Je ne vois pas très bien ce que Sarkosy vient faire là-dedans, mais, nous parlerions d'une façon de cuisiner les rognons à l'ail, tu arriverais à caser son nom.Fonck1 a écrit : oui,je pensais plutôt a boule de nerf....

Je ne vois pas très bien ce que Sarkosy vient faire là-dedans, mais, nous parlerions d'une façon de cuisiner les rognons à l'ail, tu arriverais à caser son nom.Fonck1 a écrit : oui,je pensais plutôt a boule de nerf....
ben, c'était bien son directeur de campagne à l'époque, non ?Jarod1 a écrit : Je ne vois pas très bien ce que Sarkosy vient faire là-dedans, mais, nous parlerions d'une façon de cuisiner les rognons à l'ail, tu arriverais à caser son nom.
Et ?tisiphoné a écrit : ben, c'était bien son directeur de campagne à l'époque, non ?
et bacchus dans la gorge ?Fonck1 a écrit : l'eau des nouilles me coule le long des c......
karachi?tisiphoné a écrit : et bacchus dans la gorge ?![]()
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La justice s'interroge sur l'existence d'éventuelles rétrocommissions liées à la vente de sous-marins au Pakistan qui auraient été destinées au financement de la campagne présidentielle de l'ex-Premier ministre Edouard Balladur et dont le porte-parole était Nicolas Sarkozy.Nouveau rebondissement dans l'affaire Karachi. L'ancien ministre de la Défense Charles Millon a confirmé devant le juge Renaud Van Ruymbeke l'existence de rétrocommissions versées jusqu'en 1995 en marge d'un contrat de vente au Pakistan de sous-marins français.
L'ancien ministre a confié au juge que "dans les quinze jours qui ont suivi" sa nomination au gouvernement en 1995, Jacques Chirac lui "a demandé de procéder à la révision des contrats d'armement et de vérifier dans la mesure du possible s'il existait des indices sur l'existence de rétrocommissions."
Du point de vue des victimes, on se focalise sur le payeur présumé et pas sur l'auteur des représailles...Patrick_NL a écrit : "aucune preuve ", ce n'est pas l'avis de l'avocat des victimes. Heureusement pour lui, le ptit a l'imunite presidentielle donc wait and see.
Là est la seule question : rien, absolument rien ne justifie de faire exploser une bombe en dehors d'un champ de bataille (et encore, même là...).Jackout a écrit :Du point de vue des victimes, on se focalise sur le payeur présumé et pas sur l'auteur des représailles...
Je crois que les commissions sont d'une part et l'attentat d'autre part bien qu'il y ait un lien.
Qui à fait exploser la bombe ? C'est plus facile du coté des victimes de se focaliser sur une cible présumé atteignable que les militaires de Karachi qui a priori ne seront jamais inquiété.
En fait il faudrait deux dossiers d'enquête judiciaire.
Le président du Conseil constitutionnel, Jean-Louis Debré, a refusé de transmettre à un juge enquêtant sur de possibles faits de corruption les délibérations sur les comptes de la campagne présidentielle d'Edouard Balladur en 1995, a-t-on appris mercredi de source judiciaire.
Dans un courrier envoyé le 9 novembre au juge d'instruction Renaud Van Ruymbeke, auquel cette source a eu accès, Jean-Louis Debré explique que ces délibérations sont couvertes par le secret pendant 25 ans, aux termes d'une loi organique de 2008.
Le juge avait fait cette demande après la découverte par la police au Conseil constitutionnel d'autres pièces montrant que ses rapporteurs avaient demandé en vain en 1995 le rejet des comptes de campagne d'Edouard Balladur. Ces comptes comportent des versements en espèces non justifiés de plus de 13 millions de francs (deux millions d'euros).
Edouard Balladur a expliqué à l'époque au Conseil constitutionnel que cet argent provenait de la "vente de gadgets et de T-shirts", selon les pièces saisies par la police.
Cette explication a été jugée peu crédible par les rapporteurs, qui relevaient l'absence de justificatifs et 22 dépôts en espèces en mars et avril 1995, dont un de plus de 10 millions de francs le 26 avril.
Ces éléments n'ont jamais figuré dans la validation des comptes d'Edouard Balladur publiée au Journal officiel. C'est ce résultat final que le juge Van Ruymbeke voulait éclairer par le procès-verbal des délibérations.
L'hypothèse d'un financement de la campagne d'Edouard Balladur par des fonds détournés en marge d'un marché de sous-marins français au Pakistan est apparue dans le dossier du juge Van Ruymbeke.
Si le fameux directeur a fait prendre des risques à d'autres personnes que lui même peut être faut il s'en prendre aussi à lui?Stick a écrit :
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Peut-être qu'il y a eu des commissions occultes, et peut-être que tout ou partie n'ont pas été versées, mais cela ne doit pas masquer le fait que la bombe a été posée par des terroristes, pas par les mauvais payeurs.
Comme le dit Jackout, il est beaucoup plus facile de s'attaquer à une personne identifiée, et donc potentiellement solvable, plutôt qu'à des terroristes planqués à l'autre bout du monde dont on ne pourra tirer aucune indemnité, même s'ils se font attraper et condamner.
Imaginez qu'un de vos proches se fassent descendre au cours d'un braquage dans le supermarché qu'il fréquente. Vous allez porter plainte contre le magasin parce que le responsable a trainé les pieds pour ouvrir le coffre, ou réaliserez-vous que le seul coupable est le type qui avait un flingue et s'en est servi ?
dinosaure a écrit : Encore une conspiration contre le Lider Minimo donc ?
Mais c'est vrai qu'il n'y a eu que onze morts. Moins que le "Mediator".