
Qu'elle peut faire mal comme elle peut soulager
Qu'elle peut abattre l'espoir ou crier l'mal d'un peuple crier quitte à outrager
Représenter ses idéaux ou ceux
D'une génération perdue bien consciente que ça tourne pas rond ici...
L'espoir dans le coeur des miens s'épuise net
Mais gardons la Foi qu'un nouveau jours puisse na àtre
On peut pas changer le monde ça c'est sûr si on s'le dit
On peut le changer à son échelle déj à , c'est toujours mieux que le subir....
Et toi l'rap, t'as oublié ce qui faisait ta force
Et l'rap, retourne pas ta veste ta contestation est dans le fossé
Et l'rap, réveille toi, j'sais que t'es pas mort juste hypnotisé
Par l'Ennemi, celui qu' à la base tu maudissait
Et l'rap, certains ont besoin de toi en bas
La voix des oubliés, souviens toi, l'combat est rude et beaucoup croient en toi
En ton intégrité, tes revendications
Mais l'rap t'es libre donc prend-le comme une indication...
Eh l'rap ! Haut-parleur de ceux
Qui ne représentent rien aux yeux
Du monde, indomptable, mais ta fougue s'est sauvée dans les cieux
Amadoué, changeant radicalement de discourt
Rappeur capitaliste focalisant sur ses ventes de disques où
sont passé tes valeurs? car la parole une flèche
Mais ta cible devenue invisible, ça tire dans tous les sens ! eh merde ! !
Eh l'rap, t'a perdu de vue ta lutte, embourgeoisé
Ton petit confort avant tout, hein, c'est sûr que l à t'es plus pourchassé
Mais fais gaffe car ils aimeraient te déraciner
Te dénature en te déviant de tes principes faisant de toi un produit lassigné
En fait, il faudrait juste que tu reprenne position
Mais l'rap t'es libre donc prend-le comme une supposition...
J'ai pas connu l'enfance du rap, j'suis arrivée à son adolescence
Cette période sans limites, où le mot "docil" n'a pas trop de sens
Où c'est l'coeur qui compte, autant que sa vérité
Fidel à sa cause même s'il se faisait traiter de sale irrité
Depuis il a bien changé, devenu un bonne adulte bien
intégré commençant même à oublier d'où il vient...
Nous snobe!... ne parlant que de fiestas et de liasses
Mais l'combat est ailleurs, l'ont endormi, l'rap est devenu mondain, hélas...
Eh l'rap réveille toi! reviens avec nous t'es
pas un mouton à la base, mais un résistant qui représentait
La souffrance des incompris, le mal de ce monde
Les erreurs d'un système pourri, oh oui ton rôle était noble
La voix du peuple, la rage des minorités
Mais aujourd'hui, seul le style, la gloire et l'argent sont tes priorités
N'oublie pas ton combat! N'oublie pas ceux d'en bas! mais
L'rap, t'es libre donc prend-le comme un conseil d'ami...
L'rap a perdu ses esprits, impossible à raisonner
Un peu comme hypnotisé
A croire que les jolies paillettes l'ont impressionné
Récupéré dans leur camp pour mieux l'emprisonner
Eh l'rap tes Soldats s'entretuent, n'oublie pas ta mission eh yo !....
L'rap a perdu ses esprits, impossible à raisonner
Un peu comme hypnotisé
A croire que les jolies paillettes l'ont impressionné
Récupéré dans leur camp pour mieux l'emprisonner
Eh l'rap tes Soldats s'entretuent, n'oublie pas ta mission eh yo !....
Qui prétend faire du rap sans prendre position?!
Eh l'rap! tes Soldats s'entretuent, ont perdu leur mission...
Eh l'rap! Tes Soldats s'entretuent... on fait parti du même camp!....
Eh, l'rap, l'ennemi que tu contestais à tes débuts t'a récupéré
et tes soldats se tirent dessus, ont perdu de vue leur mission et leur camp
ont oublié que peu d'entre nous ont la parole et qu'elle est rare et précieuse...
Qu'elle peut faire mal comme elle peut soulager
Qu'elle peut abattre l'espoir ou crier l'mal d'un peuple crier quitte à outrager
Représenter ses idéaux ou ceux
D'une génération perdue bien consciente que ça tourne pas rond ici...
L'espoir dans le coeur des miens s'épuise net
Mais gardons la Foi qu'un nouveau jours puisse na àtre
On peut pas changer le monde ça c'est sûr si on s'le dit
On peut le changer à son échelle déj à , c'est toujours mieux que le subir....
Et toi l'rap, t'as oublié ce qui faisait ta force
Et l'rap, retourne pas ta veste ta contestation est dans le fossé
Et l'rap, réveille toi, j'sais que t'es pas mort juste hypnotisé
Par l'Ennemi, celui qu' à la base tu maudissait
Et l'rap, certains ont besoin de toi en bas
La voix des oubliés, souviens toi, l'combat est rude et beaucoup croient en toi
En ton intégrité, tes revendications
Mais l'rap t'es libre donc prend-le comme une indication...
Eh l'rap ! Haut-parleur de ceux
Qui ne représentent rien aux yeux
Du monde, indomptable, mais ta fougue s'est sauvée dans les cieux
Amadoué, changeant radicalement de discourt
Rappeur capitaliste focalisant sur ses ventes de disques où
sont passé tes valeurs? car la parole une flèche
Mais ta cible devenue invisible, ça tire dans tous les sens ! eh merde ! !
Eh l'rap, t'a perdu de vue ta lutte, embourgeoisé
Ton petit confort avant tout, hein, c'est sûr que l à t'es plus pourchassé
Mais fais gaffe car ils aimeraient te déraciner
Te dénature en te déviant de tes principes faisant de toi un produit lassigné
En fait, il faudrait juste que tu reprenne position
Mais l'rap t'es libre donc prend-le comme une supposition...
J'ai pas connu l'enfance du rap, j'suis arrivée à son adolescence
Cette période sans limites, où le mot "docil" n'a pas trop de sens
Où c'est l'coeur qui compte, autant que sa vérité
Fidel à sa cause même s'il se faisait traiter de sale irrité
Depuis il a bien changé, devenu un bonne adulte bien
intégré commençant même à oublier d'où il vient...
Nous snobe!... ne parlant que de fiestas et de liasses
Mais l'combat est ailleurs, l'ont endormi, l'rap est devenu mondain, hélas...
Eh l'rap réveille toi! reviens avec nous t'es
pas un mouton à la base, mais un résistant qui représentait
La souffrance des incompris, le mal de ce monde
Les erreurs d'un système pourri, oh oui ton rôle était noble
La voix du peuple, la rage des minorités
Mais aujourd'hui, seul le style, la gloire et l'argent sont tes priorités
N'oublie pas ton combat! N'oublie pas ceux d'en bas! mais
L'rap, t'es libre donc prend-le comme un conseil d'ami...
L'rap a perdu ses esprits, impossible à raisonner
Un peu comme hypnotisé
A croire que les jolies paillettes l'ont impressionné
Récupéré dans leur camp pour mieux l'emprisonner
Eh l'rap tes Soldats s'entretuent, n'oublie pas ta mission eh yo !....
L'rap a perdu ses esprits, impossible à raisonner
Un peu comme hypnotisé
A croire que les jolies paillettes l'ont impressionné
Récupéré dans leur camp pour mieux l'emprisonner
Eh l'rap tes Soldats s'entretuent, n'oublie pas ta mission eh yo !....
Qui prétend faire du rap sans prendre position?!
Eh l'rap! tes Soldats s'entretuent, ont perdu leur mission...
Eh l'rap! Tes Soldats s'entretuent... on fait parti du même camp!....
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- Localisation : Hérault
paroles : dur d'etre optimiste
J'ai mal et j'en ai marre d'écrire des textes tristes
Mes cahiers en sont remplis, j'me demande vraiment si l'répis existe
Bien-sur que j'aimerai donner de la joie
J'aimerai donner, j'avoue, autre chose que de la colère ou de la tristesse mais pas l'choix
Mon encre se déverse et mes vers se trempe dans mes larmes
J'écris parce que j'ai pas appris à parler
Pas appris à pleurer, parce que j'explose
Parce que j'ai que ça dans la vie, et parce que la destruction est mon ex-taule
T'façon c'est ça ou rien
Que la Vie m'excuse, mais déj à tuée par le système! Des fois c'est "plus rien à foutre!"
J'me perds dans les pages de ma vie, dans les poches du souvenir
Les pièges de la haine et j'vois les sous nuire
Les nerfs des miens, angoissons...
Et on apaise l'ennuie et chaque chagrin dans l'illusion joviale de la boisson
Vodka, punch, shit variés comme en Hollande
Skunk trafiquée et bienvenue dans la "Parano Land"....
Merde! J'aimerai arrêter l'temps
Car plus il passe et plus ça empire dans nos coeur et dehors en même temps
J'rêve tant d'paix et d'sérénité qui évoque
Deux utopies qui ne riment plus avec ce monde et cette époque
On m'a dit que Babylone était le paradis, alors l'enfer me manque...
En manque d'air depuis que j'ai connu l'enfermement
Passé triste et glauque
Foyer, drogues, matrice et blocs
Câbles qui déglinguent, rues qui schlinguent, ça m'attriste et j'troque
Cette saleté pour un mic en restant intègre
J'oublie pas les aléas de ma vie, non ma vision reste impec'
Et j'm'en tape si ya pas de techniques dans mon rap
J'nique les artifices mec j'déballe juste ce qui m'traque
Au fond d'moi, joie en faillite, douleur en voix lead
La rage envoie l'ode, système carotte et paix invalide
Jeunesse énervée et victime d'incompréhension
Peuple sous tension, on sait, et gosses en manque d'attention
Putain de monde avide!
Mais bon, tu connais déj à mon avis
Système noyé dans l'illusion où seul les démons naviguent
Nous manipule, et ça m'rend tarée car j'veux pas de ma àtres
Alors laisse moi gueuler que j'emmerde l'ordre moral, mec!
La hiérarchie et leurs grades, toutes leurs valeurs crades et
Ce qu'ils ont volé aux peuples accueillant, harmonie bradée!
Rien à battre de toutes leurs lois à la con, c'est hardcore
S'ils croient éteindre un feu avec de l'essence coupée à l'alcool...
Illogique... bien loin des pensées idéologique
Cerveaux pollués, et tous nourris à la bouffe biologique
Télé mensongère, manipulation des médias
"Vive l'évolution" tu parles! Plus rien ne va dans l'immédiat
Travailler, travailler, comme un esclave sans cha ànes
Pour Babylone, menteur conquérant qui s'appuie sans gênes
Sur les pays du Tiers-monde pour construire ses tours
Arnaques des matières premières et ça sans faire de détours
Mots qui sonnent faux comme diabolisation
Multinationales, FMI, G8 et mondialisation
Focalisation sur la terre maudite: USA
Et eux ça leurs fera tout drôle le jour où la Roue tournera...
Dur d'être optimiste en regardant l'état du monde
En regardant l'état de nos vies où au fond seul les ratures montent
On évolue comme dans un gribouillage
Fait d'brouillages et d'rouages
Qui nous tuera par manque de raison et de courage
Dur d'être optimiste en regardant l'état du monde
En regardant l'état de nos vies où au fond seul les ratures montent
Pris à notre propre piège comme on a pas idée
L'Apocalypse commence dès que l'Homme a perdu son humanité...
J'ai mal et j'en ai marre d'écrire des textes tristes
Mes cahiers en sont remplis, j'me demande vraiment si l'répis existe
Bien-sur que j'aimerai donner de la joie
J'aimerai donner, j'avoue, autre chose que de la colère ou de la tristesse mais pas l'choix
Mon encre se déverse et mes vers se trempe dans mes larmes
J'écris parce que j'ai pas appris à parler
Pas appris à pleurer, parce que j'explose
Parce que j'ai que ça dans la vie, et parce que la destruction est mon ex-taule
T'façon c'est ça ou rien
Que la Vie m'excuse, mais déj à tuée par le système! Des fois c'est "plus rien à foutre!"
J'me perds dans les pages de ma vie, dans les poches du souvenir
Les pièges de la haine et j'vois les sous nuire
Les nerfs des miens, angoissons...
Et on apaise l'ennuie et chaque chagrin dans l'illusion joviale de la boisson
Vodka, punch, shit variés comme en Hollande
Skunk trafiquée et bienvenue dans la "Parano Land"....
Merde! J'aimerai arrêter l'temps
Car plus il passe et plus ça empire dans nos coeur et dehors en même temps
J'rêve tant d'paix et d'sérénité qui évoque
Deux utopies qui ne riment plus avec ce monde et cette époque
On m'a dit que Babylone était le paradis, alors l'enfer me manque...
En manque d'air depuis que j'ai connu l'enfermement
Passé triste et glauque
Foyer, drogues, matrice et blocs
Câbles qui déglinguent, rues qui schlinguent, ça m'attriste et j'troque
Cette saleté pour un mic en restant intègre
J'oublie pas les aléas de ma vie, non ma vision reste impec'
Et j'm'en tape si ya pas de techniques dans mon rap
J'nique les artifices mec j'déballe juste ce qui m'traque
Au fond d'moi, joie en faillite, douleur en voix lead
La rage envoie l'ode, système carotte et paix invalide
Jeunesse énervée et victime d'incompréhension
Peuple sous tension, on sait, et gosses en manque d'attention
Putain de monde avide!
Mais bon, tu connais déj à mon avis
Système noyé dans l'illusion où seul les démons naviguent
Nous manipule, et ça m'rend tarée car j'veux pas de ma àtres
Alors laisse moi gueuler que j'emmerde l'ordre moral, mec!
La hiérarchie et leurs grades, toutes leurs valeurs crades et
Ce qu'ils ont volé aux peuples accueillant, harmonie bradée!
Rien à battre de toutes leurs lois à la con, c'est hardcore
S'ils croient éteindre un feu avec de l'essence coupée à l'alcool...
Illogique... bien loin des pensées idéologique
Cerveaux pollués, et tous nourris à la bouffe biologique
Télé mensongère, manipulation des médias
"Vive l'évolution" tu parles! Plus rien ne va dans l'immédiat
Travailler, travailler, comme un esclave sans cha ànes
Pour Babylone, menteur conquérant qui s'appuie sans gênes
Sur les pays du Tiers-monde pour construire ses tours
Arnaques des matières premières et ça sans faire de détours
Mots qui sonnent faux comme diabolisation
Multinationales, FMI, G8 et mondialisation
Focalisation sur la terre maudite: USA
Et eux ça leurs fera tout drôle le jour où la Roue tournera...
Dur d'être optimiste en regardant l'état du monde
En regardant l'état de nos vies où au fond seul les ratures montent
On évolue comme dans un gribouillage
Fait d'brouillages et d'rouages
Qui nous tuera par manque de raison et de courage
Dur d'être optimiste en regardant l'état du monde
En regardant l'état de nos vies où au fond seul les ratures montent
Pris à notre propre piège comme on a pas idée
L'Apocalypse commence dès que l'Homme a perdu son humanité...
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- Localisation : Hérault
parole: priére
Seigneur, aide mes pensées à raisonner correctement
Ce monde veut m'enseigner la peur, et de A à Z me ment
Je te cherche en mon âme, en essayant de la conna àtre
Ma mémoire veut accro àtre mon mal en l'insufflant sur ma comète
Plus j'avance, plus j'affronte mes résidus tristes
J'me retrouve à lutter contre mes pulsions autodestructrices
O mon Dieu, Seigneur des seigneurs, Roi des rois
Eternel Créateur, tes Commandements seront mes Lois
Parle à mon âme, envoie moi un Ange quand je me perd
Un signe, un présage, des éclats de pétales dans leur jeu de pierre
Du libre-arbitre, mon espèce s'est retournée vers le Démon
Et mon espèce me dit folle, lorsque ce fait je le dénonce
X siècles de tortures, le cérébral spécule l'ordure
Le matériel n'est qu'illusion, la Connaissance la vraie Fortune
Non pas leurs connaissances tordues, mais l'Immuable que rien ne corrompt
Nourriture spirituelle pour mieux ranimer la Colombe
Seigneur, aide mon âme, que ce monde voudrait voire perdue
Car j'ai refusé de la vendre pour accéder à la Vertu
Mes frères planent dans le doute, donne leur la Force de rester Droit
La Sagesse m'a dit "connais-toi, pour voir le Ciel, faut rester Toi"
Ce monde blasphème, la Foi considérée comme futile
Par ceux qui ne voient pas tes Signes, ne discernant pas le Subtil
Mais voudraient donner des leçons aux serviteurs de ta Lumière
Ceux qui savent que Demain sera sûrement ce qu'on a vu Hier
Je ne suis qu'une âme égarée, mais réceptive à ton Amour
Alors je t'en pris éclaire-moi, ce monde veut me mettre dans un moule
Se fout pas mal de nos Désirs; ceux du coeur, pas de l'ego
Alors j'agis avec amour, pour mieux l'entendre dans ton écho
Seigneur, calme ma colère, elle est la faille de tous mes maux
J'ai trop mémorisé le mal, et elle resurg àt dans mes mots
Accepte mon humble repenti, sur la route que j'arpente
Reste près de mon âme, je t'en prie, comme lorsque je remontais la pente
Seigneur, guide mes pas, peu importe ce qu'il advienne
Donne moi la Force d'avoir la Foi, chaque jour plus que la veille
Réchauffe le coeur, de ceux qui souffrent, Toi qui souffles la Vie
Que ton Soleil puisse éclairer nos Lunes quand s'ouvre la Nuit
Réconforte de ton Amour, l'enfant seul et malheureux
Protège ces peuples courageux qui survivent les larmes aux yeux
Guide mon espèce à faire la Paix avec la Création
A faire la Paix avec les Siens et à chasser l'Aliénation
Seigneur, fais comprendre à l'Homme, que son Prochain est son Frère
Que toutes nos cultures différentes sur le globe sont une Richesse
L'Homme s'est construit un monde inhumain, écrasant les gens simples
Eclaire le coeur de nos bourreaux pour qu'ils puissent devenir Humble
Qu'il puisse voir avec le Coeur, pas avec l'ego ni la tête
Afin de ne plus jamais oublier qu'on est les Gardiens de la Terre
Que le poids de nos Karmas redevienne Plume
Et que les Rayons Indigos de nos Soleils puissent percer cette Brume
Seigneur,
Que ta Volonté soit faite... Sur la Terre comme au Ciel
Seigneur, aide mes pensées à raisonner correctement
Ce monde veut m'enseigner la peur, et de A à Z me ment
Je te cherche en mon âme, en essayant de la conna àtre
Ma mémoire veut accro àtre mon mal en l'insufflant sur ma comète
Plus j'avance, plus j'affronte mes résidus tristes
J'me retrouve à lutter contre mes pulsions autodestructrices
O mon Dieu, Seigneur des seigneurs, Roi des rois
Eternel Créateur, tes Commandements seront mes Lois
Parle à mon âme, envoie moi un Ange quand je me perd
Un signe, un présage, des éclats de pétales dans leur jeu de pierre
Du libre-arbitre, mon espèce s'est retournée vers le Démon
Et mon espèce me dit folle, lorsque ce fait je le dénonce
X siècles de tortures, le cérébral spécule l'ordure
Le matériel n'est qu'illusion, la Connaissance la vraie Fortune
Non pas leurs connaissances tordues, mais l'Immuable que rien ne corrompt
Nourriture spirituelle pour mieux ranimer la Colombe
Seigneur, aide mon âme, que ce monde voudrait voire perdue
Car j'ai refusé de la vendre pour accéder à la Vertu
Mes frères planent dans le doute, donne leur la Force de rester Droit
La Sagesse m'a dit "connais-toi, pour voir le Ciel, faut rester Toi"
Ce monde blasphème, la Foi considérée comme futile
Par ceux qui ne voient pas tes Signes, ne discernant pas le Subtil
Mais voudraient donner des leçons aux serviteurs de ta Lumière
Ceux qui savent que Demain sera sûrement ce qu'on a vu Hier
Je ne suis qu'une âme égarée, mais réceptive à ton Amour
Alors je t'en pris éclaire-moi, ce monde veut me mettre dans un moule
Se fout pas mal de nos Désirs; ceux du coeur, pas de l'ego
Alors j'agis avec amour, pour mieux l'entendre dans ton écho
Seigneur, calme ma colère, elle est la faille de tous mes maux
J'ai trop mémorisé le mal, et elle resurg àt dans mes mots
Accepte mon humble repenti, sur la route que j'arpente
Reste près de mon âme, je t'en prie, comme lorsque je remontais la pente
Seigneur, guide mes pas, peu importe ce qu'il advienne
Donne moi la Force d'avoir la Foi, chaque jour plus que la veille
Réchauffe le coeur, de ceux qui souffrent, Toi qui souffles la Vie
Que ton Soleil puisse éclairer nos Lunes quand s'ouvre la Nuit
Réconforte de ton Amour, l'enfant seul et malheureux
Protège ces peuples courageux qui survivent les larmes aux yeux
Guide mon espèce à faire la Paix avec la Création
A faire la Paix avec les Siens et à chasser l'Aliénation
Seigneur, fais comprendre à l'Homme, que son Prochain est son Frère
Que toutes nos cultures différentes sur le globe sont une Richesse
L'Homme s'est construit un monde inhumain, écrasant les gens simples
Eclaire le coeur de nos bourreaux pour qu'ils puissent devenir Humble
Qu'il puisse voir avec le Coeur, pas avec l'ego ni la tête
Afin de ne plus jamais oublier qu'on est les Gardiens de la Terre
Que le poids de nos Karmas redevienne Plume
Et que les Rayons Indigos de nos Soleils puissent percer cette Brume
Seigneur,
Que ta Volonté soit faite... Sur la Terre comme au Ciel
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- Posteur Occasionnel
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paroles: j'vien de l'incendie
J'viens de l'incendie, donc excuse la tête brûlée
Rimes vagabondes en guise de calmant ou de remède, en clair, du vrai
Du poison dans la tête, une enfance dans l'errance
Libre dans la Marge, trop sauvage, pour rentrer dans les rangs
Fugues incessantes, foyets et centres de merde
Familles d'accueil, HP, mon stylo en tremble de nerfs
L'enfant part en guerre, la même que les parents craignent
Qu'on considère comme une merde, lorsqu'on la place en quarantaine!
Qu'on appelle cas social, mais on est plein, donc on est plus des cas
Bande de cons! on est plein, vous savez quoi, même? on craint plus dégun!!
Et ça missionne, dur comme la rage que mon crâne isole
Pour oublier qu' à 15 ans ils m'ont fait subir la camisole!
Quand le système veut ta peau, ok la guerre sonne!
Facile de piétiner ces mômes qui n'appartiennent à personne
Qu'on assomme à coup de cachets, pour avoir la paix
J'peux pas zapper! tu voulais qu'on la ferme?! moi, j'ai choisi de rapper!
J'oublie pas, qu'ils m'ont tout pris...
Qu' à 14 ans pour des fugues, j'ai vu ma mort derrière les murs de l'oubli
Cellule blindée, délabrée, si tu résistes t'as une piqûre dans l'baba
L à où les promenades n'existent pas...
Voudraient me voir caner, plus jamais on pourra m'calmer!
Rescapée de l'incendie avec cette sale envie de tout cramer!
Car ils ont fait de ma vie des cendres...
Marquée à tout jamais! Ma rage ne pourra jamais redescendre!!!
Adolescence à esquiver leurs barrages stressants
La rue... j'y dormais déj à à l'âge de 13 ans
Pistée par les flics, jours et nuits, la chasse est ouverte
Et quand la loi abuse de son pouvoir, cette pute est couverte!
Les étoiles restent les seuls témoins de mes confidences
L'enfant seule que personne ne console quand les conflits dansent
La faim, le froid, la fatigue et les coups
Un monde fait de mensonges, ça aide pas à faciliter l'écoute!
De force, ils ont voulu me mettre assise,
Me voler ma liberté, pour ça, ils m'ont coupé les ailes à la scie!
Brûler mes rêves à l'acide, que mon âme crève à l'asile,
Que leurs glaives s'installent ainsi, on reconna àt les tra àtres à l'insigne,
Sauvée par la zik, car elle a payé ma rançon
Des mots pour panser mes plaies quand mon avenir était en sang
Leurs schémas ne sont qu'illusions que la Foi transcende
Au feu! ils testent des cachets sur les enfants de centres!!
Rebondir, après les coups du sort, est devenu machinal
La voie des hors-la-loi pour une gosse qu'on a rendu marginale
Jeune dévoyée, placée de foyets en foyets,
Leur putain de machine veut me broyer, mais vas-y, lâche-moi, j'ai mal!
J'rentre pas dans ton moule, mon besoin de liberté est trop grand
"Dresser ces sauvages", ah bon?! alors j'emmerde ton slogan!
Retiens bien! tes ordres et ton système, je m'en tape!
Esquiver tes lois est devenu un vulgaire jeu mental!
Ma revanche! l'épée, j'la brandis avec Foi
Trop de carences dans l'coeur, mes plaies ont grandit avec moi!
C'est trop tard, pour que j'guerrisse, c'est trop tard, au point même
De ne plus pouvoir expliquer les douleurs qui me malmènent
Alors j'cours! mais mon passé me rattrape,
J'cours! malgré les boulets, mais ma mémoire veut m'abattre,
J'cours! sans cesse et sans répit, sachant pertinemment,
Que le poison est dans ma tête et qu'on ne peut semer son ombre!!
J'cours!
J'viens de l'incendie, et il coule encore dans mes veines
Comme si j'abritais un volcan, sa lave a brûlé tous mes rêves
Mon enfance, jetée dans les flammes, calcinée, en cendre
J'respire la poussière, j'ai mal, mon coeur est en sang
J'viens de l'incendie, regarde les brûlures de mon âme
Marquée au fer rouge, comment faire? ma mémoire me condamne
Des douleurs intérieures, lancinantes, impérissables
Me bouff àent, jours et nuits, comment soigner l'inguérissable?!!
J'viens de l'incendie, donc excuse la tête brûlée
Rimes vagabondes en guise de calmant ou de remède, en clair, du vrai
Du poison dans la tête, une enfance dans l'errance
Libre dans la Marge, trop sauvage, pour rentrer dans les rangs
Fugues incessantes, foyets et centres de merde
Familles d'accueil, HP, mon stylo en tremble de nerfs
L'enfant part en guerre, la même que les parents craignent
Qu'on considère comme une merde, lorsqu'on la place en quarantaine!
Qu'on appelle cas social, mais on est plein, donc on est plus des cas
Bande de cons! on est plein, vous savez quoi, même? on craint plus dégun!!
Et ça missionne, dur comme la rage que mon crâne isole
Pour oublier qu' à 15 ans ils m'ont fait subir la camisole!
Quand le système veut ta peau, ok la guerre sonne!
Facile de piétiner ces mômes qui n'appartiennent à personne
Qu'on assomme à coup de cachets, pour avoir la paix
J'peux pas zapper! tu voulais qu'on la ferme?! moi, j'ai choisi de rapper!
J'oublie pas, qu'ils m'ont tout pris...
Qu' à 14 ans pour des fugues, j'ai vu ma mort derrière les murs de l'oubli
Cellule blindée, délabrée, si tu résistes t'as une piqûre dans l'baba
L à où les promenades n'existent pas...
Voudraient me voir caner, plus jamais on pourra m'calmer!
Rescapée de l'incendie avec cette sale envie de tout cramer!
Car ils ont fait de ma vie des cendres...
Marquée à tout jamais! Ma rage ne pourra jamais redescendre!!!
Adolescence à esquiver leurs barrages stressants
La rue... j'y dormais déj à à l'âge de 13 ans
Pistée par les flics, jours et nuits, la chasse est ouverte
Et quand la loi abuse de son pouvoir, cette pute est couverte!
Les étoiles restent les seuls témoins de mes confidences
L'enfant seule que personne ne console quand les conflits dansent
La faim, le froid, la fatigue et les coups
Un monde fait de mensonges, ça aide pas à faciliter l'écoute!
De force, ils ont voulu me mettre assise,
Me voler ma liberté, pour ça, ils m'ont coupé les ailes à la scie!
Brûler mes rêves à l'acide, que mon âme crève à l'asile,
Que leurs glaives s'installent ainsi, on reconna àt les tra àtres à l'insigne,
Sauvée par la zik, car elle a payé ma rançon
Des mots pour panser mes plaies quand mon avenir était en sang
Leurs schémas ne sont qu'illusions que la Foi transcende
Au feu! ils testent des cachets sur les enfants de centres!!
Rebondir, après les coups du sort, est devenu machinal
La voie des hors-la-loi pour une gosse qu'on a rendu marginale
Jeune dévoyée, placée de foyets en foyets,
Leur putain de machine veut me broyer, mais vas-y, lâche-moi, j'ai mal!
J'rentre pas dans ton moule, mon besoin de liberté est trop grand
"Dresser ces sauvages", ah bon?! alors j'emmerde ton slogan!
Retiens bien! tes ordres et ton système, je m'en tape!
Esquiver tes lois est devenu un vulgaire jeu mental!
Ma revanche! l'épée, j'la brandis avec Foi
Trop de carences dans l'coeur, mes plaies ont grandit avec moi!
C'est trop tard, pour que j'guerrisse, c'est trop tard, au point même
De ne plus pouvoir expliquer les douleurs qui me malmènent
Alors j'cours! mais mon passé me rattrape,
J'cours! malgré les boulets, mais ma mémoire veut m'abattre,
J'cours! sans cesse et sans répit, sachant pertinemment,
Que le poison est dans ma tête et qu'on ne peut semer son ombre!!
J'cours!
J'viens de l'incendie, et il coule encore dans mes veines
Comme si j'abritais un volcan, sa lave a brûlé tous mes rêves
Mon enfance, jetée dans les flammes, calcinée, en cendre
J'respire la poussière, j'ai mal, mon coeur est en sang
J'viens de l'incendie, regarde les brûlures de mon âme
Marquée au fer rouge, comment faire? ma mémoire me condamne
Des douleurs intérieures, lancinantes, impérissables
Me bouff àent, jours et nuits, comment soigner l'inguérissable?!!
- tisiphoné
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Non je suis pas son agent mais "culture & découverte" me permet de vous la faire découvrir pour ceux qui n'en ont jamais entendu parlé , en fait elle est pas beaucoup connu car elle n'aime pas se mettre en avant , et refuse les interviews , son combat c'est plutot du style
"anonyme dans la masse avec un haut-parleur"
Donc sa promo , c'est pas elle qui s'en occupe , mais ces textes qui respire l'espoir d'un monde meilleur et en aucun cas la haine , vous pouvez maintenant faire votre propre opinion , generalement Keny , on Aime ou on déteste mais elle ne laisse pas indifférent ...
"anonyme dans la masse avec un haut-parleur"
Donc sa promo , c'est pas elle qui s'en occupe , mais ces textes qui respire l'espoir d'un monde meilleur et en aucun cas la haine , vous pouvez maintenant faire votre propre opinion , generalement Keny , on Aime ou on déteste mais elle ne laisse pas indifférent ...
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- Localisation : Hérault
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