ils ont splitté, ils nous ont quittés :(

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Re: ils ont splitté, ils nous ont quittés :(

Message par tisiphoné »

Crapulax a écrit : C'est son beau-père, Johnny Rotten, qui a annoncé la mauvaise nouvelle sur son site : Ariane Foster, surnommée Ari Up, est décédée ce mercredi des suites d'une longue maladie, à l'âge de 48 ans. En 1976, avec Palm Olive, Kate Korus et Suzi Gutsy, elle avait formé The Slits («Les fentes») qui sera le premier groupe féminin de punk.


No Futur . :icon_redfaced:
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Re: ils ont splitté, ils nous ont quittés :(

Message par Comtesse Tatère »

Je ne connaissais pas cette chanteuse mais qu'elle RIP.
"Par delà le combat politique, par delà les divergences d'opinion, il n'y a pour moi qu'une seule France. Ce n'est pas la victoire d'une France contre une autre. Il n'y a qu'une seule victoire, celle de la démocratie" Nicolas Sarkozy.
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Re: ils ont splitté, ils nous ont quittés :(

Message par Crapulax »

Merci Tisi.La vague 76-77 s'en va à petit feu. :(
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Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
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Re: Les guitaristes pleurent le créateur de la Gibson Les Paul

Message par Comtesse Tatère »

Patrick_NL a écrit :
Je viens de réécouter. C'est bien beau tout ça. C'est vrai que Blackmore s'éclate à la gratte.
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Re: ils ont splitté, ils nous ont quittés :(

Message par tisiphoné »

il y a tente ans, il est mort assassiné.
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Baker street

Message par tisiphoné »

Le chanteur écossais Gerry Rafferty, auteur des tubes Baker Street et Stuck in the Middle with You dans les années soixante-dix, est décédé, mardi, à 63 ans des suites d'une longue maladie, a annoncé son agent, Paul Charles. Gerry Rafferty, qui souffrait de problèmes d'alcool, s'est éteint paisiblement à son domicile dans le sud de l'Angleterre avec sa fille Martha à ses côtés. "Je peux confirmer que, tristement, Gerry est décédé", a déclaré Paul Charles.

Avant de débuter une carrière en solo, Gerry Rafferty avait été membre du groupe Stealers Wheel avec qui il avait enregistré Stuck in the Middle with You en 1972, sur le premier album du groupe. Ce titre avait connu une seconde jeunesse en 1992 sur la bande-son de Reservoir Dogs de Quentin Tarantino. Mais le principal succès du chanteur reste Baker Street, sorti en 1978, qui figura sur les listes des meilleures ventes en Grande-Bretagne, aux États-Unis et dans de nombreux pays. Le célèbre solo de saxophone du morceau, enregistré par Raphael Ravenscroft, aurait été à l'origine prévu pour une guitare. Mais le guitariste ne s'étant pas présenté au studio d'enregistrement, Ravenscroft le remplaça au pied levé avec son saxophone.

Ces deux dernières décennies, Gerry Rafferty avait enregistré trois albums, dont le dernier Another World en 2000, sans jamais retrouver le succès planétaire de Baker Street, qui continue de passer régulièrement sur de nombreuses radios et lui assura une confortable rente annuelle jusqu'à sa mort. Les dernières années de sa vie furent assombries par l'alcoolisme et des problèmes de santé à répétition. En novembre, il avait été hospitalisé après une chute et pour des problèmes de foie.

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Re: ils ont splitté, ils nous ont quittés :(

Message par Comtesse Tatère »

Ah, merci Tisi. J'ai appris sa mort ce matin sur Europe 1 et très peu par ailleurs. Baker Street c'est une belle chanson. Beaux souvenirs d'adolescence. J'aime aussi beaucoup Stuck In The Middle With You... J'ai l'album Baker Street. Je vous le conseille. il est très bien. On écoutera ça différemment maintenant.

Toujours beaucoup de peine quand un musicos s'en va. RIP Gerry.
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John Barry, le compositeur mythique de James Bond, est mort

Message par tisiphoné »

John Barry est mort d’une crise cardiaque à 77 ans. Les James Bond perdent leur compositeur le plus célèbre.

Fils d'une pianiste et d'un propriétaire de salles de cinéma, John Barry semblait destiné à devenir compositeur de musique de films. Il avait tout d'abord reçu une formation de pianiste classique, avant de s'intéresser au jazz et d'apprendre la trompette. En 1957, à 24 ans, le jeune homme forme, avec sept compères, les John Barry 7, ou JB7. Le groupe passe dans une émission de la BBC et le leader se lie d'amitié avec le chanteur Adam Faith, qui le recommende pour son premier emploi de compositeur de musique de film. Il s'agit de L'Aguicheuse, c'est en 1960. Le film, Beat Girls en anglais, est le premier d'une très longue série, dont Goldfinger, qui classe Barry au rang des plus grands.

Cette musique avait pourtant failli ne jamais être diffusée. En septembre 1964, le producteur Harry Saltzman, qui vient d'écouter la bande son de Goldfinger, passe un coup de fil à Barry. «Harry ne venait jamais aux séances d'enregistrement, avait confié Barry au Telegraph. Et il m'a dit «John, c'est le pire putain de morceau que j'ai entendu de toute ma vie! On sort dans trois semaines, autrement j'aurais viré ce putain de morceau du film. Je l'aurais viré! Viré!».Mais Harry Saltzman n'a jamais eu le temps de virer la chanson. Heureusement pour lui, pour le film et pour John Barry. Le compositeur poursuivit sa brillante carrière. Cotton Club (de Coppola), Out of Africa (de Sydney Pollack) ou Danse avec les loups (de Kevin Costner) suivirent Bons Baisers de Russie, et Goldfinger. Quatre Oscars et quantité d'autres prix et nominations vinrent couronner son travail.
C'est David Arnold, lui aussi compositeur de bandes originales de James Bond (Demain ne meurt jamais) qui a annoncé le décès le premier, lundi matin: «C'est avec le coeur lourd que je vous annonce que John Barry est décédé ce matin» a-t-il twitté. Le compositeur laisse derrière lui sa fille Kate Barry, née de son mariage avec Jane Birkin, dont il fut le premier mari, et trois autres enfants, de trois autres femmes, dont deux qu'il épousa.

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Re: ils ont splitté, ils nous ont quittés :(

Message par Comtesse Tatère »

J'ai toujours peur quand j'ouvre ce topic. Là, c'est la mouise. J'aime beaucoup de qu'il faisait, peut être moins la zique des James Bond, mais c'est toute une époque.

John Barry, c'est aussi le compositeur de Dance avec les Loup (que j'écoute régulièrement parce que très belle et puis aussi très beau film) et de Out Of Africa entre autres. N'oublions pas non plus Amicalement Vôtre.

Je n'oublie pas non plus qu'il est anglais... et un anglais qui s'en va triste-soupir-45
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Re: ils ont splitté, ils nous ont quittés :(

Message par tisiphoné »

l'hommage très personnel de Jane Birkin
Depuis le décès de John Barry survenu dimanche dernier, les nombreux hommages qui lui ont été rendus ont pratiquement tout dit de son talent et de sa formidable carrière. Le compositeur aux cinq Oscars laisse derrière lui une flopée de musiques de films inscrite dans l’histoire du cinéma (plusieurs James Bond, Out of Africa, Danse avec les loups…). Aujourd’hui, Jane Birkin évoque le souvenir du musicien sous un jour plus intime dans Le Parisien. La chanteuse anglaise a été la seconde épouse de John Barry, il était le premier homme de sa vie.

« C'était le plus grand compositeur de musiques de films. Il était autodidacte. Il avait appris la musique par correspondance, notamment pendant son service militaire. Et puis il était incroyablement beau. J’avais 17 ans quand je l’ai rencontré, a-t-elle raconté. C’est vrai qu’à l’époque, les gens autour de mon père n’étaient pas convaincus par notre relation (NDLR : il avait 30 ans et venait de divorcer). John avait la réputation d’un Don Juan et tout le monde avait peur pour moi. Mon père ne voulait pas que je me marie en étant mineure. Mais à 17 ans, je ne l’ai pas écouté. […] C’était le premier homme de ma vie. Je suis passé de l’internat à John Barry. Je ne vivais que pour lui plaire. »

Le couple a eu une fille, Kate. Après quatre ans d’union, leur relation a pris fin lorsque le musicien a jeté son dévolu sur une autre. « Je n’ai pas pu le retenir. Il est parti avec une autre femme aux Etats-Unis. Et moi je suis retournée chez ma mère, s’est-elle souvenue. C’est après que je suis venue tourner en France et où j’ai rencontré Serge Gainsbourg. » S’ils n’étaient pas restés proches après leur rupture, Jane Birkin et John Barry prenaient des nouvelles par l’intermédiaire de leur fille.

Ils s’étaient revus pour la dernière fois en 2007 : « Il était très gentil. Il était venu assister aux obsèques de mon père peu de temps après celles de Serge. Et je l’ai revu il y a trois ans, au festival International Musique et Cinéma d’Auxerre, qui lui rendait hommage. J’étais juste derrière lui dans la salle. Il était à côté de Kate. Je les regardais de dos. Ils avaient la même nuque, les mêmes oreilles. C’était très troublant. J’ai beaucoup pleuré ce soir-là. »
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John Barry, amicalement vôtre

Message par Stick »

Un grand de la musique de film vient de mourir,John Barry (1933-2011), 5 oscars et 4 Grammy Awards au compteur, excusez du peu. On ne dira jamais assez combien la musique de film compte de grands compositeurs, de Bernard Herrmann à Ennio Morricone en passant par Jerry Goldsmith, François de Roubaix, Lalo Schifrin et autres John Williams. Ce genre-là permet non seulement aux « audiospectateurs » de prolonger les films au-delà de leur projection par l’écoute des bandes originales quand la musique est bonne mais également d’avoir, au niveau musical, tout en un en quelque sorte. C’est-à-dire qu’en fonction de l’histoire des films, de leurs origines, des époques revisitées, on peut passer, et ce parfois dans un même score ou chez un même compositeur, du classicisme le plus affirmé au dodécaphonisme le plus radical via le jazz, le rock, la bossa nova, le funk, l’electro et tutti quanti. Cette polyphonie de sons et de voix, c’est souvent ce qui passionne les compositeurs de musiques de film, ça revient d’ailleurs fréquemment quand on les fait parler de leur travail (que ce soit un Gabriel Yared ou un Bruno Coulais), ils peuvent à loisir pratiquer les grands écarts et un éclectisme des plus délectables.

John Barry était Anglais (né en 1933 à York, Royaume-Uni) mais, dès 1966, avec le film La poursuite impitoyable, il a fait une bonne partie de sa carrière aux Etats-Unis ; il est mort d’une crise cardiaque à New York le 30 janvier 2011. Ce qui le caractérise, en dehors d’un lyrisme revendiqué qui lui a fait signer quelques-unes de ses plus belles partitions pour le 7e art (Quelque part dans le temps, Out of Africa, Danse avec les loups), c’est un son chaud, jazzy, au rythme enlevé, riche en cuivres et en cordes. Il étudie à la St Peter’s School et se passionne très tôt pour le jazz, il joue d’abord du piano puis de la trompette. Avant de composer pour le grand écran pour lequel il se passionne également, Barry s’enthousiasme pour le rock et crée en 1957 le groupe The John Barry Seven. Musicien brillant, il est vite remarqué pour ses arrangements, notamment vocaux, ce qui lui permet de rencontrer le chanteur Adam Faith qui est également acteur dans le film Beat Girl(1960). Barry en signe la musique, c’est sa 1ère partition pour le cinéma, celle-ci lui ouvre des portes puisqu’elle est bientôt remarquée par Albert Broccoli, le producteur des 007, qui prépare James Bond contre Dr Noet fait appel à lui pour réarranger le thème musical initial écrit par Monty Norman. C’est aussitôt un succès. John Barry réalisera la B.O. de 11 films de l’agent 007 : de Bons baisers de Russie (1963) à Tuer n’est pas jouer (1987) en passant par l’incontournable Goldfinger(1964) bénéficiant de la superbe voix chaude et sexy de Shirley Bassey. La chanson-titre du film permettra d’ailleurs à Barry en 1964 de détrôner les Beatles de la première place des Charts, rien que ça ! Enfin, on ne peut qu’être d’accord avec David Arnold, compositeur pour le cinéma, déclarant à la BBC : « James Bond aurait eu beaucoup moins de flegme si John Barry ne lui avait pas tenu la main. »

Indépendamment de leurs qualités musicales (et n’étant pas très friand des Bond, je dois avouer leur préférer leurs musiques, surtout quand elles sont composées par John Barry, à leurs images), les James Bond lui offre l’occasion de multiplier les collaborations, souvent fructueuses, avec de grands noms de la variété (Shirley Bassey, Matt Monro) et du jazz – il ne sera pas peu fier de rencontrer, à l’occasion d’une chanson, Louis Armstrong pour Au service secret de sa majesté(1969). Barry sera toute sa vie passionné par le jazz ; par exemple, dans une de ses dernières compositions (Playing by heart, 1998), un lent solo de trompette viendra rendre hommage à Chet Baker qu’il admirait profondément. Cependant, on ne peut pas dire que ce soit John Barry qui ait intégré le jazz dans la musique de film, avant lui des Elmer Bernstein et Alex North sont déjà passés par là. Par contre, il est un des premiers, avec Henry Mancini (The Party), à avoir habilement métissé la bande originale de film avec la variété et la pop. Impossible, en restant dans cette univers musical-là, d’oublier l’air pop-jazz entraînant du générique culte d’Amicalement vôtre (The Persuaders, avec Tony Curtis & Roger Moore) créé en 1968. Un Gainsbourg, dandy friand des Melodyà l’anglaise, saura retenir les leçons de l’art de la composition labellisé John Barry. A ce sujet, citons Jane Birkin (in Jane Birkin et Etienne Daho, Gainsbourg confidentiel, Inrocks, 2001) qui rencontra en 1963 le gentleman longiligne qu’était John Barry pour finir par l’épouser et vivre avec lui un certain temps : « Je pense que Serge admirait le travail de John Barry. Essentiellement pour ses qualités d'orchestrateur, une chose qu'il ne savait lui-même pas faire. Je me souviens même l'avoir vu essayer de faire plaisir à John dans une boîte de nuit où le DJ ne passait que des chansons de Gainsbourg. Lui qui était toujours très heureux qu'on passe sa musique en était arrivé à la conclusion qu'il en serait de même pour John Barry. Il est donc allé fouiller dans les bacs du DJ pour trouver l'une des bandes originales de Barry et a demandé au type d'en passer un extrait. John est devenu pivoine. Il était très embarrassé, alors que Serge essayait juste d'être gentil. Après tout, il n'était pas obligé : il venait quand même de lui piquer sa nana ! »

Alors c’est vrai également, John Barry n’a pas composé que des chefs-d’œuvre et que pour des grands films de l’histoire du cinéma. Par exemple, sa composition pour le film Chaplin (1993) est bien plus passionnante à suivre que le biopic pontifiant réalisé par Richard Attenborough. De même, sa superbe composition rock et racée, aux accents parfois même disco, pour Le Jeu de la mort (1978), est nettement plus remarquable que le film en question mais, à la décharge de celui-ci, précisons qu’il a été remonté tant bien que mal suite à la mort brutale de la superstar chinoise avant la fin du tournage. Et sa composition pour le King Kong(1976) de John Guillermin, bien qu’intéressante, ne retrouve que trop rarement l’audace rythmique des tamtams indigènes, des percussions et des cuivres enlevés du remarquable score de Max Steiner pour le King Kong de 1933 - on imagine aisément ce qu’un Jerry Goldsmith, compositeur de l’étrange musique de La Planète des singes, aurait pu livrer comme composition mi-classique, mi-expérimentale si on lui avait commandé la musique de ce remake. Le style aisément identifiable de John Barry (une chaleur orchestrale qui se déploie aussi bien dans ses compositions pop que dans ses scores marqués par un fort accent lyrique) la conduit à écrire des « compositions mémorisables » pour des productions à gros budgets pas toutes indispensables (La Rose et la Flèche, Le rubis du Caire et autres Amants du Nouveau Monde). Mais bon, il n’est pas le seul à être moins bon lorsque le film ne se montre pas à la hauteur de son talent - un de ses confères, l’Italien Morricone, n’a jamais été aussi génial que lorsqu’il composait pour Leone.

La critique a quelquefois accusé John Barry de cultiver l’envolée romantique avec une certaine facilité, on lui reprochait de répéter en boucle ses lignes mélodiques ne lésinant point sur la présence des violons déchirants s’inscrivant dans un symphonisme hollywoodien à tendance académique. Mais les connaisseurs de musiques de films ne tarissent pas d’éloges quant à sa capacité à varier dans ses scores les instruments les plus divers (synthétiseur Moog, clavecin, orgue de barbarie, cymbalum, etc.) et à créer des partitions mâtinant complexité de la composition (les chœurs de l’Angleterre médiévale d’Un lion en hiver, 1968), sensualité (La Fièvre au corps, 1981) et mélancolie (Frances, 1982). Pour ma part, ce que je préfère de lui, hormis les superbes mélodies de Goldfinger et d’Amicalement vôtre, ce sont certaines de ses partitions poignantes participant grandement à l’émotion distillée par les films, comme boostés par leur présence. Ainsi, le parcours chaotique des « rats » des rues de New York (Dustin Hoffman, Jon Voight) du culte Macadam Cowboy (1969) serait-il aussi émouvant sans la présence de l’harmonica nostalgique ? Pas sûr. Et l’amour impossible grandeur nature entre Karen Blixen (Streep) et Denys Hatton (Redford), sur fond de paysages africains splendides, serait-il aussi envoûtant sans la musique puissamment lyrique composée pour Out of Africa (1985) ? Pas sûr du tout.
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Mort du guitariste Gary Moore, ex-membre de Thin Lizzy

Message par tisiphoné »

LONDRES (Reuters) - Le guitariste-chanteur de rock et de blues britannique Gary Moore, ancien membre du groupe Thin Lizzy, est décédé dimanche en Espagne, rapportent des médias. Né à Belfast, il était âgé de 58 ans.
Selon le site internet de l'Irish Times, Moore a été retrouvé mort en début de matinée dans sa chambre d'hôtel à Estepona. Une autopsie devait être pratiquée dans la ville voisine de Malaga, précise le journal.
A Londres, un porte-parole du Foreign office a déclaré : "Nous sommes informés (du décès de Moore) et nous tenons prêts à fournir une assistance consulaire. Nous compatissons à la douleur de sa famille."
A l'âge de 16 ans, Moore avait quitté l'Ulster pour Dublin en 1969 afin de se joindre au groupe Skid Row, dont le chanteur était Phil Lynott.
Il devait entrer plus tard dans le groupe de rock irlandais Thin Lizzy, révélé par des succès comme "Whiskey in the jar" et "The Boys are back in town".
Moore y remplaçait le guitariste Eric Bell, qui a déclaré dimanche à la BBC : "J'ai du mal à le croire. Il était si robuste, ce n'était pas un blessé du rock, c'était un type sain. C'était un joueur superbe et un musicien qui se donnait à fond."
Moore a joué à plusieurs périodes avec Thin Lizzy et s'est produit séparément avec Lynott, qui est mort en 1986 des suites de problèmes liés à la consommation de drogue.
Le guitariste, impressionné dans sa jeunesse par le bluesman Albert King, s'était converti au blues rock après avoir entendu à Belfast Jimi Hendrix et les Bluesbreakers de l'Anglais John Mayall. Un ancien guitariste de Mayall, Peter Green, l'a aussi beaucoup influencé.
S'il a touché à plusieurs genres, passant des sons saturés du hard rock à la musique country, il a opéré plusieurs retours au blues électrique, en particulier avec ses albums "Still got the blues" (1990) et "Power of the blues" (2004).
Moore avait joué avec des groupes et des chanteurs aussi divers que Colosseum II, Greg Lake, George Harrison, B.B. King, Albert Collins ou les Beach Boys.
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Re: ils ont splitté, ils nous ont quittés :(

Message par Comtesse Tatère »

Je te disais que ça me faisait flipper d'ouvrir ce topic. Je connais bien Gary Moore. Tu peux peut-être nous mettre en ligne "Parisienne walkways". Magnifique blues... Ben alors, RIP Gary. Passe le bonjour à Sir George.
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Re: ils ont splitté, ils nous ont quittés :(

Message par tisiphoné »

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Re: ils ont splitté, ils nous ont quittés :(

Message par Comtesse Tatère »

Merci Tisi. Cette chansons comme bien d'autres. Superbe ! RIP again Gary.
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